India
Union Territory of Puducherry

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Top 10 Travel Destinations Union Territory of Puducherry
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Travelers at this place
    • Day 25

      Planter une graine…

      February 6, 2023 in India

      Ce soir nous nous sommes rendus dans un orphelinat qui recueille essentiellement des enfants issus de la communauté Gipsy, c’est à dire nomade. Ces populations vivent au rythme des besoins de leurs troupeaux et sont sans cesse sur les chemins pour mener leurs bêtes vers des pâturages. Malheureusement, nombre d’entre eux ne peuvent subvenir aux besoins de leurs enfants.
      Il y a 30 ans, un homme et une femme incroyables, anciens gipsies eux aussi, ont monté cet orphelinat pour accueillir les enfants de leur communauté et les aider à accéder aux études.

      Lors du confinement, nous étions venus en aide à ces personnes dévouées en participant financièrement à l’amélioration de leur lieu de vie en bétonnant notamment les allées qui n’étaient jusqu’alors que boue et cailloux.
      Malheureusement, le fondateur de l’orphelinat a été emporté par le Covid mais sa femme a continué le combat, accompagnées de ses 2 filles, pour perpétuer la vie des 2 centres qu’elle avait fondés avec son époux : l’un pour les filles à Pondichéry, l’autre pour les garçons à Bangalore.

      À notre arrivée sur place, des petits yeux noirs perçants nous observent timidement. Qu’elles soient très jeunes enfants ou presque adolescentes, leur regard en dit long sur la résilience qu’elles ont déjà mise en place. La semaine dernière, 2 sœurs âgées de 3 et 4 ans ont été déposées par leur grand-père. Celui-ci est parti sans se retourner afin d’éviter que les 2 enfants en larmes ne voient son visage dévasté. Aujourd’hui, nous les avons vues rire et courir, et nous ne pouvons qu’admirer l’espoir que les fondateurs de l’orphelinat ont placé dans leur cœur… et dans leur vie.

      Nous allons nous mobiliser pour les aider à remplacer fenêtres et moustiquaires cassées, notre graine à nous c’est de leur permettre de grandir dans des conditions décentes pour qu’elles ne soient plus attachées à « subir » le chemin de leurs parents. L’espoir, c’est de pouvoir leur permettre d’aller à l’école et de sortir de cette condition précaire.

      Les 30 millions d’orphelins que compte l’Inde n’ont pas tous la même chance et nombre d’entre eux (on les estime à 50 000 chaque année) sont enlevés et intégrés à des trafics d’enfants, de prostitution, de travail forcé…
      Jeudi nous irons rendre visite à d’autres orphelins, ceux que nous avions rencontrés il y a 3 ans… la suite bientôt !

      Pour le plaisir des yeux et des oreilles grâce au talent d’écriture de mon ami, voici le film que j’avais monté avec nos images d’il y a 3 ans pour sensibiliser, mobiliser et venir en aide aux orphelins :
      https://www.instagram.com/tv/CGVGPuFIC6n/?igshi…

      LE SAVIEZ-VOUS ?
      « Rom » est un terme générique qualifiant une population originaire du nord de l’Inde, précisément de la ville de Kanauj, détruite en 1018 par un Empereur d’origine turc.
      Les « Roms » fuient l’envahisseur et prennent la route pour une vie d’errance.
      Le mot « Rom » viendrait du dieu « Rama », l’un des avatars de Vishnou.
      Les Roms parlent le romani, une langue indo-aryenne.
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    • Day 4

      Happy Pongal ! 🥳🇮🇳🌾

      January 16, 2023 in India ⋅ ☀️ 27 °C

      En immersion totale dans une famille à l’occasion de Pongal, je mesure la chance de cette proximité dans un moment aussi spirituel.

      Lors de Pongal, on se déleste de son ancienne vie pour en accueillir une nouvelle : renaître sous le signe du bonheur. Pour cela, on fait bouillir la première récolte de riz dans du lait et de l’eau, lorsqu’il arrive à ébullition, il déborde du pot en terre et annonce l’opulence à venir. S’élève alors une liesse collective et joyeuse : « Pongalo Pongal ! ».

      Pongal est aussi l’occasion de célébrer l’animal sacré, la vache, en l’ornant de fleurs et de ballons. Ce sont elles qui dégustent en premier le Pongal agrémenté de sucre et servi dans des feuilles de bananier.

