India
Puducherry

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Travelers at this place
    • Day 16

      Pundicherry as in Real Marrigold Hotel

      January 21 in India ⋅ ⛅ 30 °C

      A full on day of colour, colour and more colour. I love Pundicherry. Or is it Puducherry. One is the district one is the town. So strange to see flaky croissants, macrons and street signs in French. There’s a white town, a black town and normal town whatever that means. The pink, blue and yellow buildings are French. The white buildings are Puducherry/French and the grey buildings are owned by the Ashram. A typical Tamil Nadhu house has lots of columns.

      Our guide was a lovely young man of 24. Originally from Rahastahn, he came to Pondicherry 5 years ago to learn French and be a guide. We had to persuade him to get down and dirty and take us away from the tourist trail. We saw temples and more temples. The Shiva temple was the best - very local and we watched the puja - blessing. Giggling school girls, a blushing bride and a seven year old celebrating her birthday. I even got to cuddle a baby. They bought her to the temple to taste her first real food. People are kind when you stop and engage with them. It’s been a real journey of discovery. There are professional beggars here too. Somewhat bizarre to listen to a Catholic Mass in Tamil. Loved the flower market but the grandmas in the fish market were quite fierce. I could take a photo of the fish but not of them.

      Poor Joannie got clobbered by a lump of ice from a defunct AC unit.
      Talk about Fawlty Towers! We leave tomorrow for Chettinad.
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    • Day 15

      Another Suitcase another town

      January 20 in India ⋅ 🌙 27 °C

      Another musty room. Currently high on lemongrass oil ! It takes all sorts. I have a feeling I will crash in my dinner tonight. Exhausted after stupidly early start and long drive from Chennai to Pundicherry.

      The scenery is very different here. Still tropical - flatter, open space rice fields, open water, birds, cows and rubbish. So much rubbish. Rambling shacks rub shoulders with more substantial dwellings. There is a riot of colour. The whole spectrum - pastels and patterns to saturated limes and deep teal blues. The women’s saris seem brighter here. Shocking pinks and purples
      and the bright reds and orange of the temple women. A sensory explosion.

      Stopped off at the Mahabalipuram Temples on the way. Joannie’s enthusiasm and love of temples will rub off on me over the next five days and I shall be waxing lyrical about them. Having said that, carvings are really quite spectacular.

      Pundicherry is a mix of French and Indian. Strange to see flaky croissants and macrons in the heart of India. Took a post supper walk along the beach. People watching fun. Especially at the government rally we chanced upon. Bollywood style loud music and psychedelic light show. It’s the men that shake their hips Not the done thing for women to unravel their saris!
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    • Day 44

      Puducherry, Diwali at the beach

      November 13, 2023 in India ⋅ ☁️ 30 °C

      Ich bin heute mit dem Tuc Tuc nach Puducherry gefahren. Ich wollte am Strand spazieren gehen, mein Zugticket kaufen und was Leckeres essen. Erst hörte ich wieder, Morgen fährt kein Zug, jetzt habe ich ein Ticket im Sleeper. Wieder nur Mithilfe eines Inders!
      Dafür habe ich den zweiten richtigen Kaffee in sechs Wochen bekommen! :-)
      Noch nie habe ich einen so überfüllten indischen Strand gesehen.
      Sonst waren nur Fischer oder Männer am Strand. Heute sind soviele Familien hier( Diwali). Und ich sehe zum ersten Mal Frauen im Wasser. Sie gehen einfach mit ihrem kompletten Sari ins Wasser. Eine Sekunde hatte ich auch überlegt mit Klamotten ins Meer zu laufen...
      Inderinnen ziehen niemals einen Bikini oder Badeanzug an. Es herrschte eine wirklich ausgelassene, fröhliche und herzliche Stimmung.
      Viele Frauen waren mit ihren Freundinnen am Strand. Ich vermisse euch ganz schön doll!!!!
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    • Day 5

      Pondi’ ma chérie ♥️

      January 17, 2023 in India ⋅ ☀️ 27 °C

      Les retrouvailles avec Pondichery sont intenses et sans surprise : je suis décidément totalement amoureuse de cette ville.

