India
Pushkar Lake

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Travelers at this place
    • Day 21

      Pushkar

      March 19 in India ⋅ ⛅ 31 °C

      Bien arrivée à pushkar. Une ville avec un lac sacré donc beaucoup de cérémonie dont certaines tonitruante.
      Ajoutons à cela l'approche de holi la fête des couleurs et du printemps, ajoutons à cela 2000 pèlerins par jour .
      Etc .. bref j'ai trouvé un hôtel confortable avec une belle chambre et une sdb presque européene .
      La vidéo est prise depuis le toit Terrasse restaurant. Au dessus duquel les singes font un sacré bazar même la nuit.
      Je m'y pose quelques jours pour récupérer et ramasser mes lombaires suite à un voyage en bus bien assez éprouvant.
      Notez que pour trois euros ,six heures de bus et trois cent km c'est pas du luxe évidemment mais ça vaut le détour. Par contre une fois mais pas deux ! Comme le bus de nuit en boîte..

      La prochaine fois je prendrai un bus haut de gamme et j'espère un jour un train mais ça.... ça demande une compréhension du système ferroviaire indien non en core acquise par mon belge cerveau.
      De pushkar ci dessous j'ai bien peu d'images. C'est blindé de marchands et d'humains en pèlerinage autant dire que même si j'observe beaucoup je ne vais pas prendre en photo des magasins échoppes et gens en prière ou ablutions...
      Prochaine étape Jaipur le 23. Capitale de l'état du Rajasthan il paraît qu'il faut préparer son esprit au tumulte permanent car c'est une grosse ville. Donc je me prépare et je fais mes petites lessives en admirant le lac ...ya pire !
      A bientôt 😌✋🌅
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    • Day 13

      Happy Diwali ! Happy Bday ! Bhang bhang!

      October 24, 2022 in India ⋅ 🌙 20 °C

      (Récit rédigé le 25 octobre, 17h30, lecteur pardonne ma plume un peu fatiguée)

      Dans mon précédent chapitre, je partageais mon ennui pour cette ville, frustrante car beaucoup trop surfaite.

      Pourtant lorsque l’on gratte sous les dorures toc, on y trouve d’autres formes de trésors. La vie renaît lorsque les échoppes baissent leurs rideaux d’acier.

      Dans un premier temps, je souhaite recontextualiser Diwali :

      🪔🪔 Diwali est une fête particulière, fête familiale par excellence, célébration du retour au pays de Rāma, avatar de Vishnou, suite à sa victoire sur le démon Ravana. Rāma retournant en sa ville d’Ayodhya, les habitants ont alors éclairé sa route en déposant au pas de leur porte des petites lampes de terre remplies de ghee ou d’huile. Diwali signifiant « les rangées de lumières ».

      Ce festival est similaire à la fête de Noël, une fête qui célèbre la fin des beaux jours et l’arrivée de l’hiver. Il faut imaginer les trois premiers jours de Diwali comme un long réveillon, trouvant son paroxysme le soir du troisième jour. C’est au troisième jour qu’a lieu la commémoration de la déesse Lakshmi : Les habitants réunis en famille, habillés de vêtements neufs, festoient, s’offrent friandises, rient et sortent à la nuit tombée prier la déesse et allumer encore plus de lampes.
      C’est aussi l’occasion après la prière du soir d’allumer pétards, feux d’artifices, et faire résonner la fête dans le pays entier 🪔🪔

      Cette année Diwali a commencé le samedi 22 octobre : Dhanteras, et se terminera le 26 Octobre : Le Bhai Dooj, jours dédié aux frères et soeurs.

      Le paroxisme : Diwali, Lakshmi Puja , est le 24 octobre, jour d’anniversaire de Gael. Quel symbole et quelle occasion de doublement fêter cette journée !

      Après deux journées à prendre notre ennui pour du repos et tâcher de garder le moral en relativisant le manque de scènes photographiques, aujourd’hui est un jour spécial.
      Nous avons arpenté les rues, profitant d’un passage chez un bijoutier pour sceller ce double événement dans des anneaux d’argents typiquement rajasthani. Nous avons ainsi pris le chemin autour de 17h pour le sunset point afin d’observer le coucher du soleil sur le lac.

