• LES TESO EN BATEAU
Jan – Apr 2020

117 days toward the west

117 jours à bord du Magnifica Read more
  • Trip start
    January 5, 2020

    Cette fois-ci on est presque parti...

    December 30, 2019 in France ⋅ ☀️ 3 °C

    J-4 Maintenant, les valises sont fermées, le plein est fait et vendredi nous attaquons notre descente vers Grasse où nous laisserons la voiture, puis Génes pour embarquer;

  • C'est parti!

    January 5, 2020 in Italy ⋅ ☀️ 12 °C

    Après une journée de détente à Grasse, car ce matin pour rejoindre Gènes. Embarquement sans problème et prise de possession de la cabine (pas très grande). Nous avions vue sur le parking... mais heureusement on a pu arranger ça dès que avons appareillé. Demain Marseille. Y aura-t-il quelque chose à dire..?Read more

  • Ce jour: Marseille

    January 6, 2020 in France ⋅ ☀️ 11 °C

    Petit déjeuner dans le grand "food court" du 13ème étage, face à une mer d'huile étincellante sous le froid soleil d'hiver (que c'est beau!!!). Ensuite, visite de la cathédrale de Notre Dame de Major, puis direction le Mucem etle fort. Décevant le Mucem. Pas grand chose dedans et une architecture certes avant gardiste,mais moins spectaculaire que sur les photos. Dans la foulée, sans doute un tour à la salle de sports...!Read more

  • Olé! Barcelone

    January 7, 2020 in Spain ⋅ ☀️ 12 °C

    Hier AM, découverte de la salle de gym. Au 13ème étage, à l'avant du bateau avec une vue imprenable sur la mer. Il faut déjà penser aux éventuels excès. Difficile de ne pas se laisser tenter par les oeuvres du chef... Soirée magie et ombres chinoises au théatre: rien de bien neuf. Et un dernier verre au karaoké. Equipement top. Ce matin, départ pas trop tard vers le centre ville et la Sagrada Familia. On s'est fait escroquer un peu par le taxi! Visite de la cathédrale. On aime ou on aime pas, mais elle est vraiment superbe et mérite vraiment le détour: bravo à A. Gaudi.. Retour à pied par la Rambla, l'extraordinaire marché et l'ancienne cathédrale dans le vieux Barcelone. Comme je réponds aussi aux questions, notre cabine mesure 17m2 et se situe au 12ème étage. Enfin, le profil de nos co-navigateurs: pas tout à fait celui que l'on croit. A suivre pour les détails quand on aura approfondi le sujet.Read more

  • Ca bulle aujourd'hui!

    January 8, 2020, Alboran Sea ⋅ ☀️ 14 °C

    Hier soir, nous quittions Barcelone et encore en pleine ambiance espagnole, nous nous préparions à déguster une bonne tranche de Sérano, à manger quelques tapas avant d'engloutir une bonne paëlla. Point de tout cela, même si je m'éclatais avec une salade de morue salées et une crème catalane. En revanche, le spectacle au théatre nous présentait des danseurs de...flamenco, vous êtes forts! Soyons honnêtes, ils étaient excellents et ont fait un tabac même s'il n'y avait que deux espagnols dans la salle. Eux en ont peut-être marre d'entendre taper les pieds et des mains ... Ce matin, réveil intempestif, un hélico faisait du sur place juste au dessus de nous. Premier hélitreuillage du voyage. S'il y en a un tous les trois jours, on va moins se bousculer au petit déjeuner. Et puis quelques kilomètres (mais oui!) de marche sur le pont-promenade. Et justement, après, on coince la bulle avec un bouquin, la guitare, un chocolat sur le pont VIP du 16ème étage, l'apérot.... Comme à la maison de retraite quoi. A 23h, nous passons le détroit de Gibraltar et direction Lisbonne. Sûr, demain au théatre, on aura du Fado! On pari? Un petit clin d'oeil à Françoise et Jacques, nos nouveaux compagnons de voyage, qui font partie de nos éminents followers, et qui vont pouvoir contrôler la véracité de mes propos. Par exemple: cet AM, nous avons pu apercevoir 2 bancs de dauphins qui nous ont suivis quelques minutes. Je me demande d'ailleurs s'il n'y avait pas Flipper parmi eux...Read more

