Spain
Rio Strait

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Travelers at this place
    • Day 4

      Um Insel Lobos herum

      November 19, 2019 in Spain ⋅ ☀️ 20 °C

      Anker auf und los! Voller Elan segelten wir los. Es sollte einmal rund um die Insel Lobos gehen, bevor wir in einen Hafen fuhren.
      Wir wollten die Insel gegen den Uhrzeigersinn umrunden. Wer sagte noch: Zwei Schiffe auf dem Wasser sind eine Regatta"? Kaum sahen wir eine hart am Wind segelnde Yacht, änderten wir den Kurs und überholten sie in Luv, voll im Regattafieber. Schön, wenn man zufrieden auf dem Siegerboot sitzt.
      So kam es, dass wir die Insel Lobos im Uhrzeigersinn umrundeten.
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    • Day 88

      Die Otong Java

      February 15, 2020 in Spain ⋅ ☀️ 19 °C

      Otong Java, das ist der Name des polynesischen Katamaran mit dem ich voraussichtlich den Atlantik überqueren werde. Das Boot so einzigartig, dass es mir schwer fällt es mit Worten zu beschreiben. Trotzdem werde ich es versuchen. Das Boot misst 20m in der Länge und vielleicht 7m in der Breite. Das Deck ist, für einen Katamaran unüblicherweise, vollständig mit Planken bedeckt, was eine riesige Fläche erzeugt auf der man sich bewegen kann. Der hintere Teil des linken Hulls dient ausschließlich als Schlaf-/Essenslagerraum, wo auch ich schlafe. Der vordere Teil ist mit Surfboards und diversen anderen Dingen voll. Im rechten Hull befindet sich die wirklich schön eingerichtete Küche mit einem Wohnraum, den wir aber eigentlich kaum verwenden, da es so warm ist, dass wir an Deck essen. Dazu gibt es noch 4 weitere Kojen, was insgesamt 12 Kojen macht.
      Das Boot ist fast ausschließlich mit Tauen befestigt und nur wenig mit Metallteilen, wie Schrauben und besteht zum großen Teil aus Holz. Das ermöglicht relativ leichte Reparaturen, auch mitten auf dem Ozean, falls mal das Ruder bricht oder ähnliches.
      Das klingt jetzt natürlich alles ziemlich romantisch, aber ein Holzboot bringt auch seine Eigenarten mit sich. So sind zum Beispiel die Geräusche, die es während der Fahrt macht echt gewöhnungsbedürftig und man hat am Anfang das Gefühl das Boot breche jeden Augenblick auseinander. Dazu kommt, dass durch diverse kleinere Lecks Wasser eindringt und man manchmal im Wasser steht im Gang. Es gibt aber natürlich beidseitig Pumpen, mit denen man das Wasser auspumpen kann.
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    • Day 28

      Iles Canaries

      November 27, 2023 in Spain ⋅ ⛅ 21 °C

      Le lendemain c'est repos pour tout le monde, on fait nos lessives, on se lève tard et on visite un peu les environs. J'ai reussi à avoir Fay et Nils au téléphone, un vrai régal sachant que la soirée Grabuge commence dans quelques heures à peine et qu'ils sont en plein préparatifs. Ça fait du bien d'avoir des nouvelles et de savoir que tout se passe bien, Grenoble ne m'attend pas pour continuer son rythme de fête.

