Bolivia
Potosí

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Travelers at this place
    • Day 12

      Potozinzin

      March 10, 2023 in Bolivia ⋅ ☁️ 15 °C

      Aujourd’hui on se lève tôt pour aller visiter la mine de Potosi. On n’a pas réservé la veille mais en partant avec des néerlandaises rencontrées à l’hostel on arrive à s’ajouter au groupe.

      On part alors tous ensemble, on s’arrête une première fois pour se changer, on met des bottes, un casques avec une lumière, un sur pantalon et une veste. Une fois que tous le monde est prêt on repart pour faire une seconde pause au marché des mineurs, dans ce marché on trouve des explosifs, des outils et tous l’équipement nécessaire pour récupérer du minerai. On nous explique alors que chaque mineurs doit acheter sont équipement. Dans ce marché on trouve aussi de quoi faire passer plus vites les journées de travail : feuilles de coca, alcool à 90, cigarettes et boissons sucrées pour les plus jeunes.

      Après ce dernier arrêt on se dirige finalement vers la mine encore en activité. Pendant l’ère coloniale on y extrayait de l’argent, avec lequel on fabriquait les monnaies du monde entier, le symbole dollar vient même du symbole de potosi (superposition du S et du I). Cela paraît un peut paradoxal quand on sait qu’aujourd’hui les billets bolivien sont fabriqués en France. De nos jours la mine extrait du plomb, du cuivre et de l’étain.

      Rentrer dans la mine au milieu des mineurs, des chariots plein de roches et des différentes statuettes religieuses fût une expérience plutôt spéciale, permettant de prendre du recul sur ce que l’on vit en Europe.

      La mine a pour effet sur la ville de créer de grande inégalités, en effet les mineurs qui ont la chance de trouver de gros filons peuvent devenir très riche quand au reste des mineurs indépendants ils sont là plus part du temps plutôt pauvres.

      Ensuite l’après midi on se décide à faire le tour de la ville avec un guide. Le tour fut des plus dépaysants, en effet le guide ne s’attardait pas beaucoup sur l’histoire de la ville mais nous a plutôt emmené au cœur de celle-ci. On a ainsi pu discuter avec des étudiants, des gens dans les marchés, rentrer dans différents bâtiments administratifs ou culturels de façon plus ou moins normale et ce toujours avec une pointe d’humour !

      Après cette longue journée on se décide à aller prendre le bus pour rejoindre la ville de Tupiza, on se rend alors au nouveau terminal dans notre moyen de transport favoris et on attend alors 20h30 pour prendre le prochain bus. Une fois dans celui-ci on nous passe alors un film espagnol histoire d’être sur qu’on ne dorme pas durant le trajet !
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    • Day 115

      Tour au Cerro Rico

      April 23, 2023 in Bolivia ⋅ ☀️ 11 °C

      Ca y est, première turista dans l'équipe et elle est pour moi (Louis).
      Malgré tout, on se met en route tous les 4 pour le Cerro Rico (4750m), la montagne qui habrite plein de minerai d'argent, de zinc et de plomb qui fait la richesse de la mine. En chemin, on croise pas mal de maison de mineurs ainsi que des entrées de mines. On est dimanche alors personne ne travaille.
      On n'arrive pas tout à fait jusqu'en haut car le chemin est effondré. La montagne est un vrai gruyère alors on ne veut pas prendre le risque de se balader entre les éboulis.
      On a quand même une belle vue sur Potosí ! (200 000 habitants)
      On redescend, contents de notre balade (et moi content de ne pas avoir eu à chier entre 2 cailloux) 😅
      On aura plus d'informations sur la mine demain, on fait une visite guidée !
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    • Day 24