  • La classe: présentation au Commandant

    January 9, 2020 in Portugal ⋅ ⛅ 15 °C

    Après une journée consacrée aux activités du bord, nous étions reçu par le commandant pour un cocktail de bienvenue. Tout le monde était coiffé, maquillé, enfin, toutes ces dames. Les messieurs quant à eux avaient sorti le costume et la cravate, voire le neud papillon. La vraie vie quoi. Le commandant a dû faire un petit millier de photos, affichant toujours le même sourire. "Bonsoir" en italien, un petit geste pour vous inviter à vous installer à ses côtés, "souriez", clic-clac et on va boire un coup. Pas avec lui car il a d'autres occupations plus importantes... Puis, présentation de l'équipage au grand théatre. Chaque officier resonsable d'un secteur est appelé (en cinq langues) , à monter sur scène et fait un petit coucou de la main avant d'aller rejoindre tout sourire ses collègues. On est pas forcé d'être là. On peu aussi rester au bar où deux charmante musiciennes distillent de la bossa nova bien agréable aux oreilles. Puis, le grand spectacle de gala avec des danseuses à plumes et des accrobates. Balaises les gars. Ce matin, au petit déjeuner, la giffle. Nous avons tenté d'aller le prendre au pont 6, là où nous dînons; C'est le restau des "Auréa". Et là, badaboum, on s'est fait jeter comme des malpropres. VIP certes, mais pas assez. Direction de pont 5. Nous avons franchi le détroit de Gibraltar vers 22:30. A tribord, l'Europe, à bâbord l'afrique. Des lumières de chaque côté du navire. Un pied en europe, l'autre en afrique. Ce matin, l'atlantique. Plus gris et moins calme que la méditerrannée, mais ce n'est pas la tempête, loin de là, même si certains symptômes de mal de mer apparaissent ça et là. Et j'ai perdu mon pari. Ce soir, point de Fado, mais un groupe de jeunes chevelus qui chantent des trucs comme "She loves you yé, yé, yé" : des clones d'un groupe qui était connu paraît-il, dans le temps, les Beatles. En voila une musique qu'elle est bonne! En attendant, nous arrivons à Lisbonne. Il paraît que c'est plein de portugais...Read more

  • Que d'eau, que d'eau

    January 10, 2020, North Atlantic Ocean ⋅ ☁️ 15 °C

    Hier soir, énorme surprise: les Beatles, c'était les vrais!!! Pas tout à fait mais ils étaient excellents et ont mis le feu au théatre.Fallait voir les déambulateur valser autour le la salle, c'était mieux qu'à Liverpool. Bon, bien sûr, j'exagère "un peu" pour le côté Liverpool ...et aussi sur les déambulateurs,mais quand même, tout ces sexagénaires et septuagénaires retrouvaient, moi le premier, l'ambiance de leur 15/20 ans. Sans rire c'était top. Aujourd'hui, liaison vers Madère: quelques kilomètres sur le pont sports et pour le reste on verra. En tout cas, il faut pas venir célibataire sur ce bateau, car question canons, hommes et femmes, c'est pas le Club Med.Read more

