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  • Day 32

    Road trip Gwada J1 : tuto bivouac

    March 18, 2022 in Guadeloupe ⋅ ⛅ 28 °C

    Après avoir dit au revoir à la Désirade et fuit par la mer, on récupère notre super bolide de 250 cv (Dacia sandero). En route pour l'aventure.
    Avant de commencer notre road trip, on fait une étape shopping à decathlon (1 mois d'abstinence quand même !) pour acheter des lycras et être bien protégés du soleil (cf le dos de Clara). On craque aussi pour un bon morbier et une belle tome des Alpes accompagnés de leur pain de campagne.
    Notre première étape est la plage de Babin. C'est une plage atypique dans la mangrove où il est coutume de se recouvrir de boue plutôt que de snorkeler. On la trouve idéale pour revenir bivouacer (la suite va vous étonner..).
    L'étape suivante est la plage du Souffleur, magnifique, on y fait un long snorkeling, dans des conditions qu'on avait pas eu depuis 2 semaines.
    La beauté de la plage sous le coucher du soleil nous invite à boire un planteur au bar. Surprise, 12 euros le verre. Une bonne leçon sur les attrapes touristes. En plus le notre est meilleur.
    Les choses intéressantes commencent le soir, de retour sur la première plage. Il s'avère que cette dernière est en fait envahie de moustiques. On devient fous car ça nous picotte de partout : même dans les cheveux. On trouve ça étrange car on est recouverts de produit anti moustique et que le nombre de boutons à déplorer n'est pas si élevé. On met ça sur le coup de la paranoïa et du sel. Rentrer dans la chambre demande une concentration et une organisation sans faille pour ne pas laisser les moustiques nous accompagner, mais on fini par s'en sortir pas trop mal.
    C'est n'est que le lendemain avec le jour et plus de visibilité que l'on comprend la supercherie. En plus des moustiques, la plage est infestée de moucherons, que l'on nous introduira plus tard comme "yenyens". Ces minuscules moucherons boivent le sang de leur victime et un essein peut infliger 800 piqures (heureusement plus gentilles que celles des moustiques) en l'espace de 30 minutes. On a compris que la veille ce n'était pas les moustiques qui nous mettaient hors de nous mais bel est bien ces satanées bestioles. Au moins on a bien fait rire les locaux quand on leur a raconté où on avait dormi !
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