Ecuador
Cumanda (Cab En Colonia Agricola Sevilla Del Oro)

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Travelers at this place
    • Day 31

      Nos potes les indigènes

      June 16, 2022 in Ecuador ⋅ ⛅ 21 °C

      Nouvelle journée pour vos pachas dans leur villa. Nouveau matin, nouveau sauna dans la chambre ensoleillée. Anais et Emma se sont lancées dans une préparation de pancakes à là bananes dont le seul ingrédient identique à celui de la recette est la banane. Comme quoi une recette ça peut être utile, il se trouve que ça n’a pas le goût escompté mais que c’est quand même très bon, vive l’innovation.

      Autre endroit à visiter, on se dirige vers la shell à quelques kilomètres de notre hôtel. C’est une petite ville à quelques kilomètres, à laquelle on tente d’accéder car on cherche désespérément des fruits. Les deux chiens de la maison nous accompagnent et nous protègent. L’un d’entre eux fait peur à tous les chiens et l’autre a peur de tous les chiens. On passe par un barrage accompagnés par un indigène qui nous aide à convaincre ses amis de nous laisser passer.

      On trouve de belles cannes à sucre qui me rappellent la Guadeloupe, des noix de coco, de l’ananas, de la pastèque et des abricots, c’est le jackpot !

      Pareil au retour, on discute un petit peu avec des manifestants très gentils et on rentre à la maison manger notre salade de pâtes puis salades de fruits. A noter qu’on a trouvé un taxi et que les chiens nous ont suivies en courant sur tout le chemin, ils sont quand même mignons.

      Ce soir, on regarde un reportage sur le petit Gregory, super ambiance dis donc !
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    • Day 32

      Linkedin de l’Amazonie

      June 17, 2022 in Ecuador ⋅ ⛅ 22 °C

      Aujourd’hui on aurait dû partir vers Quito mais l’appel de la villa à sonné, on reste 24h de plus dans notre château.

      Après un petit déjeuner ROYAL qu’il serait trop long de décrire, on entame une phase de digestion intense pendant laquelle les unes lisent et les autres dorment.
      Puis nous vient la folle idée de sortir se baigner. Mais la vie nous rattrape, nous nous rendons compte que nous avons oublié les clefs de la chambre dans la chambre, et que la chambre est fermée. Par soucis de respect du sens des responsabilités de chacune, aucun nom ne sera divulgué quant à l’auteure des actes. Malheureusement ingénieur n’est pas serrurier, et nous faisons donc appel au voisin qui passera par la fenêtre mal fermée pour nous sortir d’affaire.

      Avec Emma nous décidons d’aller marcher dans les alentours sur le seul chemin que nous n’avons pas encore emprunté. La balade est très agréable, une puis deux puis mille gouttes de pluie nous tombent dessus et nous sommes entièrement trempées. Cela dit on avait prévu de trouver un coin pour se baigner, c’est finalement la baignade qui nous a trouvées.

      S’en suivra la confection d’un gâteau avec de la farine de maïs qui était aussi bon qu’indigeste.

      Ce soir, on décide d’aller tâter les environs avant demain. On doit se rendre à Quito à pied/taxi en passant les nombreux barrages de manifestants pour que je puisse avoir mon avion jeudi prochain. On se dirige alors pleines d’entrain vers le barrage le plus proche. On s’approche, presque cent indigènes sont installés afin de lutter depuis 6 jours. Ils dorment dehors sur des draps à même le sol, sont maquillés et ont confectionné des lances impressionnantes. On s’approche et tout le monde nous regarde, 4 filles blanches on n’aurait pas pu faire moins discret. Rapidement on vient discuter avec nous, on se retrouve chacune avec une lance en main à discuter du paro, de là où vient, de ce qu’on fait ici. On leur propose de les soutenir quelques temps et on reste une heure avec eux. On discute avec des jeunes de notre âge et on essaie un instrument très particulier type cornemuse, bravo à Oriane qui a plus ou moins réussi à émettre un son. On se fait escorter jusqu’à notre hôtel par 3 jeunes qui nous ramènent très gentiment.