  • Au revoir l'Europe

    January 11, 2020 in Portugal ⋅ ☀️ 16 °C

    Après le rock de la veille, nos oreilles en ont encore pris un coup: soirée Bel Canto. Un orchestre classique de 6 musiciens avec 4 chanteuses et chanteurs qui nous ont interprété quelques immense succès du répertoire. Ca déménage aussi. Arrivés à l'aube à Funchal, nous avons passé une bonne partie de la journée à découvrir les environs: de la falaise la plus haute d'Europe aux petits villages de pêcheurs en bord de mer, pour retourner en ville et déambuler dans les ruelles de l'ancienne ville et visiter la cathédrale (en travaux). Au passage, Cassandre, une poignée de main virile à Ronaldo. Il est né ici. Retour au bateau pour un déjeuner tardif sur la terrasse suivi d'un jacusi et d'une sieste sur le pont 16 où nous sommes assez VIP pour y accéder. Et nous nous sommes dit que nous avions beaucoup de chance d'être là et de pouvoir profiter de ce voyage de rêve. Ce soir, départ vers le Cap Vert, deux jours de navigation. Puis, début de notre première transat en bateau. Dès ce soir, fini l'Europe, espérons que le wifi du bord ne nous laissera pas tomber.Read more

  • Etape de transition

    January 12, 2020, North Atlantic Ocean ⋅ ⛅ 18 °C

    Après le traditionnel apérot dans l'un des très nombreux bars du bord et le dîner au pont 6, aux "Quatre Vents", le spectacle du grand théatre était consacré à un ventriloque de renommée mondiale qu'on nous a dit: Las Végas, Sydney, Dubail, ... il était passé partout. Il a sans doute fait les auditions... Non pas qu'il soit mauvais, mais le niveau n'est pas terrible même si on a quand même passé un bon moment. Aujourd'hui, matinée sportive: quelques kilomètres de marche autour du pont 14, puis ping-pong. Le tout suivi d'un excellent jacusi. Pour la première fois, comme c'est dimanche, on a tenté le déjeuner au restaurant du pont 5, l'Edéra. On aurait pas dû. Très décevant par rapport à celui du dessus et même par rapport au self du 13ème. Tant pis pour eux, on ira plus! Nous venons de doubler les Canaries par l'ouest et maintenant c'est tout droit jusqu'au Cap Vert.Read more

  • Transition: J 2

    January 13, 2020, North Atlantic Ocean ⋅ ⛅ 19 °C

    Pour la première fois, un chaud soleil nous a surpris lorsque nous avons ouvert la fenêtre du balcon. Mer d'un bleu impécable, calme, laissant juste entrevoir quelques petits moutons ça et là. Nous sentons enfin que nous descendons vers l'équateur et de nouvelles destinations plus étonnantes pour nous que Marseille ou Barcelone.

    Hier soir, soirée de haut niveau. Des balets classiques, quelques chansons et deux numéros plus « cirque », mais top.

    Ce matin après le petit déjeuner, marche. Nous avons changé de pont: en route pour le pont 7, le pont promenade qui laisse plus de place pour les marcheurs ou runners (y'en a pas trop!).

    La matinée s'est achevée par une conférence sur les iles de demain, le Cap Vert. Au moins nous ne débarquerons pas tout à fait dans l'inconnu.

    Les passagers sont encore assez distants les uns envers les autres, sauf ceux qui se connaissaient déjà. Sachez les amis que beaucoup de monde sur ce navire a déjà effectué un tour du monde ou plus. Ils en sont déjà à réserver pour celui de 2021 et même pour 2022!!

    Nous n'en sommes pas encore là. Nous profitons pleinement de l'instant présent et c'est déjà pas mal.

    En gros, les passagers se répartissent de la façon suivante (estimation de mon applaudimètre personnel au grand théatre): un tiers de français, un tiers d'allemands, les troisième tiers étant occupé par les anglais, les espagnols et les italiens. Quand au 4ème tiers....

    Cet après-midi, mer toujours bleue mais un peu plus agitée. Température: 23°. Et ce soir, c'est le volume 2 des Beatles!!!
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  • Cap Vert: Mindelo

    January 14, 2020 in Cape Verde ⋅ ☁️ 22 °C

    Ah, les Beatles! Spectacle top malgré une ambiance qui ne se lâche qu'au moment du rappel. La moitié de la salle debout, l'autre assise, râlant après la première. Je m'en tape, pour une fois, je suis allé devant la scène et tant pis pour les grincheux. Ca m'a vengé de tout ceux qui s'étaient levés pour Les Vieilles Canailles et qui nous ont bouché la vue la moitié du concert.

