Eine Fährfahrt 🚢, die ist lustig 🥴...

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... eine Fährfahrt, die ist schön - so oder so ähnlich dachten wohl die Grenzer als wir kurz nach der Ankunft in DK 🇩🇰 wieder mit der Fähre zurückfahren 🙈 Nachdem sich alle und alles gegen unseren pünktlichen Start verschworen hatten, meinte dann auch noch der Sprinter, er müsse ebenfalls seinen Beitrag dazu leisten. Zum Glück konnten uns Freunde in DE 🇩🇪 unkompliziert helfen und wir stehen nun wieder in DK 🇩🇰, um den Urlaubsstart erneut einzuläuten 🥳Read more
Nous quittons ce matin le camping d’Horsens dans nos standards habituels, c’est à dire un peu avant dix heures. Le ventre vide, cette fois.
Le magasin du camping, le kiosk, est pire que les précédents qui n’étaient déjà pas folichons. Trois paquets de chips, une boite de Kartofelsalat, comprenez « salade de pomme de terre », mais baignant dans un océan de sauce grasse et trois rayons de sucreries. Les bonbons, je n’ai rien contre, même si je n’en ai jamais trop mangé. Je me souviens, enfant, tous mes camarades se presser à la boulangerie d’Houdemont pour dévaliser les tiroirs de bonbons. La confiserie, c’était 10 centimes, le malabar, 20. J’étais plus intéressé par ce dernier, je voulais, comme les copains, réussir à faire des bulles pour avoir la classe. J’ai mis un certain temps à réussir, peut-être le temps que faire des bulles avec son chewing-gum était devenu ringard. Mais fallait pas que je me fasse choper par mon père qui vérifiait la monnaie quand j’allais acheter une baguette pas trop cuite. Je m’égare…
Je n’ai rien contre les bonbons, disais-je, mais je ne suis pas encore prêt, et Hélène aussi, j’imagine, à petit-déjeuner trois fraises tagada et un sachet de car en sac. Peut-être que pour le car en sac, Hélène se désolidarise… Nous décidons donc de trouver un café où manger à Horsens, après avoir fait réparer le cale-pied défectueux d’Hélène. De prime abord, comme ça, le réparateur, qui ne parle pas anglais, ça ne l’enchante pas trop de ne remettre qu’une vis mais il s’attelle, finalement, s’asseyant sur le trottoir. Il se met à chanter « bonsoir madame » et réussit à nous faire comprendre que c’est un groupe danois qui chante ça et m’invite à aller voir sur Youtube. Finalement, il joue au rustre, mais il est sympa et semble en représentation. Il refuse qu’on le paye et fait mine de virer Hélène du magasin.
Si l’entrée d’Horsens, avec ses maisons qui surplombent le fjord, est assez jolie, le centre l’est beaucoup moins. Et surtout, fait un peu mort. Nous ne trouvons pas de café ouvert, si ce n’est un petit kiosque sur une place où nous déjeunons des smorebrodt bon marché mais pas très très bons. Hélène, affamée, prend même, les bras m’en tombent, un hot dog pour plus tard. Jules, Vincent, si vous lisez ces lignes, ne faites pas d’infarctus !
Les sorties de ville, mondialisation oblige, c’est moche. Partout ou presque. Dominique A l’a chanté dans « rendez-nous la lumière » : « on voit des paysages qui ne ressemblent à rien, qui se ressemblent tous et qui n’ont pas de fin ». Le Danemark ne déroge pas à la règle et la sortie de Horsens est dans cette même veine. À part la veille où, quittant Århus, nous nous sommes retrouvés directement dans une forêt accueillante, le reste des entrées de ville ressemblent aux françaises. Pas de Saint Maclou, ici, ni de Gifi, les enseignes sont autres, mais les hangars de métal aux couleurs dégueulasses sont les mêmes.
