• Nathan Hausheer
  • Julie Voillat

NEZARA - Tour de l’Europe

Une aventure de 288 jours par Nathan & Julie En savoir plus
  • Figueira da Foz

    11–12 déc. 2024, Portugal ⋅ ⛅ 11 °C

    Même programme que la veille avec 7h30 de nav principalement au moteur mais au moins le mer est calme.
    Le village est sympas et les douches aussi mais on profite de la bonne météo pour repartir directement le lendemain.En savoir plus

  • Nazaré

    12–14 déc. 2024, Portugal ⋅ 🌙 9 °C

    Ce coup si c'est vraiment la nav parfaite avec du vent arrière et pas trop de vague.
    On arrive a Nazaré en seulement 7h45 alors qu'on avait plutôt prévus 9h.
    Arrivé sur place on recroise une équipe qu'on avait vu à Baiona et on rencontre deux bateaux stoppeuse super cool qui voudraient traversé jusqu'au Brésil.
    On leur propose de naviguer avec nous jusqu’à Lisbonne et ça leur permet de se remettre dans le mood navigation.
    On va aussi voir le spot de surf qui est bien impressionnant (plus de 3 mètres alors que la mer est super calme partout ailleurs) et on profite de l'ambiance bar de surf, mine de rien très proche de celle des après ski.
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  • Peniche

    14–15 déc. 2024, Portugal ⋅ ☁️ 15 °C

    On profite de la météo toujours clémente pour repartir avec nos 2 nouvelles potes direction Peniche.
    La nav est impeccable du vent pile comme il faut et quasi pas de vagues sous le soleil, même si on se caille un peu c'est quand même le mois de décembre.
    La ville est super sympa mais on repart direct le lendemain pour Lisbonne histoire de bricoler un peu en attendant les copains pour nouvel an.
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  • Cascais

    15–16 déc. 2024, Portugal ⋅ ☁️ 14 °C

    Ce coup ci on part a l'aube, toujours avec nos nouvelles potes.
    La météo annonce beau et 11 nœuds de vent de travers constant mais finalement le vent passe de 25 nœuds à pétole un peu toute la journée mais au moins le soleil était au rendez vous.
    On arrive quand même a rejoindre Cascais avant la nuit.
    Le village fait un peu Disneyland avec les décos de Noël et la marina coûte super cher donc le lendemain, on laisse Marine et Aileen chercher un embarquement et on bouge le bateau jusqu'à Oeiras, un marina un peu plus loin qui est super sympas et bien meilleur marché.
    Elle nous y retrouvent le soir et on continue la petite colloque encore quelques jours.
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  • Oeiras / Lisbonne

    16–29 déc. 2024, Portugal ⋅ ☁️ 16 °C

    Houla ça faisait longtemps mais le temps passe vite en bonne compagnie.
    C'est à la marina d'Oeiras que l'on attendra Élise, Anaïs et Arthur qui viennent nous rejoindre pour les vacances.
    En attendant on profite des 3 dernières soirées avec nos super bateau stoppeuses. (elles passent leurs journées à écumer les ports pour trouver un embarquement et ça paie, elle continuerons leurs voyage sur un cata direction Gibraltar.)
    On se sent bien ici, il fait beau tout les jours, on croise des autres navigateurs, il y a une chouette ambiance avec plein de petits restaurants autour du port... C'est un bon endroit pour faire la plus longue escale du voyage !
    Mais pour mériter nos pauses aux restaurants, il faut avancer dans les travaux de préparation pour l'arrivée des copains. À 5 sur un 34 pied ça demande un poil de rangement et on en profite pour enfin sortir notre réservoir de carburant afin d'y installer une sonde de niveau et d'améliorer son étanchéité.
    Ensuite on profite de visiter un peu et on va chercher les copains le 27 au soir à Lisbonne après leurs 38 heures de Flixbus.
    On visite Lisbonne avec eux le lendemain avant de profiter d'une fenêtre météo pour mettre les voiles.
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  • Sesimbra