      Experience spéciale

      June 11, 2023 in Bolivia ⋅ ☀️ 10 °C

      J’ai bien dormi ! 1ere fois qu’il y a du chauffage dans un hostel (mais pas d’eau chaude 😢) après il fait -10° la nuit … (on est à 4090m)
      Avec Fred nous partons visiter les mines de Potosi, Marina reste à l’hostel elle est trop fatiguée. (Je n’étais vraiment pas sure de le faire parce on passe devant des mineurs qui travaillent dans des conditions plus horrible..) mais étant dimanche personne n’était dans la mine. Je sais pas si c’est bien mieux … on est groupe de 8, et deux guides. Avant de rentrer dans la mines, nous allons chercher l’équipement (pantalons/ veste avec des scratch qui scratch pas, et un casque avec une lampe). Puis on passe à une épicerie pour acheter des cadeaux pour les mineurs (choix entre eau, bière, alcool à 96°, feuilles de coca, cigarettes ou dynamite).
      Je suis contente d’être petite sur ce moment ! Les chemins dans la mines sont très bas, et serrés. On arrive à un endroit « d’offrande », une petite statue entouré de guirlande et de feuille de coca est la. La tradition est de lui donner deux cigarettes, et de l’alcool à 96º puis d’en prendre ( j’ai gouté une goutte je crois que ça a suffit à désinfecter tout mon corps).
      Au bout du premier tunnel où il a fallu ramper, 4 personnes ne veulent plus continuer. On se sépare et on continue d’avancer dans la mine, on commence à tousser à cause de toute la poussière… j’ai beaucoup de mal avec l’idée que des gens travaille encore dans ces mines avec ces conditions de travail.
      Un moment la guide veut nous montrer comment ça se passe avec la dynamite, on allume un bâton puis on part quelques mètres plus loin… et BOOM. Impressionnant, assourdissant.
      On marche encore 30 min et nous voilà sorti. Ça fait du bien de voir le soleil et de respirer de l’air frai.
      Ça remet beaucoup en question ce genre d’expérience.

      Moment impromptu mais très sympa, petite jam dans l’hostel avant mon départ.
      Ce soir je pars pour Tupiza, car demain matin je commence le trek dans le Salar d’Uyuni, le désert de sable.
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    • Day 298

      Minentour im Cerro Rico

      September 9, 2023 in Bolivia ⋅ ☀️ 14 °C

      Am Vortag buchen wir bei Turismo Claudia eine Minentour im 4.800m hohen Cerro Rico. Der Berg ist für seine großen Silbervorkommen bekannt, welche hier seit fast 500 Jahren abgebaut werden, Potosí einst zu einer superreichen Stadt machten und das spanische Reich finanzierten. Hinzu kommen Blei, Kupfer, Zinn, Zink... Über 100 verschiedene Minerale/ Varietäten sollen hier bereits entdeckt worden sein. Wir entscheiden uns für eine abenteuerliche aber nicht für die gefährlichste Mine. Dennoch macht sich noch am selben Abend ein mulmiges Gefühl breit. Wollen wir da wirklich rein, in den "Berg, der Menschen frisst"?

      Der Bergbau im Cerro Rico ist Glückssache - das erzählt uns Wilson während der Tour immer wieder. Jeder Minenarbeiter hat seinen eigenen fixen Bereich, in dem er arbeitet, allerdings erst nach drei Jahren Anlernzeit. Wer Glück hat wird reich und kann die Mine verlassen, andere hingehen finden fast nichts und sterben viel zu früh. Zwischen 8-10 Millionen Menschenleben sollen die rund 180 Minen im Cerro Rico schon gefordert haben, hauptsächlich ehemalige Sklaven, die in der sauerstoffarmen Höhenluft zu Höchstleistungen angetrieben wurden. Aber auch heutzutage bezahlen noch viele Arbeiter mit ihrem Leben, die meisten werden 45 bis 60 Jahre alt und sterben an den Folgen einer Staublunge. Natürlich ereignen sich aber auch tragische Unfälle. Offiziell ist es verboten unter 18 Jahren in den Minen zu arbeiten. Die Lage hat sich in den letzten Jahren zwar verbessert, aber es gibt leider noch immer viele Kinder und Jugendliche in den Minen, weil es nicht kontrolliert wird. Frauen dagegen dürfen in diesen Minen nicht arbeiten, sie bewachen nachts die Eingänge. Wieviele Menschen derzeit insgesamt hier tätig sind ist nicht bekannt und genaue Pläne der Tunnelsysteme gibt es auch nicht. Momentan gibt es am Cerro Rico 38 Genossenschaften, die völlig autonom handeln. Man sagt, dass der Berg irgendwann zusammenbrechen wird, weil er löchrig ist wie ein Schweizer Käse.

