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Madagascar 2018
  • Jean-Sébastien Guénette
  • Jean-Sébastien Guénette

Madagascar 2018

Voyage d'exploration pour un circuit ornithologique prévu pour l'automne 2019 En savoir plus
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Les plus récents en premier
  • Début du voyage
    5 octobre 2018
  • Jean-Sébastien GuénetteMadagascar 2018Voyageur

    Aéroport d'Ivato

    6 octobre 2018, Madagascar

    Arrivée plutôt tardive en sol malgache. Nous avons atterris autour de 22h20, mais le temps de se procurer le visa, de passer la douane, de récupérer nos baguages, et de changer un peu d'argent, nous sommes sortis de l'aéroport un peu avant une heure du matin.

    Le passage aux douanes fut particulièrement « mémorable »... Après quelques questions rapides, la personne que nous pensions être le douanier remet notre passeport à une autre personne qui va le porter sur une pile un peu plus loin. À cet endroit LE douanier, celui qui semble être le seul de service, doit signer à la main les 300+ passeports de l'ensemble des voyageurs qui viennent de sortir de l'avion. Pour l'efficacité, on repassera!    En savoir plus

  • Jean-Sébastien GuénetteMadagascar 2018Voyageur

    Hotel Tamboho

    7 octobre 2018, Madagascar ⋅ ☁️ 15 °C

    Première matinée en sol malgache. Dès l'ouverture des rideaux, je vois l'étang qui se trouve tout juste derrière l'hôtel et un nombre considérable d'oiseaux aquatiques : dendrocygnes, bihoreaux, hérons, gallinules, etc. À cela s'ajoute mon premier Foudi rouge (femelle), des Martins tristes, Hirondelles des mascareignes, Martin-pêcheur vintsi, etc.En savoir plus

  • Jean-Sébastien GuénetteMadagascar 2018Voyageur

    Parc national Ranomafana

    8 octobre 2018, Madagascar ⋅ 🌧 19 °C

    Enfin notre première vraie excursion à Madagascar! La pluie s'est toutefois mise de la partie, ce qui a rendu assez ardu les observations, du moins pendant l'avant-midi. Nous avons tout de même réussi à trouver plusieurs espèces intéressantes, dont la Mésite brune, le Brachyptérolle pittoïde, la Philépitte veloutée, le Tchitrec malgache, etc. Ajoutons à cela l'Hapalémur doré, un lémur à l'origine de la création du parc, et le Propithèque de Milne-Edwards, trop haut et à la pluie battante, impossible à photographier. Une randonnée nocturne nous a permis d'observer le Microcèbe roux, le plus petit lémurien au monde, ainsi qu'une belle panoplie de caméléons.

    Le Parc national de Ranomafana est un parc national créé en 1991 pour préserver la biodiversité exceptionnelle de la région et protéger l'habitat des espèces endémiques de la faune et de la flore malgaches.

    Le parc est célèbre pour sa végétation luxuriante, ses forêts tropicales humides et ses paysages pittoresques. Il couvre une superficie d'environ 41 600 hectares et abrite une grande diversité d'écosystèmes, notamment des rivières, des cascades, des montagnes et des vallées.

    La faune de Ranomafana est remarquablement riche et variée. On estime que le parc abrite plus de 100 espèces de mammifères, dont certaines sont uniques à Madagascar, comme le lémurien doré (Hapalemur aureus) et le lémurien à ventre roux (Eulemur rubriventer). D'autres animaux emblématiques du parc incluent le fossa (Cryptoprocta ferox), un prédateur endémique de Madagascar, et le caméléon de Parson (Calumma parsonii).

    Le parc est également un paradis pour les ornithologues, avec plus de 120 espèces d'oiseaux répertoriées.

    Les visiteurs peuvent explorer le parc à travers un réseau de sentiers de randonnée, qui offrent une occasion unique d'observer la faune et la flore dans leur habitat naturel. Il est recommandé de se faire accompagner d'un guide local pour profiter au mieux de l'expérience et pour en apprendre davantage sur la biodiversité de la région.

