• Alex Poncet

6 months

Alexによる264日間のアドベンチャー もっと詳しく
  • 旅行の開始
    2016年10月25日
  • Step 3

    2016年11月12日, フランス ⋅ ⛅ 5 °C

    Garlic aside, I think I found the perfect place to volunteer in India !

    “The Environmental Center is a working model farm of the best environmental practices demonstrating traditional and innovative sustainable techniques, an educational center for teaching students and the public about  environmental issues and solutions, and a platform for engaging conversation between spirituality, culture, and concern for the environment.
    Permacultural practices, cultivating onions, garlic, chilies, tomatoes, eggplants, cucumbers, and more for vegetables, mangoes, jackfruit, guava, neem, and more for fruits and trees, lentils and chickpeas for grains, an Ayurvedic herb garden, an organic dairy with 15 cows, and operational sustainable technology.
    Volunteers can expect simple vegetarian food.
    Maintenance work on all farm facilities can be expected (solar panels and biogas generators for power production, composting for soil production).
    Additionally, as the farm aims to become an education center, plenty of work can be done building informative signage, pathways, presentations, guest facilities, curriculums, and leading students and teachers in activities that teach environmental awareness. Finally, we sponsor research, discussion, and engagement between spirituality, culture, and the environment in the Indian context.
    And of course in Varanasi there is unrivalled opportunity to engage further in Hindu religion and philosophy, classical Hindustani music and dance, and more: Sanskrit Language, Pali Language, Urdu Language, Bhojpuri Language, Vedic Studies, Hindu Philosophy, Indian Architecture, Kathak Dancing, Tabla, Sitar, Sarangi, Harmonium, Yoga, Meditation, Ayurveda, Weaving, Indian Literature and Poetry, Jain Studies, Theosophy, Bhakti Studies, etc. “

    One month will NEVER be enough.
    もっと詳しく

  • Step 5

    2017年2月15日, フランス ⋅ ☀️ 12 °C

    I applied today for the Indian Visa... late, late, I know... I still have to apply for the Tanzanian one afterwards. Tick-tock, D-14...
    And Google reminds me that 3 years ago I posted that picture.
    Can't. Wait.
    もっと詳しく

  • Mumbai -arrival

    2017年3月3日, インド ⋅ 🌫 25 °C

    Here I am!
    Despite the 2 hours delay of the flight from Paris, i could catch my Mumbai flight without too much hassle (follow the men in bright yellow with a "no tips please" marked on).

    32°C and a "nice" white cap of pollution... Well this is a nice change from the grey skies of Paris :)
    Today's program, wandering and shopping (I think I need some other shoes as my nice blue new ones hurt :/ )
    もっと詳しく

  • Mumbai

    2017年3月3日, インド ⋅ ☀️ 31 °C

    Bazaar city
    J'ai beaucoup plus de facilité à poster des photos, vidéos et petits reports jour après jour sur Facebook... Je vais quand même essayer de rattraper un peu mon retard ici.
    Bombay ! La ville où où que tu sois, t'a des gens avec des trucs à vendre, que ce soit dans des échoppes grandes ouvertes sur le trottoir (il n'y a pas de vitrine et porte, une grille ou un store metalique ferme la boutique ), sur les trottoirs par terre, ou sur les trottoirs sur des charettes à bras, ou organisés en petits marchés avec des cabanes de tôle et de textile... Beaucoup de cuisine de rue aussi, avec les mêmes dispositions. Tout est toujours bien présenté, en Inde on a vraiment le goût du beau... Les fruits et légumes sont disposés en petites piles de même nature, les charettes-cuisine sont très bien organisées, les vêtements idem, les vendeurs de thé (chaï) font de grands gestes avec leur louche pour remuer le brevage, les machines à jus de canne à sucre dont on voit les rouages...

    Et tout ça sans compter le quartier du marché, où toutes les rues autour des grandes halles couvertes (des km de tissus... Des tonnes de truites et légumes...) sont faites de maisons-de-ville-atelier-boutique, chaque groupe de rues étant dédié à un produit en particulier.. là le tissu et vêtements, ici les ceintures et sacs, là les contenants en métal, une autre le outils ou encore les feuilles plastiques...
    J'avais été très impressionnée par tout ça lors de mon 1er passage à Mumbai il y a 3 ans, je m'y suis moins promenée cette fois
    もっと詳しく

  • first morning in Mysore

    2017年3月8日, インド ⋅ ⛅ 28 °C

    So, you wake up after 9h of sleep, when you got to bed your back was hurting from the 30h spent on the train but now it's ok. In-house breakfast, and then it's on!
    Walk to the Chamundi stairs (rickshaw, rickshaw madam?), not a nice walk as you have to walk on a dirt road where trees are scarce (makes me want to plant trees) under the sun... But you also realise this is the most silent environment you got since you're in India :D

    When you reach the stairs, you probably already walked 5 or 6 km :D And you start climbing the stairs... Slooowly, because it's hot. Watching the view. Drinking water. Eating fresh pineapple from the stands at mid-way. There are plenty of couples of youngsters going up together, taking their time, seating... They don't talk to each other, they're just here, together. Small groups of guys and some of girls as well, but no mix. Some girls put kumkuma powder on each step while they're going up, chatting and laughing.
    When you reach the top though, this quiet time is over. Market again, crowds again, noise again. Doesn't really make you want to linger around.
    Getting down the steps, trying to count them. I counted around 700 but I wasn't really focused...

