Bolivia Laguna Jankho Kkota

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Travelers at this place
  • Day 125

    Death Road 🚵‍♂️

    April 5 in Bolivia ⋅ ☁️ 36 °F

    One of the top activities to do in La Paz is to mountain bike “Death Road” (officially called Yungas Road). It was built in the 1930s to connect La Paz with the Yungas region in the north. Its name comes from the frequency of deaths occurring when the road was in use, up until 2006. Now it’s mainly used by tourists, with only the occasional local vehicle. It sounds terrifying, but thousands of tourists bike it every year and the guided tours have safety protocols, so we decided to give it a go. We drove to the start, which is a paved 40km section at 4,600 meter elevation. We were given protective clothing under which we put our rain jackets because it was drizzling. The first part wasn’t too challenging because it was smooth, although the rain made the tarmac a bit slick. Even though I’m relatively confident on a bike, I was already a little nervous about falling.

    After a snack we drove a few minutes uphill to the start of the unpaved section. Immediately it was so bumpy that my arms hurt holding onto the hand bars and my head jiggled so much. It’s very steep so you ride the breaks the whole way down. The road didn’t feel too scary in terms of width (although for cars it’s insane) but I was very nervous about crashing. Probably about an hour into a 3-4 hour trip, we found out that a landslide was blocking the road, which meant the support van that followed us wouldn’t be able to continue. This van gave you a bail out opportunity in case you didn’t want to bike anymore. So at that point I decided to call it preemptively, rather than be stuck without an out for another 2+ hours. I rode back up in the van while Henry and our other group member continued on.

    I did get to see some scenery from the van on the new road, which is a regular two lane highway. I talked to the driver with what Spanish I could muster. When we got to the part where the new road joins Death Road, he drove back up about 7km so I could rejoin the others. Both Henry and the other guy had had one wipe out but both were fine. At that point the road is less bumpy and there’s no steep drop, so I did complete the last section (although I still don’t think I’m a fan of mountain biking).

    We finished at a lunch spot in the jungle, now at 1,300 meters. We swam and had some homemade lunch. It looked like they were originally turning the place into a hotel/hostel, but apparently the pandemic halted a lot of building projects in the area. Afterwards we drove back to La Paz via the new road. I’m glad I gave it a try, but I am a little puzzled by how easy others we had spoken to seemingly found it. Maybe it was the rain or just my anxiety of falling but it would have been grueling to complete the whole thing. Henry enjoyed himself, as predicted.
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  • Day 36

    La Paz 🚡

    March 30 in Bolivia ⋅ ☀️ 16 °C

    Als ich in La Paz die Straßen betrete merke ich bereits, das ist das wahre Südamerika - laut, bunt, voll, chaotisch. An jeder Ecke, in jeder freien Lücke, wird etwas verkauft. Die Luft ist nicht mehr ganz so rein wie in Patagonien oder der Wüste. Autos, vor allem Colectivos herrschen hier über die Straßen. Durch die Wege dieser Stadt zu laufen ist auch nicht nur deswegen und auch nicht nur wegen der Höhe (ca. 3700 m) anstrengend, sondern auch, weil die Stadt in die Berge hinein gebaut wurde und man deswegen immer wieder hoch und runter läuft. Aus jedem Blickwinkel sieht man auf der anderen Seite die orangenen Ziegelhäuschen den Berg hoch ragen.

    Ich erkunde die Stadt mit Teilen meiner Uyuni Gang, Maddie und Nick, die ebenfalls mit dem Nachtbus aus Uyuni gekommen sind. Die Märkte sind groß und lebhaft, insbesondere der Mercado de las Brujas lässt uns staunen. Es hängen nicht nur Kräuter und Gewürze herum, sondern auch Baby Lamas oder Lama Föten. Diese werden (so lauten die Geschichten) bei Neubauten in einer Zeremonie in der Erde begraben, um sie Pachamama (Mutter Erde) als Opfer anzubieten. Somit soll das zukünftige Gebäude beschützt werden. Generell sind Bolivianer noch sehr mit ihrer indigenen Wurzeln und der Kultur verbunden, was ich sehr schön und bemerkenswert finde.

