France
Bourroc

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Travelers at this place
    • Day 31

      Urlaub mit Minutengeiz

      May 21, 2019 in France ⋅ 18 °C

      T5, Tag 31:
      Mimizan, frei, Dienstag, 21.5.2019

      Das Wetter gab alles, um uns den Einen freien Tag maximal zu versüßen.

      Viel haben wir nicht gemacht, Ausschlafen war das Wichtigste.
      Danach ausgiebig und ohne Pack-Stress frühstücken um anschließend, am schönen Pool der Villa, erst einmal abzuhängen und den geschundenen Knochen wenigstens etwas Urlaub gönnen.
      Das Wasser war leider noch zu kalt, aber die Luft zum Sonnen war prima.

      Der schön angelegte Garten verwöhnte uns. Überhaupt war hier alles sehr geschmackvoll, innen wie außen mit viel Harmonie komponiert. Schwule Gastgeber können das und haben sehr viel Sinn für Ästhetik, wie wir auf unserer Wanderung schon des öfters feststellen durften.

      Rahul hatte noch etwas für unsere gemeinsame Firma, GECO Asia, in Singapur und auf den Philippinen remote zu managen. Gegen zwei viel auch bei ihm der Hammer. Schon waren wir wieder auf dem Weg nach Mimizan-Strand.
      Ein bisschen Shoppen hier und dort, etwas Eis essen, und im schönen Sand am Meeressaum spazieren gehen. Was man halt so macht an so einem einigen freien Tag.

      Weil die aber selten sind haben wir immer das Gefühl, jede einzelne Minute davon, bewusst- und ganz genau abgewogen, ausgeben zu dürfen. Blos keine Zeit mit Unwichtigem verschwenden.

      Den späten Nachmittag ließen wir dann am schönen Pool der Villa ausklingen, einfach nur abhängen und uns über so viel "Dekadenz" und den neuen Wanderabschnitt morgen, freuen. Ab jetzt geht’s für viele Kilometer an den Strand.
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    • Day 2