    29 déc.–2 janv. 2025, Portugal ⋅ 🌙 13 °C

    Après une chouette navigation sous le soleil on arrive a un premier mouillage mais on l'abandonne assez vite, la carte annonce beaucoup de haut fonds et on bouge quand même pas mal.
    Finalement on va s'installer juste devant Sesimbra dans une baie bien abritée où l'on reste jusqu au 31, à ce moment là on décide d'aller au port de sessimbra juste a coté pour éviter les aller retours en annexe à 3h du mat, en plus apparemment il y a plein de bateau et des plongeurs qui passent l’année sous l'eau.
    Après s’être amarré on va faire quelques courses en ville et là surprise, il y a 3 fois plus de monde dans les rues que les jours précédents.
    On décide donc d’essayer de réserver un resto pour le soir mais impossible tout est déjà complet. Se sera donc pâte au pesto au bateau avant de partir.
    Finalement ça tombe bien parce qu'on se fait alpaguer depuis le ponton d'à coté où un super navire de 1943 nous invite à boire un verre.
    On y fait la rencontre Mariana, la très bientôt propriétaire du Pego do Altar, la passation se fait pour la nouvel année et elle nous explique que ce vieux bateau transportait du sel à l'époque, qu'il fait maintenant des visites pour les touristes et que c'est désormais à elle de l’entretenir ce qui n'est pas une mince affaire.
    On discute un moment puis on part voire ce que donne un nouvel an au Portugal et c'est assez spécial.
    Il y a vraiment très peu de bar et un des seuls que l'on trouve est a court de pression (à 22h30) et sert des bouteilles en verre dans des gobelets plastic a emporter.
    Ils font péter un giga feu d'artifice depuis la digue du port (on en retrouveras des bouts sur le bateau le lendemain) et ensuite on trouve un concert de musique latine avec environ 20 personnes devant.
    On reste jusqu’à la fin du concert avant de rentrer faire l'after au port en passant par la plage encombrée de bouteilles vides et de confettis petit à petit nettoyer par la marée montante...
    Comme nos voisins semblent être aller se coucher on fait l'after chez nous.
    Le lendemain les copains motivés se font une petite baignade dans la mer pas si chaude.
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  • Peninsule de Troia mouillage

    2–3 janv., Portugal ⋅ ☀️ 16 °C

    Ce coup ci c'est une toute petite navigation pour aller se mettre a l’abri,
    Ils annoncent de forts vents du sud pour la semaine à venir alors on décide d'aller faire un mouillage temps que c'est encore calme et d'aller se planquer a la marina de Troia pour le gros temps.
    On mange des ramen devant le coucher du soleil dans un mouillage super calme.
    Malheureusement la nuit est plus mouvementée et pas si confortable, en plus le courant est trop fort pour s’amuser à faire des aller retours à la rame.
    On décide donc d'aller à la marina directement après le petit déj.
    En plus on a eu des nouvelles de Wanja qui nous y rejoindra dans la journée.
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  • Troia marina

    3–13 janv., Portugal ⋅ ☁️ 16 °C

    La marina est chère et toute la presqu’île uniquement construite pour du tourisme et complètement vide mais bon vu la météo on prend directement une semaine, malheureusement pour nos invité on ne naviguera pas plus durant leur voyage.
    Les gens du port sont sympas vu la tempête a venir ils nous surclasse et nous voici au ponton des 18 mètres nettement mieux protéger.
    Wanja nous rejoins dans l'après midi et on se promène un peu a la découverte des plages de la région.
    le lendemain c'est visite de Sétubal grâce au catamaran qu on a renommer le Flixferry.
    Le lendemain la tempête est la et on reste bien tranquillement au bateau.(même a 6 dedans sa se passe bien).
    ensuite on ira visiter les ruines romaines (fermées) de la péninsule, visiter le Fort de Saõ Filipe à Sétubal et le dernier jours des copains, on retournera profiter de Lisbonne, où ils dormirons avant de reprendre le flixbus retour.
    Wanja restera 2 jours de plus avec nous avant de repartir plus au sud sac au dos.
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  • Sines

    13–15 janv., Portugal ⋅ ⛅ 16 °C

    Après une grosse escale à Troia les conditions sont enfin réunie pour faire un nouveau bout de chemin.
    On s'était bien habituer à avoir des mousses pour nous aider aux manœuvres mais on gère quand même.
    La navigation se passe super bien avec un départ au lever du soleil et l’arrivée à Sines en fin d'aprèm.
    On passe une journée sur place pour prendre des forces car la prochaine nav sera longue et avec les premiers quart de nuit de Julie.
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  • Lagos

    15 janv.–1 févr., Portugal ⋅ 🌙 8 °C

    On profite de la pleine lune et des bonnes conditions pour se lancer dans la plus grosses navigation sans escale depuis le golfe de Gascogne.
    Les conditions sont impeccables et on a le temps de voir plein d'étoiles avant le levé de la lune (même si du coup on a un peu peur de se prendre des casiers de pécheurs). Et comme on avance bien on arrive même avant minuit, on avait prévu 2h du matin pour être large.
    Nous voici enfin dans la zone la plus protégée de l'atlantique et dans un port extrêmement bien protégé lui aussi et ça tombe bien, quelques jours plus tard la tempête Eowyn est sur nous, accompagnée d'un sms du gouvernement portugais nous conseillant de rester à l’abri.
    On est bien content de s'y plier et on passera deux semaines pas tellement productives bien à l’abri dans notre bateau.
    On profite quand même des quelques jours de beau pour aller visiter la ville et le Cap de Ponta da Piedade avec ces magnifiques grottes et falaises.
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  • Albufeira