    Am nächsten Tag steht El Alto auf dem Programm. Die Stadt liegt auf einem Hochplateu direkt über La Paz und die Grenzen zur Großstadt verschwimmen. Jane und Jon schließen sich heute an. Hoch kommen wir mit einer der vielen Gondellinien, die es hier gibt und schlendern über einen riesigen Flohmarkt und den täglichen Lebensmittel Markt. Anschließend schauen wir uns einen der sehr unterhaltsamen Cholita Fight an. Eine Art Lucha Libre aber mit Cholitas (so nennen sich die bolivianischen Damen mit ihren Kleidern und Hüten) 😅. Ihre prägende Outfits kommen übrigens nicht aus der indigenen Kultur sondern haben europäischen Einfluss.

    Mein dritter Tag sollte eigentlich ein Action-Tag werden, um die berühmte Death Road mit dem Fahrrad entlang fahren. Doch der Wettergott spielt mir leider einen Streich und so entscheide ich mich, es lieber sein zu lassen und verbringe nochmal einen entspannten Bummeltag.
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  • Day 84

    Huayna Potosi : cascade de glace (4800m)

    May 16, 2023 in Bolivia ⋅ ☀️ 7 °C

    Aujourd'hui à nouveau, alors qu'on doit se dépêcher pour se rendre à l'agence pour commencer le Potosi, le sort est contre nous. L'hostal tarde à servir les petits déjeuners et on garde nous aussi à finir de nous préparer. Louis et Victor, prêts avant les autres, partent donc en avance pour éviter de faire trop tarder nos guides et conducteur à l'agence.
    Une fois arrivé, prise de panique légère car l'agence semble fermée à tel point que Joseph et Christelle finissent par nous rattraper et attendre avec nous.
    Finalement, les responsables de l'agence ainsi que le conducteur arrivent. On met alors nos sacs ainsi que le matériel de l'agence nécessaire à l'ascension dans le coffre de la voiture et on part en vitesse direction le premier refuge à 4800 m.

    Malgré quelques blagues, le peu de confort de la voiture, la qualité de la route et l'ascension en voiture de la ville n'améliore pas l'état de notre Joseph qui est bien malade et fatigué. On espère que ça ira mieux pour lui.
    Au bout d'une heure de route environ, après avoir quitté la ville, ses environs et commencé à grimper dans les hauteurs, on fait une petite halte pour admirer les montagnes qui se dessinent devant nos yeux avec quelques sommets enneigés.
    On se remet en selle et sur les coups de 11h30, on arrive à notre refuge. Bien qu'acclimaté, l'altitude se fait quand même un peu sentir.

    À partir de ce moment là, le reste de la journée sera rythmée entre repos et différentes activités. Ainsi, on pose nos affaires puis on va découvrir notre dortoir pour enchaîner sur une petite sieste de plus de 30 minutes avant d'aller manger un copieux repas.
    Une digestion est nécessaire alors on retourne dans notre dortoir se reposer à nouveau. Cela nous permet aussi d'attendre d'autres groupes qui finissent leurs ascensions du Potosi et redescendent pour nous passer du matériel comme les crampons, équipement indispensable pour marcher sur la neige et la glace.
    Une fois le matériel de prêt, on prend quelques affaires chaudes, lunettes de soleil, de l'eau et on part au-dessus du refuge pour s'entraîner à utiliser les crampons et escalader un mur de glace d'une dizaine de mètres car, lors de l'ascension du Potosi le lendemain, on aura sûrement l'occasion de grimper sur de la glace.

    On part donc excité à l'idée de faire de l'escalade de glace. Malheureusement, à 100 mètres de la cascade de glace, les crampons à peine chaussés, Joseph, malgré de nombreux efforts, se sent trop mal pour continuer et décide de ne pas se rendre au mur de glace et de rentrer se reposer au refuge. C'est navrant mais sans doute le meilleur choix pour lui.
    On continue donc sans lui et une fois arrivé devant le mur d'escalade, c'est lui qui est désigné comme premier grimpeur. Il aura bien montré l'exemple car parmi notre petit groupe, c'est lui qui s'en sort le mieux et grimpe avec la meilleure technique. Ça promet pour demain.

