• Jean-Sébastien Guénette
  • QuébecOiseaux

Cuba 2017

Circuit ornithologique dans les régions d'Holguin et de Guantanamo Read more
  • Trip start
    November 17, 2017
  • Sol Rio de Luna y Mares

    November 18, 2017 in Cuba

    Compte tenu de notre arrivée aux petites heures du matin, la première journée avait été planifiée de façon à être plus légère. Déjeuner copier, rencontre d’information avec Julio, notre guide qui nous accompagnera toute la semaine, puis départ pour une randonnée au sentier écologique Las Guanas.

    Évidemment, la chaleur torride engourdit nos oiseaux. Mis à part quelques parulines, des Pics poignardés ainsi qu’un Tacco de Cuba non-coopératif, c’est plutôt tranquille. Mais bon, on découvre le site et on apprend à se connaître.

    Suite à cette première randonnée, une partie du groupe m’accompagne sur la passerelle reliant l’hôtel Paradisius et surplombant un étang réputé pour être habituellement fort intéressant. Et c’est le cas. Au moins une vingtaine de Grandes Aigrettes s’y trouvent, des urubus en quantités industrielles, un bon groupe d’Échasses d’Amérique, ainsi que plusieurs espèces différentes de parulines. Parmi elles, un Viréo de Cuba représente une belle observation pour tout le monde.

    Au dîner, les Quiscales violets et les Petits Carouges sont des primecoches faciles pour la majorité d’entre nous.

    Nous décidons de retourner à la passerelle en fin d’après-midi pour voir si d’autres espèces peuvent y être trouvées. C’est à ce moment que nous découvrons une « orgie d’Ardéidés ». À un certain moment, nous pouvons observer huit espèces en même temps : Grand Héron, Grande Aigrette, Aigrette neigeuse, Aigrette bleue, Héron garde-boeufs, Héron vert, Bihoreau gris et Bihoreau violacé. Ajoutons à cela l’Aigrette tricolore observée au même endroit en avant-midi et nous avons observé presques toutes les espèces d’Ardéidés observables à Cuba. En fait, il ne nous manque que l’Aigrette roussâtre, le Butor d’Amérique et le Petit Blongios pour compléter ce groupe d’espèces. Ce que nous espérons compléter pendant la prochaine semaine!

    Cette première journée se termine donc avec un total de 42 espèces, dont trois espèces endémiques (Pic poignardé, Viréo de Cuba et Quiscale violet). Demain, c’est le départ pour Baracoa et le Parc national Alejandro de Humboldt. Les attentes sont élevées pour le nombre d’espèces endémiques possiblement trouvables.
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  • Départ à 4 h du matin, pour faire quatre heures de route et se rendre jusque dans la province de Guantanamo et visiter le fameux Parc national Alejandro de Humboldt. Semble-t-il qu’environ 2 % de la flore mondiale se trouve dans ce parc.

    Guidés par notre guide local, El Indio, nous ferons le sentier El Recreo, qui sillonne collines et vallées pour nous faire découvrir la flore et la faune des forêts humides.

    Ce parc est nommé en l'honneur du scientifique Alexander von Humboldt, qui a visité l'île en 1800 et 1801, et est considéré comme le « second découvreur de Cuba » en raison recherches qu'il y a effectué.

    À peine quelques dizaines de pas dans le sentier qu’un oiseau de proie vient se poser tout près. Un Épervier de Cuba! Un proche parent de notre Épervier de Cooper.

    Quelques mètres plus loin, c’est le Moucherolle tête-fou qui nous fait attendre son chant et nous rappelle qu’il est considéré par les Anglos comme un pewee.

    En quelques secondes, l’oeil de lynx d’El Indio nous débusque un Hibou maître-bois ainsi que notre premier Todier de Cuba de la journée.

    En plus de bien connaître ses oiseaux, notre guide s’y connait très bien en plantes et s’avère extrêmement efficace pour trouver diverses espèces de serpents, de lézards, d’orchidées, etc.