Nous parvenons à sortir de cet enfer pour rouler dans la campagne. Hèlène me dit que nous tenons une bonne moyenne, mettant cela sur le compte du macadam sur lequel nous roulons depuis le matin. Que n’avait-elle pas dit là ! Parce que nous quittons la route 5 pour la 53. À mon avis, cette route à été prévue pour les VTT. À quelques kilomètres de Vejle, nous nous retrouvons dans un chemin très pentu où nous dérangeons une classe de collégiens en plein cours d’endurance. Ça descend, ça descend, nous sommes debout sur les freins et nous arrivons en bordure du fjord. Le chemin monte d’un coup d’un seul. Un mur. Soit nous faisons demi-tour pour retrouver la route, mais nous sommes descendus très fort depuis pas mal de temps, soit nous poussons nos vélos dans cette montée soudaine et escarpée. Nous choisissons la deuxième solution. Mon vélo est très lourd, les racines bloquent le passage. Un calvaire. Arrivé en haut, je mets mon vélo sur sa béquille et repart chercher le vélo d’Hélène. On est un chevalier ou on ne l’est pas.
Quelques kilomètres plus loin, rebelote, on se retrouve dans les bois. La pente est tellement ardue qu’il y a des espaliers au sol pour aider les gens à monter. Pas prévu pour des bicyclettes chargées de quatre sacoches. Encore un peu plus loin, ça recommence. Une grosse pente sur un sol meuble sur lequel les roues peinent à garder la ligne droite. J’arrive en haut en totale surchauffe, le souffle totalement coupé et m’assois sur des troncs, comme mon souffle, coupés. Une voiture tente de passer mais est obligée de faire marche arrière pour prendre de l’élan, c’est dire !
Nous retrouvons un sentier digne de ce nom et arrivons à Vejle, affamés, assoiffés. L’architecture, à l’entrée de la ville est assez particulière et je ne peux m’empêcher de penser à L’homme de Rio, et son Bébel dans des tours qui se voulaient à l’époque futuristes.
Nous nous arrêtons pour casser une graine et repartons derechef, direction Kolding. Juste à la sortie de Vejle, nous arrivons dans la rue que nous sommes censés prendre : un mur, le deuxième. Impossible de monter ça. À mon avis, en hiver, personne ne se risque à garer sa voiture ici, sous peine de la voir finir encastrée dans un mur plus bas. Nous reprenons une route qui contourne cette colline, une patate, comme dirait Roro, l’ami breton dont je vous ai déjà parlé et avec qui nous en avons gravies, quelques patates, ensemble en juillet. Ça monte, ça monte, il fait chaud. Mais pas question de lâcher. Ça tourne et ça continue à monter. Je ne peux plus passer de vitesse, je suis au taquet et sue à grosses gouttes. J’ai le syndrôme du « ça descend après le virage ».
Tout le monde connait ce syndrôme. Pour moi, c’était dans les Cévennes en 1983. Mon père qui ne comprenait pas que je « zone » avec d’autres jeunes du camping, m’avait loué un vélo pour la semaine. « Avec ton physique, tu feras du vélo », m’avait-il déclaré. Moi, j’avais plutôt envie de traîner avec une jeune fille qui me plaisait beaucoup. Le vélo, ça me passait un peu au-dessus. Mais bon, mon espace de négociation était assez restreint. Et me voilà donc sur mon vélo de location, sous le chaperonnage de mon père, qui lui, en faisait depuis des années, du vélo. Même que petit, je parcourais les pages je des sports du journal régional pour lire fièrement son nom, notre nom, m’accaparant un peu de ses mérites sportifs. Dans une côte particulièrement dure, il m’encourage en me disant : « ça redescend après le virage ». Confiant dans cette figure paternelle, je pousse, je pousse, jusque voir que, penses-tu, ça continue à grimper. Énorme déception : je pose mon vélo, dans le même état de surchauffe que dans la forêt, juste avant Vejle. La déception !!! Mon père, ce héros, m’avait alors planté là, au beau milieu de rien du tout. J’avais poussé ma bicyclette à la main. Je vous la fais courte, mais il m’attendait un peu plus loin, m’avais passé un bon gros savon et m’avait enjoint de remonter sur mon vélo sans faire plus de bruit. C’est ce que j’appelle le syndrôme du « ça descend après le virage ».