    Une fois l'ascension finie, on rentre au refuge pour se reposer. Durant notre activité de l'après-midi, on aura rencontré deux française de 30 ans super sympa qui voyagent en Amérique du Sud aussi. Une fois au refuge, on prend une eau chaude et le goûter avec elles avant d'aller se reposer encore une fois.
    Après le repas du soir, copieux encore une fois, on joue au Uno avec elles et on passe un bon moment ensemble.
    On part ensuite se coucher. Demain la matinée est tranquille puis on entame notre montée au camp supérieur pour préparer l'ascension du Potosi au petit matin. On croise les doigts pour Joseph, en espérant qu'il passe une bonne nuit et soit en plus grande forme pour aller au bout de cette aventure.
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  • Day 66

    Dag Bolivia

    April 10 in Bolivia ⋅ ⛅ 9 °C

    Tja, en dan na 10 dagen ga ik alweer door naar Peru! Morgenochtend in de vroege uurtjes ga ik met de bus de grens over.
    Ik moet zeggen dat Bolivia mij ontzettend verrast heeft, meestal hou ik niet zo van grote steden maar ik ben verliefd geworden op La Paz. De kleuren, de geuren, de chaos. Iets ervan heeft mij geraakt, zeker een plek om nog eens naar toe te gaan. Ik ben natuurlijk naar het cholita worstelen gegaan, vrouwen in traditionele kleding die "worstelen", dit wordt alleen gedaan in El Alto naast La Paz. En ook ben ik met een mountainbike Camino de la muerte af gegaan, of wel: "Death road". Waarom heeft het death road? Dat kun je misschien wel raden. Echter is de weg gewoon open voor verkeer. Ik vond het geweldig! Oh ja, en nog een tattoo laten zetten terwijl er ondertussen protesten uitbraken in de stad en het leger uitrukte.Read more

  • Day 61

    La Paz

    April 5 in Bolivia ⋅ ☁️ 14 °C

    En zo ben ik weer in La Paz, zo gezegd, zo gedaan, maar eigenlijk niet. Bijna was ik er helemaal niet gekomen. Ik zou namelijk de nachtbus nemen van Uyuni naar La Paz, overdag had ik het busstation opgezocht zodat ik wist waar ik vanavond moest wezen. Ik had het gevonden en er stonden inderdaad bussen geparkeerd, ik wist waar ik wezen moet. Echter, toen ik 's avonds om 22.00 daar aankwam vond ik het wel heel stil. Ik sprak een voorbijganger aan en die vertelde mij dat dit het oude busstation is en er tegenwoordig helemaal geen bussen meer vertrekken, ik moest naar het nieuwe station. Maar ja, waar is dat dan? "Zeg het maar tegen een taxi chauffeur, die weet het wel" Maar dan moet je wel eerst nog een taxi vinden. Uiteindelijk gevonden en netjes afgeleverd op het nieuwe busstation, 10 min voor vertrek. Maar ik zag mijn bus helemaal niet staan. Ik opzoek naar het loket van de busmaatschappij, die vertelde mij dat de bus kapot was en niet reedt. Daar sta je dan. Nadat ik aandrong voor een oplossing kreeg ik een plekje op een andere bus die ook naar La Paz ging. En zo zat ik 1 min voor vertrek in de bus. Het was een stressvol halfuurtje, maar ik ben nu veilig aangekomen in La Paz!Read more

