Chile
Ovalle

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Travelers at this place
    • Day 8

      Que calor ! 🥵

      September 30, 2022 in Chile ⋅ ☀️ 25 °C

      Par Alban

      ☕️ Après une nuit dans la réserve de Chinchillas, j’ouvre la tente et la, grand soleil 🌞 ! Premier matin que ça arrive ! On décide d’attendre qu’il arrive sur notre spot à petit déjeuner, puis 20 min après on réouvre et la : gros brouillard 🌫 😤
      On mange le petit déjeuner dans le brouillard puis il se lève rapidement.

      🚵‍♂️🚵🏼🚵‍♀️ C’est partit pour une grosse étape, 83km 1500D+. On commence donc par 13km de montée qui se fait finalement pas si mal. Puis arrive une longue et belle descente. On kiffe un max, de super beaux paysages.

      🍞 En bas de la descente on s’arrête manger un bout et boire un coup dans un petit stand sur le bord de la route. Un pain censé être au fromage sans fromage et une boisson isotonique « Gatorade » 🥤

      🛣 S’en suis 13km de faux plat, on mange un gros sandwich en bas de la deuxième montée de la journée. Un gros bout de pain avec du jambon, fromage, mayo. Miam !

      🥵🌞🥵 Le décollage fut rude après la collation du midi, il fait une chaleur étouffante et la grimpette est raide. Pl a failli mourir de chaleur avant de mettre sa casquette sous son casque comme à l’époque. Moi ma visière sur le mien me protège bien de la chaleur.

      🏘 Nous sommes passés dans le village de Combarbala à la recherche d’une douche mais sans succès… Ça fait quand même 6 jours qu’on s’est pas douché🙃
      On en profite pour faire des courses et prendre de l’eau puis direction le spot du soir pour dormir.

      🌌 Le spot est juste magnifique ! On est perdu au milieu d’un ancien lac asséché est vraiment seul au monde. Il fait bon et le couché de soleil est beau. Cette fois ci on a appris de nos erreur et on a pris 3 boites de saucisses au lentilles !! Après ce bon repas Pl est partit faire de l’espagnol dans la tente et moi je suis resté rêvassé allongé par terre la tête dans les étoiles.
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    • Day 74

      Di letschte Meter mit em Janosch

      February 15 in Chile ⋅ ☁️ 18 °C

      Langsam wirds Ziet zum sich mit em Heigoh usenand z setze und Abschied neh vo üsem inzwüsche heiss gliebte Janosch.
      Aber zerscht hemmer nomal paar Täg ar Chilenische Küschte verbracht. Leider isches eifach konstant am Morge (und oft bis i Namitag inne) wüescht Wetter, was entsprechend nid zum am Morge ufem Platz verwiele iladed. Drum hemmer eusi Plän vo "hie blibemer jetzt mal 2 Nächt" au Konstant übere Hufe gworfe und immer wieter richtig Norde düset und in Vina del Mar und Valparaíso acho. Di Grosse Bränd wo hie tobt hend sind inzwüsche glöscht, aber de Alejandro, Bsitzer vom einzige Camping i de Region hed eus zeigt und verzellt wir knapps unter anderem au für sin Camping worde isch. Keini 50m vo döt wo mier jetzt camped, isch alles kahl und schwarz. De Alejandro isch super froh gsi das mier cho sind (mer sind ellei gsi ufem Camping trotz Hauptsaison), aber bi eus hed d Gsamtsituation au bitz s Gfühl vo Katastrophetourismus usglöst...
      Mier persönlich isch da aber so lang wie breit gsi, will ich mal wieder de Chäfer verwütscht ha und mich daher sowieso nur s Bett und d WCs interessiert hed. De Marius isch sowohl Viña del Mar als au Valparaíso go aluege, und vo beidne Städt wenig überzügt gsi ("es isch eifach Santiago am Meer"). Drum hemmer denn entschlosse, eusi letschte Täg im Janosch lieber no andersch z nutze.

