Zambia
Sinazongwe District

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Travelers at this place
    • Day 12

      C'est parti !!

      September 3, 2022 in Zambia ⋅ ⛅ 30 °C

      Bref nous refaisons nos valises et c'est parti pour Sinazeze ! Notre voyage est chaud et dure environ 7 heures en voiture. Nous arrivons fatiguées mais heureuses de trouver notre nouvelle maison, bien grande pour seulement deux personnes, avec de l'eau courante et un peu d'eau chaude grâce à de l'énergie solaire. Le lendemain nous partons nous promener et nous sommes saluées amicalement par chaque personne que nous croisons. Nous pouvons également observé de beaux paysages montagneux depuis notre vallée. Nous faisons la connaissance du manager Silumesi et de notre collègue Ennie. Nous avons hâte de commencer notre volontariat au youth center !!Read more

    • Day 72

      Termites !!

      November 2, 2022 in Zambia ⋅ ☁️ 23 °C

      Avec les premières pluies arrivent toujours les premiers insectes en grand nombre ! Les termites sont arrivés tellement nombreux que nous avons dû vivre dans la pénombre. Le lendemain nous avions de belles traces d'ailes et plein de nids autour de la maison. Je peux vous dire que nous avions des problèmes de termites dans la maison toute l'année.Read more

    • Day 56

      Retour à la maison

      October 17, 2022 in Zambia ⋅ ⛅ 33 °C

      Puis nous rentrons à la maison ! Nous faisons du covoiturage jusqu'à Lusaka puis nous prenons un bus jusqu'à Batoka puis un mini bus jusqu'à KDF. Comme vous pouvez le voir, les personnes laissent leurs vaches et chèvres en liberté pendant la saison sèche afin qu'elles puissent trouver elles-même de l'herbe à brouter.Read more

    • Day 28

      Community visit

      September 19, 2022 in Zambia ⋅ ☀️ 31 °C

      Nous sommes partis pour notre première community (village traditionnel) visiter avec l'équipe du youth center de KDF, la policière responsable de la protection de l'enfance et des violences conjugales à Sinazeze et un infirmier de la clinique. Le but de notre visite : faire de la prévention sur la protection des enfants et femmes, ainsi que l'importance d'aller à la clinique lorsqu'on est malade. Le trajet là-bas était assez périlleux. Les routes étaient tellement sablonneuses que pour les montées assez raides nous devions descendre du véhicule afin qu'il puisse monter. Puis, au bout d'un moment, nous ne pouvions plus continuer à rouler et nous sommes descendus pour marcher pendant les 20 prochaines minutes. Puis nous sommes accueillis par un sous chef qui nous emmène sous un grand arbre où un groupe d'hommes est assis d'un côté et un groupe de femme est assis de l'autre côté de l'arbre. Les hommes étaient assis sur des chaises ou pierres et les femmes simplement sur leur Chitenge, elles avaient également toutes un Chitenge sur la tête. Selon la tradition, une femme mariée doit se couvrir la tête. Les femmes mariées ne sont également pas autorisées à parler devant d'autres hommes que leur mari. Ainsi, pendant l'intervention, les hommes ont partagé leurs points de vue et une seule femme s'est exprimée, la veuve de la community. Nous avons donc décidé de revenir et de parler avec les femmes séparément la prochaine fois. Un problème majeur selon la community est que très peu d'enfants se rendent à l'école et travaillent les champs avec leurs familles. La raison principale est que la prochaine école est à une heure à pied, ce qui peut être dangereux pour les petits de marcher autant sous un soleil puissant. Cette community se sent délaissée par le gouvernement, sans école ou routes à proximité. Le rôle que joue le chef du village est également intéressant, il est très respecté par tous. J'ai appris qu'il se rendait en cachette à la clinique pour chercher ses médicaments et que notre intervention lui était importante, afin que les personnes malades se rendent aussi à la clinique plutôt qu'à l'Eglise pour prier. Me trouvant sous cet arbre, je me suis retrouvée face à des stéréotypes que l'on a de l'Afrique, ça m'a surprise de voir que certaines des mes pré-idées se confirmaient ici. Après il faut relativiser, l'Afrique n'est pas que cette community mais au final beaucoup plus !Read more

