Driemond

Vincent

On s'est réveillés dans notre hôtel dégeu, nous sommes contents que ce soit notre dernière journée ici. Je suis soulagé de savoir que le réceptionniste louche n'est pas venu nous poignarder pendant la nuit!

On pacte nos affaires et on prend le tramway jusqu'au centre-ville, où on déjeune au petit 'Resto Oslo' . (Pas très néerlandais, mais bon.)

Après, on décide de se promener un peu dans la ville avant d'aller louer des vélos pour visiter des petits villages. On marche avec nos gros sacs, on visite des parcs, on a mal aux trapèzes, on découvre plusieurs canaux, Alix chiâle sur le fait que les inconnus ne renvoient pas ses salutations, on admire les bâtiments et l'architecture, c'est malade. On se croirait dans un film tellement tout est beau et parfait!

On profite aussi des merveilleux services d'un employé de magasin d'équipement de camping, qui nous aide à réparer nos bâtons de tente GRATUITEMENT!!!! Sans son aide, on aurait pas pu camper... (photo)

Une fois qu'on était certains que la tente pouvait tenir debout, on part louer des vélos. Je stresse vraiment beaucoup à l'idée de laisser un ID de grande valeur à quelqu'un que je ne connais même pas. Mais la réputation de la compagnie me laisse croire que ça va être correct là...

On fait de notre possible pour sortir de la grosse ville, ça prend une bonne heure. Après, on pédale encore une heure pour ensuite aller s'acheter de quoi souper, et trouver un endroit pour installer la tente.

On a spotté un petit endroit à l'intérieur d'un bois, près d'une piste cyclable. (photo)

On se fraye un chemin, on piétine les hautes herbes, on installe la tente et la toile, on verroue les vélos à des arbres avoisinants, on rentre nos bagages à l'intérieur et on soupe.

On niaise jusqu'à 2h du matin, et je prends une heure de plus qu'Alix pour m'endormir. J'étais trop occupé à rester attentif aux bruits et dangers imaginaires qui pourraient rôder autour de nous. J'étais même tellement parano que j'ai posé le couteau suisse près de mon matelas, juste au cas où. On sait jamais tsé...Läs mer