      De notre côté, Paul a repéré une messe et nous propose de venir avec nous, pour l'expérience on fonce. On se retrouve donc pour la première fois dans les rues de Arrecife et ça fait du bien de sortir du centre commercial qu'est le port et de découvrir des rues un peu plus typique. L'office à déjà commencé et on se glisse doucement dans une rangée libre (on est avec Elouan et Elsa) puis on observe bien sagement le déroulé des opérations. Paul nous averti de ce qu'il va se passer puisqu'il est coutumier de ce genre de messe, les codes ont l'air similaires à la France. Alors on se lève et on s'assoit avec les locaux, malheureusement on aura pas le plaisir de chanter en Espagnol puisqu'il ne distribuent pas les paroles à l'avance. C'est un moment assez méditatif même si le prêtre braille assez fort tout du long, les pierres de l'eglise sont magnifiques, des pierres poreuses volcaniques, toutes noires, typiques de Lanzarote. La charpente est apparente et fait partie intégrante du design de l'église, chacune des poutres est magnifiquement travaillée, des ornements de bois orthogonaux s'entrecroisent en formant des paternes que j'aurais associé à des civilisations nordiques type viking plutôt qu'à des Espagnols.
      Pendant le discour du prêtre, je traduis ce que je peux à Paulo et je sens que ca lui fait plaisir, à moi ça me demande une concentration extrême pour reussir à capter le sens des phrases et pas seulement certains mots à la volée.

      En sortant, on est content de ce moment et on file arpenter la ville à la recherche d'un coin sympa où manger. On appelle Gervais et You pour savoir où ils en sont puis on se met à table aux abords d'un bar restau qui à l'air agréable. On se prend une pinte et un burger, tout ça pour 11€, pas le repas le moins cher du séjour mais c'est carrément honnête. On poursuit notre balade et on tombe sur des plages un peu mode jet set, sauf que pas grand monde est dans les rues. Des dj avec un matos de fou mettent de la house sur une des places, un geste de la main de leur part et la soirée partait en B2B2B full indus dans les rues de Arecife. Sur une autre place un peu plus loin, un orchestre joue sur une magnifique scène, eux encore ont des enceintes de fou furieux. Ça à l'air de savoir faire la fête ici, même si la saison n'est pas forcément propice.

      Le lendemain c'est journée aventure, youen et gervais partent aux aurores pour se faire un petit trek où youen dormira dans un volcan tout seul. De notre côté, on part en stop avec Elsa et Paul, direction la plage de Famara, un spot de surf assez réputé dans le coin. On embarque deux combis, le bodysurf d'elouan et des palmes et on est parti.
      On marche 20min jusqu'aux ronds points à la sortie de la ville, grands sourires, pouces tendus et y'a plus qu'à. C'est drôle comme les gens les plus souriants sont ceux qui ne peuvent pas nous prendre par manque de place. Au bout d'une petite quinzaine de minutes, un type peu locace nous avance et fait même un detour pour nous. Jason, le lad londonien par excellence, un accent brut de décoffrage, tatouages sur les bras et dans la nuque, ce mec là a dû distribuer deux trois mandales dans sa jeunesse. Paul essaye de tenir la discussion mais le type est assez froid, cependant toutes ses actions le trahissent, il a le coeur sur la main. Pas de bol pour lui, on l'a percé à jour, pas de gros dur mais un gros nounours. Il force un peu pour nous emmener dans un marché "massive" qu'il nous vend comme étant un truc à ne vraiment pas manquer. On lui dit au revoir aux pieds du marché et on s'engouffre sans attendre dedans. C'est déception sur déception, le marché vend des contrefaçons ou des babioles qu'on trouve dans tous les marchés de France. Le genre de merdouilles qu'on regarde généralement même pas quand on passe devant et qui, là, attirent des centaines de touristes. Personne ne parle espagnol autour de nous, on ne voit que des vieilles australiennes, la peau flasque des années passées au soleil. On apercoit une eglise et on se dit que ce sera sans doute le peu de typique qu'on pourra trouver ici, y'a un dj qui joue des tubes type NRJ 2010 devant l'eglise (celui là aussi a des CDJ 2000, à croire qu'elles valent une poignée d'euros sur l'île), dans l'église on entend ses vieux sons tout pourris, les touristes ne respectent pas le lieu, ça braille dans la maison de Dieu et à la sortie de l'église, des jeunes en tenue de serveurs essayent de nous vendre des cocktails hors de prix, la situation est assez lunaire.