      Wo mer mit em Janosch vor 3 Mt. vo Santiago richtig Argentinie losgfahre sind, hemmer ufem aller erschte Wildcampingspot mini Sandale vergesse (bzw. glaub ich ja das di streunende Hünd si i de Nacht klaut hend).
      Mit eusem letschte Tag im Janosch simmer die Sandale no go sueche. 2 h Autofahrt zrugg richtig Argentinie, zum Plätzli wommer vor 3 Mt. übernachted hend.
      D Sandale sind natürlich nümme dötte gsi, aber irgendwie hed sich die ganzi Reis mit dem Usflug ganz rund agfühlt🥰
      Übernachtet hemmer denn aber ufeme hübbsche chline Camping 1h Nördlich vo Santiago, wommer eusi letschti Nacht i eusem Gliebte Janosch gschlafe hend.

      Am nöchschte Tag simmer denn losgfahre zrugg richtig Santiago und hend de Janosch emmene Früeligsputz unterzoge. Fairerwiis musi zuegeh das de Marius s meischte gmacht hed, und ich (immerno mit mim Chäfer kämpfend) hauptsächlich im Schatte ghöckled bi und chli mit meh Lumpe Staub hin und her gschobe ha🤣
      Nach 3.5h putze simmer denn zrugg zu Suzi Santiago (die wo eus bim Autochauf "gholfe" hend) eusi lääre Koffere go hole, und hend in Santiago euses Hotelzimmer bezoge, wo mer di letschti Wuche vo eusne Ferie verbringe werded.
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    • Day 9

      La fatigue fait son apparition

      October 1, 2022 in Chile ⋅ ☀️ 24 °C

      Par PL.

      Après une nuit… dans un lac, où l’eau avait disparu. On se réveille enfin avec le soleil !!
      Nous prenons un petit déjeuner copieux, ça fait plaisir. Hier nous avons pris la décision de faire une étape courte pour récupérer, nous commençons à fatiguer. avant d’entamer les deux derniers jours avant notre première destination : Vicuña. Ce choix a été renforcé par la difficulté de trouver un logement dans la ville d’Ovalle. On pense même s’être fait arnaquer sur airbnb…

      On se met en route, pour la première fois avant 10h !! Pour une petit soixantaine de km avec aucune grosse côte au programme. Au moment du départ un groupe de chevaux passe nous faire coucou 👋. La première heure et demi se passe tranquillement, on prend notre temps. Ensuite, nous rentrons dans de grandes vignes, qui ont le sent, font la fortune des habitants de la région. Quand tout d’un coup le vent fait son apparition 😟 pleine poire.
      On a l’impression de ne quasiment plus avancer, et on remet une couche pour ne pas attraper froid.

      À midi on s’arrête à 10km de notre destination pour manger un poulet frite avec toujours en entrée une bonne salade avec tomate, betterave rouge et concombre. De plus on le paye vraiment pas cher.

      On arrive enfin à notre destination, où l’on pense dormir dans le camping municipal et enfin prendre une douche. On en rêve. Malheureusement même si tout semble ouvert on nous fait comprendre que ce n’est pas possible 😒. On force quand même pour prendre une douche.. froide, mais ce n’est pas grave elle est quand même incroyable ! Ensuite, on passe une heure à discuter et répondre à nos messages car nous avons de la connexion pour la première fois depuis 3 jours.

      Enfin, on fait les courses pour les 2 prochains jours dans le seul mini magasin du gros village, avec en prime une glace parce qu’on est des gourmands. Puis on décide de continuer la route pour prendre de l’avance sur la grosse étape de demain et de dormir au bord d’un lac. Avec de l’eau cette fois mais on remarque qu’il a l’air d’avoir considérablement diminué..
      Le vent souffle toujours fort. On s’apprête à manger des pâtes pour pédaler plus fort et plus vite demain 😉😜.
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    • Day 136