      Une journée où la générosité a pris toute la place, l’envie et la fierté de partager les coutumes pour les uns, le bonheur d’accueillir et d’être accueilli pour les autres : une journée en Inde, une journée parfaite.
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    • Day 26

      Auroville : utopie ou réalité ?

      February 7, 2023 in India ⋅ 🌙 24 °C

      Aujourd’hui, nous sommes partis à une quinzaine de kilomètres de Pondichéry afin de « visiter » Auroville.

      Loin de tout ce que l’on connaît, Auroville est une cité sans argent, sans gouvernement, sans religion, qui accueille toutes les nationalités.
      Fondée en février 1968 par Mirra Alfassa, dite « la Mère », une Française de Pondichéry, Auroville se veut être une cité universelle où hommes et femmes de tous pays peuvent vivre en paix et en harmonie au-delà de toute croyance, de toute politique et de toutes nationalités.

      Initiée par Sri Aurobindo, philosophe et maître spirituel, la Mère décide de réaliser une cité prônant l'unité humaine.

      Située en plein désert, la ville se développe grâce au travail de ses résidents, une vingtaine à l’époque, venus de tous pays. Ensemble, ils plantent plus de 3 millions d’arbres afin de reforester le lieu, initialement défriché par les paysans tamouls.

      Le concept d’Auroville repose sur le fait que chaque personne qui souhaite s’installer au sein de la cité doit verser ou reverser la totalité de son argent à la communauté pour la construction des maisons, l'entretien des routes, le développement d’infrastructures...
      Toutefois, la notion de propriété individuelle n’existant pas à Auroville, tout appartient à la communauté et lorsque vous décidez de quitter la cité, vous le faites en laissant tout derrière vous.

      En un demi-siècle, cette communauté expérimentale s'est développée avec le soutien de l'Unesco et a été reconnue par le gouvernement de l’Inde comme "ville culturelle internationale". Les résidents ont réussi à transformer un désert en forêt, créé un lieu de vie (pas si) utopique sur 2 000 hectares. La cité est devenue un véritable laboratoire du vivant, pionnière en matière d'urbanisme écologique.

      L'objectif est désormais d’accueillir 50 000 habitants. Pour y parvenir, les Aurovilliens ont fait une demande d’investissement de 120 millions d’euros auprès du gouvernement indien, de manière à redynamiser une utopie endormie. Car seule une petite centaine de personnes s’installe à Auroville chaque année, en quête de spiritualité et de valeurs écologiques. Toutefois, cette cité de paix et de communauté agite bien des controverses. Taxée de sectaire, elle est visiblement également sous la coupe du gouvernement depuis que celui-ci a versé les fonds permettant la continuité des travaux initialement souhaités par la Mère et nommé une nouvelle marionnette euh…secrétaire de la fondation d’Auroville.
      Les résidents, craignent désormais qu’Auroville devienne un simple lieu de tourisme spirituel et écolo, et non plus un espace d’innovation démocratique et écologique.

      Originaires de 52 pays différents, 3 300 personnes résident à Auroville aujourd'hui, près de la moitié sont Indiens et 20 % Français.

      LE MATRIMANDIR : une vision de science fiction
      Auroville s’organise sous la forme d’une spirale, une galaxie comme le voulait la fondatrice, qui s’enroule autour du Matrimandir, (maison de la Mère), un globe d'or, de 36 m de diamètre, lieu de méditation inaccessible à toute personne extérieure sans demande préalable.

      Sa construction, entreprise en 1972, sans aucun engin de travaux, est certainement celle qui a nécessité le plus de main-d'œuvre — aurovillienne et indienne. Il n'a été terminé qu'en 2008.

      Une immense salle aux murs revêtus de marbre blanc abrite le plus gros globe de cristal au monde (70 cm de diamètre). Celui-ci est éclairé par les rayons du soleil grâce à un jeu de miroirs installé sur le toit. Conçue comme lieu destiné à la méditation, cette chambre ne renferme ni fleurs, ni encens, ni musique susceptibles d'évoquer un édifice religieux

      Contrairement à ce que pensent certains, le Matrimandir n'est pas un temple dédié à la Mère mais un lieu consacré à la Mère Universelle. Pour les Occidentaux, la raison d'un tel édifice est souvent difficile à comprendre.
      À proximité du Matrimandir est érigé une sculpture représentant un bouton de fleur de lotus renfermant une poignée de terre de 124 pays différents. Cette urne représente l'unité humaine.