      Le soleil descendant révèle les centaines de lampes déposées aux bords du lac par les fidèles. Les pétards retentissent partout, on parle parfois de véritables mortiers. Les fusées éclatent à chaque endroit où le regard se pose, les badauds profitent du spectacle, des gamins gypsies allument leurs feux de bengale et jouent avec la foule, le sourire aux lèvres entre deux tours de manches. Les tambours accompagnent les hippies-danseurs et vénérateurs du soleil, Gael et moi capturons notre panorama, j’ai la ville au couché du soleil, Gael réalise celui de la ville, entrée dans la nuit, à la lueur des éclairages urbains et parsemée des petites lampes de terre. Une vision magique, inoubliable.

      Nous avons décidé d’aller dîner avant de déambuler dans les rues. Nous trouvons un charmant petit resto au jardin ombragé, complètement vide, la foule étant ailleurs : les indiens sont en famille, les touristes à sunset-point à faire du cerceau ou à regarder les autres touristes faire du cerceau.
      Nous, nous trinquons et célébrons un anniversaire bien particulier. « Une bière chef ! », puis deux ! C’est pas le tout de se nourrir liquide mais j’ai tout de même voulu assurer mes arrières en commandant une pizza 4 fromages (sacrilège en Inde, me diras-tu Lecteur, mais qu’est ce qu’elle était bonne putain !) Le ventre plein, nous changeons d’adresse pour nous rendre de l’autre côté du lac, au « Energy Café », repaire des teuffeurs de tout horizon, dont la terrasse sur le toit fait face aux ghâts et au lac et n’a pas de vue pour autant sur ces derniers mais plutôt sur l’énorme temple adjacent. La musique est new-age, électro, le serveur semble ne pas avoir bu que du café. « Une bière chef ! » puis deux, puis trois.
      Les pétards dans les rues se font de plus en plus intenses en cette nuit maintenant bien tombée. Les explosions font parfois trembler les murs. Nous sommes totalement hallucinés par cette ambiance de joyeuse fin du monde. Notre cerveau a du mal à discerner des bruits de guerre, avec la beauté des étincelles, la joie et la facétie des lanceurs et lanceuses de tous âges.
      Enfin, pour finaliser notre double-célébration, nous nous laissons tenter par le fameux « Special Lassi » : « un normal pour Gael, un doux pour moi », chochotte que je suis et qui ai arrêté le pétard il y a 8 ans.

      Nos lassis sont arrivés, la boisson à base de lait fermenté au goût vanille et au chocolat, aggrémenté de grenades, effectivement le miens était moins vert que celui de Gael, nous le sirotons doucement, doucement…dou-ce-ment.

      Mes yeux se plissent onctueusement, prenant l’allure de deux fentes, ma vue est brouillée, les pétards sont assourdissants, les plus grosses explosions me soufflent les tympans, la musique se fait cotonneuse, l’accouphène bien présente . Le rire est irrépressible. J’ai l’impression de ne plus rien comprendre et pour autant de penser comme jamais. Gael et moi, assis sur nos banquettes au sol, roulons de rire rien qu’en se regardant, chacun étant le miroir de l’autre.

      Il est 23h00 lorsque notre serveur nous informe que nous sommes invités à déguster « le shooter de l’amitié » avec deux autres convives (l’un deux est le dévot-hurleur croisé au temple sur la coline de la vieille). Nous remontons tant bien que mal les quinze marches qui nous séparent de la terrasse sur le toit. Je tente de reprendre mon sérieux. La mixture produit son effet, assis sur ma chaise, face aux deux types dont les sourires immenses révèlent des dents blanches et jaunes brillantes : une brillance presque agressive. Féline. Les deux shooters au mélange inconnu nous attendent sur la table. L’un des convives nous questionne sur la validité de notre passeport, de nos visas, entre deux verres de whisky ; il nous informe « posséder l’ensemble du marché de Pushkar », une scène presque sortie d’un Parrain à l’Indienne. Ce vieux mec à l’allure de gangster me semble un peu trop faire d’allusion à l’argent et au fait qu’à Diwali l’argent n’existe plus. Le type nous invite à boire nos shooters. Gael s’exécute et englouti la moitié du sien, moi je prétexte une trop forte ivresse et l’assurance d’une bonne gerbe sur la table si je devais m’exécuter.
      En réalité je me battais contre moi-même, cette ivresse et cette défonce, pour tenter de rester à l’affût. Car ce moment me mettais profondément mal à l’aise. J’ai lu quantité de récits concernant des touristes qui se sont fait offrir à boire en Inde pour se réveiller délestés de leur passeport ou au compte bancaire vidé à leur réveil.