    Reached down, rickshaw, have to bargain, ok for the zoo, I'm tired and hungry. Getting off the rickshaw in front of the zoo gates, I go to the veg restaurant where some "regular locals" are having food.
    I'm getting the most expensive thing on the menu, what they call "meals", for 80.₹ , and a super good, sweet, no-water-added, watermelon juice.
    What a nice morning.
    もっと詳しく

  • clean & green

    2017年3月14日, インド ⋅ 🌧 25 °C

    Gros effort de la ville de Mumbai pour essayer d'éveiller les esprits au "clean and green"... De l'avis de tous les étrangers, les mêmes efforts devraient être faits pour la collecte des déchets, à commencer par placer des poubelles... Et de l'avis des Indiens, cette campagne est du vent, y'a rien derrière et tout le monde s'en fout.
    Mumbai est polluée, voilà tout :)
    Pourtant ça me semble déjà pas mal, et ça pourrait être pire! Ici à Colaba ou Fort (quartiers les plus anciens), ou le quartier du marché, ou Andheri West et Bandra, où je suis allée me balader, pas de tas d'ordures aux pieds des arbres ou sur les tas de gravats, comme j'ai pu voir ailleurs. Par contre le long des voies de chemin de fer, "suburban" ou longue distance, est un désastre, étant donné que tout le monde balance tout par les fenêtres... dans les trains non plus point de fenêtres). Et il ne faut pas trop s'approcher des corniches en bord de mer sous peine de se gâcher la vue avec les déchets flottants sur le bord... Mais comme la vue ne va pas très loin à cause du nuage de pollution...
    Et à Mumbai, pas de parc où aller respirer un peu. Des arbres immenses dans les rues, formant une vraie canopée protégeant du soleil, mais pas de grandes étendues ouvertes.
    もっと詳しく

  • Toi piéton, tu n'es pas le bienvenu

    2017年3月14日, インド ⋅ ⛅ 22 °C

    (Sidewalk stories)
    A Mumbai, à Mysore, à Bangalore... Il est compliqué de marcher dans la ville.
    À cause des obstacles physiques d'une part : entre les gens qui vivent sur le trottoir (à Mumbai surtout, des familles entières avec des jeunes enfants passent leurs journées et leurs nuits là cabanes de plastique, de tissu, ou sans abri, cuisinant et dormant à même le sol, un baluchon avec quelques couvertures et une grande assiette à proximité),
    Ceux qui font commerce sur le trottoir
    Les trottoirs défoncés, les arbres énormes et autres obstacles à contourner... Alors on marche plutôt sur les côtés des voies, entre véhicules stationnés et ceux qui roulent, dans un concert incessant de klaxons qui nous alertent qu'ils sont là.
    Et puis dans les villes comme Mysore, très touristique, où on ne comprend pas qu'un étranger puisse vouloir faire plus de 10m à pied, alors qu'il y a tant de rickshaws bienveillants prêts à vous emmener n'importe où pour "very cheap" !
    L'intérêt de la marche comme activité même et comme moyen de découvrir les dépasse complètement.
    Alors toute la journée on doit répondre aux sollicitations, parfois insistantes, des rickshaws drivers et autres rabatteurs qui veulent absolument que vous alliez découvrir Chamundi hills, le palace, les producteurs d'encens, que vous alliez acheter de la soie, vous ramener à votre hôtel (no thanks it's just around the corner! Yes, very cheap Ma'am !)
    Par contre le jour où vous quittez l'hôtel en dire tion de la gare chargée de votre sac à dos, y'a plus personne :)) Sont spé ces indiens ;)
    もっと詳しく

  • Green activists in Mumbai

    2017年3月15日, インド ⋅ 🌫 24 °C

    Urban Leaves - les feuilles mortes pour des jardins partagés

    Il n'y a donc pas de parc à Bombay, mais beaucoup d'arbres. Afin de faire d'une pierre plusieurs coups, Urban Leaves a démarré en 2009. Le but, récupérer les feuilles mortes qui sont autrement brulées, pour en faire un humus riche où planter des trucs qui poussent. Urban Leaves se sont installés sur le toit de 2 institutions qui leur offrent l'espace et l'eau gracieusement. Je suis allée les rencontrer sur le toit de l'Institut Technologique du Bhavans Campus, à Andheri West (et ce, malgré l'absence de réponse à mon mail et assez peu d'info sur la localisation exacte, call me Persévérance 😉)

    Donc tout est hors-sol, et tout a démarré par des bacs à feuilles mortes, laissées là pendant 2 mois sous une toile de jute. Puis ils y sèment, à la mode ayurvédique indienne, des graines de différentes plantes aux propriétés gustatives complémentaires (acide / sucré/salé/amer...etc). Ils laissent là les plantes grandir puis mourir, dans un processus qui dure 2mois environ. Puis la jardinière est prête pour les semences !