    1–3 févr., Portugal ⋅ ☁️ 16 °C

    On les aura attendu longtemps mais cette fois on a les conditions idéales pour reprendre la mer.
    Grand soleil et vent de travers on fonce faire une escale devant la grotte de Benagil mais malheureusement le vent est un peu trop costaud pour qu'on se sente d'y aller avec notre annexe à rame.
    Tant pis le paysage est magnifique et on en profite pour boire une petite bière au soleil avant de rejoindre Albufeira.
    Arrivé là-bas on découvre un port de plaisance rempli d'immeuble coloré avec restaurant, bar, bowling et autres attractions qui semblent aussi remplis de locaux que de vieux anglais en bateau.
    C'est bien animé et assez sympa mais on repart le surlendemain pour profiter de vents favorables et faire quelques jours de mouillage devant Culatra.
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  • Culatra

    3–7 févr., Portugal ⋅ ⛅ 15 °C

    On fait nos adieux au Portugal dans un mouillage super calme devant le super petit village de Culatra.
    C'est super dépaysant et sa ressemble pas à ce qu on a vu jusque là.
    C'est un tout petit village de pêche avec des maisons de toutes les couleurs sur un étage, le tout sur une bande de sable qui n'est relié au continent que par des taxi boat.
    On profite pour tester un bar de plage et surtout admirer des coucher de soleil incroyables tous les soirs.
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  • Ayamonte

    7–9 févr., Espagne ⋅ 🌬 17 °C

    Après une navigation plutôt tranquille on se prend un début de branlée 45 minutes avant de se mettre a l’abri derrière la digue.
    on gîte d'un bord a l'autre alors que les vagues ne sont pas si grosse que ça mais juste a un rythme qui faut pas.
    On passe 1 journée sur place pour refaire quelques courses et visiter ce joli village.
    On est content d’être de nouveau en Espagne, c'est plus facile de comprendre ce qu on nous dit et Julie retrouve des bières sans gluten au super marché (introuvable au Portugal).
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  • Mazagòn

    9–14 févr., Espagne ⋅ ☀️ 17 °C

    On continue de se rapprocher gentiment de la Méditerranée malgré une navigation au moteur par manque de vent et on fait une escale de quelques jours à Mazagòn.
    C'est un petit village très chou avec une énorme plage.
    Au port il y a une réplique de vieux 3 mâts qui fait des tours l'été mais là il est en réparation et malheureusement notre carte d'accès du port n'ouvre pas le ponton où il est ammaré.
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  • Chipiona

    14–17 févr., Espagne ⋅ ☀️ 16 °C

    Après une navigation impeccable on arrive à Chipiona avec un léger coup de stress, le port a répondu à notre mail pour réserver une place en nous avertissant que le port était en cours de dragage et qu'il fallait arriver à marée haute pour pouvoir entrer et comme on arrive 1h30 après la plus haute marée on avance tout lentement les yeux rivé sur le profondimetre prêt à faire marche arrière en cas de besoin.
    Finalement tout va bien on a même 1.5 mètre de marge.
    Une fois ammaré on part visiter un peu la ville qui est très jolie avec plein de décoration, il y a une fête ce weekend.
    On croise aussi au port une raie torpille marbrée qui est électrique et qui fait des tours à côté du bateau
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  • Cadix

    17–25 févr., Espagne

    Après une petite navigation full moteur et qui commence dans le brouillard on arrive à Cadix et on passe même le cap des 2000 milles nautiques parcouru depuis le départ.
    La première impression ne fait pas super envie car on arrive du coté du port industriel avec les cargo et les grues de chargement mais le port est très sympas et pour une fois assez peuplé.
    On fait la connaissance de Javier un pompier du coin bientôt a la retraite qui retape son super bateau en bois (il a même une figure de proue !) pour partir faire sa retraite en mer.
    La ville quand à elle est vraiment magnifique, il y a plein de joli parques avec des perruches des moines dans les arbres qui font l'ambiance musicale et des monuments incroyable. On voit directement qu'il y avait beaucoup d'argent à l'époque, les lampadaires sont en fer forgé très travaillé et les banc publique en marbre.
    On y passe 8 jours ou on profite à fond avant de partir pour Barbate.
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  • Barbate