      On s’est fait des amis et on espère qu’ils nous laisseront passer facilement demain, car c’était juste l’entraînement.
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    • Day 96

      Arrestation du plus grand chef indigène

      June 18, 2022 in Ecuador ⋅ 🌧 19 °C

      [Emma]

      Je vais vous raconter comment je me suis faits trois cousines durant ces trois derniers jours. Initialement, je devais partir mardi 14 pour Quito afin de rejoindre mes deux españolo loco Melish et Tomish.

      Je comprends très vite que cela ne va pas forcément être possible. Effectivement, une grève nationale s’est manifestée lundi. Mais attention, on ne parle pas d’une grève de nioniotte de gilets jaunes. On nous dit que toutes les issues de la ville sont bloquées et que ceci est valable pour chaque ville de l’Equateur. On nous raconte que les peuples indigènes sont sortis de l’Amazonie pour bloquer le pays. Le coût de la vie et du carburant ne permettent plus à la population de vivre décemment. L’huile de tournesol tant idolâtrée par les équatoriens est passée de 1$ à 5$ en l’espace de quelques semaines. On parle du nouvel or jaune.

      On nous parle d’indigènes maquillés armés de lances. Je vous avoue qu’on a un peu du mal à y croire. Dans la ville de Puyo tout semble se dérouler normalement. Alors, avec Anais, on se met en quête du terminal terrestre pour voir ce qu’il en est. On s’avoue mutuellement qu’on trouve ça intéressant de pouvoir comprendre la réalité du pays et que la situation nous intrigue beaucoup. Néanmoins, Julie et Oriane ont leur vol retour dans moins de dix jours, alors, on doit revenir avec une solution.

      Aucun bus à l’horizon à notre arrivée au terminal terrestre. Un gentil policier nous explique qu’aucun bus ne circule et ne circulera dans les trois prochains jours ou plus. Rien à faire, il nous conseil de rester tranquillement ici le temps que ça se calme. Aïe c’est pas ce qui était prévu. Il nous apprend également que le chef des indigènes a été emprisonné sans motif ce jour. Les militants sont apparement très énervés.

      On rebrousse chemin et on décide avec les filles qu’on va attendre quelques jours pour voir comment la situation évolue et quelles sont les solutions qui s’offrent à nous. A savoir prendre un avion privé 250$ ou alors tenté la remonté des paros jusqu’à Quito. On réserve une chambre dans une finca. On monte dans un taxi et l’ennui c’est qu’il se pourrait que notre hostel se trouve derrière un paro. Le chauffeur accepte quand même de nous y amener.

      On passe d’abord des barrages de pierres et des bouts de routes carbonisées avant d’arriver devant le barrage d’indigènes. C’est assez intimidant. Effectivement, la plupart détiennent des lances, ils sont souvent masqués ou maquillés en noir. Je ressent un peu d’excitation mais aussi de la peur. Un attroupement se crée devant le barrage. Oriane, Anais et moi descendons du taxi pour aller voir ce qu’il s’y passe. On comprend qu’on est bien tombées et qu’à 18h, exceptionnellement, ils ouvrent le barrage pour laisser passer les travailleurs. On court chercher Julie et nos sacs.

      Je vous avoue qu’on a pas beaucoup réfléchi sur ce coup là. Je pense que dans le fond, on avait envie de voir si c’était possible de passer. La situation nous rendait curieuses. Enfin je crois que Julie aurait préféré rester dans l’ignorance.

      Voilà. On est de l’autre côté. La pression redescend et la raison refait surface. Allô Google maps. Bonjour, il vous reste 50 minutes de marche. Zuper. Nous est nos 15kg respectifs de sacs à dos nous mettons en route. On découvre alors un tout autre aspect du paro. Tous les habitants des environs se dirigent vers le paro pour appuyer les indigènes et pour festoyer. Mais les surprises ne sont pas finies puisqu’en arrivant à la finca on découvre que personne d’autres n’a pu accéder au lieu, ce qui nous laisse une immense villa pour nos quatre petits corps usés par tous ces retournements de situations.

      Durant ces quelques jours, on se reposera beaucoup, on mangera beaucoup, on spéculera beaucoup sur la suite des événements de la grève mais surtout on se liera d’amitié avec les deux chiens de la maison qui nous suivrons dans toutes nos péripéties pour rejoindre la ville. Effectivement, après avoir suivi quelques filous équatoriens, nous avons trouvé un chemin quelques peu hasardeux et boueux pour rejoindre Puyo sans barrages. L’Allé fut très facile. Le retour un peu moins. Après quelques fous rires dans la boue et on se rend vite compte que lis sommes totalement perdues. On se retrouve alors à se faire escorter par deux jeunes enfants pour cause de perte des troupes dans la nuit tombante. Pas facile de s’y retrouver dans cette forêt amazonienne.

