Malaysia
Sungai Abuni

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Travelers at this place
    • Day 9

      Bornéo 2/7 : Village Mari-Mari

      May 24, 2023 in Malaysia ⋅ 🌧 30 °C

      Départ matinal pour le Village traditionnel Mari-Mari des anciennes tribus de Bornéo. Au programme, visite de plusieurs maisons anciennes avec explication des différentes traditions et dégustation de certaines de leur mets. Alban, notre guide, nous suivra du début à la fin de la visite. En partant de L’hostel je rencontre Willem un hollandais et Ewan un écossais qui font aussi la visite aujourd’hui.

      Avant la visite, Alban nous montre une carte du village et nous explique que « Mari » signifie « venez » dans leur langue. On entre alors dans le village par un petit pont puis arrivons dans la première maison.

      Maison Dunsun du Vin de riz : cette maison est une maison en bois, comme toute celle qu’on verra. Le toit est fait avec des feuilles de palmier. Le bois utilisé est un bois de l’île de Bornéo appelé « Iron Wood » pour eux car il est solide comme l’acier. Dans toutes les maisons, les femmes et les enfants ont des chambres mais les hommes dorment dans la pièce principale pour être prêt à se battre s’il y a une attaque. Les traditions anciennes des villages sont assez sombres mais on en apprend plus dans les maisons suivantes. Dans celle là on a vu que la fille dormait dans un lit en hauteur dont l’échelle était retirée la nuit pour le pas qu’elle parte faire le mur. On a pu observé deux façons différentes de faire du vin de riz. La première est en faisant fermenter du sucre de l’eau du riz et un peu de tabac avec de la levure de riz fabriquée au préalable. La deuxième est avec une sorte d’ancien alambique. Le premier vin était très goûtu et plutôt bon aux alentours de 12-14 degrés. Le deuxième était plus comme de la vodka mais à 15-20 degré, de l’alcool d’eau un peu. Ça faisait quand même bizarre de boire des shots a 9 h du matin mais bon. Dans cette maison ils ont un feu dans leur cuisine. Le feu chauffe sur différents étages pour conserver la nourriture. Le reste est stocké dans des grosses jarres. On a pu ensuite goûter un met local, une sorte de préparation de boulette de viande de poulet à l’oignon qu’on remplie dans un bambou et qu’on met au dessus du feu ensuite. C’était vraiment pas mal !

      Maison Rungus (4eme plus grande tribu): Dans cette maison on a découvert leur miel qui ne ressemble pas du tout au notre tout comme les abeilles d’ailleurs. Il est beaucoup plus liquide et sucrée, les abeilles quand à elles sont toutes petites et ne piquent pas, elle font leurs nids dans des tubes verticaux venant des arbres. Ensuite on a pu voir des instruments de musique locaux puis la préparation d’un feu uniquement avec du bambou. Premièrement on gratte le bambou pour faire une sorte de chapelure de bambou qui va dériver à prendre. Ensuite avec une bambou taillé en deux on fait une incision dans la longueur afin de laisser l’air passer et de pouvoir chauffer la chapelure de bambou. Enfin avec un bout de bambou un peu long on vient frotter perpendiculairement à l’incision. Et par friction en frottant vite et fort la chapelure de bambou va chauffer puis s’enflammer.