  • Day 24–25

    Gipfelfieber / Huayna Potosí

    March 21 in Bolivia ⋅ ☁️ 2 °C

    Krissi und ich konnten es nicht lassen - das Gipfelfieber hatte uns gepackt. Da wir beim letzten Mal den „Huayna Potosí“ nicht bis zum Ende besteigen konnten, mussten wir die Mission erneut angehen. Traurigerweise war dies auch unsere letzte Mission zusammen, da Krissi danach schneller weiter musste als Karen und ich. Diesmal ließen wir den Trainingstag mit dem Eisklettern aus, und wanderten am ersten Tag direkt vom Basecamp zum Highcamp auf 5200hm. Die Gruppe, die dort bereit auf uns wartete, war mit insgesamt 18 Personen sehr groß, aber alle waren total nett. Schon am Highcamp hatten wir dieses mal nach einem Gewitter, bei dem uns im wahrsten Sinne des Wortes die Haare von der Elektrizität in der Luft zu Berge standen und die Guides uns reinriefen, viel bessere Wetterverhältnisse als beim letzten Mal, es zeigte sich bereits eine fantastische Aussicht auf die umherliegenden Berge. Um 01:00 Uhr nachts ging es dann nach zwei Stunden Schlaf, mehr war diesmal bei mir nicht drin, statt wie beim vorherigen mal im Schneesturm, bei klarer Sicht mit Sternenhimmel los. Krissi und ich liefen mit unserem Guide Franz, der ein flottes Tempo vorgab, aber wir konnten gut durchhalten. Spannend wurde es dann auf 5700hm. An diesem Punkt mussten wir beim letzten mal umdrehen - diesmal konnten wir das Eisklettern an der Bergwand durchführen. Nur aneinander gesichert, war das ganz schön aufregend. Ich hatte auf jeden Fall ein bisschen Angst, vor allem weil von den vor uns Kletternden immer wieder Eisstücke runterfielen, aber wenn man einmal in der Wand dranhängt, geht es auch nicht so gut zurück. Nach dem Klettern, dass mental herausfordernd, aber körperlich nicht so anstrengend war, kam das schwerste Stück. Die Luft war ziemlich dünn und Krissi und ich waren schon müde, sagten uns aber immer wieder, dass wir es schaffen würden und bissen uns durch, ab hier war das alles mehr Willensstärke als Fitness. Dreißig Minuten vorm Gipfel zog in der Ferne ein Gewitter auf. Die Guides waren nicht beunruhigt und schätzten im Endeffekt auch alles richtig ein, trotzdem hatte ich an dem Punkt ganz schön Angst, allerdings wurde mir von den Guides verboten zu weinen, sie meinten, das solle ich mir bis zum Gipfel aufheben. Als wir endlich gegen 06.30 Uhr dort ankamen, konnten Krissi und ich auch nicht mehr an uns halten: die Anspannung, die Anstrengung, die Freude, es im zweiten Anlauf geschafft zu haben - wir fielen uns in die Arme und brachen in Freudentränen aus. Der obligatorische Singani (Traubenschnaps) für Pachamama und uns durfte natürlich auch nicht fehlen. Gut 15 Minuten verbrachten wir auf dem Gipfel, bevor wir bei bestem Wetter wieder hinunter mussten. Der Abstieg ging wesentlich schneller und gegen 08.30 Uhr waren wir wieder am Highcamp, wo wir eine kurze Pause machten und Suppe aßen, bevor es zum Basecamp und von dort zurück nach La Paz ging. Dort stand der zweite emotionale Moment des Tages an: Nach fast sieben Wochen mehr oder weniger zusammenreisen, mussten Krissi und ich uns trennen. Ich bin unendlich dankbar, dass ich Krissi gefunden hatte und mit so einer tollen, lustigen, lieben, immer fröhlichen neuen Freundin so viele witzige, schöne und aufregende Tage verbringen durfte. Wir werden auf jeden Fall in Kontakt bleiben und auch wenn ich mich riesig freue, mit Karen weiterzureisen, werde ich Krissi ganz doll vermissen!!! 🏔️Read more

