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  • Du 23 au 25 décembre : le voyage

    December 23, 2017 in French Polynesia ⋅ ⛅ 27 °C

    23/12/2017 : jour J du grand départ. Réveil à 3h30 du matin, départ du Airbnb à 4h direction  l'aéroport de Toulouse en uber. Décollage à 6h, arrivée à Paris CDG à 7:30. Vol 1/5 check.

    Prochain vol prévu à 16:10. Nous n'avons pas très envie de patienter 8h assis dans l'aéroport alors nous essayons de trouver des chambres d'hôtel à la journée mais ça n'existe pas ou c'est trop cher, c'est toujours très compliqué à Paris. Il est déjà 10h quand nous abandonnons notre recherche. Nous trouvons un petit coin un peu isolé pour patienter.

    Enregistrement des bagages pour Londres sur british airways à 13:10. Puis nous passons les formalités de police et contrôles de sécurité.
    Nous nous restaurons dans un fast-food sain trop cher, trop peu copieux et trop fade mais on est content quand même parce que c'est les vacances.
    J'en profite pour passer les derniers coup de fils aux copines.

    40 min après le décollage nous arrivons à Londres à 16h 10 après avoir quitté Paris à 16h passé, merci le décalage horaire. Vol 2/5 check. Prochaine correspondance pour Sydney via Dubai dans 4h a 20h45.
    Nous nous offrons un petit luxe : une douche à 15 livres avec produits l'occitane en Provence cat le voyage est encore long et nous n'aurons plus l'occasion de faire ça. On sent trop bons, cette douche nous a fait le plus grand bien, nous sommes requinqués.
    On se paie un petit apéro bon marché à base de chips sandwich anglais et barre de céréales en attendant que l'embarquement de notre vol commence.

    C'est parti pour 7h de vol à peu près jusque Dubai pour une escale technique. Nous voyageons à bord d'un A380, les sièges nous semblent beaucoup plus spacieux que ceux que l'on connaît sur les liaisons Réunion Métropole.
    L'avion est d'un silence incroyable au décollage et aussi lors du vol.
    A peine le décollage fini on nous sert bouteille d'eau et boisson indéterminée au "cranberry". Le personnel naviguant est joliment décoré aux couleurs de Noël avec bonnets et guirlandes. Puis viens l'heure du repas, je m'endors devant mon film. 1h avant l'atterrissage soit 4h heure de Paris et 6h heure de Dubai, on est réveillés pour le petit déjeuner où on nous sert une Margherita calzone. On comprend toujours pas le pourquoi du comment. On a quand même dormi 3 ou 4h et ça fait du bien.
    C'est à ce moment que le pilote nous informe qu'il y a des difficultés pour atterrir à Dubai. D'abord on nous annonce que c'est à cause de la forte affluence et qu'il se peut qu'on soit dérouter sur un autre aéroport. Puis on commence à faire des tours dans le ciel en attendant l'autorisation de la tour de contrôle. À travers les hublots nous voyons plein d'avions à différentes altitudes faire la même chose que nous. Finalement on nous dit que l'aéroport de Dubai est fermé à cause du brouillard, que l'atterrissage devra se faire en pilotage automatique à cause des conditions météo. On atteri enfin pas très loin de Dubai pour attendre que les conditions météo s'améliorent pour repartir à nouveau.
    Effectivement tout d'un coup l'avion touche le sol sans qu'on ait pu distinguer quoique ce soit à travers la fenêtre. On aperçoit vaguement du sable sur le côté de la piste.
    Le problème c'est que pour notre vol pour Auckland nous n'avions qu'1h30 de correspondance depuis Sydney. Ça nous semble cuit.
    Nous restons 4h au sol jusque 12h avant de redecoller pour le vrai aéroport de Dubai.
    Ils vont nettoyer l'avion donc nous sortons pour repasser les contrôles de sécurité. Une vaste blague puisqu' on ne nous demande ni piece d'identité ni billet ni d'enlever quoique ce soit des sacs. Pierre sonne au détecteur on lui dit de repasser une 2eme fois, il ne sonne plus, le personnel est satisfait.

    Nous embarquons à 13h15 mais des passagers sont absents il faut sortir leur bagage de l'avion. Au total l'avion décollé à 15h15 soit 2h après l'embarquement et avec 6h de retard. La cadence a l'aéroport de Dubai est impressionnante. Au point d'arrêt nous faisons la queue pour le décollage : au moins 6 avions sont devant nous.  Il faut également laisser 3 avions qui sont en finale atterrir.
    Au moment du décollage un vieux monsieur se lève et traverse l'avion à pied ce qui nous retarde encore.

    C'est reparti pour le même protocole : petite bouteille d'eau, cranberry juice
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