En l’occurence, à la sortie de Vejle, après le virage, ça se stabilise. Et nous voilà partis vers Kolding, le long d’une route à forte circulation. Les voitures, passe encore, mais quand ce sont des camions qui vous frôlent, on sent bien ses sphincters se serrer. Quelques kilomètres plus loin, stressé, fatigué par le bruit incessant des véhicules, je décide de changer d’itinéraire et de partir sur les petites routes aux alentours. On y gagne, d’un coup d’un seul en tranquillité, nous sommes même seuls au monde. Par contre, c’est nettement moins direct. Au départ, cette étape devait faire 60 kilomètres, elle en comptera au final pas loin de 75.
Nous arrivons enfin à Kolding, en passant très exactement, je les reconnais, aux même endroits que l’an dernier. Étonnant de trouver des lieux familiers au Danemark. Nous arrivons devant une très belle maison où nous prenons nos quartiers pour la nuit. Le propriétaire nous fait visiter et montre un frigo rempli de canettes en nous invitant à y prendre ce que l’on veut. Une carlsberg sans alccol fait mon bonheur et permet de me faire descendre en température. Celle de l’extérieur est qualifiée, avec justesse, par la maitresse de maison de « unusual » pour un mois de septembre. Tu m’étonnes !
Bilan des courses : 75 kilomètres (au lieu des 60 annoncés)Read more
Nachdem wir uns Samstag abends in der Südheide getroffen haben geht's nach prima Frühstück erstmal auf Wanderung in der 'Heide'. Eigentlich müsste es Wald-mit-angeschlossener-Freifläche-rund-um-Lüneburg heißen, aber das wird zu lang 😉. Jedenfalls schön dort. Abends dann Ribe in DK, ein prima Ort mit toller Altstadt und super Restaurant.Read more
Mein Morgen startet um 7:15 Uhr mit Kaffee und stricken in der Sonne ☀️.
Marian, der alleine unterwegs ist, packt schon zusammen.
Ein Mann, der ausgestattet ist wie ein Reporter, kommt auf unsere Wiese. Ich stelle mich sofort nicht verstehend, als er mich auf dänisch anspricht. Er geht weiter zu Marian und spricht mit dem.
Meine drei Mitreisenden krabbeln auch langsam aus dem Zelt und ich warne sie vor…..ob sie bereit wären ein Interview zu geben…..
Endes des Liedes: Marian und ich geben ein Interview, über unsere Beweggründe des Verreisens mit dem Rad. Ich bin dabei immer noch im Schlafpolter mit wirrem Haar! Es entsteht trotzdem ein lustiges auf englisch geführtes Interview….danach gibt es erstmal ein gemütliches und reichhaltiges Frühstück.
Unglaublich, das wir immer wieder alles, was so rumsteht für eine Nacht, in unsere Taschen bekommen….
Bei strahlendem Sonnenschein ☀️ geht es um 10:30 Uhr los.
Wir werden über kleine Straßen durch Felder, Wald und ganz kleine Ortschaften mit wunderschönen Häusern geleitet und genießen es alle. Wir fahren bis Christiansfeld, einem Örtchen, das gerne von Touristen besucht wird.
Durch seine Entstehung als Gründungs- oder Planstadt verfügt Christiansfeld über ein architektonisch geschlossenes Stadtbild und ist ein touristisches Zentrum der Region. Wegen der außergewöhnlich gut erhaltenen Siedlung der Herrnhuter Brüdergemeine besitzt der Ort seit dem 4. Juli 2015 den Status eines UNESCO-Weltkulturerbes.
Hier kaufen wir noch etwas ein und machen auf den Sitzgelegenheiten einer Pizzeria, die noch nicht geöffnet hat, eine ausgiebige Mittagspause-das Radfahren 🚴♂️ macht hungrig.