    Cet espace à Bhavans n'est ouvert que depuis 2 ans. Il est ouvert à tous ceux qui souhaitent participer les dimanche matin de 7h30 à 10h30 (à condition d'une adhésion annuelle au montant peu élevé), les bénévoles se partagent alors le travail et les récoltes.
    L'arrosage quotidien est assuré par un employé, d'après ce que j'ai compris.
    Et on trouve donc là quantité d'herbes, de légumes et de fruits, d'arbres décoratifs et fruitiers également, qui poussent au soleil tout le long de l'année (il y a 3 récoltes par an en Inde, l'été mais aussi à la saison des pluies et l'hiver).
    もっと詳しく

  • Developpement?

    2017年3月19日, インド ⋅ ⛅ 25 °C

    Et partout entre Pondicherry et Kanchipuram, ce qui était encore il y a peu des terres agricoles exploitées sont découpées en petits rectangles numérotés, le tout côté d'une "entrée" et d'un nom qui fait rêver, en attente d'heureux acquéreurs qui viendraient construire leur nid douillet là, à la sortie d'un village.もっと詳しく

  • 30h de voyage

    2017年3月21日, インド ⋅ ☁️ 14 °C

    Aaah, les trains indiens... Évidemment un voyage complet, plus qu'un moyen de transport :)
    Je voudrais me déplacer le pus possible au sol, éviter la déconnexion des aéroports et des avions. Je suis donc allée de Bombay à Bangalore en train, un voyage de 25h. J'ai ensuite pris un autre train pour rejoindre Mysore, trajet qui devait durer 2h30 et qui a pris presque une heure de plus, à ce stade et en mi-journée avec la chaleur, ça devient long.
    En classe Second Sleeper (sans clim), le billet couchette coute 500 roupies, soit 8 euros. Comme dans les trains ukrainiens, en journée les couchettes intermédiaires sont repliées et on s'assoit sur celles du bas, 3 places face à face. Les conversations s'engagent, la nourriture s'échange... Mais à la différence de l'Ukraine, dans les transports indiens -et quelle que soit la classe ou le type de train, des vendeurs de toutes sortes arpentent inlassablement les allées en clamant d'une voix forte ce qu'ils ont à vendre. On ne craint pas la faim, la soif ou l'ennui...
    Le fameux "tchai" ou masala chai, mais aussi café, bouteilles d'eau, samosas, galettes de dhal dures, lait ribot dans des sachets en plastique, et encore bijoux, porte clés, machins en plastique, épingles à nourrice et à cheveux... Des mendiants aussi profitent de la manne des voyageurs, certains chantent, d'autres trimbalent des enfants culs nus, des handicapés, des vieux se déplacent difficilement...
    Les voyageurs, surtout les hommes, mettent la main à la poche. Le ballet s'intensifie aux arrêts dans les gares, ou certains vendeurs défilent sur le quai sous les fenêtres (ouvertes mais protégées par des barres métalliques) et d'autres grimpent dans le train. J'imagine que les vendeurs s'échangent à ces moments-là, en tous cas point de bataille entre eux.
    Prévoir petite monnaie pour les voyages...
    Les arrêts en gare sont bien plus longs que nécessaire pour l'échange de voyageurs, ce qui me laisse penser que c'est fait pour permettre l'activité commerciale des régions traversées... Entre les gares, le train file à bonne allure.
    Autre spécificité indienne, quand on ne mange pas, on "dort". Personne ne lit, ne regarde par la fenêtre... Pour éviter de s'ennuyer ferme, les femmes surtout s'étalent sur les couchettes, s'enveloppent de leur sari, et ferment les yeux. Bonne technique pour éviter d'être importunée, et que quelqu'un ne vienne s'asseoir à côté - car certains montent en cours de trajet sans réservation.
    もっと詳しく

  • RIDE India

    2017年3月24日, インド ⋅ ☀️ 17 °C

    Et non pour une fois ce n'est pas une histoire de vélo!
    Je saute des étapes dans mon parcours -j'y reviendrai.

