Recap jour 2

Ce matin réveil à 5h30 pour l'équipe, direction le magasin du village pour acheter de quoi petit déjeuner avant notre départ pour la parc national de Manuel Antonio. On commence la visite aux alentours de 7h15 après avoir refusé les services des voituriers grâce au célèbre "adios amigos" de notre cher Seb.
Au début difficile de discerner un quelconque animal au milieu de ce flow de touristes bruyants et excitant. On finit par s'éloigner de la masse et on observe enfin nos premiers singes, iguanes et paresseux du voyage ! Après 3h à crapatuer sous 30°C, la pause s'impose et on en profite pour faire un plouf et inaugurer le magnifique maillot de Seb et la coque waterproof de Jean. Sur le chemin du retour on profite d'un combat entre un crabe et un iguane et l'on croise le chemin de notre premier serpent ! (Spoiler Seb a pas chié dans sa culotte)
Nous quittons Manuel Antonio sous les coups de 12h30 et partons en direction de Don Toro afin d'avaler un bon repas. Cadre idyllique avec un packaging de rêve : cocktails de grande qualité, repas bien copieux, table sur une plage sauvage à perte de vue, paresseux dans les arbres autour de nous et même ara volant en arrière plan. Seul bémol j'ai renversé la moitié de mon mojito en voulant trinquer.
Seb nous sort alors sa blague du jour (attention ça va devenir une chronique) :
Quel est le point commun entre une blonde et une tortue ? Dans les deux cas une fois sur le dos c'est baisé.
Nous repartons ensuite à la recherche de wifi afin d'avoir des infos sur nos valides. Le verdict est sans appel, nos valise sont dans un endroit inconnu et notre interlocuteur AirFrance a visiblement décidé de les rejoindre. Après avoir souscrit un abonnement téléphonique, nos valises arriveront peut être un jour (dimanche). On décide d'aller acheter de nouveaux habits à PequenoMundo (dédicace à Sara Nino) pour tenir le weekend. La fin de journée se passe en voiture avec 50km avalés en 2h et toujours autant d'accidents qu'à l'accoutumée. Pour finir on avale un bon repas dans un restau en bord de route et on finit de parcourir les derniers kilomètres qui nous reste pour arriver à la maison. Entre temps Jean a réussi à nous maintenir en vie malgré les trous et les chiens suicidaires. Le tour du propriétaire sera pour demain, le lit nous appelle.Read more