      Unsere Tour beginnt am Mercado de los Mineros, dem wahrscheinlich einzigen öffentlichen Markt weltweit auf dem legal Dynamit gekauft werden kann. Dort essen die Arbeiter und wir kaufen Geschenke. Es ist kein Muss, doch Simon aus Deutschland, Diego aus Uruguay und wir zwei folgen der Empfehlung unseres Guides und nehmen Cocablätter und Limonade mit. Aber auch 96%iger Alkohol zum Trinken, Dynamit und Ammoniumnitrat für Sprengungen stehen hoch im Kurs.

      Dann bekommen wir unsere Schutzausrüstung und es geht weiter zur Mine. Eigentlich wollten wir die Mina Rosario besichtigen, doch da ist heute keiner. Generell wird samstags nicht so lange gearbeitet, viele ärmere Mineros arbeiten dafür von Freitag auf Samstag oft 24h durch. Unser Plan B ist die Mina Grita de Piedra, ebenfalls eine alte, koloniale Mine. Der Eingangsbereich ist blutverschmiert - Lamablut. Jedes Jahr im Juni werden Lamas geopfert und die Minenarbeiter veranstalten gemeinsam ein großes BBQ. Wichtig ist, dass es immer eine gerade Anzahl an Lamas ist, denn ungerade Zahlen bringen Unglück. Ein weiteres Ritual ist, dass die Minenarbeiter am ersten Freitag im Monat El Tío und Pachamama um Dinge beten und jeden letzten Freitag im Monat danken sie.

      In der Mine ist es stockdunkel, lediglich unsere Stirnlampen spenden uns Licht. Die Gänge sind schmal, oft müssen wir gebückt gehen und gleichzeitig auf die großen Löcher im Boden achtgeben, die zu anderen Ebenen führen. Viel Staub fliegt durch die Luft. Hier und da funkelt es ordentlich, zum Teil haben sich aber auch Schwefel- und Kupferoxidkristalle an den Wänden gebildet, von denen wir uns fernhalten sollen. Je weiter wir hinein laufen, desto beklemmender wird das Gefühl. Außerhalb der Minen folgen die meisten dem katholischen Glauben, innerhalb der Minen hingegen beten sie zu El Tío (dem Gott der Unterwelt im Cerro Rico) und Pachamama (Mutter Erde). Gerade als wir El Tío und Pachamama Opfergaben bringen und um ihren Schutz bitten, treffen wir auf Don Humberto. Es wird Quechua gesprochen. Don Humberto ist 43 Jahre alt, sieht aber locker 20 Jahre älter aus. Man sieht ihm an, dass die Arbeit in der Mine kein Zuckerschlecken ist. Eine Schubkarre nach der anderen schiebt er aus der Mine, bessere Gerätschaften kann er sich nicht leisten. Und weil die Sprengung gestern nicht wirklich erfolgreich war, dürfen wir heute sogar bei einer kleinen Dynamitsprengung bzw. bei deren Vorbereitung dabei sein. Danach flüchten wir schnell in die sichere Zone und warten gespannt auf die Explosion der "sexy bombita".

      Nach etwa 1,5 Stunden erblicken wir wieder Tageslicht. Es blendet, doch wir sind froh raus aus dem 'reichen' Berg zu sein. Das alles zu sehen ist sehr interessant, aber gleichzeitig ist der Anblick des Leids anderer Menschen schlimm und deprimierend. Ich frage mich, ist es richtig eine solche Tour zu machen und den Bergleute gar noch bei ihrer alltäglichen, gefährlichen und kräftezehrenden Arbeit im Weg herumzustehen oder sie zu fotografieren? Unser Guide Wilson arbeitet selbst in einer Mine, sofern er nicht für eine Tour gebucht wird. Er ist es, der uns immer wieder dazu auffordert Fotos zu machen und diese der Welt zu zeigen. Der Tourismus hilft wenigstens einigen Männern ihre Jobs in den Minen an den Nagel zu hängen.