      In fine nous prendrons la décision de la curiosité (ou de l’économie comme vous préférez): le 18 juin 2022 ce sera traversée des barrages pour les quatre sudistes. Certains nous annoncent 150 « paros » jusqu’à Quito. On part sans exclure le demi tour. Notre excuse : nous sommes quatre cousines et devons rentrer en France pour une urgence familiale. Les sud américains sont très famille. La suite dans le prochain épisode 🤡
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    • Day 30

      J’ai perdu mes tongs (et ma dignité)

      June 15, 2022 in Ecuador ⋅ ⛅ 21 °C

      On se lève tranquillement à 8h30 avec la lumière du soleil et les cigales dans notre chambre qui s’est transformée en sauna. Pas question de se lever tout de suite, on traîne traîne traîne jusqu’à se que nos estomacs nous traînent vers la cuisine.

      On se sent comme des princesses, yaourt et céréales, jus de pêche, tout qui annonce une belle journée.

      Chacune passe des appels, se prépare, et on se décide à aller explorer les alentours. Le ciel est bleu, l’herbe est verte bla bla bla…il s’agit d’un chemin piéton assez boueux mais avec des petit passages en bois fabriqués pour ne pas tomber, qui mènent à la ville sans passer par la grande route. L’avantage : on évite le barrage des manifestants.

      Bien arrivées à Puyo, on retourne au restaurant d’hier, on passe au marché où on se fait largement arnaquer (il y a clairement des prix gringo, c’est à dire des prix pour les blancs) et on finit au supermarché pour faire des courses. Il faut dire qu’on a une super cuisine qu’on veut exploiter à 100%.

      C’est là que la rigolade commence. Le taxi nous amène à l’entrée du chemin qu’on a emprunté tout à l’heure. Mais pas exactement la même entrée, mais on se dit qu’on va s’en sortir. On commence notre petite balade en sautillant sur les rondins de bois, en chantonnant et sûres de nous. On demande parfois notre chemin aux passants, on a l’air dans la bonne direction.

      Et là c’est le drame !! Pour recontextualiser je suis sortie en tongs car on avait prévu, à la base, d’aller simplement à la supérette à côté de la maison. Je suis en tête sur le chemin, et je décide de mettre mon pied gauche puis le droit sur un bout de terre qui me semble bien solide. Mauvaise pioche, je me retrouve enfoncée les deux jambes, jusqu’aux genoux dans la boue, pantalon et tongs compris. Stupéfaite, je regarde mes 3 camarades en leur disant « aidez-moi ». Tout de suite elles accourent en se retenant de rire (il faut être sincère : la situation est hilarante je me dois de l’admettre) et me tirent d’affaire, sauf que je n’ai plus mes tongs. Secouée, je prends le temps de me remettre de mes émotions mais la terre se referme vite sur mes défuntes sandales. NON ! Il reste encore 1h de marche, j’en ai besoin ! Oriane se dévoue pour m’aider à les chercher mais je passe avant elle en me disant «foutu pour foutu, je suis déjà toute pourrie ». Et hop, les deux membres supérieurs dans la gadoue, je cherche inlassablement mes tongs roses, ou du moins roses à une époque. Impossible de les trouver, je tourne en rond et m’impatiente mais elles m’encouragent (entre deux fous rires). Je me transforme en tractopelle et retire la moitié de la boue d’Equateur à la recherche de ces tongs. C’est bon !!! On dirait que j’ai des gants et des chaussettes mais non, juste de la boue.

      On a perdu beaucoup de temps et il commence a faire nuit. On demande notre chemin à une jeune fille qui missionne ses deux petits frères de nous raccompagner chez nous. On coupe à travers champs, ils connaissent tout par coeur et on se dit que sans eux on aurait tourné longtemps. On les remercie avec des poignées de bonbons et de sucettes qui ont le pouvoir d’écarquiller leurs yeux, ce qui nous donne chaud au coeur.

      Je passe plus de 30min dans la douche à me gratter après ce bain de boue à l’insu de mon plein gré.