  • Day 22–24

    La Paz 3.0 / Chacaltaya

    March 18 in Bolivia ⋅ ⛅ 5 °C

    Nach dem Dschungelabenteuer verbrachten wir die letzten Tage in La Paz. Am Tag nach unserer Rückkehr landete Karen in La Paz, was mich RIESIG freute. Mit ihr werde ich wahrscheinlich den Großteil der restlichen Reise verbringen. Mit ihr machten wir erstmal einen Abstecher zum Plaza Murillo, dem Hauptplatz der Stadt voller Tauben. Danach durften wir noch live erleben, wie Korruption funktioniert. Beim Sonnenuntergangsbier auf dem „Mirador Killi Killi“ wurden wir von der Polizei abgefangen, weil man an öffentlichen Plätzen keinen Alkohol trinken darf. Hierbei hatten wir die dann Wahl, mit aufs Revier zu fahren und das ganze ordentlich zu regeln, oder 500 Bolivianos direkt und gemeinsam an die beiden abzutreten. Mhhhh… Wir entschieden uns für den einfachen Weg. Am Tag darauf machten wir zu dritt eine Free-Walking-Tour. Die ganzen Infos waren super spannend und interessant. Bolivien ist bis 1825 eine spanische Kolonie gewesen und kämpft seit der Befreiung bis heute gegen korrupte Politik - es gab eine Menge wahnsinnige Storys über verrückte Präsidenten, die man sich in Deutschland kaum vorstellen kann. Da weiß man doch wieder eher zu schätzen, wie es bei uns läuft, auch wenn es bei weitem nicht perfekt ist. Das Land kämpft aktuell außerdem ziemlich mit Inflation. Eine weitere Rarität in La Paz ist das Gefängnis „San Pedro“, ein Gefängnis, das von den Gefangenen selbst geführt wird und in dem etliche Leute sitzen und auf ihren Prozess warten, denn hier gilt der Grundsatz: Schuldig, bis man seine Unschuld beweisen kann. Polizeipräsenz gibt es nur um das Gefängnis herum. Die Gefangenen leben in dem Gefängnis nicht schlecht, wenn sie Geld haben, denn dann gibt es luxuriöse Einzelzellen mit Kabelfernsehen und weiteren Annehmlichkeiten. Um sich als Insasse dieses Geld zu verdienen gibt auch Restaurants, Barbershops, Schneider und weitere Services im Gefängnis und die Familien wohnen mit den Insassen. Der Kokainhandel läuft im Gefängnis quasi ungebremst. Bolivien ist ein sehr, sehr abergläubisches Land. Der Gebrauch von okkulten Praktiken und Hexen hier noch verbreitet. Es gibt einen Hexenmarkt, wo man sich alle möglichen Tränke für jegliches Problem zusammenmischen lassen kann. Nach all den Infos und der spannenden Tour gingen wir noch traditionell bolivianisch essen und schlenderten ein bisschen durch die Straßen. Gestern machten wir dann eine Wanderung auf dem Berg „Chacaltaya“. Diese war nur sehr kurz, es ging mehr darum, zu sehen, wie wir nach der Zeit in Rurre auf die Höhe reagieren. Bei knapp 5400hm hatten wir wahnsinnig tolle Ausblicke - auch wenn die traurige Kehrseite hier wieder war, dass der ehemalige Gletscher aufgrund des Klimawandels inzwischen komplett eisfrei ist. Am Nachmittag zeigten wir Karen noch mal den überdimensionalen Markt in El Alto und aßen wir gemeinsam mit Anna Pizza bei unserer Pizzaoma. Das war es dann soweit erstmal mit La Paz - ab morgen geht es wieder in die Berge. 🚠Read more

  • Day 10

    Huayna Potosí - Tag 3 / Kein Happy End

    March 7 in Bolivia ⋅ ☁️ -5 °C

    Um 12 Uhr nachts wurden wir geweckt, die meisten von uns aufgrund einer Mischung von Aufregung, dem frühen zu Bett Gehen, durch die Höhe bedingte lustige Mägen und die Kälte im nicht beheizten Schlafsaal nach nicht allzu viel Schlaf. Trotzdem starteten wir um 01 Uhr mit voller Energie und Aufregung bei vollem Schneegestöber. Die ersten 40 Minuten mussten wir ein wenig an Seilen an den Felsen entlangkraxeln, danach ging es richtig los. In Zweiergruppen wurden wir mit je einem Guide verbunden, um uns gegenseitig zu sicher. Außerdem mussten die Crampons unter die Schuhe und der Eispickel in die Hand und der harte Teil der Bergbesteigung begann. Charlotte musste während dem Aufstieg leider umdrehen, da es ihr nicht gut ging, Malte wurde an einen anderen Guide „weitergegeben“. Durch den immerwährenden Schneefall kämpften wir uns bis auf 5700hm, dann wurde uns die große Enttäuschung verkündet, die wir vorher schon geahnt hatten: Wir konnten nicht weiter bis auf den Gipfel. Wir gelangten an den ersten sehr steilen Abschnitt, an dem wir hätten etwas klettern müssen und der erste dort angelangte Guide einer anderen Gruppe konnte selbst nicht hoch, es war zu zugeschneit und verweht. Gleichzeitig war es auch uhrzeitmäßug zu spät, weil durch das Laufen durch den frischen Schnee auf dem gesamten Weg zu langsam waren und man nicht nach 7 Uhr an der Spitze ankommen darf, da sonst wird der Abstieg zu gefährlich wird. Zu dem allen kam dann noch dazu, dass durch den Wind und den Neuschnee eine hohe Lawinengefahr bestand. Es ist natürlich sehr gut, dass wir umkehrten und keine Leben riskiert werden, nur um Touristen zum Gipfel zu kriegen. Aber Krissi und ich sind - wie unsere ganze Gruppe - sehr enttäuscht, weil wir gar keine Probleme hatten, weder Kopf- noch Bauchschmerzen, noch zu wenig Energie noch Atemnot. Wir waren super fit und uns sicher, dass wir es zum
    Gipfel geschafft hätten. Nun überlegen wir, die Tour in einiger Zeit noch mal anzutreten, da gerade das Wetter insgesamt zum Besseren umschwingt und wir gerade gut in Form und akklimatisiert sind. Trotz allem war es eine unglaubliche Erfahrung, nachts mit der Kopflampe im Schnee auf über 5000hm zu wandern und zu sehen, wozu man so fähig ist. On top kam natürlich noch, dass es mit einer super tollen und lustigen Gruppe und wunderbaren Guides noch mal ein besseres Erlebnis war. Jetzt sind wir auf dem Weg zurück nach La Paz, was wir in den nächsten Wochen dann machen werden, das wird sich zeigen. 🌨️
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  • Day 143–145