    Cette semaine je suis dans le Nord Tamil Nadu, à Kanchipuram, avec RIDE, une ONG familiale locale qui lutte depuis 1984 contre le travail forcé des enfants et pour l'émancipation économique des femmes des villages.
    Kanchipuram, une bourgade de plus de 3 millions d'habitants, est connue pour ses temples, mais aussi pour son travail manuel de la soie. C'est ici qu'on trouve les plus beaux saris...
    Jusqu'ici y a peu, 40 000 enfants étaient employés à trier les fils et à faire les petites mains, pour un salaire absolument misérable ou nul. Issus de familles très pauvres, leurs parents voient cela comme une tradition d'une part, comme un apport d'argent indispensable d'autre part, même si je répète, il est incroyablement bas (100₹ par mois !!!), et enfin, ils servent de monnaie d'échange, de garantie lorsque les familles ont besoin de solliciter une aide financière de la part de leur employeur.
    Une pratique aussi ancrée dans les moeurs ne s'éradique pas facilement...

    La scolarité est obligatoire en Inde, et le travail des enfants réglementé, mais la corruption importante et le fait que beaucoup de travailleurs de la soie travaillent chez eux font que les lois sont faciles à contourner...Quand on va à l'école en Inde, on doit aussi être propre, bien habillé, et d'apporter à manger pour le repas du midi, autant de freins à la scolarisation régulière des plus pauvres.

    Les fondateurs de RIDE, Mr et Mme Jeyaraj, tous deux enseignants diplômés, sont arrivés du Sud Tamil Nadu et ont démarré par fonder une école, en mesure d'offrir une bonne éducation gratuite aux enfants les plus défavorisés, et ont formé les enseignantes. Puis plusieurs écoles, ce qu'ils appellent des "bridge schools", permettant aux enfants déscolarisés de reprendre un cursus normal après une année. Puis des écoles du soir, permettant aux enfants travailleurs d'accéder tout de même à un bon niveau d'éducation, et de ne pas être captifs de leur travail de petite main toute leur vie... Des actions de communication auprès du public, des actions en justice et auprès du gouvernement pour que les lois soient respectées, de l'information et de la formation auprès des personnes les plus défavorisées pour qu'elles prennent conscience de leurs droits.

    Parallèlement, RIDE mène également dans les villages des projets de "Self-Help Group" ("aidons-nous nous-mêmes") pour les femmes : des femmes "ressources" sont formées à une activité artisanale (couture, broderie,...) et à la gestion financière, et sont ensuite "responsables" à leur tour de groupes de femmes. Ces groupes d'une cinquantaine de femmes se réunissent au moins une fois par semaine, et lorsqu'elles en font partie, les femmes doivent mettre de côté 50 ₹ par mois, sur un compte commun du SHG, ouvert et aidé aussi par RIDE. Après quelques mois d'économies les femmes sont en mesure de solliciter un micro-prêt pour améliorer, étendre leur activité économique. Des bénévoles locaux de RIDE continuent à être régulièrement auprès de ces SHG, d'autres groupes sont désormais autonomes. Certaines femmes ont lancé leur propre affaire, artisanale ou de production, par exemple pour le lait, transporté ensuite dans des camions réfrigérés vers la ville.
    Pour avoir une idée des coûts, une vache coûte environ 30 000 ₹, et son lait peut rapporter jusqu'à 6500 ₹ par mois (vendu à 30₹ le litre)...

    Plusieurs autres projets pour lutter contre la pauvreté ont été menés ou sont développés, comme la construction de toilettes dans des villages Dalit (Intouchables, les plus pauvres...), le développement du jardinage dans les écoles, l'information sur les herbes médicinales (il y a à Kanchipuram un hôpital traitant avec les herbes médicinales, accessible à tous, et une pharmacie où on peut se procurer divers remèdes efficaces et très peu chers), la récupération des déchets... Sur ces derniers points pas mal de choses peuvent encore être développées, mais pas en une semaine, il faudrait être ici pour 3 mois au moins (surtout vu le rythme des journées alors que la chaleur de l'été arrivé, mais bon, c'est un autre sujet).

    Pour fonctionner, RIDE dépend beaucoup de dons privés. Ils accueillent aussi des volontaires à long terme, forcé de propositions et de mise en oeuvre.
    Cela fait aussi une bonne quinzaine d'années maintenant qu'ils ont une petite offre de "tourisme solidaire", accueillant des touristes dans leur guesthouse, 3 repas faits maison avec beaucoup d'attention compris, et offrant des visites de la ville et des environs, ou des cours de cuisine...
    Mais tout le monde ne comprend pas la démarche puisque certaines personnes trouvent les prestations "trop chères"...

    J'ai pu rendre visite à quelques personnes concernées par ces projets, voir quelques livres de comptes, rencontrer des enfants super dynamiques et appliqués à l'école... Je pense que RIDE fait vraiment du bon boulot. Si jamais vous venez dans le coin, n'hésitez pas à vous arrêter, ils seront ravis de vous recevoir, et si vous cherchez une petite ONG à qui faire des cadeaux de Noël pensez à eux.