      Cerca de Punitaqui #1

      May 20, 2020 in Chile ⋅ ⛅ 18 °C

      Au programme : quarantaine en pleine campagne!
      Nous logeons chez la tía Erika, qui nous entoure d'affection et de plats typiques excellents. Nous sommes ravis de débarquer dans ce coin magnifique, une oasis de vignes, d'arbres fruitiers et de chaleur humaine au milieu de cette région semi-désertique de rochers et de cactus. On redécouvre des plaisirs interdits, comme se promener dehors sans masque ou marcher sous les étoiles. Et le travail en plein air!
      Avec les conseils avisés de Don Orlando, jardinier en chef, on donne un coup de main pour le potager, pour planter des salades, construire une barrière, déraciner des arbres pour faire de la place (pour chaque arbre arraché, il faudra en planter trois). En désherbant, on se laisse emporter par notre enthousiasme et on arrache (je précise : Jo arrache) dans la foulée la menthe et l'origan, oups... on parviendra à sauver quelques plantes en fouillant de nuit dans le compost à la lampe frontale!!
      Il faut également nourrir les poules, câliner Mono le chat siamois, rassurer la vieille Mili (un petit caniche attachant), chasser les moutons qui s'attaquent aux rosiers et les rapatrier le soir dans leur enclos. Il faut cependant ménager ces grosses boules de laine stressées qui, à la moindre menace, n'hésitent pas à se jeter au bas du muret (2 mètres de haut quand même) ou essaient d'y grimper en wall jump! Magique! Sans oublier le coq, malmené par Arak (bébé berger allemand trop enthousiaste), qu'il faut soigner et à qui on improvise un bandage de toute beauté! Il se remettra bien de sa blessure ; à ce jour, il chante à nouveau trop tôt et ses plumes repoussent.
      Au milieu de tout ça, on propose de construire un banc pour profiter de la vue. On commence par désherber le terrain, étayer le chemin, aménager un escalier puis de discussions en discussions, notre projet de petite banquette se transforme en pergola autour d'un oranger. La construction dure 3 semaines, marquée par la traditionnelle grillade de mi-travaux appelée tijerales. On est trop fiers du résultat! :D
      Erika nous apprend à cuisiner à la chilienne, churrascas (galettes) au feu de bois, pies de limón (gâteaux au citron), on presse des jus de fruits frais presque tous les jours. On savoure des soupes de poisson aux oignons, des avocats du jardin, des crèmes d'orge aux pois chiches, d'énormes morceaux de viande sur le grill. De notre côté, on tente (et réussit) un rösti et des tartes aux pommes, ainsi qu'une soupe de courge qui a un succès immédiat.
      Notre quarantaine touche à sa fin et nous préparons notre déménagement dans une petite maison de la ville d'Ovalle, toute proche. Nous avons un pincement au coeur en partant de ce petit paradis champêtre, mais on n'est pas loin, on y reviendra!
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    • Day 209

