• Au-revoir les cigognes !
    On adore cette nationaleUne mosquée sur les petites routesLes petites routes sont calmes et agréablesÇa patineMylène recherche un autre itinéraire......Pendant que Bastien et moi patientonsLa journée est longueRestau de rue : le seul qui ne faisait pas de grilladesMymy contente après le restauIl faut encore pousser les vélosDes visages fermésLa magnifique 3 voies que nous avons longé sur 30kmDe nouveau une piste cyclable à Rabat !Les chats viennent réclamer à notre fenêtre

    Jour 14 - Hacienda des cigognes > Rabat

    13 Kasım 2024, Fas ⋅ ☁️ 18 °C

    Ce matin nous prenons un petit-déjeuner tardif : notre hôte, Wafa, a peu dormi avec les 2 tablées anglaises de la veille, et devait emmener son fils à l’école ce matin. Pour autant, elle reste vraiment adorable et nous demande plusieurs fois si nous n’avons besoin de rien d’autre avant de partir. Nous disons au revoir aux cigognes perchées sur le toit du chai et quittons ce cocon pour une journée qui va surpasser toutes nos attentes.

    Nous voici repartis sur la nationale, toujours très passante avec de nombreux camions et surtout un vent fort qui fait trembler nos vélos à chaque passage de poids lourd… Après une vingtaine de kilomètres, nous décidons de la quitter par les chemins de traverse pour plus de sécurité. C’était sans compter les nombreux chiens qui nous aboient dessus et nous coursent. Nous devons plusieurs fois descendre de nos montures pour les calmer ou pour ne pas glisser dans les chemins sableux. Les petites routes sont agréables mais nous font perdre du temps et ajoutent des kilomètres au compteur.

    Nous finissons par atteindre vers 15h la petite ville de Sidi Allal El Bahraoui dans laquelle nous faisons un stop pour déjeuner. Un seul restau de rue fait du riz, nécessaire pour nos intestins un peu malmenés ces derniers jours. Le monsieur qui nous sert est très gentil, il nous donne même du raisin et des glands de chêne-liège qui sont consommés crus ici.

    Nous décidons de reprendre la nationale pour ne pas trop traîner et surprise, la route se transforme rapidement en 3 voies et toujours ce satané vent de face… Heureusement une route de chantier longe l'axe principal très passant, nous arrivons donc presque à l’éviter sur la totalité du parcours.

    Enfin, nous arrivons à Rabat en fin d’après-midi, passons devant l’aéroport gardé par l’armée. Puis rejoignons le centre non sans mal (les arrivées dans les grandes villes à vélo sont toujours assez compliquées).
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