      Arrivée J2

      August 11, 2022 in France ⋅ 🌙 28 °C

      C’est parti ! Aujourd’hui on est remotivées. On prend le petit déjeuner, fait nos bagages, on prend la roue d’Elsa toute gonflée et on est prêtes à en découdre. On sort le vélo et on suit les consignes de Guillaume données la veille. On a rendu la pince du monsieur hier soir mais c’est pas grave, on revissé les boulons à la main. En 2/3 mouvements, la roue est remontée, on sort, fait notre petit selfie de départ et c’est parti. Et non ! Faux départ. Nos gros bras ne sont apparemment pas si gros que ça puisque la roue d’Elsa se balade ! Audrey part toquer aux portes et revient en courant, une dame lui a prêté des pinces. On resserre, Audrey repart avec les pinces et revient avec une carte des témoins de Jeovah et en ayant fait la promesse d’aller faire un tour sur le site!
      On récupère des petites pistes cyclables et routes secondaires ombragées et sans voiture et on se souvient enfin de ce qu’on aime dans la Velodycée. Elsa nous raconte qu’hier elle a entendu une conversation entre une mère et son fils. Le petit garçon lui a demandé pourquoi il y avait des arbres pas de la même couleur que les autres (les brûlés). La mère a répondu que c’était normal et que c’était pas la même espèce d’arbre … Est ce que quelqu’un peut m’expliquer où on va avec des gens comme ça ?
      On s’arrête au lac de Parentis pour un petit goûter et allons faire trempette dans le lac, on est détendues, on est bien ! On a surtout aucune idée de l’après midi qui nous attend !
      On prévoit de rouler jusqu’à St Eulalie, prendre à manger et tracer vers Mimizan pour passer l’après midi à la plage. On passe à Gastre, on se ravitaille en eau et on repart. La route avant St Eulalie est une départementale droite et en plein cagnard. Elle nous crève. Pas que nous d’ailleurs. La roue d’Elsa aussi. Encore.
      On persiste jusqu’à St Eulalie, prenons un sandwich et après l’avoir mangé, on se remet à la mécanique. On essaie de comprendre ce qu’on a foiré hier ? La chambre à air est neuve, on a nettoyé le pneu hier pour enlever tous les résidus … on comprend pas. On regarde les dépanneurs, le plus proche est à 9km. On décide d’alléger Elsa, Audrey récupère un de mes sacs et moi les sacs d’Elsa. Qui pèsent à peu près 110kg. Sans exagération. Elsa a pris sa maison dans ses sacoches.
      On regonfle le pneu d’Elsa pour qu’il tienne le plus possible. Je n’ai jamais autant pompé de toute ma vie, mon bras est sur le point de doubler de volume mais je pense qu’il y en a un qui sera content de me voir rentrer après ça ! De son doigté impeccable, Elsa ferme la valve et on repart.
      Elsa se rend compte qu’on a oublié de lui remettre ses freins. Mais bon ! Elle a une roue crevée, c’est pas comme si elle avait besoin de frein … 2km plus loin on s’arrête pour regonfler le pneu d’Elsa. Je m’arme de ma pompe, m’installe par terre, je la tire et c’est le drame ! La pompe se casse en deux …. On la rafistole, constate qu’elle marche quand même moins bien. On va voir un tuto YouTube pour monter la deuxième pompe qu’on arrive pas à faire fonctionner mais Audrey réussi. Avant de repartir, Elsa et Audrey me disent qu’après l’épisode la pompe, elles sont inquiètes pour Pierre (mon copain) mais je leur assure que je peux être beaucoup plus délicate !
      On se re arrête 2 km plus loin pour à nouveau gonfler le pneu. Impossible ! On entend le pneu se dégonfler à peine la pompe enlevée. Il nous reste 4 km. On va les faire à pied. Elsa part devant, avec Audrey on regarde sa trousse de secours vélo pour voir si on trouve quelque chose pendant que j’envoie un message à la dame de l’Airbnb pour lui dire qu’on a absolument aucune idée de l’heure à laquelle on va arriver vu la situation. On repart sur nos vélos pour rattraper Elsa. Mais c’est que même à pied, elle nous fume !!
      On est à pied, on papote, les cyclistes nous dépassent, disent bonjour et se cassent. On est au top de la solidarité !
      On passe devant un golf. L’herbe est d’un vert impeccable. Comme quoi, on est pas tous égaux face à la sécheresse !
      On arrive enfin à Mimizan ! On trouve la boutique, elle ferme à 16h faute de personnel et il est 17h… Heureusement le monsieur est gentil, il prend le vélo d’Elsa. Avec Audrey, on attend dehors avec les vélos et Elsa patiente près de l’atelier pour mettre la pression comme dirait ma mère. Mais on est tenu au courant de ce qu’il se passe : Elsa nous envoie des messages : il met la chambre à air, il revisse le boulon, la roue tourne…
      Le problème venait de 2 choses, le revêtement de la jante qui s’est déplacé et qui abîme la chambre à air et un trou près de la valve car on a pompé comme des bourrines. Petit message spécial pour Pierre: t’inquiètes pas, mon retour va bien se passer.
      Avant de repartir, il nous explique que les petites valves, c’est pas ouf, regarde mon vélo et voit que j’en ai une à l’avant. Il l’a bouge, resserre le petit boulon et on repart. 100m plus loin c’est moi qui crève ! J’ai les nerfs. J’ai pleuré hier, là j’ai juste envie de hurler. Mais hurler ! Sauf qu’on est en plein centre ville et aussi tentante qu’est l’idée d’abandonner mon vélo, je ne veux pas finir en HP. On change la chambre à air et rapidement parce que l’habitude est bien là ! On repart mais je suis colère comme dirait Elsa !
      On arrive au Leclerc, on ne trouve pas le rayon vélo, on demande à une dame (prenez une petite voix agaçante et aiguë dans votre tête) « c’est plus loing. Comment ça plus loin ? C’est plus loing, c’est plus loing! » mais en fait je vais devenir violente là ! Audrey s’inquiète, elle est en brassière et a peur de se faire jeter du magasin. Je lui répond que vu mon état, je fais un scandale et elle reste dans le magasin !
      On arrive enfin à notre logement à Mimizan, une petite roulotte trop mignonne avec des hamacs et … surtout … ma passion dans la vie … la pomme de douche qui fait de l’eau en haut et qui nous tombe dessus. J’adore ! Ceux qui nous suivent depuis le premier voyage le savent, j’ai développé cet amour aux Sables d’Olonnes!

