Colombia
Parque El Virrey

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Travelers at this place
  • Day 173

    "Soy una costurera en Francia"

    March 11 in Colombia ⋅ ⛅ 15 °C

    Quand on discute avec les gens qu’on rencontre, on nous demande souvent quelle est notre profession. Pour faire simple, Fred répond toujours "soy una costurera en Francia" ( je suis une couturière en France, avec une charmante faute de syntaxe ).
    Nous avons passé une année entière à préparer nos sacs à dos, pesant chaque chose, "chaque gramme compte", "chaque gramme compte", répétait Bruno.
    Fred l’obstinée a bataillé pour convaincre Bruno le psychorigide que son nécessaire de couture était une charge acceptable.
    Devinez qui a gagné ...

    À une semaine de la fin du voyage, Bruno est obligé de reconnaître que c’était une excellente idée. D’une part parce que pendant que Fred coud, elle parle peu et Bruno peut avoir un peu de paix !
    D’autre part parce qu’elle n’a pas cousu que pour le plaisir de créer de jolies choses, mais aussi pour customiser ou réparer nos affaires.

    Pour le plaisir : Fred a craqué pour le tissu des indigènes boliviennes et péruviennes : l’aguayo. Ce tissu coloré est principalement utilisé pour porter bébés ou toute autre charge sur le dos.
    Mais Fred en a détourné l’usage pour créer des tas d’articles.
    - Deux sacs à main
    - Un porte-monnaie
    - Une CINQUANTAINE de pochettes, dont la moitié a été offerte aux amis rencontrés sur la route.
    - Une trentaine de chouchous, en recyclant les mètres d’élastique de la moustiquaire qui n’a servi que les trois premières semaines. Comme les pochettes, les chouchous ont allègrement été distribués au fil des rencontres.
    - Un lapin, une boîte et une pochette pour Jaréd, le bébé à venir de Maria-Cristina et Eliecer.

    Pour customiser nos affaires : les plus observateurs d’entre vous ont remarqué que nous avons perdu du poids. Il a donc fallu rétrécir des pantalons, des hauts, et des sous-vêtements
    Fred a également utilisé son talent pour
    - Recycler une jupe qu’elle avait fabriqué pendant l’année préparatoire : elle a utilisé le tissu pour ajouter des manches à un caraco sans manches.
    - Repriser des chaussettes
    - Réparer les culottes qui n’ont pas aimé les séches-linges industriels des laveries.
    - Fabriquer des poches secrètes sur les vêtements achetés en route.
    - Coudre les écussons sur les sacs à dos à mesure qu’on visitait les pays.
    - Re-fabriquer deux draps de sac à partir du double drap de sac qu’elle avait fabriqué avant de partir ( À partir de deux draps de sac évidemment).

    Cela a occupé Fred pendant les centaines d’heures de bus que nous avons cumulé. Mais pas que. Elle a cousu sur les flancs d’un volcan pendant que Bruno finissait de grimper seul, pendant l’auto-stop en attendant que passent les voitures, à la plage, à la campagne, en attendant le bus, en attendant le ferry, pendant la sieste de Bruno, au soleil, sous la pluie, à midi ou à minuit.

    Il a fallu acheter 50 fermetures éclair, du tissu dans tous les pays, des épingles et des aiguilles qu’elle a TOUTES perdues...
    Elle a utilisé 500 mètres de fil.
    Faute de ciseaux, elle a utilisé son coupe-fil pour couper des mètres de tissu, ce que ne ferait JAMAIS une vraie couturière, mais ça c’est une autre histoire...
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  • Day 440–442