      La douceur et la ferveur s’entremêlent au fil des rues colorées et plus ou moins bondées.

      Un constat toutefois, White Town, l’ancien quartier français, a vu fleurir de nombreux bars et cafés branchés pour les jeunes touristes d’Inde du nord et les occidentaux. L’avantage de cela : Pondichery mesure l’importance de la préservation de l’environnement et appelle à l’éco-citoyenneté. Ce qui, pour une modeste militante comme moi, fait plaisir à voir.
      Le chemin sera long mais, au moins il est tracé !
      Le désavantage : les locations deviennent exclusivement touristiques et les prix flambent. Les Pondichériens ne peuvent plus trouver à se loger dans ce quartier.
      Pondi devient une station balnéaire où la jeunesse dorée peut venir passer des week-ends festifs et alcoolisés, l’alcool étant très peu cher dans cet état.

      Mais rien ne détrône, pour le moment, la beauté de ces rues où se perdre est un bonheur.
      Je vous emmène faire une tour de mon petit coin de paradis…?
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    • Day 21

      Pondicherry

      September 17, 2019 in India ⋅ 🌧 29 °C

      Super cool petite ville du coup on est resté un jour de plus. On a passé pas mal de temps avec Louise et Laura deux française rencontré à Old Goa puis Munnar donc elle nous ont rejoins dans notre hôtel ici à Pondi.Read more

    • Day 13

      Pondichéry

      September 13, 2022 in India ⋅ ⛅ 32 °C

      Pondichéry est une ancienne colonie française au Tamil Nadu. Celle-ci présente toujours en son front de mer un quartier français composé de maisons au style occidental disposées sur un urbanisme en grille. Ce matin, j'ai pu déjeuner "à la française" chez Bread and chocolate, un restaurant très chic où l'on trouve de véritables croissants ! Le ventre plein, je suis parti en recherche d'une plage pour nager. Un bateau permet d'accéder à Paradise Beach, une magnifique étendue de sable où j'ai pu rencontrer un couple venu de Bengalore. Ceux-ci ont fini par m'inviter à dinner. De retour à mon hôtel dans le centre ville, j'ai accompagné un groupe pour voir le lever de soleil le long de la plage. Nous avons attendu jusque 6 heures, mais malheureusement le ciel était trop nuageux que pour voir quoique ce soit.Read more

    • Day 28

      Des graines, encore des graines !

      February 9, 2023 in India ⋅ ⛅ 21 °C

      « Udavikarangal », signifie la main tendue en tamoul. C’est également le nom de l’orphelinat où nous nous sommes rendus cet après-midi.
      Une grande maison cachée derrière un grand mur d’enceinte au milieu des champs et des cocotiers, un patio et une grande cour intérieurs, des pièces de vie et des dortoirs : le lieu est spacieux et diffuse un joyeux brouhaha qui mêle rires et chants.

      Il y a 25 ans, un couple d’indiens sans enfant a souhaité se tourner vers l’adoption. Devant l’ampleur de la détresse autour d’eux, ils ont conclu qu’ils ne pouvaient pas sortir qu’un seul enfant de la rue. Ils ont donc décidé de fonder cet orphelinat afin de permettre à un maximum d’enfants de pouvoir prétendre à une éducation, et donc à un avenir.
      Sur le mur de l’établissement, il est d’ailleurs inscrit : « work hard, dream big », une phrase qui en dit long sur les valeurs inculquées à ces enfants démunis de tout, sauf de leurs rêves.

      Il y a 3 ans, nous avions déjà été accueillis par des fillettes curieuses de tout connaître de nous et qui nous avaient offert danses et chants en guise de remerciements pour notre présence. Les fillettes ont changé mais le sens de l’accueil est resté intact.