    Ranomafana, qui signifie "eau chaude" en malgache, fait référence aux sources chaudes présentes dans la région. Ces sources thermales naturelles constituent également une attraction supplémentaire pour les visiteurs qui souhaitent se détendre après une journée d'exploration dans le parc.    En savoir plus

  • Jean-Sébastien GuénetteMadagascar 2018Voyageur

    Réserve communautaire Anja

    9 octobre 2018, Madagascar ⋅ ☁️ 22 °C

    La réserve d'Anja abrite une colonie d'environ 400 Lémurs cattas, le fameux « King Julian » du film Madagascar. Cet arrêt n'était pas prévu à l'itinéraire, mais comme nous passions tout juste à côté de la réserve, il était impossible de ne pas arrêter quelques heures. Quelle expérience! À notre arrivée, les lémuriens étaient tous dans les arbres, mais vers 13h00, ils ont commencé à descendre pour aller boire de l'eau. Visiblement habitués aux touristes, les animaux se laissaient approcher, même les femelles portant un jeune sur leur dos.

    La réserve communautaire Anja est une réserve naturelle située à environ 47 kilomètres au nord de la ville de Fianarantsoa. Elle est gérée par la communauté locale d'Anja, en collaboration avec des organisations de conservation.

    La réserve d'Anja est connue pour sa population de lémuriens Catta, également appelés lémuriens à queue annelée ou "maki catta". Ces lémuriens, reconnaissables à leur fourrure grise et à leur queue annelée noire et blanche, sont emblématiques de Madagascar. Anja abrite l'une des populations les plus accessibles de lémuriens Catta dans tout Madagascar, ce qui en fait une destination populaire pour les touristes et les amoureux de la nature.

    La réserve offre aux visiteurs la possibilité d'observer les lémuriens Catta de près, ainsi que d'autres espèces de faune et de flore locales. En plus des lémuriens, on peut y trouver des caméléons, des oiseaux endémiques, des reptiles et une variété de plantes indigènes.

    La gestion de la réserve est basée sur un modèle de conservation communautaire, où les revenus générés par le tourisme sont utilisés pour soutenir le développement de la communauté locale et la conservation de l'environnement. Les bénéfices sont investis dans des projets éducatifs, des infrastructures locales, des initiatives de santé et d'autres initiatives de développement durable.

    La visite de la réserve communautaire Anja se fait généralement avec un guide local de la communauté, qui fournit des informations sur la faune, la flore et les efforts de conservation en cours. Les sentiers bien entretenus permettent une randonnée agréable à travers la réserve, offrant de belles vues sur le paysage environnant.    En savoir plus

  • Jean-Sébastien GuénetteMadagascar 2018Voyageur

    Parc national de l'Isalo

    9 octobre 2018, Madagascar ⋅ ☁️ 22 °C

    Le Parc national de l'Isalo est un parc national réputé pour ses paysages spectaculaires, ses canyons, ses formations rocheuses uniques et sa biodiversité remarquable.

    Le parc s'étend sur une superficie d'environ 81 540 hectares et offre aux visiteurs une variété d'activités de plein air, telles que la randonnée, l'observation de la faune et de la flore, la baignade dans les piscines naturelles et l'exploration des canyons.

    L'un des aspects les plus remarquables du parc national de l'Isalo est sa géologie fascinante. On y trouve d'anciennes formations rocheuses, des gorges profondes, des falaises de grès, des canyons étroits et des plateaux. Ces paysages uniques créent des opportunités de randonnée et d'escalade pittoresques, avec des points de vue panoramiques sur les environs.

    La biodiversité de l'Isalo est également remarquable. Le parc abrite une flore variée, avec une grande diversité de plantes succulentes, de palmiers et de différentes espèces endémiques. Quant à la faune, on peut y trouver des lémuriens, des reptiles, des oiseaux et des petits mammifères.

    Parmi les sites les plus connus du parc, on trouve la piscine naturelle de Namaza, une belle cascade entourée de végétation luxuriante, où les visiteurs peuvent se baigner. Le canyon des singes (Canyon des Makis) est également une attraction populaire, avec ses formations rocheuses abruptes et ses paysages spectaculaires.

    Il est recommandé de visiter le parc national de l'Isalo avec un guide local, qui peut fournir des informations sur la faune, la flore et les itinéraires de randonnée. Les guides locaux sont également familiers avec les règles de conservation du parc et peuvent aider à préserver cet environnement naturel fragile.    En savoir plus