    Le saviez-vous? Le Cap Vert est un pays indépendant situé au large de Dakar et composé de dix iles. Mendelo est sur l'ile Saint Vincent. Pour en savoir plus, reportez-vous à votre Atlas préféré (maintenant on dit internet..!).

    Celà dit, la ville ne présente pas grand intérêt et l'ile est sèche comme un dimanche sans pinard. Mais c'est le début de l'exotisme. Lisbonne, Funchal, c'était l'Europe, ici c'est déjà l'Afrique même si l'on parle portugais. Donc un bon moment de découverte.

    Tout à l'heure, on appareille cap vers Salvador de Bahia, le vrai début de l'aventure. Dans deux jours nous passons l'Equateur avec une fête prévue à cette occasion. Il fût un temps où le passage de l'équateur était un vrai événement avec des festivités grandioses. A suivre.

    Chose prévue mais étonnante, nous allons changer d'heure 24 fois, soit 24 journées de 25 heures. Temps qui ne nous est que prêté car nous devrons le rendre le jour du passage de la ligne de changement de date dans le Pacifique.

    Et ce soir au grand théatre: opéra.
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  • Devant nous le Brésil

    January 15, 2020, North Atlantic Ocean ⋅ ⛅ 24 °C

    L'opéra d'hier au soir, du top de chez top! Il y avait un peu moins de monde que pour les Beatles, mazis ceux qui étaient là, quand même en nombre, ont fait une ovation aux 4 chanteurs. Mozart, Rossini, Verdi, comme dirait l'autre, c'était le haut du panier. Performance exceptionnelle. Puis, un pot au piano bar. Ce n'est pas ce qui manque, des bar musicaux il y en a partout. Orchestre danse tradi, duo guitare jazz-latino... Ce matin, activités sportive et bulle au soleil au pont 16. Il faut dire que depuis ce matin, c'est l'été et que les T-shirts et les maillots sont de sortie. On approche de l'équateur, c'est pour après_demain avec une fête en perspective. On est en mer, rien de bien spécial. Elle est toujours bleue et calme. Pour Annie, c'est François Deguelt!Read more

  • Dur ou doux?

    January 16, 2020, North Atlantic Ocean ⋅ ⛅ 28 °C

    Dur ou doux? on en reparlera dans quelques lignes.
    Mais en attendant, voyons ce qu'il s'est passé hier au soir. Encore une soirée musicale, ce qui est parfait. Et qui plus est en live ce qui est encore mieux. Nous avons découvert une jeune chanteuse brésilienne accompagnée d'un quartet (piano, guitare, basse, batterie).
    Ils ont interprété tout un tas de standards de bossa et de jazz que l'on a toujours plaisir à entendre: Cheek to cheek, Girl from Ipanéma, Road 66, Fly me to the moon,...
    Tout ces spectacles sont d'excellente qualité. On commence à se demander comment nous allons faire une fois de retour, juste devant la télé. Et des spectacles du soir, il en est prévu 95! La question est de savoir comment il vont tenir le rythme. En fait les artistes montent à une escale et descendent ensuite à la prochaine. Il y en a donc qui sont en route pour le Brésil!

    Revenons au doux ou dur. Le massage tout simplement. Je suis tombé sur une balinaise qui doit peser 40 kg toute mouillée et qui m'a fait le massage de Jugnot dans les bronzés. Heureusement que j'avais demandé « moyen »... Je vous épargnerai la photo de moi et mon super slip de massage!!!

    Cet après-midi, spectacle d'hypnose. On en reparlera.