      Je me pose dans un hamac, Audrey va prendre sa douche. On l’entend de la douche « oh non ! La pomme du haut ne marche pas ! » je me redresse et passe la tête dans les cordes, je regarde Elsa le cœur fendu. Elle me rassure et me dit d’attendre un peu, c’est peut être qu’Audrey ne sait pas la faire marcher. Effectivement ! Quelques secondes plus tard, on entend « Ah mais si c’est bon ! » Je suis rassurée !

      Bilan du jour : 43km en vélo, 4 à pieds, 2 chambres à air et 1 pneu changés.

      Concernant les propositions alternatives à « chausser le casque » nous avons reçu :
      Se casquer la cervelle
      Revêtir le casque
      Empoigner le casque
      Faire peter le casque
      Mais notre pref est de se couronner parce qu’on est des princesses guerrières ! Merci Océane 😘 et bravo !

      On a également reçu un petit défi de la part de Marion : aller dans le vrai pays de la chocolatine et demander un pain au chocolat sans se faire jeter de la boulangerie. Mission acceptée !

      Pas de petit jeu aujourd’hui mais on a quand même besoin de votre aide ! Envoyez un max de bonnes ondes, de pensées positives, de prières, on bouffe à tous les râteliers et on fait pas les difficiles, balancez, on prend !
      Et on prend aussi les petits défis si vous voulez nous en lancer, faites pas les timides, on prend toutes les propositions !
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    • Day 1

      Arrivée J1

      August 10, 2022 in France ⋅ ☀️ 30 °C

      Avant d’entamer nos péripéties du jour (et dieu sait qu’il y a de quoi papoter !), revenons sur THE événement d’hier. N’oublions pas que je vous ai laissé sur un suspense insoutenable et que vous êtes en haleine depuis. La crotte persistante ! Audrey a t’elle réussi à la faire partir ? La réponse est oui ! Elle a tiré la chasse d’eau et vidé une bassine d’eau en même temps. Ça marche ! Depuis qu’on partage un pot de vaseline, on est devenu très intimes !
      On tient à vous remercier pour toutes les solutions que vous nous avez apportées et on tient à vous les faire partager si jamais vous rencontriez un problème similaire : Marion reste dans le classique et l’obstination et s’en tient aux chasses d’eau, Elodie se la joue douceur en ajoutant du shampooing dans les toilettes pour la faire glisser pendant que Christian pense pragmatique et propose de l’emballer dans du pq si elle est molle et la fractionner si elle est dure. C’est cadeau, le partage est une des valeurs fondamentales de notre voyage.