      Maison Lundayeh : ici, on en apprend plus sur les techniques de combats des tribus. Déjà à l’entrée de la maison il y a un crocodile de terre un peu comme un château de sable et Alban nous dit que avant on mettait un crâne humain sur le crocodile pour faire peur aux tribus qui voulaient attaquer la maison. C’était donc les fameuses tribus coupeuse de tête de l’île. On découvre ensuite leur sarbacanes qui peuvent être longue jusqu’à 3 mètres du on a assez de souffle, les flèches elles, étaient imbibées de poisons pour tuer la cible. J’ai même pu tirer à la sarbacane et je m’en suis pas mal sortie car j’ai touché la cible ! On a ensuite observé comment étaient faire leurs armures. Ce sont en fait des armures d’écorce séché, ça ne protège pas tant mais c’est mieux que rien ! Seul problème après une bataille sous la pluie ou quoi l’armure est en lambeaux. Le guerrier qui nous a présenté tout ça nous montre ensuite son couteau de combat. Le couteau a des trous dans la lame et chaque trous correspond à une tête de coupée. De plus au niveau du manche pendent des cheveux, apparemment c’était un symbole de victoire en plus de la tête coupée que de récupérer des cheveux, des dents ou même les oreilles de l’adversaire. Les toutes coupées allaient soit sur les crocodiles comme dit auparavant ou au dessus des entrées de maisons pour apeurer les attaquants. Toute les règles de bienséances étaient regis autour des têtes coupées. On voulait épouser la fille de quelqu’un il fallait ramener une tête à son père pour montrer qu’on était assez fort pour protéger sa fille. On voulait prendre la femme de quelqu’un il fallait couper la tête de son mari actuel. On voulait voler des provisions ou quoi que ce soit à quelqu’un on allait lui couper la tête. Donc pour reconnaître les corps des défunts ils avaient tous des tatouages sur le corps correspondant à leur maison ou leur tribu. Bref une sacrée période. Enfin il y avait même un hôtel de magie noir dans la maison qui servait à envoyer des mauvaises ondes aux tribus ennemis.

      Maison Bajau (deuxième plus grand peuple à Sabah) : ici c’était surtout dégustation, d’abord de jus de pandan puis de pancake au pandan et enfin une sorte de pâte à base de farine de riz qui plongée dans l’huile bouillante faisait des fils croquants. Tout était assez sucré mais plutôt bon ! On a vu l’hôtel où se tenait les mariés à l’époque, une sorte de grand banc avec plein de tissus de toutes les couleurs.

      Maison Murut (3 eme plus grande tribu),: ici une dame habillée en tenue traditionnelle nous attendait à l’entrée de la maison. Mais avant ça on a subit un rituel. Un chef de groupe (Ewan car c’était le plus grand) avait été désigné avant. Il avait du faire un face à face de regard avec le chef de la tribu et répondre à des questions pour qu’on puisse rentrer. Une fois dans la maison on tombe sur un trampoline d’époque, des planches posées sur des bambous souples. Il y avait une sorte de statue qui pendait en hauteur et les gens mettaient leurs affaires dedans pour qu’elles deviennent des portes bonheur. Après cela les personnes de la tribu sautaient assez haut pour aller les récupérer et ça y est elles étaient ensorcelées. Il y avait aussi un atelier de tatouage (peinture pas de vrais) et les gens se faisaient des petits dessins traditionnels, j’ai eu le droit à un joli dessin sur l’avant-bras.

      Enfin nous sommes allés à la dernière salle pour voir un spectacle de danses et musiques traditionnelles. Puis nous avons mangé quelques plats. En rentrant après un petit moment calme, avec Willem et Ewan, on part voir un marché de choses faites à la main mais qui ne le sont pas trop au final. Puis le soir l’hostel organisait un futsal donc on mouillera un peu le maillot avant de rentrer. J’y fait la rencontre de deux danois avec qui on ira boire une bière et peut-être surfer lundi. Puis gros dodos car demain départ 7h pour le parc national Kinabalu.
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    • Day 64

      Mari Mari Cultural Village

      March 23 in Malaysia ⋅ ☀️ 31 °C

      Die Stadt Kota Kinabalu selbst wurde während des zweiten Weltkrieges nahezu völlig zerstört. Somit gibt es hier kaum historische Gebäude oder schöne alte Tempel zu besichtigen.
      Und die wenigen angebotenen Touren sind auf die asiatischen Gäste, vorwiegend aus Korea und China, zugeschnitten.
      Also haben wir heute ein Grab genommen und zum Mari Mari Cultural Village gefahren
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    • Day 205