    La mer est calme et tout va bien; comme dirait Charles Gérard dans « La bonne année ». Soleil chaud et brumeux.

    Réponse à ML. D.: oui mais juste un soir au karaoké.
    Pour les Whom: n'oubliez pas que j'ai une guitare et que je bosse aussi!
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  • Latitude 0° 0' 0'': l'équateur

    January 17, 2020, South Atlantic Ocean ⋅ 🌧 28 °C

    Ce matin à l'aube, un événement: nous passions de l'émisphère nord à l'émisphère sud.
    Il est de coutume dans la marine de célébrer dignement ce passage vers l'autre côté du globe terrestre. Ce qui fût fait ce matin avec une cérémonie plus potache voire aussi débridée qu'un « tonus » de carabins à l'hôpital.
    Un défilé sur les ponts a amené Neptune jusqu'à la piscine et chaque passager qui passe l'équateur pour la première fois s'incline devant lui et se prend un bol d'eau sur la tête. Puis, autour du bassin, chacun reçoit du lait, de la tomate, du chocolat, …
    Quand Neptune est satisfait, ...tout le monde à l'eau! Faut voir l'état de la piscine! Le tout dans la joie et la bonne humeur.

    Sinon, hier après-midi, spectacle d'hypnose. On y croit ou pas. En ce qui me concerne, ça serait « pas ». Il faut dire que certaines ficelles sont un peu grosses. Néanmoins, les passagers « réceptifs » ont fait des trucs étonnants. Reste à savoir leur degré de complaisance.

    Puis, hier au soir, soirée italienne avec chanteurs et danseuses. Toujours très bien.

    Nous approchons du Brésil. Les oiseaux sont de retour et il fait chaud. Mais nous n'accosterons à Salvador que dans une quarantaine d'heures en longeant de loin la côte.
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  • Bientôt la terre

    January 18, 2020, South Atlantic Ocean ⋅ ⛅ 28 °C

    Nous attaquons notre quatrième jour de navigation sans voir le moindre bout de terre. Nous imaginons tout ces navigateurs qui nous ont précédés dans des conditions autrement difficiles. Avec un peu d'espoir sans doute en apercevant les oiseaux. Demain matin à l'aube, nous serons en Amérique Latine et nous en aurons terminé de cette longue liaison - comme on dit au Dakar - qui nous mène chez les cariocas, puis les danseurs de tangos, les manchots et les bonnets à franges. Le programme est là très résumé car nous ne quitterons le Pérou que le 16 février au soir.

    Hier après-midi, concert classique avec de célèbres airs d'opéra interprétés par la soprano maison. Pow, pow, pow, c'est pas Charlotte Gainsbourg ou Jeanne Birkin.

    Le soir, dernier spectacle du ventriloque-magicien-hypnotiseur-cleptomane qui a essayé depuis trois prestations de nous faire prendre des vessies pour des lanternes. Mais, pas fous les bourdons, avec mon ami Jacques nous menons l'enquête et mettons à jours toutes les grosses ficelles utilisées pour nous berner. Eh, on est pas des perdreaux de l'année! Exemple: comment enlever une chaussette à quelqu'un portant des chaussures sans qu'il s'en aperçoive? Ben les malins, en le mettant dans le coup et le faisant monter sur scène déjà déchaussetté d'un pied. Et on a la preuve: un petit coup de pression et il nous a lâché le morceau le félon.

    Ce matin, sport, marche puis salle de gym. Cet après-midi, casting pour le tournage de séquences mythiques sorties des plus grands blockbusters. Malheureusement que des nuls à remplacer, genre Nicholson, Travolta, Gene Kelly, Clint Eastwood ... A ma grande honte et mon grand dépit, j'ai jeté l'éponge car tout était en anglais et je sentais pas bien le truc. Peut-être s'il y avait eu Bourvil...

    Ce soir Samba et Bossa live avec Camila puis peut-être chant avec l'orchestre de l'Amétista. On verra.