      On se barre vite d'ici, on se remet à un rond point et après 3-4min, un type s'arrête avec son van aménagé et nous dit qu'on peut monter. On lui demande où il va et il nous répond qu'au même endroit que nous, il nous a cerné, il va aussi à la plage pour aller surfer. C'est un vénézuélien qui a son van depuis un an sur les iles Canaries, la vie d'aventure semble lui correspondre à merveille, il n'est pas surpris du tout du tour de l'Atlantique à la voile.

      Nous voilà à la plage, elle est magnifique, une grande baie où des surfeurs s'exercent surplombée par des immenses falaises avec des montagnes autour.

      On se trouve un spot tranquille dans un grand cercle de cailloux en roche volcanique (ils nous protègent des regards et du vent, c'est top).
      Une fois en maillot, on prend le body et on file à l'eau, elle est délicieuse et je retrouve les sensations de vieux Boucaux ou Vielle st Girond sur la côte Basque. Les vagues sont raisonnables et on s'amuse super bien avec paulo, il reussit à prendre ses premières vagues avec le body. Lors de la seconde session, apres avoir mangé, je me fous au body avec les palmes, je reussi à prendre 3-4 vagues dont 2 énormes qui me ramènent jusqu'à la côte. La sensation de glisse est incroyable, on prend une vitesse de dingue et je comprends le côté addictif de ce petit rush d'adrénaline.
      Elouan nous rejoint, il avait un rendez vous chez l'ostéo à midi et on passe la fin de l'aprem ensemble. Paulo et Elou se mettent en combi, Paul teste la mienne et decouvre les joies de ne pas sentir la température de l'eau. Après nos sessions, on va se boire un petit coup et on tombe sur un village de surfeur, les shops de surf se font tous concurrence, ça fume des joints sans trop de soucis devant les magasins et les bars sont bondés. On se prend une bonne bière et on se met en route pour le retour. Petit stress de tendre la main dans le noir alors qu'on est maintenant 4, mais à peine Elsa a-t-elle tendue sa main qu'une voiture s'arrête. Ça aura duré 15s. C'est une femme d'environ 45 ans qui nous prend, elle parle seulement espagnol alors je m'installe devant à ses côtés. C'est la première fois que je me sens autant à l'aise, elle me raconte qu'elle vient de Cuba et que dans sa culture, le stop est super répandu. Elle travaille sur l'île depuis 8 ans mais n'aime pas vraiment ça, selon elle les gens n'ont pas vraiment de culture ici, il y a trop de touristes et ça manque de vie socialez intéressante, les iles Canaries ont l'air d'être avant tout un lieu de passage pour elle. Je la questionne sur des endroits atypiques à visiter et elle me bombarde d'informations, alors je tente de les noter, en la faisant répéter quelquefois. Il se trouve qu'elle allait dans une ville à 6km de Arecife, notre port actuel. Mais quand je lui demande où elle me depose elle me repond "No te preocupe", autrement dit je n'ai pas à m'en soucier. En fait, elle nous deposera juste devant notre port. Elle me raconte un petit peu la culture du vin sur l'île, le fait que le type de vigne a besoin de tres peu d'eau, ce qui semble logique après n'avoir vu que des cactus et des palmiers. Elle me donne son prénom à la fin "Mavis" et nous béni pour la suite du voyage. Nous, on reste bouche bée de cette interaction et de sa gentillesse.

      Lundi 27-11 13h19
      Aujourd'hui on change de spot, la nuit au port était assez chère, alors on fait gaffe. Le matin c'est rangement du bateau, lavage de l'interieur et de l'extérieur ainsi que réparation rapide d'un poc un peu profond qu'on a créé en entrant dans la place en marche arrière la dernière fois. Gervais qui a déjà fait de la resine s'y colle, les autres, on organise le départ. Là nous sommes en navigation pour partir dans le sud de l'île, on va louer une voiture pour un jour et rejoindre Youen qui nous attend déjà sur la plage.