      Une demi-heure in-ter-mi-nable, toujours face à ces deux grands sourires flippants. Je donne un coup de coude et susurre à Gael : « ça pue le traquenard, on fini notre clope et on se tire ». Gael acquiesce, aussi mal à l’aise que moi.

      S’agissait-il d’une parano propre au bhang circulant dans mon cerveau ? Peut-être, mais on est jamais trop prudent. Nous nous sommes acquittés de l’addition pour ensuite rejoindre notre Guesthouse à deux rues de là.

      La descente de escalier, si étroit, aux marches recouvertes de fausse pelouse est infinie, déclenchant un nouveau fou-rire à se décrocher l’estomac. Nous atteignons enfin le rez-de-chaussée et sortons…pour nous retrouver en plein coeur d’une guerrilla urbaine. Une guerre du feu d’artifice. Bon enfant mais non-moins impressionnante et dangereuse au possible.

      Deux groupes de jeunes du quartier se faisant face, chacun à un angle de la petite place acceuillant les marchands de fleurs l’après-midi. L’affrontement consiste à se tirer à la tronche des fusées, à essayer de faire une démonstration de force. Un bras de fer qui nous a scotché de longues minutes. Nous nous éloignons enfin pour nous rediriger dans la rue de Kanhaia Haveli, cette fois les deux groupes de jeunes ont fait place à deux familles voisines, rivalisant sur ce morceau de rue, chacun faisant exploser feux, pétards, fontaines, spirale d’étincelles. Une mère ici allume nonchalement, le bébé dans les bras, son feu de bengale. Ils jettent des pétards, les motos continuent de circuler, les explosifs de couleurs manquant de peu de peter aux pieds des badauds et des conducteurs qui zigzaguent entre les mines colorées en passe de détoner.

      Quel bordel mais quel bordel ! Ca pète de partout, devant nous, derrière nous, au plus prêt, au plus loins. Et tout le monde continue, les vaches poursuivent leurs déambulations, rasant les murs et les grilles métalliques des étals fermés , le ciel est blanc gris, la lumière réverbère sur la fumée de ces milliers d’explosifs. Nous sommes littéralement sous cloche.

      Gael et moi, en pleine montée ne croyons pas à ce dont nous assistons.

      Nous filmons, je glousse de rire, Gael trébuche dans la fosse d’égout en reculant. Je ris de plus belle.
      Mon ivresse-joyeuse fait place à l’angoisse, mon trip prend une tournure que je connais que trop bien ; la peur de rester coincé dans cet état, les explosions soulevant le coeur, la peur de devenir sourd, la peur de mourir. Nous remontons à notre chambre. Gael est frustré de rentrer trop tôt à son goût, mais je le voulais prêt de moi pour me gérer, me sentant en train de glisser dans le bad. Ma gorge s’est desséchée. Nous n’avions évidemment plus d’eau. Gael souhaitait regarder le spectacle depuis le balcon, moi dans ma parano, je l’imaginais tomber par dessus cette rambarde bien basse à hauteur de nos cuisses. Après tout je ne suis pas le seul sans entière possession de mes moyens, Gael est d’ailleurs aussi maladroit que moi.
      Nous avons fini par nous coucher, Gael me rassurant autant que possible, moi complètement incapable de dormir, mon cerveau turbinant, obnubilé par ma soif et cette bouche pateuse, sableuse même.

      Et pourtant, je me suis endormi. Pour me réveiller ce matin, dans le coton, l’ouïe retrouvée et fatigué de tous ces événements.

      Une soirée extraordinaire, encore une fois, je serai passé par tous les états possibles. Mais nous pourrons dire avec fierté que nous aurons pris part à un Diwali unique et spectaculaire, je pense également que cet anniversaire, au coeur de l’Inde, saura rester gravé dans la tête et le coeur de ma moitié.

      En tout cas, je ne regrette pas d’avoir pris ce bhang lassi, il faut le faire et le vivre au moins une fois dans sa vie. Il m’aura permis de vivre cette nuit en adéquation totale avec celui qui partage ma vie.
      Mais maintenant que son anniversaire est passé : mission accomplie. Mais on ne m’y reprendra plus, ça y est : J’ai eu ma dose.

      Joyeux anniversaire encore Doudouney 🪔🙏🏻🥰
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    • Day 38

      Wir erkunden Pushkar

      October 20, 2022 in India ⋅ ☀️ 30 °C

      Brahma, ist neben Vishnu und Shiva einer der drei wichtigen Hindu-Göttern. Obwohl Brahma der Schöpfer des Universums ist, steht der einzige Tempel der Brahma geweiht ist in Pushkar. Dieser Ort ist daher für Hindus heilig und eine Pilgerstätte.