      Vivement demain !
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    • Day 118

      Baños: Crazy Rafting auf dem Río Pastaza

      October 24, 2019 in Ecuador ⋅ ⛅ 22 °C

      Gestern ging es von Quilotoa wieder mit dem Wanderbus zum nächsten Stop: Baños. Die Stadt liegt am Fuße des aktiven Vulkans Tungurahuga (5016 m) und ist umgeben von zahlreichen Wasserfällen, Canyons, heißen Quellen und Bergen. Deshalb ist Baños als Tourismusort und Outdoor- und Extremsportarten-Mekka in ganz Südamerika bekannt. Hier kann man nahezu alles in unmittelbarer Nähe machen - Rafting, Ziplining, Canyoning, Klettern, Paragliding uvm.
      Im Wanderbus hatten wir 2 Tage zuvor Darwin kennengelernt, der eine Touragentur in Baños hat und uns in Baños empfing und zu sich ins Büro einlud, um mögliche Touren zu planen. Aus dem Planungstreffen wurde ein feuchtfröhlicher und langer Abend (dank Unterstützung eines selbstgebrannten Zuckerrohr-Schnaps) und einer super lustigen Runde bestehend aus dem Team von Darwin (Irak-Veteran und Halb-Ami-Halb Ecuadorianer), Carlos (einem Venezulaner, der lange in Holland gelebt hat) und Juan (auch aus Venezuela und russisch sprechend 🤨) sowie Daniela (Wanderbus-Guide) und einem Pärchen aus Belgien (Jana & Charles) .
      Heute morgen starteten wir folglich (mit den Belgiern und anderen) eine Raftingtour - für uns das erste Mal. Da es am Vortag und in der Nacht stark geregnet hatte, war der Flusspegel ordentlich hoch mit entsprechend hoher Fließgeschwindigkeit - oder wie es unser Guide Patrizio ausdrückte "so much water, so much fun" - laut ihm war das Wildwasserlevel 3. Nach ein paar Trockenübungen und Kommandoschulung an Land ging es in Wasser. Mit 8 Leuten und dem Guide in einem Boot, begleitet von einem Sicherheitskajak, stürzten wir uns in die Fluten des Río Pastaza, der umgeben von tropischem Regenwald irgendwann über Peru in den brasilianischen Amazonas übergeht. Was sollen wir sagen, es war der Hammer und ein Wahnsinnserlebnis! Die teils beängstigenden Stromschnellen, Wellen und Wassermassen schaukelten uns gut durch und es war nicht immer einfach sich im Boot zu halten. Der besondere Sitzplatz war vorne an der Bootsspitze, hier musste man nicht paddeln, aber man hatte schon genug damit zu kämpfen sich irgendwie festzuhalten und nicht über Board zu gehen bzw. in der Chicken-Position zu landen - jeder durfte es ausprobieren. Natalie schaffte es einmal nicht, nachdem wir mit dem Boot gegen einen Fels geknallt sind, ging sie über Board - dank schneller Hilfe des Bootteams zogen wir sie aber gleich wieder rein. Adrenalin pur. Mit mehr und mehr Erfahrung der Crew navigierte uns der Guide bewusst in die heftigsten Bereiche und der ein oder andere ging noch über Board. 😬 Nach über 1 Stunde war die wilde Flussfahrt leider vorbei. Vor allem Natalie, die langsam zum furchtlosen Adrenalinjunkie wird, wäre gern weiter gepaddelt. 😜
      Am späten Nachmittag fuhren wir noch zur Casa del Árbol, einem unterhalb des Tungurahuga-Vulkan gelegenen Garten, der durch besonders große Schaukeln über ein Tal als Touristenattraktion bekannt ist. Das Schaukeln war ganz cool, jedoch wurde uns auch hier der Blick auf den Vulkan durch dichte Wolken verwehrt. Normalerweise kann man von dort aus die recht häufigen Aktivitäten (aufsteigender Rauch, Magma) des Vulkans beobachten.
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    • Day 8

      White Water Rafting

      May 9, 2023 in Ecuador ⋅ 🌧 20 °C

      This morning we woke up early to go white water rafting. We drove out to the river which was at the edge of the Andes Mountains. We then boarded our boat and had a brief training session with our guide (who was hilarious and kept joking that this was his first time on the raft just like us)! We then set off in the water and wow what an adventure. It was one of the most fun things I have ever done. We were completely surrounded by the most beautiful view that started in the Andes and ended in the Amazon. We saw waterfalls, birds, and many more things along the way. The rapids themselves were pretty epic and we got completely soaked. We also got to jump out and swim in the water briefly then took turns pulling each other back up. There were two boats and ours was the fun boat and we were laughing and chatting and cheering the entire time. Overall it was such an epic adventure. (Note: I am waiting for the photos to be emailed to me from the tour agency so I will add them when they arrive!)