    25–27 févr., Espagne ⋅ ☁️ 17 °C

    Après une journée impeccable de voile moteur (on vas loin on a pas le temps de traîner), un passage un peu secouant au cap Trafalgar où la mer se creuse a cause des relevées de fonds et notre premier appercu de l'affrique, on arrive a Barbate : dernière étape avant de quitter l'atlantique.
    On arrive quasi en même temps que 2 autres bateaux : Kiah avec un couple d'anglais qui reviennent de 3 ans aux caraïbes et Freedom qui appartient a un danois qui a passé sa vie a naviguer.
    On discute un peu avec à la capitainerie mais on n'est pas au même ponton donc on ne les reverras que pour le départ simultané 2 jours plus tard.
    La ville de Barbate est très jolie même si à première vue ça ne sautait pas aux yeux ,décidément ils mettent toujours les ports du côté moche ! Mais celui là compense en servant de foyer aux chats errants qui y sont nourris par des bénévoles :)
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  • La linea

    27 févr.–15 mars, Espagne ⋅ ☁️ 16 °C

    La navigation était impeccable et de conserve avec Kiah et Freedom (on est parti en même temps et on a naviguer ensemble toute la journée).
    On a vu des vaches de plages, bu une bouteille de Cava pour fêter le point le plus au sud de notre voyage a l’île de Tarifa et mon anniversaire et alors qu'on arrive gentillement en vue de l’arrivée on se fait doubler par Kiah qui nous crie le nom de son facebook depuis son bateau.
    On les contactes pour leur proposer de boire un verre le soir même et on passe une super soirée avec eux, et ils nous invitent à manger un curry à bord de Kiah quelques jours plus tard (leur bateau est magnifique !)
    Le lendemain c'est Kenneth (capitaine de Freedom, un genre de Bernard Moitessier danois) qu'on croise et avec qui on vas visiter Gibraltar, qui est un territoire anglais ( nous on est resté coté Espagnol pour les tarifs et les démarches administratives). C'est tout drôle de passer une douane à pied :)
    Les deux semaines qui suivent nous font comprendre pourquoi les anglais se sont senti chez eux ici. Le temps est dégueulasse et les vents ne nous permettrons de partir que très longtemps plus tard.
    On en profite néanmoins pour installer un guindeau et acheter 30 m de chaîne comme ça on est prêt pour la méditerranée. 🐬
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  • Estepona

    15–16 mars, Espagne ⋅ ☀️ 14 °C

    Enfin une météo correcte pour faire de l'avance.
    On doit partir a 5h30 du matin pour les courants de marée mais la navigation est impeccable, on a même les dauphins qui viennent nous saluer au lever du soleil, on n'en avais pas vu depuis un sacré moment.
    On arrive avant midi et on décide de ce mettre au mouillage pour tester le nouveau guindeau.
    Il fonctionne nickel et on ne bouge pas d'un poil alors qu'il y a 15 nœuds de vent.
    Enfin on bouge pas en terme d'ancre parce que dans le bateau ça tangue bien, on regarde la météo et c'est sensé ce calmer en fin de journée donc on gonfle le dinghy est on part manger au resto et visiter un peu la ville.
    On passe un super bon aprèm mais malheureusement quand on revient au bateau c'est encore pire qu'avant.
    On embarque sur notre petit dinghy et on se prend direct 3 grosses vagues dans la gueule qui nous remplissent l'annexe alors qu on n'est qu a 50 cm de la plage...on rigole bien et on porte l'annexe pour partir depuis un endroit plus calme. (on est évidemment trempés comme des soupes)
    Arrivé au bateau sa secoue beaucoup trop donc on part ce mettre au port, ce qui nous permet de tester la remontée de l'ancre avec le guindeau et le système de mouillage sur pendille (typique de la méditerranée et beaucoup moins galère que prévus). On passe une super soirée au calme avant de repartir le lendemain
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  • Fuengirola et Malaga

