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  • Day 2

    La fumée qui gronde : chute Victoria

    September 22, 2022 in Zimbabwe ⋅ ☀️ 35 °C

    🇫🇷 Juste 24h après notre départ pour l’aéroport de Marseille nous sommes déjà vraiment ailleurs : en face des plus grandes chutes d’eau du monde, la chute fe Victoria de la rivière Zambezi. (« La fumée qui gronde », c’est le nom que les locaux avaient donné au chutes Victoria.)
    Elle a 3 x le débit des chutes de Niagara, 2 x la largeur et 1,5 x la hauteur.
    Leur particularité : les masses d’eau se jettent dans une longue faille du plateau, pour s'échapper par un étroit canyon.
    Elles peuvent ainsi être observées de face à la même hauteur et à une distance d'une centaine de mètres seulement.
    Une image aérienne permet de se rendre compte de cette topographie si particulière.
    La brume est si intense qu’on peut la voir de dizaines de Km et qu’une bande de forêt tropicale pousse sur quelques dizaines de mètres sur la rive en face, dans un climat plutôt aride.
    Ce qui nous a marqué : le grondement sourd qu’in entend longtemps avant de voir son origine.
    Ps : sur le chemin nous croisons un couple de phacochères paisibles, qui apprécient eux aussi l’herbe bien juteux.

    🇩🇪 Nur 24 Stunden nach unserer Abfahrt zum Flughafen Marseille sind wir schon wirklich woanders: Vor den größten Wasserfällen der Welt, den Victoriafällen des Sambesi-Flusses. ("Der tosende Rauch", so hatten die Einheimischen die Victoriafälle genannt).
    Er hat 3 x das Volumen der Niagarafälle, ist 2 x so breit und 1,5 x so hoch.
    Ihre Besonderheit: Die Wassermassen stürzen in einen langen Riss im Plateau, um dann durch einen engen Canyon zu entweichen.
    So können sie von vorne auf gleicher Höhe und aus einer Entfernung von nur 100 Metern beobachtet werden.
    Ein Luftbild vermittelt einen Eindruck von dieser besonderen Topografie.
    Der Nebel ist so intensiv, dass man ihn aus Dutzenden von Kilometern Entfernung sehen kann, und am gegenüberliegenden Ufer wächst auf einigen Dutzend Metern ein Streifen Regenwald in einem eher trockenen Klima.
    Was uns besonders beeindruckt hat: das dumpfe Grollen, das man lange hört, bevor man seinen Ursprung sieht.
    Ps: Auf dem Weg begegneten wir einem Paar friedlicher Warzenschweine, die sich ebenfalls über das saftige Gras freuten.
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