      Il y a une compèt de planche à voile foilée qui se prépare dans la baie, c'est un joli bordel et on a du mal à tous les esquiver mais ça le fait. On arrive au mouillage, les fonds sont pas top, il y a énormément de bateau et on doit faire gaffe où on se met. C'est léger stress mais ça passe bien, le spot est chouette. Ceci dit on est pas au bout de nos peines, on doit encore récupérer youen qui nous attend sur la plage. Gervais essaye de faire démarrer le moteur mais il le noit dans l'essence, résultat on arrive pas à démarrer. Apres 30min de tentative on se fout à la rame avec Paulo, direction la plage.

      Youen nous attendait autour d'une bière, on le chope tranquille et on rentre au bateau tandis qu'il nous raconte son périple, tout seul au milieu d'un volcan. Petite douche nécessaire pour you et pendant que tout le monde se prépare, j'essaye en boucle de faire fonctionner le moteur de l'annexe pour aller boire une bière en ville. On avait abandonné parce que trop compliqué de pagayer à 6, mais lorsque j'abandonne et Paul prend mon relais, le moteur se debloque et accepte enfin de nous porter. Tout le monde se fout dans le mini boat et cest parti, on va au bar !
      L'arrivée sur la plage est catastrophique, on se mouille et on est la risée de tous les touristes en terassses, pas grave, on a le smile et la pinte à 3€ n'est plus qu'à quelques mètres. La soirée se poursuit au burger king après le bar (definitivement pas dépaysé eheh, avec le temps d'attente on se crorait presque sur la place victor hugo).

      Le lendemain c'est réveil pas tard pour aller faire le tour de l'ile en voiture, deux teams se separent à l'arrivée sur la plage. L'une bouffe, l'autre voiture. J'suis dans l'equipe sandwichs avec you et paul.

      Finalement on part direction Fuerteventura pour surfer le lendemain.
      On arrive à un mouillage en debut d'aprem à côté de la petite île désertique de Lobos, les kiteux sont de sortie, le vent et le soleil sont au rendez vous. Pour les copains et moi, c'est baignade à répétition, on sort les masques et les palmes, on gonfle le paddle, c'est vraiment les vacances. On se sent privilégié comme jamais, le paysage est magnifique. Énorme bain de soleil avec Elsa sur le pont. On reconnaît un ou deux bateaux sur le mouillage qu'in avait croisé plus tôt dans notre periple, l'un date même du premier port Espagnol.

      Vers 16h30, on part à l'assaut de la montagne de l'ile de Lobos avec Elouan et Paul, Gervais nous depose en annexe. On marche environ une heure vingt avant d'arrivé en haut, le dénivelé est assez rude mais tres bref. Arrivé en haut, Fuerteventura semble à seulement quelques mètres et Lobos apparaît minuscule. Le petit bout de Terre abrite un phare, un quai pour les touristes en ferry et cette montagne. Le sol est arride comme je j'imagine le geand ouest americain, avec de jolis cactus et une roche presque noire, provenant des volcans de la zone.
      On avait pensé à prendre ordinateur, platines, caméra et drone et lorsque l'on arrive, on tombe sur la seule chose qu'on avait pas : un piédestal où poser tout ça pour pas etre assis. Un tumulus en pierre nous attend à la hauteur parfaite, alors on s'y met avec les copains, un petit set d'une trentaine de minutes chacun. Le mood est fabuleux, j'me marre en m'en rendant compte. On est en t shirt en haut d'une montagne des Canaries, en train de mixer de la techno et de boire une bière devant le coucher de soleil, ça en ferait marrer plus d'un.
      Après quelques belles images cest retour au bateau, on galère parce que la plage où on est arrivé est innacessible à cause des roches de la marée basse, on va sur le gros quai. Suite à ca on va se foutre au mouillage dans la baie d'un port de Fuerteventura pout être paré le lendemain.