Gestärkt gehen wir aufs Rad, um über Kolding weiter zur Insel Fyn zu kommen.
Auf dem Weg machen ein kleines Sightseeing an der höchsten Erhebung Südjütlands: Skamlingsbanken.
Sie liegt 113 m hoch und ist als Erinnerung an den Widerstand gegen die deutsche Besetzung errichtet.
Wir können von hier oben schon die Insel Fyn erkennen und die kleine Belt-Brücke erkennen, über die wir zur Insel Fyn fahren werden.
In Kolding gibt es kühle Getränke in einem Café für uns.
Jetzt kommt die Schlussetappe, leider werden wir einen Teil über eine Nationalstraße geleitet. Sehr unangenehm zu fahren und mit einigen bergauf und bergab ……wir fluchen alle mehr oder weniger und sind froh, als die Streckenführung wieder über andere Straßen geht.
Um auf die Insel zu kommen müssen wir eine Brücke passieren, die mittlerweile zum Glück, eine abgetrennte Spur für Radelnde hat🥳
Erst gegen 19:00 Uhr kommen wir am Campingplatz an, der idyllisch im Wald mit direktem Zugang zum Wasser, liegt.
Zelt aufbauen, Essen kochen (wir hatten schon auf unserem Weg eingekauft), quasseln und schlafen😴 ….auf der Insel Fyn.Read more
Hyggelig (ausgesprochen als hüggelig) steht für dänische Gemütlichkeit .... und ganz offensichtlich auch für eine hügelige Landschaft. Midjütland ist geprägt von den Vorstössen skandinavischer Gletscher während der letzten Eiszeit. Diese brachten zahlreiche Findlinge/Granitbrocken aus Norwegen und Schweden. Danach haben die abschmelzenden Gletscher so manchen Flusslauf, Moränen, reiche Kiesvorkommen und sogar Toteis-Löcher hinterlassen. (All dies schreibe ich im ehemaligen Steinbruch "Tørskind grusgrav".)
Nach Aarhus haben wir zum Camping Holmens bei Ry gewechselt, in idyllischer Lage am Gudenå, dem längsten Fluss-Seen-System von Dänemark. Ruhe pur und wunderbare Möglichkeiten zum Radeln (Renata, zum Himmelbjergtårnet, dem "Rütli" von Dänemark) und Paddeln (Christoph flussauf- und -abwärts bis Silkeborg). Die ersten ausgesprochenen Sommertage in beschaulicher und echt "skandinavischer" Flusslandschaft.
Danach ging's weiter durch die hyggelige Landschaft; das kleine Dorf Jelling hat sich gewaltig aufgepeppt und modernisiert, seit es 1994 auf die UNESCO-Welterbeliste kam. Die Kirche zwischen zwei mächtigen Grabhügeln und zwei imposante Runensteine sind die eindrücklichen Zeugen aus der Wikingerzeit. 2018 wurde auch noch ein nachgewiesener Palisadenwall aus tausenden von Eichenstämmen sowie eine Steinsetzung in Schiffsform in die UNESCO-Liste aufgenommen. Die gesamte Anlage hängt eng mit der ersten Nennung Dänemarks durch den Wikingerkönig Harald Blåtand (Blauzahn) zusammen, der massgeblich die Christianisierung Skandinaviens einleitete. Damals ahnte er wohl noch nicht, dass er im Zeitalter der Digitalisierung mal weltberühmt werden würde: die Runenzeichen seiner Initialen, übereinander gelegt, sind heute das Logo der Bluetooth-Technologie, unmittelbar inspiriert vom Wikingerkönig.
Und die Christusfigur auf einem der Runensteine ist heute auf jedem dänischen Pass aufgedruckt.