    • Day 23

      Les mines

      September 14, 2022 in Zambia ⋅ ☀️ 21 °C

      Sinazeze est assez petit mais est souvent connu pour ses mines de charbon, car beaucoup de camions font les aller retour avec Lusaka afin de ramener le charbon. Ce jour là notre manager nous a emmené voir les mines. Nous avons pu les apercevoir de loin avec devant une porte en forme d'arche avec des écritures chinoises (oui les propriétaires de ces mines sont chinois). Nous sommes passés par des routes abîmées couvertes de poussières noires par le charbon. Notre manager nous emmène vers un lac. Avant ce lac se trouvait une mine à ciel ouvert, qui creusait encore et encore jusqu'à 200 mètres puis une source d'eau a été touchée et cette mine s'est trouvée inondée. Les habitants ont donc saisi cette opportunité en construisant un barrage et différents canaux afin de pouvoir cultiver des terres. Un moulin a même été construit afin de transformer du maïs en farine de maïs. Mais avec l'accumulation de la poussière, l'eau a fini par s'épuiser. Le lac ne fait plus que 25 mètres aujourd'hui de profondeur. Les habitants voulaient donc pomper l'eau d'une autre source mais les propriétaires du domaine ont refusé en expliquant que cette manœuvre ne serait pas possible. Les habitants soupçonnent que les propriétaires ont refusé cette action afin que les habitants ayant trop de difficultés pour cultiver leurs terres, doivent retourner travailler à la mine. Travailler à la mine n'est pas apprécié. Les conditions y sont très dangereuses avec de nombreux accidents et maladies pulmonaires. Les mineurs vont chercher les charbons à 300 mètres sous le lac soit seulement 100mètres de plus profond par rapport à là où ils s'étaient arrêté. Les explosions sont enchaînées et les travailleurs doivent aller chercher le charbon après chaque explosion directement sans attendre que la poussière se tasse. Les salaires sont autour de 95 €, 192 €, 385 € par mois. Une fois que les salaires tombent, les travailleurs vont faire la fête dans les bars, apparemment les salaires n'ont pas une valeur régulière et il y a souvent des bagarres à cause des salaires dans ces bars. Une semaine après notre visite, un travailleur a été assassiné par un autre travailleur le soir suivant où les salaires sont tombés dans un bar.

      Certaines familles construisent des bateaux, prennent des sacs, vont de l'autre côté du lac (endroit sans propriétaire) , vont chercher du charbon et les ramènent du côté des mines où les camions viennent chercher le charbon et essaye de leur vendre. Souvent le prix est intéressant car il est moins cher que celui des mines.

      Les habitants sont coincés, n'ayant pas d'autres choix que de travailler à la mine et ne pouvant pas influencer leur conditions de travail, car la demande de travail est très élevée. Ainsi un travailleur souhaitant négocier sera rapidement remplacé par quelqu'un d'autre. Le gouvernement zambien peine également à intervenir. Effectivement la Chine aurait donné un crédit à la Zambie sous conditions de pouvoir construire des mines et le gouvernement n'arrive pas à rembourser son crédit pour l'instant. Beaucoup de familles n'ayant pas toujours de l'électricité ou le gaz, celui-ci étant trop cher, se retrouvent dépendant du charbon pour se nourrir ou se chauffer. Tant que tous ces éléments restent dépendant de ces mines, faire quelque chose pour en sortir restent compliqué...

      Depuis maintenant mi octobre, ces mêmes propriétaires ont décidé de construire une nouvelle mine sous un village traditionnel à environ 2 km de KDF sans avoir demandé l'autorisation au gouvernement. Les communautés ont averti le gouvernement et espèrent qu'il pourra faire quelque chose. En attendant nous voyons des bâtiments pour cette nouvelle mine se construire à une vitesse impressionnante. J'avoue qu'observer tout ça en se sentant impuissant est frustrant pour tout le monde.

      Je tiens à préciser que ces propos m'ont été tenus par un groupe de zambiens. Je n'ai pour l'instant entendue qu'une seule perspective sur ces mines. Essayons de ne pas en faire un raccourcis mais de prendre cette histoire en compte et de comprendre les challenges des habitants sans catégoriser pour autant la Chine ou la Zambie. (même si c'est compliqué)
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    • Day 18

