De Barstow à San Bernardino

Début de matinée avec un petit arrière pour rejoindre Calico, la ville fantôme, pour espérer récupérer les lunettes de vue de Paul qui les avait oublié la veille. Malheureusement, un fantôme a dû passer par là et les récupérer pour son usage personnel.
Du coup, vrai départ cette fois-ci en direction de San Bernardino.
Nous sommes tout d’abord passés par Oro Grande pour nous arrêter au Elmer’s Bottle Tree Ranch. Un endroit atypique où l’on trouve des arbres réalisés avec des bouteilles en verre. Une vraie forêt. Incroyable !
Puis arrêt lui aussi improbable, dans une suite de boutiques datant des années 1930 qui ressemblaient à la fois à un marché au puces et une boutique d’antiquaires.
Ensuite arrêt à Victorville pour visiter un énième musée de la route 66, mais très sympathique.
Nous y avons également découvert une adorable boutique avec un peu de tout mais beaucoup d’art mexicain. Une oasis de verdure dans la ville.
Une petite faim arrivant, nous avons fait un arrêt au Richies American Dinner, un vrai dinner reétro dans le style sixties.
Puis reprise de la route, ou plutôt de l’autoroute !!! De 3 à 6 voies, avec un vent de dingue pendant près de 40 kilomètres avec un trafic impressionnant.
Enfin nous avons pu sortir de l’autoroute pour rentrer dans les faubourgs de San Bernardino, un peu sale, un peu craignos, beaucoup de SDF. Dont une qui nous a même craché dessus à un feu rouge. Et là, 15 secondes après , une voiture de police a surgi de nulle part , et un policier est descendu pour tenter de l’intercepter. Moment surréaliste et incompréhensible. La dame n’était apparu pas toute seule dans sa tête 😢
Et enfin, arrivés à notre motel du soir, le Wigwam Motel, un hôtel emblématique de la route 66, où les chambres individuelles sont des timides en béton. Mais très spacieux !
La dessus un plouf dans la piscine, et direction un resto mexicain (pas le meilleur mais pas le pire 😆).
Et demain, dernière journée officielle de notre Road trip avec une arrivée prévu à Santa Monica.
Mais on racontera tout ça demain.Læs mere