      Mari Mari Cultural Village

      March 25, 2017 in Malaysia ⋅ ⛅ 28 °C

      Heute sind wir wieder in Malaysia, und zwar in Kota Kinabalu (Sabah), immer noch auf Borneo, wo sich der höchste Berg Südostasiens befindet. Die meisten Besucher kommen für eine Besteigung des Mt. Kinabalu (4.095,2 m hoch) hierher. Dafür haben wir leider keine Zeit, denn die Wanderung dauert zwei Tage und wir fahren heute Abend weiter Richtung Hongkong.
      Wir haben uns für einen Besuch im Mari Mari Cultural Village entschieden. Ein Museumsdorf, gelegen in einem wunderschönen Tal. Hier werden die verschiedenen Stämme Sabahs, ihre Geschichte, ihre Traditionen, ihre Lebensweise sehr anschaulich dargestellt. Wi, unsere Guidin, führt uns durch die dargestellte kleine Welt der einzelnen Stämme (Dusun, Rungus, Bajau, Lundayeh, Murut) und somit durchs Dorf und erklärt uns an jedem Stammeshaus die traditionelle Lebensweise, die Bedeutung der Bekleidung (die unterschiedliche Länge der Ärmel (verheiratet oder solo), die räumliche Aufteilung im Langhaus (Single-Mädels immer extra und oben) und die Herstellung verschiedener Lebensmittel, z.B. Fischnetzcake, eine Süßigkeit aus Reismehl, Wasser und Zucker, die durch ein Sieb in heißes Öl gegeben wird (einmal mit dem Uhrzeigersinn und einmal entgegengesetzt drehen, dann in Dreiecksform legen), kurz frittiert wird und sehr lecker schmeckt. Wir lernen, wie in alten Zeiten Honig, Reiswein und Reisschnaps hergestellt wurde und wie Essen in Bananenblättern und Bambus zubereitet und gekocht oder gegrillt wurde. Wir kosten alles - schmeckt prima!
      https://1drv.ms/v/s!AiUv8teodO-roQMRgnR2vhj82faH
      Wir sehen in den Häusern mehrfach Schädel von Menschen und lernen dabei, die Murut waren die letzten von Sabahs Völkern, die die Kopfjagd aufgaben. Ähnlich wie bei den Iban in Sarawak (Bako NP), spielte das Sammeln von Köpfen der Feinde im Glauben der Murut eine große Rolle. Ein Mann konnte zum Beispiel nur heiraten, wenn er der Familie seiner zukünftigen Frau wenigsten einen Kopf vorweisen konnte. Diese Köpfe wurden dann mit schwarzer Magie "behandelt" und häufig als Wächter im Haus, in den Vorratsspeichern oder in getrennten Alarmhäusern aufgehängt. Sie dienten der Abwehr von bösen Geistern und Dieben. Laut Wi soll das funktionieren 🤔.
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    • Day 205

      Im Dorf

      March 25, 2017 in Malaysia ⋅ ⛅ 29 °C

      Das Feuermachen war Frauensache und nur wer diese lebenswichtige Kunst beherrschte, durfte auch heiraten. Wir staunen, wie schnell das Feuer brennt und wundern uns, warum es Robinson Crouse nicht gleich hingekriegt hat 😃- sieht recht einfach aus und "Zutaten" aus dem Baumarkt braucht man offensichtlich auch nicht, Natur pur ist genug! https://1drv.ms/v/s!AiUv8teodO-roQIVaInOY-MMn0j6
      In einem anderen Haus probieren wir das traditionelle Trampolin aus, benutzt als "Geldspiel": Wer am höchsten springen kann, bekommt auch die meisten Taler - ist ja klar 😉!
      Das Blasrohr wurde, bestückt mit giftigen Pfeilen, zum Jagen benutzt. Wir kennen das von Schultis Gartenfest 😁und konnten dort auch schon üben, so dass Dirk als einziger unserer Gruppe die Kokosnuss erlegen kann!
      Auf einer Bühne werden überlieferte Tänze aufgeführt: https://1drv.ms/v/s!AiUv8teodO-roQTvUnLmjOsGeXTv
      Und zum Abschluss des Rundgangs wird uns ein Buffet mit lokalen Delikatessen aufgetischt.
      Als Souvenir dürfen wir ein Tatoo mitnehmen. Wir entscheiden uns für handgemalt mit Henna, denn die traditionelle Stechmethode mit den fiesen Dornen erscheint uns wenig verlockend 😳!
      Ein rundum gelungener Ausflug!
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    • Day 19

