• La venue à Paul do Mar

    18 mars, Portugal ⋅ 🌬 15 °C

    Nous passons par une supérette sur les coups de 14h45 car l'appétit arrive.
    Nous nous installons dans le charmant petit port de Paul do Mar, en face d'une cascade en succession de chutes, pour finalement se jeter dans la mer.
    La moitié de la faune ornithologique guette nos moindres faux-pas avec de maladroites miettes afin de s'en sustenter. Et elle n'est pas farouche! Le pigeon nous mange dans la main, tandis que maître goéland nous toise du coin de l'œil. Les petits bécasseaux s'avancent aussi près de nous.
    Après le repas, suite à l’impromptue décision d'une vague de passer au-dessus de la digue pour mouiller les passants (pas nous, mais presque), nous nous dirigeons vers la cascade. La montée est un poil périlleuse puisque les marches sont incomplètes, en petites pierres et surtout... arrondies VERS la pente. Bref, c'est sans doute utile pour un meilleur écoulement de l'eau. Nous ne faisons que la première étape : par manque de temps à venir et par la configuration de cette randonnée, qui ne fait que monter sans redescendre en une boucle. Nous prenons ainsi la direction des ruelles du patelin, en déambulant sur les chemins en pavés noirs et aux rebords peints en blanc. Le nom des rues est même écrit par terre avec les pavés. C'est très propre et très classe!

    Ce qu'il faut retenir :
    [ ] La cascade était une bonne surprise, et une attraction hypnotique pendant le déjeuner.
    [ ] Prendre le temps de se poser est important pour mieux repartir de l'avant
    [ ] Les oiseaux portugais sont plus polis et chaleureux que les oiseaux français
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