      Au vu de la quantité de commerces, d’ashrams, de bâtiments possédés par Auroville dans Pondichéry, il est impossible de ne pas penser que le capitalisme a rattrapé l’utopie d’une communauté dénuée de toute possession personnelle et de tout profit.
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    • Day 12

      Mammalapuram to Pondicherry (NYE)

      December 31, 2022 in India ⋅ ⛅ 27 °C

      Another day, another journey.

      After breakfast at 7.30 we boarded another minibus for the 2 hour trip to Pondicherry, the French capital of India. It was under French rule for over 200 years, even while India was part of the British empire and only gained independence in 1954, seven years after India became an independent state. It's not part of one of the states and instead is ruled directly from Delhi.

      Before we went into the centre of Pondicherry itself we stopped at an experimental settlement called Auroville, about 10 miles outside the city. The town was set up in the early 70's but an Indian man and French woman and is aimed at people who want to find their inner self and live to a core set of values. We were told that it is not a religion and that it is focussed on the individual. (When we went later to see the burial places of the two founders, I found this hard to understand as there were a number of individuals there who were clearly worshipping!). The town itself had a visitors centre and we walked along to see the large golf ball shaped building (a bit like a gold version of Epcot at Disneyworld) where there is a meditation room along with 12 other rooms around the edge. Once we had seen this we walked back and had food (cheesecake, samosa and ice cream) along with a banana lassi.

      We got back on the minibus and within 30 minutes we had arrived at our hotel. We had a couple of hours to relax before a tour of Pondicherry French quarter so we tried to find a car for a beer as it was now 2pm, but failed!

      At 3.30 we met up with the group again and had rickshaws to the French quarter for a tour with a local guide. She was very knowledgeable although I'm not sure how she expected us to remember the list of dates and facts that she reeled off. We visited the burial place of the founders of Auroville (rather strange) and then wandered around the old part of the city towards the waterfront. The French part of the city does look very different to other parts of India and the buildings were a definite reminder of ones in France.

      Once at the beach front we walked along the promenade. The whole area was bustling and there were a number of parties planned for the evening! The loud music and crowds made it very difficult to hear the guide! The tour finished at just after 5pm and a number of us found a rooftop bar for a drink. (Given the early hour, it was a surprise that they had almost run out of beer)!

      We got a rickshaw back to our hotel for a shower and change before meeting again to go back to the French quarter for dinner at just after 7. The food was mainly French inspired but the beers were cold! After eating we wandered shopping the shore taking in the atmosphere which was now very lively and it was hard to remember that most of the revellers would not have been drinking.

      At 10.30 we tried to find rickshaws to take us back to the hotel and eventually managed to hail enough of them to get us back for 11.15. we went to the hotel bar (more warm beer, and Budweiser at that, and also no tonic water if you wanted gin!).

      We celebrated the New Year as the only people in the bar and after about half an hour, with some of us having a little dance, the bar was closing and so we headed to bed!
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    • Day 28

      Des graines, encore des graines !

      February 9, 2023 in India ⋅ ⛅ 21 °C

      « Udavikarangal », signifie la main tendue en tamoul. C’est également le nom de l’orphelinat où nous nous sommes rendus cet après-midi.
      Une grande maison cachée derrière un grand mur d’enceinte au milieu des champs et des cocotiers, un patio et une grande cour intérieurs, des pièces de vie et des dortoirs : le lieu est spacieux et diffuse un joyeux brouhaha qui mêle rires et chants.

      Il y a 25 ans, un couple d’indiens sans enfant a souhaité se tourner vers l’adoption. Devant l’ampleur de la détresse autour d’eux, ils ont conclu qu’ils ne pouvaient pas sortir qu’un seul enfant de la rue. Ils ont donc décidé de fonder cet orphelinat afin de permettre à un maximum d’enfants de pouvoir prétendre à une éducation, et donc à un avenir.
      Sur le mur de l’établissement, il est d’ailleurs inscrit : « work hard, dream big », une phrase qui en dit long sur les valeurs inculquées à ces enfants démunis de tout, sauf de leurs rêves.