      Zum Abschluss besichtigen wir eine Aufbereitungsanlage, in der die wertvollen Mineralien von dem wertlosen Gestein getrennt werden. Lange können wir uns dort nicht aufhalten, denn es liegt ein beißender Geruch von Chemikalien in der Luft. Eine Dose Bier ist im Umlauf, erst ein paar Tropfen für Pachamama, dann bin ich an der Reihe. Ich lehne dankend ab, bekomme aber gleich einen Rüffel. Da ich weder unhöflich sein noch irgendwem Unglück bringen möchte, nehme ich doch einen Schluck und reiche die Dose weiter. Bevor es für uns zurück in die Umkleidekabine geht, überreichen wir noch die letzten Geschenke.
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    • Day 226

      Catch me if you can

      July 10, 2023 in Bolivia ⋅ ☀️ 12 °C

      Meine Entscheidung noch eine Nacht in Uyuni zu verbringen und mit reichlich Zeit nach Potosi zu reisen erweist sich als goldrichtig. Zunächst erweckt das Strassenschild "Aguas Termales Calerias" meine Neugier. Ca. 3 bis 4 KM von der Hauptstraße entfernt finde ich das Thermalbad. Während unten an der Hauptstrasse das Wasser bereits kalt ist, so kommt es natural und mit großer Hitze aus den Bergen und geht direkt ins Badehaus. Eine Abzweigung ermöglicht das Wäsche waschen, innen im Badehaus mit Umkleidekabinen, wird entspannt. Ich komme mit Jorge ins Gespräch, er hatte mich am Grenzübergang gesehen. Nach 2 Stunden wird es dann doch Zeit weiter zu reisen. Und die Landschaft schafft es endgültig mich "einzufangen". Alle paar Kurven ein neues Bild. Ich bin begeistert. Bolivien zeigt sich Landschaftlich von einer wunderbaren Seite und macht neugierig auf mehr.
      Ich erreiche die Silberstadt Potosi am Fuße des Cerro Rico, dem "Reichen Berg". Der Cerro Rico ist ein fast perfekter Konus und mit seinen fast 300 Stollen durchlöchert wie ein Schweizer Käse. Fluch und Segen zugleich für diese Stadt. Sie ist mit ca. 4100, nach eigenen Angaben, die höchstgelegene Stadt der Welt und war seinerzeit die reichste Stadt der Welt. Heute nur noch zu erahnen. Potosi gehört zum Weltkulturerbe der UNESCO. Hier wird die Luft zum atmen dünn und die Innenstadt atemberaubend. Der Kern der Stadt ist Kolonialstil aus dem 17. und 18. Jahrhundert welches auf beeindruckender Weise restauriert und gut erhalten ist. Absolut sehenswert. Die Geschichte um das Silber im Cerro Rico ist eine eigene, wie ich in den nächsten Tagen erfahren werde. An diesem Abend erkunde ich die Innenstadt im Licht der Scheinwerfer.
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    • Day 99

      Germinal à Potosì

      May 16, 2023 in Bolivia ⋅ ☀️ 12 °C

      Par Arzhêl,

      Le matin on flâne dans la ville, on passe par la place centrale témoin de la richesse de la ville à l'époque coloniale jusqu'à la Torre de la Compañia de Jésus qui nous offre un joli point de vue sur la ville.
      On se balade ensuite dans le marché où l'on se procure du bicarbonate de soude pour tenter d'en finir avec cette odeur de maroille qui nous colle aux pieds depuis des mois et de la coca au maracuya ( fruit de la passion). On y vend même des fœtus de lama séchés pour la bonne fortune, la fertilité, enfin plein de bonnes choses, peut être cela sauverait-il nos semelles.

      On part ensuite pour une visite de la mine de Potosi avec Willy, notre guide qui parle français. Ayant travaillé dans cette mine de 12 à 19 ans, il l'a quitté après y avoir perdu son père et son grand-père.
      Dans la mine on parle quechua, ils y travaillent 24h/24 par tours de 8h.