    Bogota - Madrid - Zuhause

    March 8 in Colombia ⋅ ☁️ 18 °C

    Nach dem Frühstück tauchen wir noch einmal in die laute Atmosphäre dieser Marktstraße ein. Unglaublich, was da alles verkauft wird. Heute zieht eine große Menschenmengen mit lauter Musik durch den Markt. Den Grund dafür kennen wir nicht. Ein Breakdancer gibt sein Bestes und ein junger Schwarzer imitiert Michael Jackson perfekt. Nachdem wir uns eingedeckt haben, suchen wir das T-Bone Restaurant. Zuhause hatten wir uns schon ausgemacht, dass wir zum Abschluss unserer Reise dort essen wollen. Es ist zu Fuß ein schönes Stück vom Hotel und der Marktstraße entfernt und für heute leider ausgebucht. Pech gehabt! Also kehren wir zum Markt zurück und essen, wo wir schon ein paarmal sehr zufrieden waren. Damit ist Kolumbien für uns schon fast wieder Geschichte. Morgen Mittag werden wir zum Flughafen fahren und am nächsten Tag mittags zu Hause ankommen. Was wir während unserer Reise erlebt und gesehen haben, müssen wir Zuhause erst noch richtig aufarbeiten, so viele Eindrücke waren das.Read more

  • Day 169

    De Bruno lapidaire à Lugo le lapidaire

    March 7 in Colombia ⋅ ☁️ 16 °C

    LAPIDAIRE (adjectif)
    D'une concision brutale, expressive : Style lapidaire.
    LAPIDAIRE (nom)
    Professionnel qui taille et polit les pierres précieuses et fines.

    Les plus assidus de nos lecteurs se souviennent peut-être que Fred avait ramassé des pierres d’obsidienne sur les flancs du volcan Chaitén.
    (Rappel ici : https://findpenguins.com/9if01kwha1h7c/footprin… )
    Bruno était fort sceptique (c’est un euphémisme) sur l’opportunité de trimballer des cailloux pendant un road-trip en sac à dos. "Pffff tu crois que tu as trouvé des pépites d’or ? Et tu vas en faire quoi de tes cailloux ? etc... " C’est ce qu’on appelle un jugement lapidaire.
    Mais voilà, la Colombie est un pays riche en pierres précieuses et les joailliers ne manquent pas à Bogota, et plus précisément les spécialistes de la taille des pierres précieuses et semi-précieuses : les lapidaires.
    Nous sommes allés en trouver un pour lui montrer les caillasses de Fred. Sans illusions car nous ne restons que très peu de temps à Bogota. Mais Lugo Herreño le joaillier nous a proposé d’en polir trois dans l’après-midi, à un prix imbattable en France. Cerise sur le gâteau, il nous propose ceci : "je les dégrossis, puis vous revenez pour finir de les polir vous-même, je vous ferai visiter mon atelier, ça vous fera une expérience inédite".
    Nous nous regardons incrédules. Où est l’arnaque ? Il nous rassure "Vous serez mes cobayes, car je réfléchis à proposer ce genre d’expérience sous forme de mini-stage à des touristes intéressés par la taille des pierres."
    Et c’est parti ! Deux heures plus tard Lugo Herreño père et fils nous emmènent dans leur atelier, au sommet d’une tour en plein cœur de Bogota.
    Ils nous montrent leur collection de pierres brutes et de fossiles qu’on leur a donnés pour expertise. Ils ont même un fémur de mastodonte.
    Ils nous expliquent comment ils évaluent la pureté d’une pierre avec lampe ultraviolet et microscope.

    Revenons à nos pierres : ils nous montrent comment ils ont fixé les obsidiennes avec une résine sur une tige pour la tenir pendant la taille.
    Elles sont encore mates et pas très lisses.
    Alors c’est au tour de Fred, puis Bruno de s’asseoir devant un disque finement abrasif et de commencer le polissage en suivant leurs instructions.
    Lugo a remarqué que le sourire de Fred confirmait le bien fondé de son idée de vendre des stages de taille/polissage.
    En effet, il fallait voir la jouissance de Fred la touche-à-tout des arts manuels.

    Pendant ce voyage nous avons par chance et hasard vécu plusieurs expériences insolites. Aujourd'hui encore nous avons vécu un moment de partage en entrant dans un lieu où les touristes ne vont pas encore.
    Reste à faire monter ces cailloux sur des bijoux, mais ça c’est une autre histoire...
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  • Day 1–4