    Mais le coup de grâce vient quand nous entendons : El Tocororo! Tout le monde ici connaît le Tocororo, l’emblème du pays, le Trogon de Cuba. Celui-ci porte d’ailleurs fièrement les couleurs du drapeau cubain. L’oiseau est un peu haut pour les photographes, mais tous peuvent se rincer l’oeil pendant de longues minutes.

    Voilà un oiseau que je n’avais toujours pas réussi à voir, malgré deux précédents séjours à Cuba. Voilà donc l’espèce que j’espérais le plus pouvoir montrer au groupe!

    Notre randonnée s’est terminée par de multiples traversées d’une rivière assis sur une cariole tirée par des boeufs, ainsi que par l’observation d’une Émeraude de Riccord.

    Nous avons donc ajouté 17 espèces à notre liste, portant notre total à 59 espèces.
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  • Il était prévu aujourd'hui d'aller visiter une autre partie du Parc national Alejandro de Humboldt, un peu plus à l'est et plus près de la ville de Baracoa. Mais les fortes pluies des derniers jours ont rendu impossible la traversée d'une rivière.

    Il fut donc décidé de faire un autre sentier tout près, dans un secteur plus agro-forestier toutefois. Ce qui devrait nous permettre d'espérer ajouter de nouvelles espèces à notre liste.

    Et c'est le cas, dès notre arrivée, nous sommes accueilli par un groupe d'Orioles de Cuba ainsi que plusieurs volées d'Amazones de Cuba. Les Corneilles de Cuba, que nous avions observé pour la première fois la veille, sont omniprésentes aujourd'hui, et très vocales. Leur cri ressemblent beaucoup plus à ce qu'on pourrait s'attendre d'un perroquet que d'une corneille.

    On dirait bien que le mot s'est passé que nous allions être présents. Devant presque chaque habitation rencontrée, une petite table est disposée pour vendre chocolat, gâteries, instruments de musique, boissons, noix, poteries, etc. La région est d'ailleurs réputée mondialement pour son chocolat.

    J'écrivais dans le blogue hier que j'avais enfin pu observer le Tocororo, le Trogon de Cuba, à mon troisième séjour au pays. Il s'est produit ce qui arrive souvent quand on réussit à mettre nos jumelles sur notre nemesis bird, notre bête noire : il en pleut! C'est ce qui est arrivé aujourd'hui avec notre deuxième trogon en deux jours, dans une meilleure lumière celui-là en plus! Encore un peu haut perché toutefois.

    Au total, nous ajouterons neuf nouvelles espèces aujourd'hui, pour porter notre total à 68 espèces.
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  • Campismo Silla de Gibara

    November 21, 2017 in Cuba

    À peine arrivés au camping de la Silla de Gibara, la pluie se met de la partie au point de mettre en péril notre randonnée. Après quelques centaines de mètres, nous décidons de nous réfugier à l'entrée d'une petite grotte, tout près du sentier. Malgré la pluie assez intense, le pishing fonctionne bien et attire jusqu'à nous une bonne diversité d'espèces d'oiseaux, dont le Viréo de Cuba, le Todier de Cuba et quelques espèces de parulines. Parmi celles-ci, un couple de Chilinas d'Oriente viendra se donner en spectacle devant tout le groupe. Malheureusement, la pluie minimise les opportunités de photographies.Read more

  • PMN Bahía de Bariay

    November 21, 2017 in Cuba

    Lorsque la pluie se calme un peu, nous décidons de redescendre la montagne et de tenter notre chance ailleurs. Nous nous dirigeons donc vers une ferme, puis vers le Parque monumento nacional Bariay, l'endroit où Christophe Colomb aurait découvert l'Amérique en 1492. Le moment dans l'histoire où l'Ancien-Monde et le Nouveau-Monde se sont rencontrés...Read more

  • Sol Rio de Luna y Mares

    November 21, 2017 in Cuba

    Après un bon repas, c'est le retour à l'hôtel, où une bonne partie du groupe décide de retourner sur la fameuse passerelle pour voir si de nouvelles espèces se sont ajoutées. Nous y découvrirons effectivement trois nouvelles espèces : le Canard des Bahamas, le Petit Fuligule, et le Petit Blongios! Celui-ci se trouve exactement au même endroit où nous avons observé neuf espèces d'Ardéidés lors de la première journée du séjour. Nous en sommes donc rendus à 10 espèces; il ne manque maintenant que le butor et l'Aigrette roussâtre pour compléter le portrait de famille.