      Nach der Überlieferung wurde Pushkar geboren, als der Schöpfergott Brahma eine Lotusblüte (pushpa), die er in seinen Händen (kar) hielt, fallen ließ. An den drei Stellen, wo die Lotusblätter zu Boden fielen, entsprang wundersamerweise mitten in der Wüste Wasser, das drei kleine blaue Seen bildete. Der Legende nach hat Brahma außerdem das wunderschöne einheimische Mädchen Gayatri geheiratet, da er eine Gehmahlin zur Vollendung eines Rituals benötigte und seine erste Frau Savitri unzulänglich war. Als Savitri davon erfuhr, eilte sie nach Pushkar und verfluchte Brahma, dass er nirgendwo sonst verehrt und Pushkar der einzige Ort sein würde, an dem es einen ihm gewidmeten Tempel geben würde.
      Heute liegen an den gegenüberliegenden Enden von Pushkar zwei Hügel mit jeweils einem Tempel. Der höhere ist Savitri gewidmet - hier waren wir für den Sonnenaufgang, während der kleinere Gayatri gewidmet ist.

      Diese und andere spannende Hintergrundgeschichten zu Pushkar, dem Hinduismus und der indischen Kultur im allgemeinen lernen wir von unserem Guide Manish (@ThePushkarRoute) bei einer empfehlenswerten Stadtführung kennen.
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    • Day 13

      פושקר - סיור בשוק

      October 10, 2022 in India ⋅ ⛅ 23 °C

      אחרי ארוחת בוקר במלון (Brahma Horizon Hotel), שהיתה מאד טובה הלכנו רגלית לכיוון השוק.

      עברנו דרך מקדש סיקי ומקדש הינדי. בשניהם הצילום היה אסור, אז דילגנו עליהם.

      השוק הוא שוק רגיל שמוכרים בו כל מה שתייר מחפש, החל מאוכל ישראלי , דרך פריטי לבוש, צמידים ותכשיטים וכלה בדוכני שתיה טבעית.
      בשוק יש הרגשה טובה ונעימה. המוכרים לא מנסים לשכנע אותך לבוא אליך.
      חווית הקנייה היא ממש טובה וקנינו שם פריטים רבים - היו גם כאלה שקנינו לפי דרישה מהבית. בתמונות ניתן לראות תמונות של מוכרים שקנינתי מהם גם בטיול הקודם (לפני כ-3 שנים).

      שתיתי מיץ מקל מתוק (בסרטון ניתן לראות איך מכינים).

      בתחילת השוק (כשמגיעים מהאיזור הישראלי) יושבת אישה עם שני בנות (כנראה הבנות שלה) ומוכרת תכשיטים.
      התכשיטים לא יפים ואין לה מבחר גדול - אבל האישה והבנות נראות וואו.
      האישה לא מוכנה שיצלמו אותה אלא אם כן תקנו משהו.

      את ארוחת הצהריים אכלנו במסעדת Mali Thali שהישיבה היא על מזרונים.
      הרבה חבר'ה ישראלים ואפילו הביאו לנו תפריט בעברית.

      עדכון: עקב בעייה של העלאת קבצים גדולים - הסרטון יעלה בהמשך.
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    • Day 51

      Pushkar lake and Indian Wedding!

      February 25, 2020 in India ⋅ ☀️ 26 °C

      Tom has said that he woke up at 8am, and I was still asleep...the bed was so comfy and warm that he decided to try and get some more sleep as Wed been going non stop for weeks and needed to reset! He woke back up at 9 and I still wasn’t awake, this is how Tom knew I was ill...as I was always awake before him! I eventually surfaced just after 11 and found Tom chilling on the rooftop. He recommended that we go out and get some watermelon, apparently a good snack if you have diarrhoea...? So we did just that, on our way into town an old hippie Indian guy who was chilling out at the blue temple where the hippie men hung out offered Tom a drag of his joint...we didn’t have a clue what he was smoking, but certainly didn’t want to try it! We got into town and paid 100 rupees for a full watermelon, we found a spot around the lake where we weren’t being pestered by the scammer trying to “gift” us with a flower and a blessing and then demand money from us...nor were we being shouted at for carrying our shoes and we ate the entire watermelon!