    Bogota

    February 11 in Colombia ⋅ ☁️ 15 °C

    Tja, eigentlich wäre der neunte Februar unser Abreisetag gewesen. Um die Mittagszeit, 3 Stunden vor dem Start der Reise erreicht uns eine Email der Iberia, dass sich unser erster Flug von Wien nach Spanien wegen eines technischen Problems um eine halbe Stunde verschiebt. Das ist nicht wirklich viel, aber zuviel für unsere nur einstündige Umstiegszeit zu unserem Anschlußflug nach Bogota. Wir buchen schnell auf dieselbe Flugkombination für den 10. Februar um, und infolge auch das Hotel und natürlich müssen auch die Einreiseformulare wieder neu ausgefüllt werden. Am 10. geht's aber dann wirklich los, nicht ohne erneut über eine dreistündige Verspätung informiert zu werden. Diesmal betrifft es den Anschlussflug. Die zusätzlichen 3 Stunden Aufenthalt im nächtlichen Flughafen von Madrid gestalten sich zäh. Im Terminal 4S kann man sich um diese Zeit kaum noch was kaufen. Das letzte Geschâft sperrt zu, nachdem wir uns da noch schnell ein Sprite kaufen und dann lungern wir nur noch gelangweilt und müde herum und schauen den Putzrobotern zu, die jetzt ununterbrochen und unbehelligt ihre Runden ziehen. Und wir bekommen es direkt zu spüren, dass der Madrider Flughafen ein sehr bedeutendes Drehkreuz nach Südamerika ist und zu den größten Flughäfen Europas zählt. Die Wege zwischen den Terminals scheinen endlos zu sein und die Anzahl der Gates unüberschaubar. Nach einem Zehnstundenflug erreichen wir Bogota, kommen flott durch Pass- und Zollkontrolle und wechseln gleich Euros in Pesos. Beim Flughafenausgang merken wir plötzlich ganz intensiv die dünne Luft hier und schnappen eine Zeitlang nach Luft. Bogota befindet sich immerhin in knapp 2700 m über dem Meeresspiegel. Danach fahren wir für 80000 Pesos mit einem sehr neuen Elektrotaxi zu unserem Hotel. Der Fahrer bekommt einen 10000er Trinkgeld, was 2,34 € entspricht. An die Zahlen müssen wir uns erst gewöhnen. Für 500 € hatten wir über 2 Millionen Pesos bekommen. Im Hotel können wir gleich zum Frühstücksbuffet und jetzt wird erstmal gerastet. Aufgrund der Zeitverschiebung ist für uns schon später Nachmittag, obwohl es hier erst zehn Vormittag ist. Der Tag wird wohl noch lange dauern...
    Nach ein paar Stunden Ruhe im Zimmer haben wir die Strapazen der vergangenen Nacht zum Großteil abgeschüttelt. Wir machen uns auf die Socken, um erste Eindrücke vom Leben in Bogota zu bekommen. Gleich in der Nähe des Hotels sehen wir die ersten Imbissbuden und Bäckereien, die auch Limonaden verkaufen. Wir biegen um die Ecke und kommen auf eine Straße mit breiten Gehwegen und einem Radfahrstreifen in der Mitte. Es ist die Hölle los! Auf der Straße sind auf Tüchern Kleidung und alle möglichen Waren ausgebreitet, die man bei uns so vielleicht maximal in einem Flohmarkt findet. Kleine mobile Verkaufsstände werden herum geschoben. Und fast alle Händler haben Lautsprecher, aus denen ultralaute Musik spielt, es wird durcheinandergeschrieen und all das erzeugt in einem wilden Durcheinander eine extrem laute Geräuschkulisse und wir marschieren durch Rauchwolken, bei denen wir uns fragen, was die Kolumbianer da wohl spezielles rauchen. Ein Imbiss reiht sich an das andere. Hauptsächlich werden Kebab, Burger, Teigtaschen und Tacos verkauft. Wir sehen auch einen Subway und entscheiden uns dann für ein KFC. Wir ordern am Display panierte Hendlstücke, Coleslaw und Cola für umgerechnet € 3,49. Passt! Am Heimweg holen wir uns noch eine Mehlspeise und was zum Trinken und liegen um halb acht schon wieder im Bett.
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  • Day 173

    Le mote de queso n’est pas une fondue !