    16–25 mars, Espagne ⋅ ☀️ 16 °C

    On arrive à Fuengirola en milieux d'aprèm et on profite de notre nouveau guindeau encore une fois.
    On ce met au mouillage juste devant le port même si on sait que la météo va tourner le lendemain c'est toujours une nuit de gagné.
    Le lendemain, petite manœuvre tranquille pour rentrer au port, les pendilles se passent toujours aussi bien (y avait vraiment pas de quoi s’inquiéter) surtout qu'il y a toujours quelqu'un pour nous aider à s’amarrer.
    Le gars en question nous explique qu'il est bien rassuré de nous voir rentrer au port et nous raconte que rien que sur l'année passée 4 bateaux se sont échouer depuis ce mouillage...
    On avait bien vu un bateau échouer sur la plage mais on pensait pas que c’était si récent.
    Effectivement le soir même le vent ce met à souffler comme pas permis et pile dans le sens de l'entrée du mouillage, même au port ça secoue bien.
    Par contre le port est très sympa, il y a plein de bistro le long du quai et plein de gens qui en profitent.
    Comme on est bloqué la un petit moment on va visiter Malaga en train même si on galère pas mal à trouver la gare qui est souterraine (finalement c' est l'office du tourisme qui nous indique la route).
    La vieille ville est vraiment magnifique.
    On visite la forteresse d'Alcazaba qui est incroyable avec ces portes a l'orientale, ces petits jardins et ces colonnes et on monte jusqu'au château de Gibralfaro qui domine toute la ville.
    On fait aussi le tour de tous les parcs qu'on peut trouver, par contre on ne va toujours pas voir la cathédrale qui comme à Cadix demande 10 euros par personnes pour entrer.
    Sinon à Fuengirola il y a pas grand choses à visiter mais on profite du retour du soleil pour bouquiner sur le pont, c' est bien bien cool après ces 2 semaines de pluie.
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  • Motril

    26–27 mars, Espagne ⋅ ☀️ 16 °C

    Bon ben on a bien fait d'appeler le port avant de partir, on voulais aller à Cala-Vélez en 7h de nav mais le port est en travaux et complètement fermer, on repousse donc le départ pour faire directement le trajet jusqu’à Motril.
    La nav ce passe bien mais on doit pas mal aider au moteur pour arriver de jour, le paysage a bien changé on ce croirait presque sur le Leman en plus grosse surprise on voit de la neige sur les montagnes au loin !
    On ne passe qu'une nuit a Motril, les copains de Kiah sont au port d'Almerimar qu'on rejoint à la prochaine étape.
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  • Almerimar

    26–28 mars, Espagne ⋅ ☀️ 17 °C

    Encore une belle nav sous le soleil.
    On rejoint Almerimar et on voit plein de serres qui remplissent toute la partie plate de la pointe et ne s’arrête qu'au pied des montagnes.
    Le port est vraiment super : pas cher, plein de gens qui bricolent et de shipchandler.
    Apparemment c'est un très bon coin pour préparer son bateau.
    On fait la rencontre de notre voisin un allemand plein de dread qui bricole son bateau depuis 2 ans en se faisant un peu de sous au chantier naval d'à côté.
    On part en expédition pour trouver une nouvelle bouteille de gaz dans les stations services au milieux des serres (c'est incroyable le nombre qu'il y en a) et on retrouve Kiah le deuxième soir et cette fois c'est chez nous qu'on fait l'apéro !
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  • Mouillage au Cabo de Gata

    28–29 mars, Espagne ⋅ ☀️ 18 °C

    Après un réveil un peu difficile on navigue jusqu’à notre prochain mouillage.
    L'endroit est vraiment magnifique et très calme on peut même voir notre ancre se poser sur le fond de sable.
    Le paysage change encore une fois complètement, on à pas le temps de s'habituer qu'on arrive déjà à un autre coin magnifique.
    On resterait volontier plus longtemps mais un fort coup de vent de l'est est prevu pour le lendemain soir alors on part se cacher à Garrucha.
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  • Garrucha

    29–31 mars, Espagne ⋅ ☀️ 21 °C

    Encore une magnifique nav sous le soleil, Cette fois, l'hiver est vraiment derrière nous.
    On arrive à Garrucha dans un port assez sympas. C' est vraiment plein de bar et de bistro et il y a des gens qui font l'apéro de partout.
    On profite d'un petit bar très sympa juste en face de notre ponton et le lendemain on part encore une fois en expédition de gaz avec une demi heure de marche le long de la plage.
    Ici ils font les contrats pour acheter une bouteille neuve mais pas le dimanche donc on est encore bredouille.
    Heureusement qu'on a acheter une bouteille de campingaz pour faire le pont...
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  • Mouillage Calabardina

    31 mars–1 avr., Espagne ⋅ ☀️ 20 °C

    On coupe la route pour Cartagène en 2 avec un super petit mouillage à mi-chemin.
    Cette fois ci c'est le grand jour du retour de la baignade, l'eau est limpide et à 19° C, on en profite pour ce rafraîchir un peu et je sors le masque de snorkeling pour aller voir comment l'ancre c'est planté.
    Après ça on gonfle le dinghy, charge quelques bières et on va faire l’apéro sur la plage. On rentre juste à temps pour le coucher du soleil, c’était vraiment le top.
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