      We then walked around the lake anti-clockwise, past numerous people bathing in the holy lake and were constantly being hassled for carrying our shoes. We chilled out at our favourite spot, just outside one of the Ghats on the steps and took in the surroundings whilst talking about random things including the purposes of fizzy water...why would you drink fizzy water!? We were obviously going crazy or running out of things to talk about. We made our way back to the hostel for some more chill out time before we made our way to the sunset viewpoint. We had agreed that we would meet the German guy (from Konstanz) from our hostel, Joel at the top of the viewpoint as he was going to get food first. We made our way up the tracks, walking past a woman who was suspiciously cleaning something up on one of the rocks...we come to the conclusion she had taken a shit at the side of the tracks and was now desperately trying to clean it up.

      We continued and before long we got to the top of the viewpoint, which was a temple and of course you weren’t allowed shoes inside...however it looked like an awful temple it was really the view you come here for...we decided to keep our shoes on and just perch on a nearby rock to enjoy the sunset. We were joined by Joel, we chatted and enjoyed a nice sunset. Before it got dark we made our way into the town where George and I grabbed a famous Pushkar falafel from lafa falafel, the spot in Pushkar where 3 falafel stores sit adjacent to one another and customers enjoy their food on-street-seating. It was pretty good, nothing on the ones we had in the Philippines though! We thought we’d make our way back to the hostel for a chilled night.....

      Upon arriving back at the hostel the guy behind the check-in desk said to Joel he had good and bad news. The bad news was that his washing wasn’t going to be done in time for his checkout because the man who does the laundry is getting married today. However the good news was that by means of an apology he was invited to his wedding. Seems like a pretty good apology to us! He proceeded to say the three of us were invited and even showed us the very official invitation card he had received. Tom was 100% up for it as he’s always wanted to attend an Indian wedding and even more so here in India. It took some convincing for me to be up for it with my current stomach situation but eventually I agreed to join.

      We changed into some jeans, still with my scruffy jumper on and got into the party TukTuk that was waiting for us outside the hostel. The wedding was in Ajmer, the town that we arrived into on the train and the “15 minute drive” turned into a 45 minute drive, hanging onto the back of the TukTuk as the driver (who was high) drove far too quickly, meandering through traffic and not slowing down for speed bumps. However, we got to talk to the guys who were working at the hostel, Amit and Micky and they were both really nice guys! Eventually we arrived at the venue, after checking it was the right wedding as so many weddings were taking place today. The entrance was very grand and I could feel 1,000 eyes looking at us as we entered the venue. However, everyone was warm and welcoming to us. Handshake and handshake and selfie after selfie we made our way round the wedding, enjoying the fantastic food that was on offer. I had a paneer curry, vegetable kofta curry, biriyani with freshly made chipatis and naan breads. As I was eating the delicious food, taking in my surroundings it hit me that it was a much more sophisticated than I was expecting. People were stood around chatting and enjoying their food, it felt more like a get together, not a wedding. After finishing the food I dumped my plate into one of the many huge buckets that had been put out to collect cutlery and we made our way over to meet the bride and the groom. I had spoken to Micky on the way and he told me that this was an arranged marriage by their parents, who also paid for this occasion...on average about 1 million Indian rupees, or £10,000 for a wedding of this scale. We waited in a queue to meet the bride and groom, got a picture with them, said our congratulations, got a sweet as hell coffee (Tom got 3 for him and had mine too!) and were back in the TukTuk on our way back to the hostel. The journey back was equally rough but we got back at around 11:30, where we made my way straight to bed having ticked off one more thing from the bucket list.
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    • Day 25

      Heiliges Ritual

      October 25, 2023 in India ⋅ ☀️ 31 °C

      Ich bin an den heiligen Stufen( Ghates) vorbeigeschlendert, und wurde gefragt,
      ob ich ein heiliges Ritual machen wolle.
      Dafür bin ich ja immer aufgeschlossen.
      Ich bekam Rosenblüten, Farbe und Reis.
      Wir gingen zum See.
      Ich sollte ihm nachsprechen. Ein Mantra, dann hat er auf Englisch gesprochen.
      Mir liefen sofort die Tränen, als ich die Namen meiner Eltern nennen sollte.
      Ich habe für meine Eltern, für Nikolai und meine engsten Freunde gebetet. Viele Inderinnen schauten mich an, wahrscheinlich was macht diese blonde Frau da...warum weint sie bei einer Segnung??
      Zum Schluss hat er mich gesegnet, meine Reise, mein Leben und mir mit einem Mantra den rot/gelben Faden umgewickelt.
      Ich durfte den Reis, Blumenblätter und Farbe zwischen die halbnackten indischen Frauen werfen. Mit der restlichen Farbe hat er mir ein Punkt auf die Stirn gemalt. Heute ist ein grosses Krishna Fest ..
      Aufeinmal wollte er ganz schön viele Rupies von mir haben....ich musste mich erstmal bei einem Pfannkuchen mit Obst und Honig beruhigen.
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    • Day 27