      On croise sur le chemin une manifestation de mineurs. Leurs revendications ne sont que très rarement acceptées, ils sont le plus souvent calmés avec de la bière et du foot, ou bien renvoyés si ça ne suffit pas.. La mine est gérée par des coopératives corrompues (grand retour de l'ancien président Evo Morales). Il suffit de passer un billet sous la table pour en être associé et les mineurs sont trop pauvres pour ça. Il n'ont pas non plus de contrat de travail, le flou juridique est intelligemment entretenu et lorsqu'un mineur meurt (45 l'année dernière), les compensations sont à la gentillesse de l'associé concerné.
      Souvent appartenant à une famille de mineurs, les gens sont fiers de travailler ici. On apprend aussi qu'ils sont très macho et que les femmes ne peuvent pas travailler dans la mine car cela porte malchance. En moyenne ils ont 4 à 7 enfants chacun. On croise aussi le marché minier appelé le calvaire où les mineurs achètent a leurs frais leur matériel (la dynamite est en vente libre).
      La mine est aussi un lieu de superstition. Chaque année en mai ils sacrifient des lamas dont ils aspergent le sang au dessus des portes de leurs habitations. On rencontre aussi le diable tio Georges. Brandit comme une menace par l'église pendant la colonisation espagnole (8 millions d'indigenes y sont morts), il est devenu leur ami, leur oncle (tio) auquel ils vouent un culte.
      Durant toute la visite, on porte des boissons et des gâteaux que l'on distribue aux mineurs que l'on croise. C'est selon notre guide le meilleur moyen de les aider car les donations sont le plus souvent détournées.
      Pour extraire les matières premières, un perforateur (esperance de vie: 45 ans) forre 12 à 16 points et y insère des bâtons de dynamite pour creuser un couloir d'environ 1m60 suivant un filon. La gallerie est ensuite fermée 4h le temps que la poussière retombe et que le monoxide de carbone soit évacué par une cheminée qui parcoure la mine de bas en haut. Le minerai est ensuite soulevé par des treuils qui le dépose dans des toboggans qui se déversent dans les chariots poussés par les mineurs. Les matériaux sont ensuite extraits dans des raffineries à Uyuni, Tupiza..

      On ressort à l'air libre chamboulés, plein de compassion, d'admiration pour leur courage, de respect. Willy nous explique que si l'on peut trouver ces visites ireespectueuses, ils se sentent au contraire valorisés quand des touristes à la vie bien plus facile sortent de leur confort pour s'intéresser à leur conditions de travail.

      On enchaîne ensuite avec la Casa de la Moneda où arrive à rejoindre la dernière visite en cours. L'endroit est surtout beau mais la guide très expéditive.

      On mange le soir de burritos et de la soupe de lama dans un resto assez planqué. C'est comme du bœuf avec un goût un peu plus fumé et plus caoutchouteux, c'est vachement bon!
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    • Day 47

      Sucre - Potosi

      May 8, 2022 in Bolivia ⋅ ☀️ 15 °C

      Wir besuchen den Markt in Sucre und finden allerlei Graffel. Es gibt wirklich alles, von Alpaka-Klamotten über DVD's bis zu interessanten Süßigkeiten. Auch eine schöne Gelegenheit zu Essen gibt es im 1 Stock. Die typische Sopa de Maní und leckeren Mais und Kartoffeln mit Fleisch. Was es aber dann wirklich genau ist, weiß ich meistens selbst nicht. Abends fahren wir mit dem Bus nach Potosi, jetzt schon auf 4000 Höhenmeter. Der für Potosi bekannte Silber-Berg Cerro Rico leuchtet schon im Dunkeln.Read more

    • Day 47

      Potosí, ville d'argent ⛏️

      May 30, 2022 in Bolivia ⋅ ⛅ 13 °C

      Nous arrivons vers 7h du matin à Potosi, après une nuit dans le bus 🚌. Environ 1km entre le terminal de bus et l'auberge de jeunesse, nous le faisons à pied 🚶. M'enfin ! La prochaine fois, on vérifiera le dénivelé ↗️.