      Revenons à nos moutons ! Réveil 5h50, lever 6h ça pique !! Le départ était prévu à 6h15 pour un train à 6h37. Audrey stresse et devient une horloge parlante : les filles il est 6h17; les filles il est 6h21. 6h25 on enfourche nos vélos et nous voilà parties !
      5 min de retard sur le Premier train Niort -> Saintes, 30 min de correspondance, on prends un petit déjeuner et je découvre avec horreur que nous avons quitté la France pour entrer au pays de la chocolatine. Quel scandale ! Elsa est missionnée d’aller les chercher, elle demande des pains au chocolat, ça passe. Ils sont pas si mauvais que ça à Saintes.
      On attend notre deuxième train pour Bordeaux quand nous entendons une annonce. Le train à destination de Bordeaux partira avec 25 min de retard en raison d’un incident de personne. Ok. La correspondance de Bordeaux est d’1h. Jusqu’ici tout va bien.
      On s’installe dans le train. Difficilement vu le peu d’effort de la part de la SNCF à favoriser les trajets en vélos. Il y a des choses qui changent pas !
      On s’assoit sur les strapontins. Je me relève pour ouvrir la porte, j’oublie que les strapontins se relèvent, je me rassois. Par terre donc ! J’ai un peu mal au dos ! La petite voix nous annonce finalement un retard de 30min puis 40 pour finalement partir avec 35 min de retard.
      Au cours du trajet, nous sommes obligées de déplacer les vélos, j’attache mon casque à ma selle pour pas qu’il tombe. Audrey me regarde et avec tout le sérieux du monde « mais il va te gêner quand tu vas t’asseoir sur ton vélo ? » elle est mignonne ! Je tente d’accrocher mon casque à la roue oubliant que je dois manœuvrer et faire rouler mon vélo. Moi aussi je suis mignonne ?
      A Montendre, on nous annonce rester à quai quelques minutes pour la régulation de trafic. Puis 2 arrêt en milieu de voie entre St Marlens et St André de Cubzac.
      Notre 3eme train part à 11h04 voie C. On débarque à 11h08 voie 9. On regarde les écrans, il a 5 min de retard. L’espoir est là ! Nous descendons les escaliers, traversons tous les souterrains, rentrons dans la gare, traversons les 3 halles, remontons sur les quais, traversons les voies (tout ça en courant et portant nos vélos bien sur) . On arrive sur la voie C. Elle est vide. Vous sentez ? Il y a une odeur non ? Ah oui ! Le seum !
      Par contre, on se rend compte que l’adrénaline et le stress nous donnent des ailes. Nous qui, d’habitude, galérons comme jamais à porter nos vélos chargés dans les escaliers, là ils touchaient pas le sol ! Pas de besoin de redbull !
      Un tour aux toilettes publiques et quelques maladies chopées au passage, on revient sur le quai pour se rendre compte que notre prochain train a changé de voie. On repart donc, traverser les quais, descendre, traverser les halls, remonter les autres quais pour finalement monter dans le train suivant qui pour le premier de la journée part à l’heure ! Un arrêt au milieu de la voie réveille des traumas fraîchement acquis mais on arrive sans encombre à la Teste de Bûche. Enfin presque sans encombre … On s’est quand même fait une frayeur au moment de descendre du train. Il y avait 7 vélos dans le wagon, 3 empilés sur les nôtres et un dans les chemins + les gens. On a dû manœuvrer balancer les sacs pour éviter qu’ils partent à Arcachon sans nous mais on a réussi !
      On est à la gare, Elsa met le chemin dans le GPS et nous annonce un niveau expert pour l’étape à venir. Pardon ? Niveau expert ? Tu es sure ? On achète nos sandwichs et je découvre que le beurre est doux. La Bretagne me manque déjà !
      On chausse nos casques. Oui on chausse pas des casques, mais si vous avez d’autres idées on est preneuse. Les meilleures idées seront annoncées demain. On aime bien ce nouveau mood interactif. A ce train la, on vous organise un jeu concours d’ici la fin du périple ! Les classiques style mettre ou enfiler ne marchent pas 😉
      On part direction la dune de Pilat, une première pour moi. Il fait une chaleur infernale, notre eau est chaude et le paysage … c’est moche. Le ton de ces résumés se veut joyeux et sur l’humour mais là c’est véridique. C’est moche. Tellement moche que j’ai même pas d’autres mots. Les arbres sont brûlés, du sable a été mis le long de la route pour arrêter le feu. C’est moche.
      On arrive à la dune. On fond littéralement de chaleur. On tente la montée, arrive en haut, la vue est incroyable. Par contre, on voit aussi plein de départ de feu et des énormes zones d’arbres brûlés. La vue fait un peu pitié !
