Kenya, le contraste

Malgré mes habitudes en Afrique noire, la transition fait son petit effet.

Le contraste visuel est impressionnant, qu'il s'agisse évidemment des gens, ou des infrastructures, des bâtiments.

D'entrée a Nairobi, je suis frappé par la politesse et le sens de l'accueil très chaleureux.
Je retrouve mes sensations connues, les voitures en panne, les trottoirs effondrés lorsqu'existants, la signalisation partielle, le fossé qui se ressent fort entre les espaces sécurisés pour riches et la population.
On m'indique de ne pas marcher dehors la nuit tombée.
Mais l'essentiel est cette evidence quant au ressenti d'avoir le temps, de pouvoir discuter et échanger agréablement avec tous.
L'atmosphère est donc bien différente.

Bon, pour être honnête, Nairobi n'a pas grand intérêt mis à part les interactions humaines, fondamental. J'en profite donc pour me remettre du décalage avec cette énergie culturelle humaine.

Demain, en route pour la réserve d'Amboseli, même si je n'ai rien réservé ni préparé, et encore moins pour comment ensuite rejoindre la Tanzanie. Mais bon ça va le faire.

Actualisation avec quelques photos de la magnifique route pour Amboseli jusqu'à mon campement, et le superbe coucher.Baca lagi