Nochmals 18km südlich liegt der 1984 stillgelegte Steinbruch Tørskind Grusgrav. Hier haben die Künstler Robert Jacobsen (DN) und Jean Clareboudt (F) von 1986 bis 1991 einen Skulpturenpark geschaffen mit monumentalen Werken aus Stahl, Granit und Holz. Unser Übernachtungsplatz - und hier warten wir das etwas weniger monumentale Gewitter ab.Read more
Mittwoch.
Es ging wieder auf Tour. Wenn auch nur kurz. Heute nehmen wir 2 kleine Orte mit, um am Nachmittag das erste Mal in einem Shelter anzukommen und zu übernachten.
Wir liefen vom Campingplatz am Strand entlang. Die Schweinswale sind leider in die andere Richtung geschwommen. Sie hatten noch etwas vor, daher haben wir sie nicht noch mal gesehen. Ausschau hielten wir trotzdem. Und das ging am besten von der Brücke aus. THE BRIDGE! Jawohl, wir haben uns die Brücke vorgenommen, um von Middelfart nach Eritsø zu gelangen.
Sie war hoch.
Sie war lang.
Sie war wackelig.
LILLEBÆLTSBROEN!
Sie ist 33m über dem Wasser und 24m hoch. Sie misst 1178m Länge und wackelt immer dann, wenn der Zug drüber brettert. Dabei war dann häufig ein ohrenbetäubendes quietsch-schrei-quieken zu hören: von einer am Geländer klebenden Frau. Frau Fine.
Höhe ist nicht ihre Freundin. Dafür aber die der anderen, der BridgeWalker. Menschen, die dafür Geld bezahlen, oben auf der obersten Brückenkante zur anderen Seite zu wandern. Cool. Total. Für die anderen. Fine schaut es sich von der Ferne, von unten an und selbst dabei wurde es schwindelig. Guten Walk wünschen wir. 😀
Auf der anderen Seite angekommen, verlief unser Weg weiter an der Hauptstraße entlang. Asphalt. Überall. Die Füße beschweren sich mit einem Zwacken. Eine Pause stand an. Wir wollten im Discounter etwas zu Mampfen holen, aber alle Läden außer ein Bäcker hatten zu. Warum? Was war da los? Naja, darum kümmern wir uns später. Rein in den Bäcker, Sandwiches geholt und draußen auf die Palettencouch gesetzt. Pause. Das junge Fräulein im Laden war kurz erschrocken, als wir sagten, dass wir Deutsche sind. Kurzzeitige Überforderung stand ihr ins Gesicht geschrieben. Susi fing sie mit ihrem Charme auf und vermittelte. Schlicht. Einfach. Herzlich. Wir packten draußen die Sandwiches aus und beißten hungrig rein. Boa ey! GESCHMACKSEXPLOSION. Die waren vielleicht lecker. Wir haben gebrummelt, geschmatzt und gemmmhhht!
Und: die Läden hatten zu, weil Verfassungstag in Dänemark war. Kein offizieller Feiertag und irgendwie dann doch.
Wir machten uns auf den zweiten Teil der Tour und folgten dem Asphalt. Autschphalt! In einem Wohngebiet lagen versteckt auf einem Hügel die Shelter, die wir uns ausguckten für diese Nacht. Eine gute Idee? An sich ein schönes Fleckchen. Grün, sehr gepflegt, mit kleinem Toilettenhäuschen, Wasseranschluss und beidseitigem Rinderblockadenübergang. Wer nicht weiß, was wir meinen, der darf fragen :)
Nachmittag. Die Sonne schien noch. Wir lasen und dattelten rum. Der Abend rückte näher und die Temperaturen fielen allmählich. Wir zogen uns dick an und legten uns schlafen. Die Nacht war kalt. Wir haben das erste Mal leicht gefroren. Nicht so toll und doch im Morgen angekommen. Seit 5 Uhr wach, packten wir zusammen und machten uns auf den Weg...