      L’orphelinat leur offre éducation et encadrement, il les accompagne jusqu’à ce que leur situation leur permette d’être autonome socialement. En dehors de l’école, il les forme aussi à des activités culturelles et sportives comme la danse, le chant, la couture, le jardinage, le yoga, les arts martiaux…

      Les années COVID ont été particulièrement difficiles pour ces structures qui ont été isolées en tout et notamment en nourriture. Autre difficulté, le gouvernement surveille de près les aides reçues par l’orphelinat et encore plus quand les fonds sont extérieurs au pays. Nous avions aidé en matériel scolaire lors de notre dernière venue, en nourriture pendant le confinement, aujourd’hui les besoins sont plutôt d’ordre structurel afin de pouvoir assurer la maintenance des lieux et ne pas laisser les bâtiments se détériorer. Maintenir un cadre de vie correct pour ces enfants est indispensable. Nous allons donc mettre en place des solutions pour pouvoir les aider régulièrement.

      Ces rencontres sont bouleversantes de partage et d’humanité. Chaque regard envoie une leçon de vie, chaque sourire est un espoir.
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    • Day 26

      Auroville : utopie ou réalité ?

      February 7, 2023 in India ⋅ 🌙 24 °C

      Aujourd’hui, nous sommes partis à une quinzaine de kilomètres de Pondichéry afin de « visiter » Auroville.

      Loin de tout ce que l’on connaît, Auroville est une cité sans argent, sans gouvernement, sans religion, qui accueille toutes les nationalités.
      Fondée en février 1968 par Mirra Alfassa, dite « la Mère », une Française de Pondichéry, Auroville se veut être une cité universelle où hommes et femmes de tous pays peuvent vivre en paix et en harmonie au-delà de toute croyance, de toute politique et de toutes nationalités.

      Initiée par Sri Aurobindo, philosophe et maître spirituel, la Mère décide de réaliser une cité prônant l'unité humaine.

      Située en plein désert, la ville se développe grâce au travail de ses résidents, une vingtaine à l’époque, venus de tous pays. Ensemble, ils plantent plus de 3 millions d’arbres afin de reforester le lieu, initialement défriché par les paysans tamouls.

      Le concept d’Auroville repose sur le fait que chaque personne qui souhaite s’installer au sein de la cité doit verser ou reverser la totalité de son argent à la communauté pour la construction des maisons, l'entretien des routes, le développement d’infrastructures...
      Toutefois, la notion de propriété individuelle n’existant pas à Auroville, tout appartient à la communauté et lorsque vous décidez de quitter la cité, vous le faites en laissant tout derrière vous.

      En un demi-siècle, cette communauté expérimentale s'est développée avec le soutien de l'Unesco et a été reconnue par le gouvernement de l’Inde comme "ville culturelle internationale". Les résidents ont réussi à transformer un désert en forêt, créé un lieu de vie (pas si) utopique sur 2 000 hectares. La cité est devenue un véritable laboratoire du vivant, pionnière en matière d'urbanisme écologique.

      L'objectif est désormais d’accueillir 50 000 habitants. Pour y parvenir, les Aurovilliens ont fait une demande d’investissement de 120 millions d’euros auprès du gouvernement indien, de manière à redynamiser une utopie endormie. Car seule une petite centaine de personnes s’installe à Auroville chaque année, en quête de spiritualité et de valeurs écologiques. Toutefois, cette cité de paix et de communauté agite bien des controverses. Taxée de sectaire, elle est visiblement également sous la coupe du gouvernement depuis que celui-ci a versé les fonds permettant la continuité des travaux initialement souhaités par la Mère et nommé une nouvelle marionnette euh…secrétaire de la fondation d’Auroville.
      Les résidents, craignent désormais qu’Auroville devienne un simple lieu de tourisme spirituel et écolo, et non plus un espace d’innovation démocratique et écologique.

      Originaires de 52 pays différents, 3 300 personnes résident à Auroville aujourd'hui, près de la moitié sont Indiens et 20 % Français.

      LE MATRIMANDIR : une vision de science fiction
      Auroville s’organise sous la forme d’une spirale, une galaxie comme le voulait la fondatrice, qui s’enroule autour du Matrimandir, (maison de la Mère), un globe d'or, de 36 m de diamètre, lieu de méditation inaccessible à toute personne extérieure sans demande préalable.

      Sa construction, entreprise en 1972, sans aucun engin de travaux, est certainement celle qui a nécessité le plus de main-d'œuvre — aurovillienne et indienne. Il n'a été terminé qu'en 2008.