      Cerca de Ovalle #1

      August 1, 2020 in Chile ⋅ ⛅ 15 °C

      Deux mois ont passés depuis le dernier post, où l'on s'installait dans notre maison à Ovalle. Deux mois qu'il est difficile de raconter. Nous n'avons pas réellement fait des choses particulières, mais nous avons vécu des moments d'une incroyable intensité.
      Nous avons aménagé notre petite vie à Ovalle avec beaucoup de temps libre, peu de sorties, mais elles furent toutes marquantes, et surtout beaucoup de moments passés chez les gens, la famille mais aussi quelques personnes rencontrées ici, qui nous ont ouvert leurs maisons et partagé leur vie.
      La visite d'une entreprise d'empaquetage et de transport de mandarines gagne la palme de l'imprévu, où nous nous sommes retrouvés, sans trop comprendre comment, à déambuler dans les hangars réfrigérés et à boire le café avec les directeurs de l'entreprise, parlant d'exportations internationales. Nous avons attendu la suite du processus (le clou de la visite!), mais le camion de livraison n'est jamais arrivé... (Aux dernières nouvelles, le chauffeur va très bien).
      Nous avons découvert le barrage de Paloma, avec son immense étendue d'eau glacée au milieu des collines sèches envahies de cactus.
      Avec Erika, nous sommes montés à plusieurs reprises sur le cerro (colline) qui domine sa maison. Les pluies de cette année (5 jours durant l'hiver, un quasi-miracle pour cette région souffrant d'une forte sécheresse depuis 10 ans) ont transformé les terres poussiéreuses en prés verdoyants, où poussent plein de fleurs oubliées qui ont passé des années sous terre à attendre l'eau. Les añañucas rouge sang côtoient de petites fleurs blanches étoilées et les arbres épineux, aupravant secs, se couvrent de fleurs jaunes. On se promène au milieu de cactus majestueux, et le vent siffle en passant entre leurs longues épines. Nous marchons à travers un chaos de rocs qui dégringolent sous le pied, survolés par de petites buses à la recherche de lièvres. La région déploie une puissante beauté minérale et des couleurs vives très intenses. Nous rejoignons aussi le campo pour donner des coups de main, surtout pour la vigne. Nous passons de longs après-midi au soleil, à remplir et décharger la camionette, poursuivi par Arak le berger allemand, qui a une dangereuse fascination pour les roues... (et impossible de travailler avec une brouette, il l'attaque).
      Nous avons aussi eu le plaisir de découvrir la desembocadura, là où le fleuve Limarí se jette dans le Pacifique. Une petite vallée perdue avec sa route de terre battue nous amène jusqu'à une sorte de crique venteuse, la plage essaie de nous ensevelir sous des rafales de sable tandis que les vagues explosent en écume sur des rochers noirs et ciselés par le sel. Sur les hauteurs, on aperçoit les arbres du parc Fray Jorge (malheuresement fermé), un vallon particulièment nuageux et humide, où pousse une forêt luxuriante inattendue, unique dans cette région désertique.
      Sur l'une des collines pas loin, on visite une immense plantation d'avocats et on déambule entre les avocatiers qui forment des tunnels de feuilles. La récolte est pour bientôt, au mois d'août, mais on trouve encore quelques paltas oubliées de la dernière cueillette (les meilleures!), qu'on déguste le soir avec des churrascas au feu de bois.
      Au fil des jours, on trouve nos habitudes. La casa de sopaipillas y empanadas au coin de la rue, et un peu plus loin sur la gauche, El Rincón de los Postres qui prépare des gâteaux succulents.... On savoure également la nourriture excellente, les fruits qui explosent en saveurs dans la bouche, les dantesques grillades sur feu de bois, les rouges chiliens (fruités et charpentés) et le traditionnel pisco pour prolonger la nuit jusqu'à l'aube (ou jusqu'au couvre feu...).
      Si notre carnet de voyage ne se remplit plus de lieux différents, ce sont les recettes de cuisine recueillies au gré des personnes qui y trouvent maintenant une place privilégiée!
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    • Day 66

      Fray Jorge, Surfing & Playa Blanca

      December 31, 2022 in Chile ⋅ ☀️ 17 °C

      Am 30.12 ging es für Alex und mich zum Surfen. Die UV Strahlung in Chile ist so extrem, dass wir trotz mehrmaligem eincremen ständig Sonnenbrand haben.

      Heute fuhren wir erst zum Parque Nacional Fray Jorge. Ein Unesco-Biosphärenreservat an der Küste. In La Serena ist es sehr oft neblig am Meer. Deshalb konnte sich trotz der Wüstenlandschaft ein Nebelwald entwickeln mit zahlreichen Pflanzen und Tieren.
      Danach fuhren wir zum Playa Blanca (ein Tipp den ich von einem Weinbauern aus Mendoza habe😁) Eigentlich ist er nur für Gäste der Hotelanlage aber sie haben uns (wrs aus Mitleid😅) trotzdem reingelassen. Wir fühlten uns direkt in die Karibik hineinkatapultiert. Weisser Sandstrand, türkisblaues Wasser und Palmen. Das Wasser war dann leider nicht ganz so warm wie in der Karibik und die Wellen sind teilweise 2 Meter hoch. Wir wurden teilweise echt herumgewirbelt.😄

      Am Abend feierten wir mit einer Parilla (Grillabend) ins neue Jahr. Im Hotel gibt es einen kleinen Bungalow mit Küche, Grill usw. Und Martin hat die besten Rindersteaks für uns gemacht. Um Mitternacht sassen wir mit einem Glas Pisco Sour am Strand.
      Besser kann man nicht ins neue Jahr feiern🥰

      Frohes neues Jahr und auf viele tolle Momente im Jahr 2023🩷🩷
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    • Day 157