Die Nacht war auch deshalb unschön, weil ein Shelter für uns keine Kleinigkeit war. Ein Shelter ist eine echt mega gute Sache und hier in Dänemark sehr weit verbreitet. Siehe Karte. Wanderer, Pilgerer und Radler nutzen die günstige Übernachtungsmöglichkeit sehr gern und oft. Häufig sind sie sehr gepflegt, gut ausgestattet (Feuerstelle, Toilette, Wasser bspw.) Und oft mit herrlicher Natur drumherum. Für uns war es das erste Mal. Wir buchten einen (4€ pro Person), breiteten alles aus und richteten uns ein.
Wir beide sind Menschen, die Kontrolle ganz gern haben. Unterwegs dürfen wir sie regelmäßig in die Seitentasche vom Rucksack packen. Doch in einem Shelter lässt man sie zum Teil vorm Shelter. Alles offen, alles zugänglich, kein Rückzugsort. Das ist für uns beide ungewohnt und wird uns hier am Nordzipfel von Dänemark bald öfter begleiten. Eine gute Erfahrung. Eine unangenehme Erfahrung. Eine wachsende Vertrautheit wird entstehen. Die Nacht ging gut. Kein Mensch stand nachts plötzlich neben uns und auch saß weder Feldhase noch Wildschwein neben uns im Schlafsack. Also erstmal alles ok.
Der Weg ist das Ziel... Unser Weg führte uns weiter... See you tomorrow.
LIEBE GEHT RAUS! ❤️
Heute: 11,3 kmRead more
Heute mal ein etwas anderer Footprint.
Um euch, unsere lieben Fans anzukurbeln😃.
A:
Habt ihr euch schon mal gefragt, was wohl unsere 3 wichtigsten gemeinsamen Utensilien sind?
Ja? Dann mal her damit!
B:
Von welchen Tiergeräuschen sind wir wohl am meisten "genervt"?
C:
Was packen Susi und Fine jeweils für sich als erstes aus, wenn sie an einem Ziel ankommen?
Viel Freude !
Die Gewinner:innen bekommen ein Dinkelschlotzen-Frühstück mit uns 🤣.Read more
Traveler Denke bei a--> euch beide, euer Wagen und handy! b--> vielleicht die 🐦 Vögel --> bei c denk ich erstmal Schuhe aus und schlappen an 😉
Von einem Ende einer kleinen Welt zum anderen Ende einer anderen kleinen Welt. In Dänemark werden wir die ein und andere Strecke fahren, um an die Orte zu gelangen, die wir gern sehen wollen.
Heute gings nach Middelfart. Zu Fuß weiter bis an's Ende der Halbinsel. Dort gibt es einen Campingplatz "Galsklint Camping". Wir haben für 2 Nächte gebucht. Durch einen Tipp von Jani haben wir uns dafür entschieden, diesen kleinen Abzweig zu nehmen. Hier kann man nämlich Schweinswale (delfinartige Wale) beobachten.
Danke für den Tipp!!! ❤️
Wir kamen gegen Mittag hier an. Es war bewölkt und windig. Wir bezogen unseren Zeltplatz und schauten uns alles genau an. Ein schöner Camingplatz, mit gutem Code-System, wodurch man alles ohne Hilfe bedienen kann. Herrlich!
Sogar eine große Küche gab es. Wir haben alles ausprobiert. Funktionierte super.
Gegen Abend lockerte die Wolkendecke noch einmal etwas auf, so dass die Sonne noch mal zeigen konnte, was sie kann. Wir kochen uns ein Luxusmenü: Instant Katopü mit Röstzwiebeln und TK Köttbullar. Wat ein Gaumenschmaus. Gesichtsentgleisungen der Extraklasse aus purer Geschmacksexplosion!
Danach wollten wir die Sonne noch nutzen und sind noch eine Runde an den Strand gegangen. Eine Bank lud ein, zu verweilen.
Da war einer! Ein Schweinswal. Oder doch nur eine Welle? Nein. Doch. Das war noch einer. In der Ferne sahen wir erste Flossen blitzen. Ein tolles Erlebnis. Es ist gar nicht viel. Nicht groß. Nicht nah. Es ist einfach da und wir können es hautnah mit erleben. Sie gibt's nicht nur im Fernsehen, sondern auch in real life. Unsere Freude war groß und unsere inneren Kinder hopsten.