      Après cette nuit peu reposante, une sieste s'impose 😴. Héloïse est barbouillée, son estomac n'a pas l'air de supporter la nourriture des marchés boliviens, aux normes d'hygiène bien différentes de chez nous 🤢.
      Enora et Jérome partent découvrir la ville. Les édifices religieux ⛪ sont nombreux, et le Cerró Rico ⛰️, qui a fait la richesse de la ville avec ses mines d'argent, apparaît toujours en arrière-plan. Héloïse part se promener après sa sieste. Nous nous retrouvons sur le temps du midi.

      En fin d'après-midi, nous rencontrons Miguel, un habitant de Potosi, rencontré sur Couchsurfing. Pas disponible pour nous accueillir dormir chez lui, il nous a tout de même proposé de boire un café ensemble, ce que nous avons bien sûr accepté !
      Finalement, nous passons la soirée avec lui. Il nous fait découvrir quelques rues de la ville, et un petit restaurant très sympa ! Les empanadas boliviens 🥙 sont meilleurs que ceux que nous avons mangés au Chili !
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    • Day 48

      Visite de Potosí

      May 31, 2022 in Bolivia ⋅ 🌬 13 °C

      Nous commençons cette journée par la visite de La Casa de la Moneda, monument emblématique de la ville. C'est ici qu'ont été confectionnées les pièces de monnaie des années 1770 à 1950, à partir de l'argent extrait du Cerró Rico. On n'a pas beaucoup plus d'informations, parce qu'on n'a pas tout compris à la visite 😅. Nos progrès en espagnol sont confrontés à la rapidité du flux de parole !

      La poursuite de Potosi se poursuit par la cathédrale ⛪. Nous montons jusqu'aux cloches 🔔, d'où nous avons une superbe vue sur la ville.

      Le midi, nous retrouvons Miguel, qui nous fait découvrir une spécialité locale : le k'alapurka 🍲. Il s'agit d'une soupe, dans laquelle on place une pierre volcanique brûlante. La soupe se compose de maïs, pommes de terre, sauce piquante et viande de lama 🦙.

      Après ce repas copieux, nous visitons le couvent Santa Teresa ⛪, qui nous donne un aperçu de la vie des soeurs vers le XVI-XVIIIème siècles. Même si les bâtiments sont magnifiques, le moins que l'on puisse dire, c'est qu'on ne les enviait pas !

      Miguel nous retrouve après la visite et nous amène aux aguas calientes de Tarapaya. Nous nous prélassons dans cette piscine 🧖, dont l'eau est naturellement chauffée à 40°C par le volcan tout près.
      Pour le dîner, Miguel nous amène dans un autre restaurant, où nous goûtons du vin chaud local 🍷, d'autres empanadas 🥙, un gratin de quinoa.
      Encore une magnifique rencontre !
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    • Day 114

      Visite de Potosí

      April 22, 2023 in Bolivia ⋅ ☀️ 14 °C

      Après une des pires nuit en bus (route qui secoue, sièges pas très confortables) on débarque à 5h30 dans Potosí. Heureusement, on trouve assez rapidement un hôtel qui veut bien nous donner une chambre à cette heure là, sans payer plus ! Tant mieux !
      On se repose et on se douche alors avant d'aller dans le centre pour manger. On a trouvé un super resto pas cher, on s'est régalé 😋
      On s'est baladé tranquilou dans la ville l'après midi et on a fini par la visite de la Casa de la Moneda (maison de la monnaie).
      On a enchaîné avec un repas pizza 🍕 burger 🍟 ou poulet en fonction des envies et on rentre se coucher de bonne heure pour récupérer avant la rando de demain !
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    You might also know this place by the following names:

    Potosí, Potosi, بوتوسي, Putusi, Потоси, Ποτοσί, پوتوسی, פוטוסי, पोतोसी, Պոտոսի, ポトシ, პოტოსი, 포토시, โปโตซี, Потосі, 波托西

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