    March 11 in Colombia ⋅ ☁️ 18 °C

    En colombie, la Costa désigne la côte caraïbe au nord du pays. Les habitants de la Costa sont des Costeños et des Costeñas. Nous allons bientôt y repasser pour embrasser nos amis à Cereté et Monteria avant de rentrer en France.
    Mais pour le moment, nous sommes à Bogota, de nouveau chez Maria-Cristina et Eliecer. Ils sont tous deux des Costeños originaires de Cereté.
    Maria-Cristina nous a préparé un plat typiquement costeño : un Mote de Queso.
    Un mote, c’est une soupe épaisse.
    Queso c’est du fromage. En l’occurence le mote de queso se prépare avec du queso costeño, le fromage de la costa.
    Maria-Cristina a fait bouillir de l’igname (un tubercule), des oignons, et un tas d’ingrédients mystérieux.
    En fin de cuisson elle incorpore le queso costeño : un fromage qui a la consistance de la féta. Elle le coupe en petits cubes qui vont plus ou moins fondre dans la soupe.
    Le résultat : un véritable délice, dans le top des meilleurs plats que nous ayons goûté pendant ce voyage. Et pas seulement parce qu’il a été préparé avec amour, non, c’est vraiment délicieux.

    C’est tellement bon qu’une chaîne de restaurants colombiens "Crepes y Waffles" a incorporé le mote de queso à son menu il y a quelques années. Or un créatif un peu trop zélé a cru que ce serait plus chic de nommer ce plat FONDUE COSTEÑO. (Au masculin tant qu’à faire).
    Maria-Cristina a un caractère bien trempé et elle n’avait pas apprécié qu’un restaurant de Bogota dénature ainsi le plat typique de sa région. Elle avait alors écrit à Crepes y Waffles sur Twitter :
    - " À Crepes y Waffles, je voudrais juste vous rappeler que ce plat typique costeño s’appelle Mote de Queso. Par respect pour notre gastronomie, nous vous prions de changer le nom sur votre carte. Merci ! "
    Réponse de Crepes y Waffles :
    - " Bonjour, merci de nous écrire, nous vous demandons pardon pour ce qui est arrivé. Nous aimons la gastronomie colombienne et notre philosophie est de la faire ressortir dans chaque plat que nous faisons avec notre âme. Nous corrigeons immédiatement cet inconvénient. Salutations ! "

    Maria-Cristina est fière de sa région natale et elle a raison. D’ailleurs nous repartons à Cereté chez sa tante Lidis, mais ça c’est une autre histoire...
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  • Day 168–170

    Colombiaaaaaaa !!!!

    March 6 in Colombia ⋅ ☁️ 12 °C

    Voilà ! Ce n’était pas au programme original, mais les premières semaines en Colombie, fin septembre 2024, avaient été riches en émotions.
    Alors il y a quelques semaines nous avons décidé de clôturer notre road-trip en passant faire un bisou à nos amis de Colombie. (Pardon à ceux que nous n’aurons pas le temps de repasser voir 🙏)
    Nous avons pris l’avion de Buenos Aires à Bogota et nous sommes arrivés tard chez Eliecer et Maria-Cristina. (Souvenez-vous : https://findpenguins.com/9if01kwha1h7c/footprin… )
    Maria-Cristina est maintenant enceinte de 8 mois. Elle a toujours la pêche et Eliecer a hâte d’être papa. Nous profitons de deux soirées avec eux pour "compartir" et nous fendre la poire avec une partie d’ambicioso, ce jeu que nous avait enseigné Juan-Carlos à Popayán.

    Un petit tour dans le centre de Bogotá :
    La musique partout, les vendeurs de street-food et de babioles dans la rue, les chauffeurs de Uber hilares et incrédules de notre histoire, les commerçants si gentils.....
    Nous sommes si heureux de retrouver la Colombie 🥰🥰. Au bout de quelques jours ce joyeux bordel va probablement nous soûler, mais ça c’est une autre histoire...
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  • Day 3

    Day 3 - Bogoto

    February 16 in Colombia ⋅ ☁️ 17 °C

    After getting very little sleep, headed out for a look at Bogota. The plan was to walk up to monserrate and then do a walking tour of the historical centre of the city. Having zero Spanish was coming against me straight away, some ordeal trying to ask the uber driver about somewhere to get breakfast, tbf he stopped at a coffee shop for me and it did the job.