    RIDE India
    www.rideindia.org
    Facebook: Ride India

    48, Periyar Nagar
    Little Kanchipuram 631503
    Tamilnt, India
    もっと詳しく

  • Chennai

    2017年3月27日, インド ⋅ ⛅ 30 °C

    Rapide passage à Chennai entre Kanchipuram et Mahabalipuram.
    Chennai, ville "normale" ? Ni hyper touristique ni géante... Pas non plus une silicon valley ni en chute libre... Et avec des bons spots de petit déj aux stands de rue : ce matin là j'ai pris mon petit déj en 4 étapes délicieuses :))もっと詳しく

  • Holidays at the beach

    2017年3月29日, インド ⋅ ⛅ 34 °C

    I had a short stay at Mahabalipuram (or Mamallapuram). A "beach station" town which is probably better to visit off-season than when everybody's here (April is the start of the summer, aka too hot, so it's a good time to come). Beach, waves to surf, fish freshly arrived from the sea, yoga, and rock carvings. Pretty nice for a couple of days. the sea is too hot for me though... I like hot water in a bubble bath :)

    The interesting part is that we can see the coast between Pondicherry and Chennai being slowly covered by "resorts" and amusement parks of all sorts, but apparently a large strip of the coast is still reserved and owned by the fishermen communities who hold it strongly, aware that if they lose it, they lose all access to the sea.
    もっと詳しく

  • Chickoo !

    2017年4月2日, インド ⋅ 🌙 30 °C

    Fruit I didn't know before

    Trop bon! Je ne connaissais pas

    https://en.m.wikipedia.org/wiki/Manilkara_zapota

  • One (new) fruit a day

    2017年4月20日, インド ⋅ ⛅ 14 °C

    I discover a new fruit everyday here :)
    So, after sapota/chikoo, there is Ramphal - a sort of custard apple, chirimoya, more "creamcheese-like". A full dessert in itself. Even though one can use it to create awesome cheese cakes, for example :)

    There's also Amla, the Indian gooseberry, full of vitamin C and magical properties for the human body. Bigger than our European berries, it can be eaten raw, but it tastes kinda saur and one has to get used to it. They say it's very refreshing to take a bite of Amla, chew and swallow, then take a sip of water. I was eating it cut in pieces with my morning muesli...

    Oh and I tried the cashew fruit, which tastes kinda like... jackfruit? The cashew fruit is full of water.

    Here they also cook the banana flowers, but I don't know how as I didn't see or tried it.

    And Rabia told me about the coconut flowers that were sold on the Pondicherry market to be eaten !?? She had never seen it before even though she lives at the Reunion island, surrounded by coconut trees :))

    About the veggies, buttergourd curry is awesome, and okras as well when it's well cooked ...

    There are also numerous "greens" that I didn't have enough time to explore, but I can tell you a salad of green papaya, chicken spinach and coconut is heaven...
    もっと詳しく

  • Auroville

    2017年4月20日, インド ⋅ ☀️ 22 °C

    So, I spent a month in Auroville. 1 week in march, when I attended a "Earth & bamboo" construction workshop, and 3 weeks until yesterday, during which I attended an intensive course on bioclimatic design with earth (both times speaking about the material, "soil", "mud".

    But still, I don't know how to talk about Auroville. Maybe here more than anywhere else, one has to experience it for some time. Please do go there on your next trip...
    It's much more than a bunch of nostalgic hippies living in "almost gated" communities :) More also than a fun camp for retired people who enjoy riding their mopeds without a helmet :)
    And not a cult either, even though the founders' pictures are to be found everywhere.

    It's a place where one can think, meditate, find quietness.
    The Matrimandir, the spacecraft-like spiritual center of Auroville, is even designed for this sole purpose. And this is an impressive architectural experience, enhanced by the fact it's not the work of one company, one contractor under one guy's orders, but much more of a collective realisation. It took so much will and collective work to come to completion that one can only be impressed.

    Auroville is also a place where you can still feel that if you want to do something, try something, there's room for that.
    I am not going to describe all the farming activity, the reforestation projects, the researches on renewable energy and sustainable life that are taking place in Auroville. Once again, one has to come to experience it and have an idea for himself about what this place intended for human unity is, and can be.
    もっと詳しく

  • Hyderabad / Secunderabad

    2017年4月21日, インド ⋅ ☀️ 40 °C

    Le métro en construction changera-t'il la donne ? Pour l'instant les villes "jumelles" donnent l'impression d'avoir été construites pour la bagnole... La nuit c'est un vrai jeu vidéo, on fonce, on fait le tour du lac, presque courses-poursuites entre le restaurant et le bar... En journée c'est plus laborieux, on coincé dans les bouchons pour couvrir les 400m qu'on peine à couvrir à pied... Et à l'arrivée on ne sait même pas trop où se garer.
    Pourtant autour du Charminar, le monument historique de la ville, et de la grande mosquée, se développe un marché en soirée où on reprend plaisir à marcher...Mais l'autre raison du bien être des habitants de ces villes, après le fait de pouvoir se loger à des prix corrects, c'est l'offre en restaurants. Hyderabad est connue pour ses byrianis, viandes grillées et autres plaisirs culinaires qui vont de nos jours de la bière brassée sur place au "thick shake" ultra sucré...
    もっと詳しく

  • Agra, plus que le Taj Mahal

    2017年4月25日, インド ⋅ ☀️ 36 °C

    Et je ne pouvais pas aller dans le nord sans faire un arrêt à Agra pour voir le Taj Mahal !