      Ovalle

      June 10, 2020 in Chile ⋅ ☀️ 21 °C

      Vu qu'on ne sait pas combien de temps cette pandémie peut durer, on décide de poser notre camp de base à Ovalle, la capitale de la Provincia del Limarí. Justement, il s'avère que le frère d'un oncle par alliance vient de déménager et que son ancienne maison est vide! Du coup, il nous l'a prêtée, aussi longtemps que nécessaire! Tout simplement! On en revient pas, de cette générosité! :) Totalement vide, la maison de 2 étages a besoin de quelques meubles. On nous prête donc plein de matériel, le lit et la table d'une cousine, les casseroles de la tía Erika, le calentacama (chauffe-lit) d'une autre tía! Ce chauffe-lit est une petite merveille parce que dans cette région désertique où il fait généralement très chaud, les maisons sont peu isolées et sans chauffage. De plus, elles sont construites pour laisser le salon à l'ombre pour profiter de la fraîcheur durant les chaudes journées d'été. Mais actuellement, l'hiver vient, avec ses journées ensoleillées mais ses nuits froides et étoilées, parfois jusqu'à 0°. Il fait probablement la même température à l'intérieur de la maison! Et parce qu'il fait plus chaud dehors, on déménage chaque jour notre petit mobilier et on vit dans notre patio! Hé oui, on a un patio! ;)
      Histoire d'employer créativement notre temps libre, on se met à bricoler quelques petits meubles avec du bois de récup'. On transforme une palette en meuble à chaussures (alors oui, une paire chacun...) et on suspend une mini-étagère au mur du salon. On construit (enfin!) le banc qui viendra orner la pergola chez la tía Erika.
      Ici à Ovalle, la situation n'est pas brillante. Les cas de Covid continuent d'augmenter doucement, il semblerait qu'il y ait un foyer actif dans la ville. Pour le moment, pas de quarantaine, mais le "Plan Ovalle" est en action, avec des contrôles renforcés dans les lieux de rassemblement (marché couvert, terminal de bus, avenue piétonne, supermarchés) et un appel à la population à ne sortir que si c'est indispensable. C'est la solution de la dernière chance, avant le confinement obligatoire. On verra dans quelques jours si ça marche!
      Au quotidien, on a pris l'habitude de porter le masque dès qu'on sort et on profite des petits commerces tout à côté, boulangerie, pâtisserie, marché de légumes. On cuisine massivement et on tente même une fondue avec un fromage local! Le résultat est merveilleux (interprétation purement émotionnel); à peine le vin blanc sur le feu que nous frappent les images du Valais!! On fait parfois les trajets entre la ville et Punitaqui pour donner un coup de main al campo, bricoler, et réparer la toiture du grand-oncle avant la pluie! Tout le monde s'y met, y compris le fameux grand-oncle (92 ans quand même) qui, à genoux sur la terrasse, redresse au marteau les clous pour les replanter! On finit à la nuit, les doigts gelés, à partager un thé brûlant et des picarones (sortes de beignets faits de farine et de courge) dans une sauce caramelisée! Un délice!!
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    • Day 50

      Am Aconcagua vorbei

      January 18, 2019 in Chile ⋅ 🌙 21 °C

      Heute morgen schon ellenlange Staus aus Santiago heraus, bevor ich rechts in Richtung der Anden abbiege. Schließlich steht der mit nicht ganz 7000 m höchste Berg ausserhalb Asiens quasi vor der Tür. Allerdings auf argentinischem, nicht chilenischem Boden. 60 km fahre ich bis zur argentinischen Grenze in etwa 3000 m Höhe. Nur der Aconcagua zeigt sich mir leider nicht.
      Hier oben sind die Temperaturen angenehm, hinunter wird es heiss und erst entlang der Küste wieder kühler. Herrliche Badestrände mit gewaltigen Wellen, die baden unmöglich machen. Und nach 250 km finde ich endlich ein Café am Straßenrand mit Erdbeertörtchen und allerlei Köstlichem, die "Süßigkeiten Fabrik". Der Tag ist gerettet.
      Nach insgesamt 11 Stunden bin ich knapp 600 km weiter und noch nicht im Hostel, als mich schon schlechte Nachrichten erreichen. Einer der vier, die ich in Valpo getroffen habe ist gestürzt und muss nach gerade mal 2 Fahrtagen die Heimreise antreten. Zwei andere, die mit mir hier angekommen sind hat der Sturm in Patagonien auf der Ruta 40 mit ihren Motorrädern einfach in den Straßengraben geblasen.
      Südamerika macht es nicht immer leicht.
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    • Day 137

      Cerca de Punitaqui #2

      May 21, 2020 in Chile ⋅ ☀️ 19 °C

      Et pour le plaisir des yeux ;)

    You might also know this place by the following names:

    Ovalle

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