    Nous ajouterons aujourd'hui à notre liste 9 nouvelles espèces, portant notre total à 77 espèces.
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  • Delta de Cauto

    November 22, 2017 in Cuba

    Le delta de Cauto, situé dans la province de Granma, au sud du pays, est le deuxième plus grand milieu humide de Cuba. Après Zapata. Et l'un des plus importants dans l'ensemble des Caraïbes. C'est aussi un endroit protégé, très protégé même, difficile d'accès si on n'a pas de permissions spéciales. D'où l'intérêt d'ailleurs de prendre part à un circuit ornithologique organisé, comme le nôtre.

    Et c'est vers cet endroit que nous nous dirigeons ce matin après un lever à 3 h 30. Le site accueille une bonne population de Flamants des Caraïbes, particulièrement cette année, puisque l'ouragan Irma a détruit quasiment tout leur habitat au nord du pays. Les oiseaux se sont donc réfugiés de l'autre côté de l'île, à notre grand bonheur!

    Avant d'arriver à la colonie de flamants, nous devons traverser une mangrove, via de petits canaux plutôt étroits, mais qui nous permettent de belles rencontres avec la faune aviaire. Et avec les moustiques...

    À droite, une percée dans la mangrove. Notre guide fait dévier tranquillement la trajectoire de notre embarcation dans cette direction... et là! Nous nous retrouvons en plein milieu de la colonie de flamants. Ceux-ci sont à quelques mètres de nous. Plus personne n'ose parler. N'ose respirer. On s'imprègne du moment présent. Les adultes, plus roses, côtoient les juvéniles, moins colorés.

    Nous nous dirigeons par la suite vers une île où niche hérons, pélicans, spatules et cormorans. Le site étant encore en développement, nous n'avons pas un bon point de vue sur la colonie. Mais on réussit quand même à voir les principales espèces lors des allées et venues vers la colonie.

    Nous terminerons notre journée avec la visite d'une ferme de flamants. Lorsqu'ils trouvent dans la colonie de jeunes flamants malades ou affaiblis, ils les capturent puis les soignent. Ces flamants sont par la suite acheminés à l'étranger afin d'approvisionner les jardins zoologiques de la planète.

    Une autre belle journée, avec 19 nouvelles coches, portant notre total à 96 espèces! Il ne nous reste plus que 1½ journée pour espérer atteindre au moins le seuil magique de 100 espèces. Y arriverons-nous?
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  • Salto del Guayabo

    November 23, 2017 in Cuba

    Avant-dernière journée de notre séjour à Cuba. Nous en sommes à 96 espèces d'oiseaux observés. Aujourd'hui, nous visitons Salto del Guayabo, dans le Parque nacional La Mensura. Il s'agit de la plus haute chute de Cuba, d'une hauteur de 127 mètres. Et c'est un endroit qu'on nous a « vendu » toute la semaine pour sa beauté.

    Dès notre arrivée à Salto del Guayabo, nous nous précipitons vers le belvédère pour contempler la chute et la vallée. Et déjà, les jumelles se font aller : Paruline hochequeue, Paruline bleue, Chilina d'Oriente, Pèrenoir négrito, etc.

    Les ornithologues qui voyagent beaucoup savent que le succès d'un circuit dépend beaucoup des guides locaux. Nous en avions eu un excellent au Parque nacional Alejandro de Humboldt, et j'avais un bon feeling avec Carlos, celui qui nous accompagnait aujourd'hui. Les bons guides savent trouver les espèces d'intérêt. Et c'est ce que Carlos a fait en nous trouvant une discrète Chevêchette de Cuba, une espèce endémique qui nous avait échappé jusqu'à présent. Comme pour l'épisode des flamants, tout le monde retient son souffle pendant cette observation, de peur d'effrayer et d'éloigner ce petit « toutou à plumes ».