    Couldn’t get over the crowds at monserrate, I got there about 8 and there was queues everywhere, loads of people coming down from the top already. The path itself was jointed, made it that bit harder on the way up as it was very stop start. Think it was about 2,400m elevation, path itself had loads of stalls with food, drinks and souvenirs. I was in a bog of sweat by the top of it but the views of the city were definitely worth it. Up top there was a church, there was mass on when I was there so went in for a look, couldn’t get over how lively it was. At the back of the church there was another huge market, all crafts at the front and then food at the back. Wasn’t brave enough to try the local cuisine yet😅. Thankfully the way back down was a lot easier .

    The walking tour was good to see places and get an understanding of the history, it went on for about 3 and a half hours so by the end of it i was well sick of it, my legs were killing me. There were also some heads on it but i need to get used to that I guess. Tbf i wouldn’t have got to see half the areas on my own so it was still well worth it.
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  • Day 2

    Day 2 - Dublin to Bogota

    February 15 in Colombia ⋅ ☁️ 19 °C

    Some long day of it yesterday, left Hughs at 7:45 and didn’t arrive to hostel until 5am Irish time. Met a few familiar faces by chances at Dublin airport.

    Flight from Madrid to Bogota was so long, arse and legs were well restless by the end of it. To top it off then immigration at the airport took about an hour and half, the crowds were insane.

    Hostel is interesting to say the least (good recommendation mark👀).
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  • Day 2

    Bogota Goldmuseum

    February 12 in Colombia ⋅ ☁️ 18 °C

    Um halb sieben sind wir ausgeschlafen und sitzen schon eine halbe Stunde später am Frühstücktisch. Draussen regnet es heftig. Das animiert nicht so richtig, die Stadt zu entdecken. Auch nicht mit unseren Regenjacken. Wir verziehen uns nochmals ins Zimmer und warten ab. Tatsächlich ist es um 10 Uhr trocken. 4 Gehminuten von unserem Hotel befindet sich das Goldmuseum Bogotas. Und ausgerechnet auf dem Weg dorthin sehen wir nacheinander Obdachlose auf und in Lumpen und Plastikplanen schlafen. Selten haben wir soviele gesehen wie hier. Dabei ist der Stadtteil Calendaria, in dem wir uns hier befinden, DER Touristenhotspot Bogotas, weil sich hier alle Museen und alle relevanten, historischen Plätze befinden. Das Goldmuseum ist ein sehr moderner Bau mit einer Sicherheitszone vor dem Portal. Die Securities sind allgegenwärtig. 35000 Ausstellungsstücke aus Kolumbien, aus vorkolumbianscher Zeit und aus aller Welt sind zu besichtigen und das bei freiem Eintritt! Danach schlendern wir durch den Markt. Riesige Mangos gibt es hier zu kaufen und viele Früchte, die uns gänzlich unbekannt sind. Die Sonne kommt zwischen den Wolken hervor und wir überlegen, ob wir nicht mit der Seilbahn auf den Hausberg Bogotas, den Monserrate fahren sollten. Zuvor suchen wir uns noch ein kolumbisches Lokal fürs Mittagessen. Wir bestellen eine Portion Punte de Anca. Damit haben wir zwei mehr als genug, noch dazu war es ausgesprochen lecker. Das waren zwei Rindersteaks, medium gebraten mit Kartoffeln, Saucen, Kartoffellaibchen und Salat. Den Plan auf den Berg zu fahren lassen wir fallen. Die Sicht auf den Berg rauf ist nicht vielversprechend. Kaum sind wir zurück im Hotel schüttet es wie aus Schaffeln. Glück gehabt! Der Monserrate muß bis ans Ende unserer Reise warten. Der Regen erinnert uns gleich wieder an die Obdachlosen mit ihren Plastikfetzen und an die Strassenhändler, die all ihre Ware auf der Straße ausbreiten und da verkaufen.Read more

  • Day 106

    Bogota streetart

    February 4 in Colombia ⋅ ☁️ 17 °C

    Ein Tag in Bogota reicht. Wie jede Metropole mit über 7 Millionen Einwwohnern erleidet sie jeden Tag zweimal den Verkehrsinfarkt. Die Leute stehen morgens um 4 Uhr auf um gegen 8 Uhr an der Arbeit zu sein. Abends dasselbe zurück. Die wallpaintings sind beeindruckend.Read more

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