    J'avais un billet de train en "réservation sous réserve d'annulation" à partir d'Hyderabad, pour 22h de trajet... Ce qui veut dire que les places sont vendues à plusieurs personnes, à voir ensuite sur place comment ça se débrouille ^^ J'étais donc censée partager ma couchette avec un monsieur à l'air pas très intéressant et au gros bide. Heureusement le contrôleur m'a trouvé une couchette dispo pas très loin, vu que ça ne gênait pas plusieurs femmes en partager une, tête-beche ^^ Vive l'Inde et les Indiens, franchement :)

    Je suis donc arrivée à Agra un peu avant 5h du mat, parfait pour être au Taj Mahal au tout début de la journée, le meilleur moment pour le visiter car dès le milieu de la matinée, soleil et chaleur sont trop intenses (plus de 40°C en cette période) et il risquait aussi d'y avoir trop de monde...

    Après avoir posé mon sac à l'hostel où j'avais l'intention d'aller, je suis allée à pieds à la porte Est, à peine à 1km... surprise en voyant que depuis assez longtemps, les abords du Taj et les voies y menant sont réservés aux piétons, hyper travaillés, calmes et impeccables !
    2e surprise , on me l'a dit sur le chemin mais je ne voulais pas y croire, ce jour là la visite du Taj est gratuite. La visite la plus chère de l'Inde ! 1000 roupies !! Youpi ! Vive le roi dont c'est l'anniversaire !
    Et donc voilà, après une petite marche à 6h du mat sous le soleil levant dans les rues piétonnes larges, où circulent calèches et ... Comment appeler ça... Sortes de voiturettes de golf allongées propulsées par un vélo, ou au moteur électrique silencieux... J'entre donc dans l'enceinte du Taj par la porte Est.

    Je ne vais pas vous raconter le lieu, évidemment fabuleux, déjà pas mal de touristes mais c'est grand, il y a de la place pour tous. Le palais de marbre blanc n'est pas seul, il a toute une enceinte et des bâtiments-portes de pierre rouge tout aussi splendides. Le tout donne sur la rivière, qui baigne dans une lumière cotonneuse blanche... La pollution filtre la lumière de manière très poétique, au moins !

    Heureuse de ma visite, j'ai continué vers le Fort, un peu plus loin sur la rivière, et toujours via des rues larges, silencieuses, impeccables, sous utilisées... Un bout de pastèque frais avant d'entrer, payé 550 roupies (pour les Indiens c'est 30) (fair enough), et je gravis la pente de pierre rouge vers les palais du Fort... Qui se révèle autant si ce n'est encore plus splendide que le Taj... Marbre blanc, pierre rouge, cours successives, arcades sculptées, incrustations de pierre dans la pierre, vues cadrées sur la rivière, le Taj, la ville... Superbe ! Superbe. Les Indiens ont vraiment un sens de la beauté sur-developpé...

    Et puis il y a l'autre côté de la rivière. Les jardins Mehtab Bagh, faits pour offrir un arrière-plan au Taj... Le "baby taj" et ses marqueteries de pierre... Etc etc.
    Mais Agra est bien plus que cette collection de monuments... La ville qui s'est développée au pied du Fort, creusée dans la roche rouge, le labyrinthe du bazar avec des rues et passages de quelques dizaines de cm de large qui s'enfoncent vers des ateliers obscurs, des vestiges historiques de bois et métal​, la foule partout, des vendeurs mobiles de trucs colorés et savoureux à manger, des fruits inconnus, des masala soda, des trucs qui fument, des trucs dorés, le tout sous les "moucharabieh" de métal qui protègent les 3-4 étages au-dessus.. quelle atmosphère, c'est complètement fou, c'est Babylone et le 21e siècle à la fois, c'est encore mieux que les rues du bazar de Bombay, c'est dingue.

    Et puis, jouxtant les espaces publics bien policés du Taj il y a la ville qui s'étend, ce qui étaient des villages ou des bouts de quartiers informels, qui s'intègrent petit à petit à la ville...les plus pauvres qui vivent là avec pour WC et sdb un égout-ruisseau au milieu du passage entre les baraques, les chèvres pour le recyclage des ordures, mais au moins les maisons sont en dur, ça protège mieux de la chaleur que la tôle... Certains s'offusquent de la présence de ces habitants aussi près du Monument, ça gâche la vie disent-ils... Moi je trouve ça plutôt chouette qu'ils vivent là, au pied d'une merveille construite que le monde vient admirer.