    Au bout du sentier, Carlos nous informe qu'il a observé il y a quelques jours le Colibri d'Elena, le plus petit oiseau au monde. En anglais, on l'appelle Bee Hummingbird. Il y a un refuge à quelques kilomètres, interdit d'accès pour l'instant, mais les oiseaux s'en éloignent de temps en temps pour être observés à l'occasion tout près du Salto del Guayabo.

    Trouver un colibri dans une forêt, le plus petit de surcroît, c'est pire que de chercher une aiguille dans une botte de foin. Et malheureusement, ça ne sera pas un succès cette fois. Mais on observe quand même quelques espèces intéressantes pendant notre randonnée, dont quelques endémiques.

    Mais c'est vraiment à la toute fin de notre randonnée que nous avons eu un petit boost d'adrénaline. Je ne l'avais pas mentionné aux membres de mon groupe, mais j'avais un agenda caché pour la journée... Dans les semaines qui ont précédé notre voyage, j'ai mis passablement de temps sur l'étude de la distribution des oiseaux de Cuba, et particulièrement les espèces endémiques et les semi-endémiques. Lors de ces recherches, je suis tombé sur une espèce plutôt mystérieuse. D'après le guide Birds of Cuba, la Paruline à calotte verte est une résidente permanente, mais très localisée à Cuba.

    Elle ne fréquenterait que les forêts de pins de Pinar del Río, dans l'ouest du pays, ainsi que celles aux limites des provinces de Holguin et Guantanamo. Pas mal où nous sommes quoi! Mais bizarrement, sur eBird, il n'existe pratiquement aucune mention de cet oiseau en automne dans la région. Je n'étais donc pas certain de pouvoir espérer voir cet oiseau. Je pense que je ne l'avais même pas mis dans ma liste d'espèces potentielles.

    Mais au détour du sentier, pendant que les chilinas sont partout autour de nous, je détecte au travers des aiguilles de pin un oiseau avec la gorge jaune très voyante. Je pense d'abord avoir à faire à une Paruline à gorge jaune, mais quand elle se penche un peu et me laisse voir sa belle calotte verte, je comprend rapidement que la mystère de la Paruline à calotte verte est résolu. Elles ne disparaissent pas pendant l'automne et demeurent bel et bien dans la région.
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  • Cueto

    November 23, 2017 in Cuba

    Pendant le retour à l'hôtel, je suis assis à l'avant de l'autobus, en mission. Ma mission est de trouver un Courlan brun, un oiseau que j'ai été le seul à voir la veille. Et nous roulons dans un secteur agricole, parfait pour cet oiseau. Et c'est à quelques kilomètres de l'hôtel que je sème l'émoi dans l'autobus en criant « Limpkin! Limpkin! Limpkin! », le nom anglais de l'oiseau, qui sonne à mon avis nettement mieux que « courlan ». L'autobus s'arrête et nous offre une belle opportunité d'observer cet oiseau, une primecoche pour presque tous les membres du groupe.

    Avec l'ajout de la Chevêchette de Cuba et de la Paruline à calotte verte, nous sommes rendus à 98 espèces depuis le début du voyage. Notre navette qui nous mènera à l'aéroport de Holguin étant prévue pour 16 h demain, il ne nous restera que quelques heures pour espérer atteindre le chiffre magique de 100 espèces. Le plan pour demain matin est de faire un sentier en bordure de l'hôtel puis de terminer par la plage : (1) pour en profiter au moins une fois dans la semaine, et (2) pour espérer ajouter à notre liste des espèces comme le Tournepierre à collier et le Bécasseau sanderling, des espèces qui sont habituellement assez communes à Cuba en novembre.
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  • Sol Rio de Luna y Mares

    November 24, 2017 in Cuba

    Le vol est prévu pour 20 h ce soir. La navette qui nous mènera jusqu'à l'aéroport vient nous chercher à 16 h, et il faut vider nos chambres pour midi. Il faut donc espérer que les environs de l'hôtel nous réserve encore quelques surprises pour ajouter quelques espèces à notre liste et compléter ce premier circuit organisé à Cuba.