      Kota Kinabalu - Mari Mari Village

      April 18, 2019 in Malaysia ⋅ ☀️ 34 °C

      Mein Flug nach Kota Kinabalu (hier sagt man KK) ging um 7 Uhr. Meine Hoffnung der Flieger könnte nicht allzu voll sein verschwand beim Boarding. In KK angekommen, bin ich mit dem Bus in Richtung Stadt gefahren und das letzte Stück zu Fuß gelaufen.
      Ich habe das Mari-Mari-Kulturdorf besichtigt, was ziemlich interessant war. Mehrere Kleinigkeiten, wie Reiswein, Honig (von nicht stechenden Bienen), eine Art Pancakes, Reismehl-Dreiecke, Kaffee etc. probiert und eine Tanzshow gesehen. Gelernt habe ich, dass viele der ursprünglichen Malay, Menschen beim Kampf enthauptet haben und den Schädel zur Abschreckung an ihr Haus/Dorf gehangen haben.
      Pro Kopf wurde dem Krieger ein Krokodil auf den Körper tätowiert.
      Am Abend bin ich mit einer Inderin, die ich im Mari-Mari-Dorf kennengelernt habe, zum Night Market. Dort habe ich zum ersten Mal in Malaysia Menschen betteln sehen. Es ist richtig hart, wenn kleine Kinder dich die ganze Zeit am Arm stupsen und nach Geld für Essen verlangen. Ich habe dann mein Essen abgegeben und meine Bekanntschaft ihre Kokosnuss. Mal sehen was der Tag morgen bringt.
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    • Day 54

      6.5. KK Mari Mari Cultural Village

      May 6, 2023 in Malaysia ⋅ ☁️ 29 °C

      (Die letzten zwei Tage habe ich die Daten durcheinander gebracht. Das zeichnet einen guten Urlaub aus ;)
      Einen letzten Tag hatte ich noch in KK bevor die Reise nun weiter geht. Dabei wollte ich mich keiner Tour anschließen, sondern habe mich dank des vielen Durchfragens entgegen aller Empfehlungen des Hostels alleine auf den Weg zum Mari Mari Cultural Village gemacht. Und ja, es hat einwandfrei geklappt, eine Stunde mit dem Grab rauszufahren und mit dem Fahrer eine Rückfahrt zu vereinbaren. Wo genau besteht also das Problem? Warum wollen mir hier alle überteuerte Touren aufquatschen?!
      Der Besuch des Museumsdorf hat sich für mich voll und ganz gelohnt. Auf unserer gut zweistündigen Führung mit unserem Guide Popoi erfuhren Wir so einiges über die Dunus, die Murut, die Lanyahat, Bajau, und? People. Die 5 größten Volksstämme, welche auch heute noch in Borneo leben, präsentieren ihre üblichen Häuser und geben kulinarische oder musikalische Proben oder zeigten uns ihre Tänze und Rituale. Wir probierten Reiswein, in Bambus gekochtes Essen, Padang-Pancake, Fädriges Gebäck, Honig, nahmen an einer Eröffnungszeremonie teil, sprangen "Trampolin" im Longhouse um eine Trophäe zu ergattern und tanzten den Bambustanz mit den Einheimischen. Alles in allem ein touristisches Highlight, was einem einen kleinen Einblick ins Landesinnere beschert. Denn tatsächlich gehen die Wurzeln vieler Menschen hier in Borneo auf einen der Stämme zurück und nicht vor allzulanger Zeit haben die Vorfahren noch in den besichtigten Hütten gelebt, sind der Fischerei, Kopfjagd oder der Reisweinherstellung nachgegangen. Neuerdings öffnen sich einige Stämme immer weiter, die junge Generation zieht in die Städte , sie bilden dadurch neue Subgruppen oder verlieren ganz ihre Traditionen. Die Regierung versucht mit einigen Förderprogramm gezielt einige Kulturen zu erhalten, andere gehen aber nach und nach verloren. Ein Erbe, was vllt bald nicht mehr live berichtet werden kann.
      Wann mag bloß bei uns in Europa solche Naturverbundenheit und Riten vollzogen worden sein? In Borneo lebt der Geist noch immer weiter ...
      Zum Sonnenuntergang ging es an den viel bevölkerten Tanjung Aru, zum Fischmarkt mal wieder am Abend.
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    Sungai Abuni

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