      Once we finished rafting we headed home and took the afternoon to relax. We spent lots of time on the hammocks and we went to Aromi for hot chocolate and fondue. Best hot chocolate ever. We finished the night with Arepas for dinner (I am obsessed). Overall, an amazing day.
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    • Day 52

      Rafting Ende

      October 11, 2017 in Ecuador ⋅ ⛅ 28 °C

      Nach etwa 1,5 Stunden Rafting, die mal mehr und mal weniger aufregend waren, ist unser Bus wieder in Sichtweite. Es gab einige Stellen, die wirklich Spaß gemacht haben, die meiste Zeit saßen wir allerdings im Boot und haben uns treiben lassen. Ab und zu sind wir mal ins Wasser gesprungen, haben das zweite Raftingboot mit Wasser voll gespritzt oder haben einfach nur die Landschaft genossen. Als wir am Bus ankommen ziehen wir uns wieder um und fahren dann etwa eine halbe Stunde mit dem Bus zum Mittagessen und danach eine weitere halbe Stunde bis nach Baños zurück. Dort warten wir noch eine Weile auf die CD mit den Bildern und Videos, die während der Tour gemacht wurden und kaufen dann unser Busticket nach Quito. Nachdem wir unser Gepäck im Hostal abgeholt haben kaufen wir uns noch eine frische Schokoempanada und gehen damit zum Busterminal. Schon 5 Minuten später startet unsere Reise nach Quito, von wo aus wir nächste Woche leider schon wieder zurückfliegen werden.Read more

    • Day 324

      Baños, Rafting auf Rio Pastaza

      July 11, 2018 in Ecuador ⋅ ⛅ 10 °C

      Cooles Rafting im Fluss in der Schlucht, wir fuhren erstmal mit einem Bus voll Leuten weit in Richtung Dschungel, dort zogen wir Neoprenanzüge an und übten wie wir uns im reißenden Fluss verhalten müssten.
      Im Rio Pastaza schmiss unser gut geschulter Guide alle außer mit (wegen meinem Handgelenk wurde ich geschont) über Bord in den reißenden Fluss und die Rettung wurde gut ausgeführt. Ich paddelte doch mit. Pees saß vorne mit Bo aus NY und sie paddelten hart. Teilweise waren es sehr starke Wellen und einmal fiel der hinten sitzende Guide vornüber ins Boot, weil es Kopf stand.
      Echt cool, nur leider beim Umziehen am Urwaldstrand wurde ich gestochen, die Stiche schwollen die Tage drauf extrem an und juckten. Na, ohne Repellente ist es wohl doch nicht ratsam.
      Ansonsten ist Rafting echt krass. Viel Spaß!
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    • Day 52

      Rafting, Rio Patanza

      October 11, 2017 in Ecuador ⋅ ⛅ 23 °C

      Nachdem wir heute morgen unser Zeug gepackt und gefrühstückt haben, werden wir von unserem heutigen Guide im Hostal abgeholt. Zu Fuß gehen wir mit ihm zum Tourbüro, bekommen dort einen Neoprenanzug, Wasserschuhe und einen Helm. Wir müssen noch auf ein paar Nachzügler warten und dann fahren wir mit dem Bus und insgesamt 12 Personen, 2 Guides und dem Fahrer los. Heute gehen wir raften. Die Busfahrt dauert etwa eine Stunde und wir kommen am Rio Patanza an, einem wichtigen Zufluss zum Amazonas. Alle ziehen sich um (wir sehen ziemlich beschissen aus), wir machen ein paar Trockenübungen und dann geht's auch schon los!Read more

    You might also know this place by the following names:

    Cumanda (Cab En Colonia Agricola Sevilla Del Oro)

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