    C'est donc à l'entrée d'un sentier forestier que nous nous réunissons pour notre dernière randonnée de la semaine. Rapidement, les premières espèces défilent devant nous : Paruline bleue, Paruline tigrée, Paruline à collier, Piranga vermillon, Viréo de Cuba, etc. Parmi eux, un Viréo aux yeux blancs : 99e espèce observée pendant le voyage.

    Le sentier aboutit sur une belle petite plage de la Bahía de Naranjo, d'où nous pouvons voir le delphinarium. Côté oiseaux, c'est très calme. Mais au moment de partir, nous entendons un cri et identifions rapidement une bande de Tournepierres à collier. 100e espèce observée dans le cadre de ce circuit ornithologique! Il me semblait aussi que c'était impossible de venir à Cuba et de ne pas voir cet oiseau. Lors de mes deux précédents voyages, il était difficile de ne pas voir les tournepierres et les sanderling, qui venaient chercher leur nourriture jusque sous nos chaises de plage...

    Atteindre le cap de 100 espèces pour un tel voyage est très bien, d'autant plus que j'avais estimé à environ 125 espèces le nombre maximum d'espèces potentielles observables à cette période-ci de l'année, dans les régions visitées. Mais bon, 100 espèces, ç'a aussi l'air arrangé avec le gars des vues. On continue donc de fouiller les environs pour essayer d'ajouter une 101e espèce.

    Mais non, même une visite sur la fameuse passerelle n'ajoutera aucune espèce. Nous pouvons toutefois observer les Hérons garde-boeufs en pleine construction de nids.
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  • Aéroport d'Holguín

    November 24, 2017 in Cuba

    C'est donc sur cette note que se termine ma première expérience comme guide-accompagnateur en dehors du Canada, du 17 au 24 novembre dernier. Pendant cette période, nous aurons réussi à trouver 13 des 27 espèces endémiques de Cuba. Sur une note plus personnelle, j'aurai réussi pendant ce voyage à ajouter 17 nouvelles espèces à ma liste mondiale. Comme j'avais déjà mentionné, le succès d'une telle aventure repose en bonne partie sur la compétence des guides locaux. À ce niveau, Julio, El Indio, Carlos, et les autres ont livré la marchandise. Mais le succès dépend aussi du groupe. Et là aussi, j'ai été choyé par le groupe de voyageurs qui avaient décidé de nous faire confiance.

    Un merci aussi à J'aime Cuba, Maya et Léandro, pour la logistique et la gestion des imprévus sur place.

    J'ai donc très hâte de revivre l'expérience. Et ça ne tardera pas trop. Un autre départ est déjà prévu pour la période du 2 au 9 mars 2018. Cette fois, nous explorerons principalement la région de Cayo Coco, avec 2-3 jours dans le secteur de Zapata. Il s'agira d'un tout nouveau circuit. Durant ce voyage, nous devrions avoir de meilleures d'observer quelques-uns de endémiques qui nous ont échappé : Colombe à tête bleue, Petit-duc de Cuba, Colibri d'Elena, etc. Et la formule sera la même que ce voyage-ci : sauf pour les deux nuits à Zapata, nous sommes toujours hébergés au même hôtel et y revenons toujours dans le courant de l'après-midi. Il s'agit donc d'un compromis intéressant pour ceux qui trippent vraiment ornithologie mais dont le conjoint ou la conjointe est plutôt du type plage ou piscine.

    Pour avoir les détails de ce nouveau circuit ou pour vous inscrire, visitez la page http://jaimecuba.com/oiseaux-de-cayo-coco/.
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  • Trip end
    November 25, 2017