      Une immense salle aux murs revêtus de marbre blanc abrite le plus gros globe de cristal au monde (70 cm de diamètre). Celui-ci est éclairé par les rayons du soleil grâce à un jeu de miroirs installé sur le toit. Conçue comme lieu destiné à la méditation, cette chambre ne renferme ni fleurs, ni encens, ni musique susceptibles d'évoquer un édifice religieux

      Contrairement à ce que pensent certains, le Matrimandir n'est pas un temple dédié à la Mère mais un lieu consacré à la Mère Universelle. Pour les Occidentaux, la raison d'un tel édifice est souvent difficile à comprendre.
      À proximité du Matrimandir est érigé une sculpture représentant un bouton de fleur de lotus renfermant une poignée de terre de 124 pays différents. Cette urne représente l'unité humaine.

      Au vu de la quantité de commerces, d’ashrams, de bâtiments possédés par Auroville dans Pondichéry, il est impossible de ne pas penser que le capitalisme a rattrapé l’utopie d’une communauté dénuée de toute possession personnelle et de tout profit.
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    • Day 22

      Dans ma rue…

      February 3, 2023 in India ⋅ ⛅ 24 °C

      Dans ma rue, il y a des êtres qui ont trouvé l’amour et d’autres qui l’attendent désespérément.

      Dans ma rue, il y a des gens qui ont faim et d’autres qui l’apaisent.

      Dans ma rue, il y a des odeurs d’égouts et des senteurs de fleurs.

      Dans ma rue, il y a des vélos silencieux et des tuk-tuks klaxonnants.

      Dans ma rue, on transporte des échelles ou des gens qui sont tout en haut.

      Dans ma rue, il y a des kollams colorés sur le pas des portes et des déchets sur les trottoirs.

      Dans ma rue, on rencontre des sourires polis et des sourires commerçants.

      Dans ma rue, les chiens dorment le jour sur un bout de trottoir et se battent la nuit pour le garder.

      « Ma » rue est un mélange de ce que l’Inde offre : un kaléidoscope en perpétuel mouvement, en équilibre précaire mais maîtrisé où chaque chose semble à sa place et où chacun semble vivre juste pour perpétuer cet équilibre du matin au soir.
      ♥️ Intiyā ♥️
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    • Day 20

      Kollywood à Pondichery

      February 1, 2023 in India ⋅ 🌧 23 °C

      De retour de Coimbatore ce matin, nous avons repris nos marques dans notre petite ville que nous adorons.

      Après une journée des plus calme, à flâner au marché puis dans les rues, j’ai assisté ce soir à mon premier film Kollywood au cinéma.

      Kollywood, contraction de Kodambakkam et de Hollywood, est le nom donné à l'industrie du cinéma indien, basée à Chennai et dont les films sont réalisés en langue tamoule. Kollywood est l’une des industries cinématographiques les plus puissantes d’Asie détrônant ainsi Bollywood, cinéma hindi de Mumbai, en termes de nombre de films et de budget alloué (260 films par an pour sept millions de spectateurs chaque jour).

      Les premiers films produits en langue tamoule datent de 1916. Le cinéma tamoul est majoritairement visionné en Asie du Sud et du Sud-Est.
      Véritable idoles, les acteurs sont également danseurs, car un film indien sans danses et chants, c’est un masala chaï sans ses épices (pour ceux qui ont suivi le précédent article !).

      Ce soir à l’affiche, Vijay, l’une des 3 stars indétrônables, a fait le show pendant 3h.
      Lorsque l’on va au cinéma en Inde, mieux vaut être équipé en boissons, nourriture, couverture et bouchons d’oreilles (la clim et le son sont démesurément forts).

      Lors des « first show », jour de sortie des films, des foules de pressent dans la salle et la séance est une fête où les gens chantent, dansent, crient et vivent le film à 1000% !
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    You might also know this place by the following names:

    Puducherry, Pondicherry, পন্ডিচেরী, Pondiĉero, Pondichéry, પૉંડિચેરી, पॉण्डिचेरी, ポンディシェリ, პონდიშერი, Пондишери, Пондішері, 本地治里, 本地治里市

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