      Balade à vélo

      September 9, 2022 in Zambia ⋅ ☀️ 21 °C

      Balade à vélo

      Moi qui au départ voulait seulement essayer mon vélo, je me suis retrouvée à faire une sacrée excursion !
      Tout d'abord jusqu'à Sinazeze (5km de ma maison) j'ai été saluée par chaque personne : « Mwabuka buti ! » Une fois dans le centre du village, j'ai été moins abordée sauf peut être par quelques hommes. Une fois à Sinazeze plutôt que de rentrer, j'ai eu cette envie de découvrir ce village au delà de son marché.
      J'ai dons pris un chemin plus ou moins au hasard. Plusieurs personnes étonnées m'ont demandé : «  Where are you going ? » « I'm just looking around ».
      Lors d'une montée sablonneuse compliquée, je me suis mise à sympathiser avec une jeune femme aussi à vélo. Nous avons donc poussé toutes les deux nos vélos. Lorsque je lui ai expliqué que je voulais simplement découvrir les environs, elle m'a expliqué que notre direction il y avait l'hôpital et m'a demandé si nous voulions y aller ensemble ; et c'est parti ; moi pédalant sous une chaleur pas possible avec du sable bloquant mes roues. Je n'étais pas vraiment sûre de notre arrangement. Vivait elle à côté de l'hôpital ? Travaillait elle à l'hôpital ?
      Kino, mon amie avait tendance à répondre « Yes » à chacune de mes questions. J'ai remarqué qu'on me répondait souvent « Yes » lorsqu'on ne me comprenait pas. Sur notre chemin beaucoup de personne ont abordé mon amie et le mot « Muzungo » (blanche) revenait beaucoup. Ils étaient tous surpris de la voir en ma compagnie ici. Elle répondait avec une certaine fierté que j'étais une nouvelle amie.
      Puis nous arrivons face à un chantier. Nous sommes accueillies par un homme en habits militaires. L'homme me salue en tonga, me regarde attentivement de haut en bas. Kino lui dit de me parler en anglais puis elle se tourne vers moi et me dit : « Now you are safe, I have to go. » Nous nous disons au revoir et échangeons nos numéros. J'explique alors à l'homme que je ne suis pas malade et que je voulais juste voir où se trouver l'hôpital. L'homme me répond qu'il peut me faire visiter l'hôpital. Il m'est compliqué de dire non et cette situation est inhabituelle que j'accepte avec malgré moi un peu d'appréhension. Effectivement qui d'entre nous a déjà été invité par un veilleur de chantier découvrir un chantier d'hôpital ?
      La visite se passe bien, les locaux sont grands, je sens que cet homme est fier de cet hôpital. J'ai même le droit de rencontrer le chef du chantier. N'étant tout de même pas à l'aise, j'explique après la visite que mon travail m'attend, que je dois partir mais que je reviendrai bientôt.

      J'ai bien ressenti une position de personne privilégiée, c'est un sentiment étrange.

      Je décide de rentrer à la maison. Le retour est plus compliqué que prévu, vers la fin ça monte et il fait de plus en plus chaud. Je m’assois donc au bord de la route à l'ombre d'un arbre. Trois jeunes d'environ mon âge viennent me tenir compagnie. On discute un peu, ils me demandent si j'ai des enfants, eux ont en déjà. J'apprends qu'ils cultivent quelques légumes, les vendent ainsi que des œufs derrière l'arbre. On échange nos numéros et je pense passer chez eux acheter quelques trucs.

      Puis je reviens à la maison, épuisée mais toute excitée par ces belles rencontres !

      Après coup, je me suis demandée si j'avais dû être plus prudente, mais sur le moment je sentais que c'étaient les bonnes décisions, que mon instinct ne me trompait pas. Mais après quelques remarques de mon mentor j'essaie d'agir quand même plus prudemment maintenant.
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    • Day 16

      Youth center

      September 7, 2022 in Zambia ⋅ ☀️ 31 °C

      Plus d'informations sur le youth center 

      Le youth center a plusieurs projets et axes de travail. 

      Le premier projet est la prévention sur différents thèmes important comme : le corona, la tuberculose, le mariage chez les adolescents, tomber enceinte en étant encore jeune, le sida, la consommation excessive de drogue ou d'alcool, la pression entre pairs. Ces thèmes vont être abordés sous formes de danses culturelles (avec des chants), de poèmes, de débats ou de pièces de théâtre. D'autres youth center dans les environs suivent également ce programme. Lorsque quand nos jeunes seront prêts,  le but sera d'organiser des rencontres avec d'autres youth center afin de pouvoir échanger sur leurs différentes positions et le prochain but sera ensuite de se rendre dans les community autour (petits villages en parti encore très traditionnels) afin d'informer les personnes. C'est beau de voir à quel point nos jeunes sont motivés, ils s'impliquent comme ils peuvent et sont très bons pour jouer leur rôle. 

      Nous avons également un deuxième projet avec nos ados, où ils cultivent un jardin avec des tomates, du mais, et des choux afin de les revendre et avoir un peu d'argent pour le centre. Apprendre à tenir ce jardin leur permet également d'avoir des connaissances et plus tard de cultiver eux mêmes leurs propres légumes. Les ados s'occupent également d'un poulailler où une fois les poules sont assez grosses, elles vont être vendues. 