      Le lendemain justement, on file chercher des planches de surf pour tout le monde avec l'annexe. 10€ la journée de planche et 5€ la combi pour les copains, les prix sont les mêmes qu'en France. Après avoir fait l'aller retour, on a la chance de pouvoir aller chercher notre spot en bateau. On fait le tour de l'île en essayant d'estimer les vagues et on s'arrête au large de deux plages qui ont l'air d'avoir des vagues raisonnables. Youen et Elouan vont en éclaireur pendant qu'on fait à graille afin d'évaluer les spots. Après avoir choisi, équipés nos combinaisons et bien manger, on file depuis nos planches directement sur le spot. On apprendra plus tard que les vagues sont à 800m du bateau, un bel échauffement à l'aller et un futur supplice au retour. Youen nous avait donné plein d'instructiond et chacun avec nos planches differentes on s'essaye au surf. J'ai une planche de super débutant, un paquebot, un tank, ce qui fait que je suis super stable dans les vagues. Dès la première, j'arrive à me lever et je parcours la plage en une seule vague, la sensation est incroyable mais je maitrise pas grand chose.
      Les vagues sont hautes mais pas trop puissantes, pour Youen, c'est les meilleures conditions pour nous et les grosses vagues à l'autre bout de la plage sont les plus belles de sa vie.
      Les planches passent de main en main, on sent énormément la différence entre les tailles. Parfois la houle se calme pendant de longues minutes, parfois on se prend 6-7 grosses baffes à la suite. On se marre tous mais les forces viennent à manquer à un moment. On se rassemble derrière la barre et on se rend compte que le retour va être extrêmement fatiguant, voir dangereux vu notre condition. C'est justement à ce moment que Youen qui avait la dalle y'a 45min decide de pointer le bout de son nez avec Elsa sur l'annexe. Parfait, on va tous pouvoir rentrer facilement, c'est une bénédiction. Elsa arrive en sauveuse avec eau et biscuit, encore une fois une grande maman pour nous. On donne rendez vous à youen et gerv qui se remettent une session dans le pif tandis qu'on rentre au bateau. Le mood est excellent, personne n'a froid et s'est fait de frayeur au final, seulement des grandes tranches de plaisir. Le plaisir de revenir tout fruit confit au bateau, tout mouillé et en combi me rappelle les fin de navigation à Carantec quand j'etais tout gosse, belle madeleine de Proust.
      Après ça, il a fallu sacrément se magner pour rendre les planches à temps en ville (donc tout le même trajet retour), on est dans le magasin à 19:29, il fermait à 30.

      En rentrant de la ville, on récupère Loic et Raphaël, deux surfeux et surtout copains d'elouan qui sont sur l'ile pour les vacances. Ça part en apero dinatoire sur le bateau, on est tous aux anges de pouvoir parler avec de nouvelles tetes.

      30-11
      On part direction le sud de Fuerteventura pour trouver un port pas cher et une ville avev des magasins de voile histoire de réparer les galères de Damona. Finalement on arrive un peu tard alors qu'on avait que 25 milles à faire, très peu de vent ce jour là malheureusement. On part à l'acastillage avec Gerv et les taches commencent sur le bateau. En deux jours on aura réparé les poulies de pied de mat, changé de position l'écoute de GV, acheté de quoi refaire ecoute de GV et ecoute de genois babord pour prevoir la casse, réparé le hâle bas, refait un contact électrique qui permettait pas d'avoir le feu arrière et le moteur en même temps, refixer les contacts du feu tête de mat, graissé les réas de drisse et de balancine, retapé le drisse de GV et changer des manilles mortes par ci par là.
      Si bien que le 1 au soir, on bouge pour se barrer du pire port depui le debut du voyage (houle, douche froide, pas securisant, aéroport et gros bateau de croisière, pas de wifi) et qu'on aura payé 50€ parce qu'ils ont un fonctionnement à la con.
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    You might also know this place by the following names:

    El Río, El Rio, Rio Strait

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