    Et je ne suis même pas allée dans d'autres quartiers...

    Je suis restée 2,5 jours à Agra, j'aurais pu y passer 2 semaines sans m'ennuyer, à l'aise...
    もっと詳しく

  • Planning in Africa

    2017年6月23日, マラウイ ⋅ ⛅ 22 °C

    So, I've been in Malawi for almost a month now... And several times already, I realised that you can't really plan ahead what you're going to do the next day...
    The healthcare is pretty bad or non-existent for the 95% (?) people who can't afford it, resulting in sudden deaths happening way too often in a family... And when someone died, then all the relatives take the 2-3-4 days off it takes to reach "home" and be at the funeral.
    Meetings are cancelled, food is not cooked, houses are not guarded, walls are not built then... For the same reasons, plus the malaria and HIV, sickness leaves also have to be taken pretty often by the people you work with. So, you wait for their return in a better shape...
    And then there are "problems with the car" that just wouldn't start that day, or other transportation surprises...
    Oh and don't delay your soup-making or taking a shower, or sending that email, because the power might be cut for the next 3-6-9-12 hours...

    Today the minibus drivers went on strike in Blantyre, because of a change of law rising the fines when they contravene (too loaded, wrong parking...) -well I wouldn't see the problem until I read that they are not supposed to carry bags more than 16kg now... 16kg??? When a maize bag is 50 ? And when it's the only affordable transportation option at all? This is kind of ridiculous.

    And so then you get up in the morning, thinking this is your last day around because the next day you're planning to go to a national park for the weekend, then to Lilongwe and Zambia, but actually No! You're not going to go anywhere today, shopping at the market and working on constructuring site will wait, and maybe not the next ones either, because the situation has changed completely from the day before : people are angry, they are gathering stones along the road and use them against cars and other people, minibuses are being torched and supermarkets might get looted and the police is moving now and last time something like that happened 20 people were killed.
    Oops.

    So everybody who managed to come to work is sent home, and you just wait to see if it's worth packing your bag or not.
    もっと詳しく

  • Liwonde Park

    2017年6月24日, マラウイ ⋅ ⛅ 21 °C

    En route pour la Zambie, j'ai passé un weekend au Parc de Liwonde.
    Le parc est petit et ne compte pas de prédateurs... Mais la population des éléphants est désormais trop importante pour la superficie du Parc et met en danger l'équilibre naturel et la végétation. Aussi la gestion du Parc a été confiée il y a quelques mois à "African Parcs", une société sud-africaine, pour 15 (ou 20?) ans. Le Parc est désormais clôturé (pour empêcher la destruction des cultures par les éléphants et mieux contrôler le braconnage), des éléphants sont déplacés vers d'autres parcs, et des guepards (cheetahs) sont en train d'être ré introduits, en attendant les lions dans quelques mois si tout va bien.
    Les lodges autour de Liwonde town ont aussi des propositions d'hébergement pour les backpackers -tentes, dortoirs... Je suis restée au Bushman's baobabs, superbe environnement au milieu des baobabs, ambiance relax, guides sympas et bonne bouffe !
    もっと詳しく

  • A vélo en Zambie avec Bike Zambia

    2017年6月29日, ザンビア ⋅ ☀️ 19 °C

    J'ai fait partie de la rando-velo Bike Zambia cette année !

    480 km entre Lusaka et Livingstone, entre 60 et 120 km/jour, sur routes et chemins de terre et de sable, avec un détour par le lac Kariba.
    L'occasion de rencontrer des Zambiens et Zambiennes noirs et blancs, des villes et des villages, et de voir de plus près les actions des organisations que l'on soutient avec les dons récoltés : près de 40 000$ cette année malgré une participation bien plus faible que habitude ! (La faute à l'élection de Trump apparemment... Bike Zambia est organisé par une ONG américaine et ne mobilise en général que des citoyens des USA qui ont eu peur de partir cette année).

    Nous étions 8 fundraisers (Pete, Michael, Brandon et Kevin le docteur de la rando, Matthew et Tina, Cynthia ma roommate et moi), Denys un monteur de World Bicycle Relief, et l'équipe mobile de Thorn Tree Safari : Yoram, champion cycliste qui était notre mécano vélo, George notre chauffeur, Bone le cuisinier, Greenwell notre accompagnateur et "multi-taches", le tout encadré des bras de fer de Claire, brittone née en Zambie au caractère bien trempé et qui peut tout sortir de toutes les situations* :)

    Après être tous arrivés à Lusaka le 29 juin et un premier jour de visite de World Bicycle Relief, on a enfourché nos vélos :
    Kafue - Mazabuka, premier goût des chemins sur près de 50 km, beau, collant et odorant passage parmi les champs de canne à sucre... Nuit sous la tente sur un terrain de polo, dont la salle sert également d'église le dimanche matin.