      Le troisième projet ici est d'accompagner et soutenir l'apprentissage à la lecture et à l'écriture. Une majorité des enfants vont à l'école mais ont des difficultés à apprendre à lire et à écrire. Nous proposons donc du soutien. Rahel et moi accompagnons quelques groupes d'adolescents dans la lecture de livres en anglais pendant que notre collègue Goldon accompagne les plus jeunes dans l'apprentissage de la lecture en tonga. Cet accompagnement est vraiment intéressant certains jeunes essaient de s'éclipser à ces moments mais d'autres sont très motivés et j'ai déjà lu avec des jeunes pendant 2 heures non stop car ils ne voulaient pas arrêter. Mais par contre les livres que nous avons au centre m'énervent ! Il s'agit que d'histoires qui se passent en Angleterre ou aux Etats Unis et les jeunes ont peu d'images dans lesquelles ils peuvent se projeter. Déjà il s'agit que de personnes blanches, puis ils vont à la mer, ou jouent avec l'eau car il fait trop chaud ,(alors qu'ici c'est impensable tellement l'accès à l'eau n'est pas simple pour tout le monde, effectivement certains ont accès à l'eau courante directe à la maison mais il y a souvent des coupures et d'autres doivent se déplacer pour aller chercher de l'eau à la source), et  ils mangent des pommes. Lire ces histoires tellement loin de leur quotidien me dépasse un peu et j'aimerais bien trouver des histoires qui leur parleraient plus. Si jamais quelqu'un a des recommandations, je suis preneuse !  

      Avec Rahel vous proposons également des jeux collectifs. Souvent un ado nous aide à expliquer le jeu en tonga. Les enfants adorent apprendre ces nouveaux jeux mais faire ces jeux en fin de journée est assez fatigant car leur concentration n'est plus aussi active et les enfants ont dû mal à rester dans le cadre imposé par le jeu mais je pense qu'au fur et à mesure ils arriveront de mieux en mieux à respecter notre cadre. 

      Le youth center a également un quatrième projet: la protection de l'enfance et la protection contre les violences conjugales. Le youth center travaille sur ce projet avec la police. Ils se rendent par exemple ensemble dans les villages afin d'expliquer ce qui peut être un child abuse et comment y remédier et faire de la prévention sur les violences conjugales. Le youth center repère également les enfants qui ne vont pas à l'école ou qui travaillent ou subissent des violences à la maison. Il va ensuite à la rencontre des parents et essaient de comprendre leurs raisons ou leurs difficultés et de trouver une solution pour les soutenir. Mes collègues font également office de médiateurs dans les relations conjugales en difficulté. 

      Voilà en quelques mots les projets auxquels je participe avec le youth center.       
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    • Day 14

      Brief an die Michels

      September 5, 2022 in Zambia ⋅ ☀️ 28 °C

      Liebe Michels, 

      Heute war mein erste Tag bei dem Jugendzentrum von KDF, der von Kindern und Jugendlichen von 2 bis 22 Jahre alt besucht wird. Die Kinder kommen zu uns nach dem Kindergarten/bzw. der Schule. Die Mehrheit des Kindern sprechen viel Tonga und ganz wenig Englisch. Leider ist mein Tonga nicht so gut und da ist es schwierig zu kommunizieren. Zum Glück, gibt es eine Kollegin, die für mich übersetzen konnte. 

      Da werdet ihr überrascht ! Die Lieblingstieren bei den Kindern hier sind nicht Dinos, Pferde oder Einhorn wie bei den Michels sondern mehr Elefanten, Löwe, Giraffe, Zebra und Affe. Dazu egal ob man ein Jung oder ein Mädchen ist, pink und lila sind auch ganz schönen Farben. Um uns zu willkommen, haben sie uns ihren Kultur Tanzt gezeigt verbindet mit Singen über Corona (um die Personen darüber zu informieren ). Trommeln wurden geholt und 2 Linien, eine mit Jungs und eine mit Mädchen wurden gebildet. Die Jungen haben getanzt und die Mädchen haben gesungen und mit ihren Händen geklatscht. Dann haben sie in der Mitte immer ein Mädchen und ein Junge sich getroffen beim tanzen. So ein Tanz habe ich noch nie gesehen. Das Mädchen hat nur ihre Hüfte bewegt von oben nach unten und der Junge hat ganz schnell seine Beine immer wieder gekreuzt. Das war cool. 

      Ich hatte ihnen ein paar Spiele mitgebracht : Dobble und Elfer raus und wie haben dann gespielt. Die Kindern waren sehr nett und spielten auch gerne. Ich bekam auch viel Hilfe von den Jugendlichen, die für mich in Tonga übersetzten. Mir geht’s auf jeden Fall gut und ich hoffe, dass es euch auch gut geht. 

      Ich denke an euch und wünsche euch ein gutes Jahr in eure neue feste Gruppen, 

      Ganz liebe Grüße, 

      eure Clara
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    Sinazongwe District

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