      On descend (beaucoup plus vite que la montée) et on se concentre sur l’itinéraire. Le plan A est fermé, notre plan B est en train de brûler. On tente le plan C.
      En pédalant, on fait nos commères un peu mauvaises « c’est qui qui a pété dans le train ce matin selon vous ? » « mais vous avez vu les pieds du mec là ? » « la mamie était vraiment mignonne ! » Comme quoi, on est pas que mauvaise. On arrive dans une ville, la piste cyclable se termine et je lance « les filles on fait le trottoir ? » Pas de panique ! On a pris le trottoir, on l’a pas fait.
      5 km de pédalage sur le plan C, on se rend compte qu’on se dirige droit vers un feu. On passe donc au plan D. Ça fait quand même beaucoup de lettre ! On se coltine une départementale sur laquelle les gens roulent comme des malades. Elsa se traîne, ça lui ressemble pas, c’est la championne espoir normalement. On continue de rouler sur la départementale, Elsa toujours à la traîne. « Mais mon pneu est pas crevé ? » Si. Il était complètement à plat, c’est pour ça qu’elle se traînait ! Sauf qu’on est sur le bord d’une départementale, les gens roulent à 90 voir plus et la prochaine ville est à 6km, ce qui est pas énorme en soit, mais avec un pneu crevé, c’est juste impossible. On tente de regonfler en espérant que ça tienne au moins un ou deux km mais en 2min plus tard, Elsa est à nouveau à plat. Un vélo nous double, on le tope espérant de l’aide mais le mec ne parle pas français. On décide de s’arrêter quelques mètres plus loin à l’ombre et surtout sous la fumée, on ne sait pas où est l’incendie mais sûrement pas très loin de nous. On appelle des taxis et au bout du 3 eme appel, un mec prends notre position et nous dit qu’il arrive dans le quart d’heure qui arrive. La fumée s’épaissit, Audrey se fait arroser de cendres. Les nerfs sont à vif. J’ai pleuré. Le taxi arrive, on charge les vélos, s’installe dedans. Je relâche quelques larmes. On était sur une journée de la loose ++ et on est à bout de nerfs ! Le mec du taxi nous raconte les pins, les incendies, les coupes feu et nous assure qu’il y a peu de risques pour demain, notre Biscarrosse -> Mimizan.
      Le taxi nous dépose au Airbnb, Elsa monte chercher les clés de la cave. La serrure est compliquée, Elsa jure mais ouvre la porte. Elle redescend, on met les vélos à la cave et on monte à l’appart, on galère à nouveau avec la serrure mais on réussi à rentrer. On boit un coup et on se motive à partir faire les courses. Pour éviter la serrure compliquée, on ne la ferme pas. On commence à descendre et un coup d’esprit me traverse. On a pas fermé la serrure chiante mais c’est quoi la poignée ? Une qui se lève/descend ou une qu’on doit ouvrir avec la clé ? Dans le doute, je demande à Audrey si elle a bien pris les clés ? « Bah non, on a pas fermé à clé la porte, ça sert à rien de prendre les clés ? » Je vais voir le type de poignée. Vous devinez sûrement que c’est le second type. Celui où on a besoin des clés pour ouvrir la porte même si c’est pas fermé à clé. Et les clés à l’intérieur de l’appartement donc. Non nous n’avons pas poussé Audrey du quatrième étage. Mais on avoue que l’envie était bien là ! Elsa pense avoir la solution. Sur le jeu de clé de la cave, il y a une clé qui ressemble à la clé de la porte d’entrée. On essaye, c’est dure mais on n’ose pas forcer de peur que ce ne soit pas la bonne clé et qu’on casse tout. On appelle les proprios, ils sont à 40min de route et ne peuvent pas venir nous dépanner mais nous confirme que c’est bien la bonne clé, tout en précisant, qu’ils sont étonnés, personne ne s’est jamais plaint de la serrure. On force et on finit par ouvrir la porte. Mais soit on est des lopettes, soit les autres locataires sont Hulks

      On part faire les courses, on ne trouve pas d’outils ou de démonte pneu mais on prends de la bouffe. Et du chocolat. On rentre à l’appart, on veut démonter la roue d’Elsa pour changer la chambre à air à l’appart. Il nous faut une clé plate. On en a pas. On appelle Guillaume. Les filles topent un monsieur dans le hall, il nous prête une pince. Guillaume nous guide pour enlever la roue et grâce à lui, on réussi à l’enlever. On remonte et sur conseil de Guillaume, on remplace le démonte pneu par une fourchette et en 2/3 mouvements, la chambre à air est changée. C’est qu’on commence à avoir le coup de main.

      Bilan du jour : 1h de retard sur les trains, 1 train loupé, 1 pneu crevé, 1 taxi pris et 30 bornes au compteur.
      Sur ce ! Bonne nuit !
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