      Il y a 3 ans, nous avions déjà été accueillis par des fillettes curieuses de tout connaître de nous et qui nous avaient offert danses et chants en guise de remerciements pour notre présence. Les fillettes ont changé mais le sens de l’accueil est resté intact.

      L’orphelinat leur offre éducation et encadrement, il les accompagne jusqu’à ce que leur situation leur permette d’être autonome socialement. En dehors de l’école, il les forme aussi à des activités culturelles et sportives comme la danse, le chant, la couture, le jardinage, le yoga, les arts martiaux…

      Les années COVID ont été particulièrement difficiles pour ces structures qui ont été isolées en tout et notamment en nourriture. Autre difficulté, le gouvernement surveille de près les aides reçues par l’orphelinat et encore plus quand les fonds sont extérieurs au pays. Nous avions aidé en matériel scolaire lors de notre dernière venue, en nourriture pendant le confinement, aujourd’hui les besoins sont plutôt d’ordre structurel afin de pouvoir assurer la maintenance des lieux et ne pas laisser les bâtiments se détériorer. Maintenir un cadre de vie correct pour ces enfants est indispensable. Nous allons donc mettre en place des solutions pour pouvoir les aider régulièrement.

      Ces rencontres sont bouleversantes de partage et d’humanité. Chaque regard envoie une leçon de vie, chaque sourire est un espoir.
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    • Day 7

      Puducherry/Pondicherry

      February 9 in India ⋅ 🌙 25 °C

      Lustige Hinfahrt im Bus…sehr laut, eng & warm!
      Dann standen wir in einer noch größeren, lauteren & volleren Stadt als Mahablipuram!
      Wow ich war total überreizt!
      Wir haben den Ganesha Tempel besucht, das Gandhi Denkmal & den Ashram von Auroville! Sehr schön ruhig im Gegensatz zur sehr lauten & bunten Stadt.
      Dann nich an den Stand & essen
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    • Day 4

      Puducherry

      October 9, 2022 in India ⋅ 🌧 25 °C

      Leider habe ich noch nicht ganz verstanden, wie man die Fotos von meiner neuen Kamera hier reinzaubert. Blöd, es gibt es nur 1 Foto von dieser ehemaligen französischen Kolonie. .... und nun der Rest der Verfallsstadien und Kirchen, als gute französische Kolonie.Read more

    • Day 15

      Pondicherry

      January 7 in India ⋅ ☁️ 27 °C

      The kids were not keen to go for a walk so we left them at the Hotel. Kind of liking they are of an age that we can do that!

      Pondicherry is not like Galle!

      Our walk takes us to the Governors residence. Noting Governors used to live on the site of our Hotel (hence its name ‘Hotel Villa des Gouverneurs’). Bharathi Park had more dogs and homeless people than anything nice to look at though the parking spot for the press was priceless! The buildings certainly retained plenty of their charm. Just don’t mention the smelly canals, rubbish and poverty that surrounds them.Read more

    • Day 36

      Pondicherry

      November 7, 2019 in India ⋅ ⛅ 27 °C

      Site of the French presence in India. The architecture is noticeably more European than most of what I've seen here. Yet, the Hindu is present too. The first picture is of the cathedral. The 2nd is of the temple elephant at the Hindu temple to Ganesh, the elephant headed God of good luck. Next are 3 looks at buildings around town. The last looks along the beach front.Read more

    You might also know this place by the following names:

    Union Territory of Puducherry, بودوتشيري, Пандышэры, Пондичери, পুদুচেরি, পণ্ডিচেরী, Puduččéri, ޕޮންޑިޗެރީ, Pondiĉero, Puducherry liiduterritoorium, پودوچری, L’État de Pondichéry, પૉંડિચેરી, פודוצרי, पुदुच्चेरी, Puduccseri, ポンディシェリ連邦直轄領, პონდიშერი, ಪುದುಚೇರಿ, 푸두체리, Pondicherium, Pudučeris, Pudučerri, Пондишери, പുതുച്ചേരി, ପୁଡୁଚେରୀ, ਪਾਂਡੀਚਰੀ, Пудучерри, Puttučéri, Територија Пондишери, புதுச்சேரி, పుదుచ్చేరి, ปุทุจเจรี, Puduçeri, Пудучеррі, پونڈیچری, 本地治里

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