      Krishna Festival

      October 27, 2023 in India ⋅ ☁️ 23 °C

      Am Abend wurde gefeiert. Überall um den See herum brannten Kerzen, wurde gesungen und getrommelt. Gegen 22 Uhr konnte ich ein Feuerwerk beobachten.
      Danach ging es erst richtig los. Genau unter meinem Hotelzimmer wurde bis 2 Uhr morgens getrommelt und gesungen.
      Ohne Unterbrechung, somit bin ich erst um 2 eingeschlafen. Um 5 Uhr begann alles von vorne. Ich habe jetzt 3 Stunden geschlafen und fühle mich wie zerschlagen. Das war wie eine Überdosis Hinduismus
      Gestern abend wollte ich ein kleines kühles Kingfisher Bier trinken...keine Chance.
      In ganz Pushkar und im Umkreis von 5 Kilometern wird kein Alkohol verkauft, auch nicht in irgendwelchen Hinterzimmern.
      Erst dachte ich, oh schade, dann habe ich innerlich meinen Kopf davor verneigt und war zutiefst beeindruckt. Hier brauchen die Menschen keinen Alkohol, sie glauben, beten, finden Halt in ihrer Gemeinschaft und ihren Familien.
      Kein Kind, kein Jugendlicher wird hier jemals sehen müssen, wie ein Elternteil in die Alkoholsucht abstürzt.!!!

      Ich habe dann einen grossen Chai getrunken, dass wärmt von innen!
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    • Day 28

      Gefällt mir??

      October 28, 2023 in India ⋅ ☁️ 25 °C

      Ich habe heute ein kleines Tief.
      Nach fast einem Monat Indien, bin ich erschöpft, voll oder leer im Kopf,
      müde ...
      Ich denke, dass es mir ein wenig helfen würde, wenn die, die zwar meinen Blog konsumieren, aber nie ein" Gefällt mir" dalassen, mal ein Click dalassen.
      Ich sehe nicht, wer sich meine Seiten anschaut, nur wenn ihr auf Gefällt mir clickt.
      Ich kann euch sagen, es kostet eine ganze Menge an Mut, Energie, Toleranz und Aufgeschlossenheit durch dieses Land, alleine als Frau zu reisen.
      Ich möchte euch Indien mit meinen Augen zeigen, wie vielfältig, bunt, wunderbar dieses Land ist. Dieses Land berührt mein Herz,
      Es ist wie Sahne mit Zimt und Honig!

      Wenn euch mein Blog nicht gefällt, dann schaut bitte nicht weiter....
      An manchen Abenden habe ich keine Energie mehr zu schreiben, tue es aber, da ich möchte, das ihr Indien sehen und fühlen könnt!
      Wenn ich alleine durch Indien reise, könnt ihr doch wohl einmal auf diesen Button drücken, oder?
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    • Day 505

      Pushkar

      November 23, 2023 in India ⋅ 🌙 18 °C

      In Pushkar findet einmal im Jahr der größte Kamelmarkt Indiens statt. Pushkar liegt zwar auf meiner geplanten Route durch Rajachstan, aber bis ich mit dem Fahrrad mal dort bin, ist der Markt längst vorbei.
      Gemeinsam mit Elmar fahren wir mit dem Motorrad 5 Stunden lang durch Rajachstan in die etwa 250 Kilometer entfernte Stadt.
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    • Day 520

      Pushkar

      December 8, 2023 in India ⋅ 🌙 18 °C

      Bis es endlich mal Frühstück in der Unterkunft gibt, hat der Tag schon längst begonnen. Meine Route geht heute abseits der großen Straßen. Es ist viel kürzer. Aber was ich dort abspielt, ist unglaublich. Überall verdreckt und voll mit Müll.
      In Pushkar gehe ich wieder ins gleiche Hotel, in dem ich schon mit Elmar war. Nach Ende des Kamelfestivals kostet es nur mehr ein Drittel, von dem was wir bezahlt haben.
      Nach zwei Wochen gibt es auch endlich mal wieder eine warme Dusche. Das war für mich ein entscheidender Aspekt bei der Wahl meiner Unterkunft.
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    You might also know this place by the following names:

    Pushkar Lake

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