    Mazabuka - Monze, 65 km de chemins beaux mais bien crevassés et tape-cul, suivis de 22 km de route, jusqu'au Moorings camp.

    Monze - Choma, 108 km de route "qui ondule" (comprendre succession de montées et descentes) puis derniers 19km dont la beauté m'a quelque peu échappé, éprouvée que j'étais par le sable épais dans lequel il a fallu bien mouliner. L'arrivée au confortable Masuku Lodge de Rory et Dory a été plus que bienvenue...

    Choma - Sinazongwe (lac Kariba), 70 km de très belle route pour descendre les 1000m+ vers le lac, puis chemin à travers les villages et baobabs jusqu'à notre lieu de déjeuner sur les bords du lac qui fait frontière avec le Mozambique (point de baignade, y'a des crocos !) - 2e nuit au très accueillant Masuku Lodge où on est remontés en 2h de voiture.

    Choma - Kalomo, 90km de route de terre et chemins de sable à travers missions et villages où on s'est pas mal arrêtés pour rendre des petites visites : petit orphelinat soutenu par Bike Zambia, à la mission Siachitema, et chez Ronda la tailleuse de pierre...
    A l'arrivée j'ai encore fait une descente chez les vendeurs de chitenge au marché, puis nuit dans un lodge en ville, aux chambres avec des noms d'animaux et les couvertures en faux satin.

    Et enfin Kalomo - Livingstone, derniers petits 57 km par la route, avec arrivée sur le pont du train avec vue sur les majestueuses chutes Victoria...
    Suivie d'une balade à pied sur le circuit des Falls, où on s'est fait tremper par les retombées de flotte :D

    Les parcours sont sur mon compte Strava pour plus de détails ! :)

    À Livingstone on a été logés chez Claire, au très chouette et calme Thorn Tree house, qui a plusieurs options de logement (cottages, tentes confort, chambres).

    Le lendemain, journée de repos où on a choisi de tous aller au parc de Chobe, au Botswana, pour la journée.
    Et le samedi 8 juillet, tournoi de football avec Grassroot Soccer, la 3e organisation bénéficiaire de Bike Zambia cette année, suivi d'un "sunset cruise" de 2h sur le Zambeze, l'occasion de voir encore une fois hippos et éléphants dans leur élément naturel...

    On n'a pas vu passer les 10 jours, bien intenses... Faut dire qu'avec la nuit qui tombe à 17h30, pas trop le temps de niaiser non plus ! :) Les départs étaient tôt le matin (entre 7h et 7h30), des pauses snacks et remplissage des bouteilles d'eau tous les 20-30 km, on n'a pas souffert, sauf du sable parfois, et on a tous pu profiter de temps seuls sur la route :)

    *La dernière "situation" en date, Kevin et Brandon qui ratent leur avion car ils sont retenus par la police à cause d'une histoire de contrebande d'ivoire dans un machin-souvenir, qui s'avère être du faux, Claire qui endosse la responsabilité pour eux pour qu'ils puissent prendre l'avion suivant et ne pas complétement rater leur connexion, mais qui se retrouve arrêtée quelques jours après, car oh finalement c'est bien de l'ivoire, et à deux doigts de passer la nuit en prison car elle refuse de payer un bakshish... Mais même ça elle s'en sort :D
    もっと詳しく

  • Bike Zambia et World Bicycle Relief

    2017年6月30日, ザンビア ⋅ ⛅ 21 °C

    Rencontre donc de World Bicycle Relief à Lusaka, qui conçoit, monte et distribue les vélos Buffalo: toutes les pièces sont fabriquées en Chine, arrivent par cartons chez WBR qui les monte et les donne ou les vend selon les cas (la partie commerciale est toute récente).
    À l'achat, un Buffalo est plus cher qu'un vélo indien ou chinois, mais il est plus costaud et surtout, garanti pendant 2 ans.

    L'année dernière 4000 vélos ont été donnés à des jeunes habitant à plusieurs km des écoles et dont les familles ne peuvent pas se permettre l'achat d'un vélo. La priorité est donnée aux jeunes filles, car elles sont souvent moins encouragées que leurs frères à poursuivre leur scolarité...

    Un contrat d'utilisation est alors signé entre WBR et les familles: pendant les vacances scolaires seulement le vélo peut être utilisé par la famille pour d'autres trajets (aller en ville, au marché...). Un contrôle est effectué et si le contrat est bien respecté pendant 2 ans, le vélo devient pleine propriété de la famille. Sinon, il est repris par WBR.
    Le contrôle et les réparations sont effectués par les monteurs-mecanos formés et employés par WBR, chacun responsable d'écoles.

    Des Buffalo sont également donnés aux bénévoles et travailleurs sociaux et de santé, pour leur permettre de se déplacer vers les villages et communautés isolées et y faire des tests HIV, du suivi médical, de l'approvisionnement en médicaments...
    もっと詳しく