    Death Road & La Paz

    March 6 in Bolivia ⋅ ☁️ 14 °C

    I arrived in Bolivia without any issues and made my way to La Paz, a city nestled high in the mountains. Navigating through the chaos was a headache traffic was wild, and Google Maps kept leading me the wrong way on one-way streets.

    My main goal was to check out Death Road, a narrow gravel route carved into the mountains. In the ’90s, it was notorious for hundreds of deaths each year. But after a new road was built in 2006, most traffic shifted, and today, it’s mostly used by mountain bikers and a few local vehicles.

    I began the ride by climbing high into the snow-capped Andes before turning onto the road. The descent into the jungle was breathtaking, steep cliffs, waterfalls spilling onto the path, and thick mist hanging in the valleys. Some parts of the road were rougher than I expected. I was struck by the sheer number of crosses and shrines lining the roadside.

    Despite the challenges, the side trip into the Amazon made it all worthwhile. The jungle was incredibly loud, filled with the constant calls of unseen birds. No matter how hard I searched, I never managed to spot a single one.

    After about four hours of riding, I made it back to La Paz and began planning my next stops in Bolivia.
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  • Day 9

    Huayna Potosí - Tag 2 / Highcamp

    March 6 in Bolivia ⋅ ☁️ 5 °C

    Nach guten neun Stunden Schlaf, einem köstlichen Frühstück, ein paar Stunden Entspannung und einem reichlichen Mittagessen ging es für uns auf zum Highcamp auf 5130hm, wo wir die „Nacht“ (von 18 Uhr bis 00 Uhr) verbringen werden, bevor wir zum Gipfel starten. Bei dieser recht kurzen Wanderung - 100 Minuten, 2,4km, 430hm - bekamen wir (wahrscheinlich) schon einen kleeeinen Vorgeschmack auf die Schwierigkeit von morgen, da wir unsere Rucksäcke mit Wechselkleidung, Bergschuhen, Crampons, Eispickel, Helm und Schlafsack den Berg hochtragen mussten - das Gewicht und der immerwährende Schneeregen, der alles durchnässte, machten es uns nicht wirklich leicht. Angekommen an der Hütte gab es erstmal Tee und Kekse, anschließen saßen wir zusammen, unterhielten uns und versuchten mit einem kleinen Öfchen unsere Sachen zu trocknen. Die Runde ist spaßig und wir haben eine sehr gute gemeinsame Zeit, aber die Aufregung für morgen ist definitiv schon bemerkbar, die meisten Gespräche drehen sich um die Bergbesteigung und das potentielle erreichen des Gipfels. Nach dem Abendessen um 17 Uhr geht es dann ins Bett, um Mitternacht werden wir aufstehen um 01 Uhr mit dem Weg starten. 🌧️Read more

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