Wir verabredeten, dass wir morgen in der Früh hier frühstücken würden. Das taten wir dann auch. Und wir haben sie viel aktiver als am Abend erleben können, diese Wale. Wunderbar! Wir haben sie kurz festhalten können und teilen mit euch die kleine Aufnahme. Schaut genau hin. In Echt ist das natürlich viel schönerererer!
Den Tag haben wir dann ein Weilchen einzeln verbracht. Susi ging ein wenig wandern hier am Strand auf einen Hügel und Fine blieb am Strand und wollte schreiben. So taten wir es auch. Manchmal ist die Zeit mit sich selbst sehr wertvoll, kostbar und auch nötig.
Susi empfand die Natur sehr abwechslungsreich, erst im Wald, auf einen Miniberg und dann wieder Strand und Wale. Einfach wunderschön.
Der Rest des Tages war etwas zäher. Müdigkeit war da und die Absprache für die nächsten Ziele standen an. Manchmal sind diese Absprachen nicht einfach. Es gibt viele Ziele und manchmal kein Gefühl für irgendeine Richtung. Hmpf. Entschieden haben wir uns schlussendlich trotzdem... Morgen vormittag wollten wir schließlich aufbrechen.
Das nächste Ziel steht. Es geht weiter in den Norden. Wohin? Erfahrt ihr in Bälde.
LIEBE GEHT RAUS! ❤️
Heute: Fine 2 km, Susi 6 kmRead more
LEUTE....wir sind in Dänemark ... könnt ihr das glauben?!😜
Irre. Nach 244 km zu Fuß + Bus und Bahn.
In Rebæk hieß es für uns ankommen, verarbeiten der letzten Tage und abschalten (auch das Handy zeitweise, daher "musste" ihr auch warten 😊)
Die letzen Tage waren so schön mit so vielen tollen Menschen, Tieren und Erlebnissen (inklusive der Blaskapelle natürlich 😉). Das wollten wir erstmal sacken lassen.
Und das geht am besten in Stille und in der Natur.
Soweit der Plan. Die erste Nacht war leider wie auf einem Festival.
Überall Bass. Bis circa 3 Uhr. Wir haben den Strand in Stadtnähe unterschätzt, die Jugend wollte den Samstag eben für sich.
Sonntag war dann etwas ruhiger und wir müder 😕 (es war wohl die härteste Nacht für uns).
LIEBE GEHT RAUS ❣️Read more
Was für ein schöner Tag, uns gefällt es sehr hier. Der Veloweg führt hauptsächlich mitten durch die Natur; vorbei an kleinen Dörfern mit imposanten Kirchen, kleinen Naturschutzreservaten oder historischen Orten, welche alle immer ein Tisch zum Einkehren und eine Infotafel bieten. Der Weg ist manchmal nur gekiest und manchmal asphaltiert. Kombiniert mit den shelter-Übernachtungen ist es ein super Naturerlebnis!
Wir haben uns grad dagegen entschieden, morgen das LEGOland in Billund anzupeilen (es liegt eine Tagesetappe von hier entfernt)...wir fürchten uns vor zuviel Rambazamba...😂
Ein Erlebnis war heute auch das erstmalige Einkaufen in einem dänischen Laden: das Finden biologischer Produkte, das Vergleichen der Preise und Umrechnen, Komisches und Skuriles.
Auch einen Cappuccino für 6€ 🤪haben wir uns gegönnt.
Mit soviel Schönem und Positiven vergesse ich fast den zweiten Platten von Barbara...aber den schafften wir mit Links und organisierten gleich einen neuen dickeren Pneu für die Kieswege.Read more
Traveler Jetzt aber: Urlaub GENIESSEN! 🐕 ❄️
Traveler Definitiv ❤️😁
Traveler
Scharfes Foto 🤪
Traveler 😂