    Et demain on descent à terre à Salvador de Bahia.
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  • Terre, terre!

    January 19, 2020 in Brazil ⋅ ⛅ 30 °C

    Ce matin, dès 6h45 (oui on se réveille tôt avec le décallage horaire), nous avons aperçu les côtes brésiliennes. Fin de la transat.

    Avant celà, hier, soirée brésilienne avec une Camila en pleine forme. Elle a mis le feu avec son quartet de folie en nous interprétant tous les grands standards de la bossa nova et de la samba.
    Ensuite, visite à l'Amétista pour, soit-disant, chanter avec l'orchestre... En fait un karaoke avec un bande orchestre, comme d'hab, sauf que comme la salle (salon thé dansant) n'est pas faite pour ça, la sono est épouvantable. En bref, on entendait rien en chantant, noyé au milieu des décibels et le résultat a été ce qu'il ne pouvait pas être autrement: NUL! et sans plaisir. J'ai failli passer par dessus bord. Heureusement que Marie m'a retenu ... Je suis repassé à l'intérieur du bastinguage car finalement les autres étaient pareil. Mon Dieu...! Pas une bonne journée pour les activités artistiques.

    Ce matin, motif de fâcherie: Nous avons accosté à Salvador à 8h, notre débarquement pour l'excursion « visite de la ville » ne se fera qu'à 10h. Du temps perdu car on n'a quand même pas le temps de sortir du bateau, d'aller quelque part à pied et de revenir. Et pas de wifi pour l'instant! C'est quoi ce bazard???! Bon, on se calme. Car ensuite, un grand tour dans la ville et en particulier l'ancienne ville nous permettra d'avoir une bonne idée de la troisième ville du Brésil.

    Maintenant, nous sommes rentrés et ravis de cette ballade au travers des ruelles de la ville historique et de la découverte des endroits sympas. Bien sûr, c'est un peu court pour s'imprégner de la vie des brésiliens, mais dès que l'on est à terre, c'est de la musique - beaucoup de percutions - et un peuple cool. Rien à voir avec le Cap Vert.

    Ce soir nous appareillons pour Rio avant de nous retrouver sur le pont supérieur pour une longue fête brésilienne. J'espère qu'il y aura des danseuses de samba. J'ai bien dit des danseuses, car ici on est sûr de rien...
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  • La mer est toujours calme!

    January 20, 2020, South Atlantic Ocean ⋅ ⛅ 26 °C

    Bien sûr, la soirée a commencé comme chaque soir au bar Vénizio avant d'aller dîner à notre table du Quatro Ventis. Suite au retour d'excursion tardif, nous étions sortis de table un peu tard l'après-midi et le repas de soir fût plutôt frugal. Ensuite, un petit Bailey's à l'Amétista, très calme ce soir pour cause de préparation de fête.
    En fait, de fête il n'y en eu point. Point de danseuses tant espérées. Il y avait quand même l'excellent orchestre du bord qui faisait chauffer le parquet et pas mal de monde qui dansait. C'était la soirée quotidienne, mais sur le pont. Sympa tout de même.

    Aujourd'hui, navigation. Après l'apéritif qu'a constitué Salvador, nous attendons Rio avec impatience, notre plat de résistance. Je pense que demain matin tout le monde sera debout à l'aube pour ne pas rater l'entrée dans la baie de Rio découverte par Antonio - Fernando - Augusto - Claudio - Cabral (il doit bien y avoir un prénom de bon..!).

    C'est drôle, on ne pense plus vraiment que l'on est sur un bateau. Le Magnifica est une petite ville dans laquelle on prend nos marques, nos habitudes. Il nous reste à choisir dans quel bar on va boire un coup... On regarde moins la mer pourtant si sympa avec nous en restant tranquille et presque plate. Plus un mouton à l'horizon depuis plusieurs jours. Pourvu que ça dure.

    Ce matin, conférence technique du Capitaine au grand théatre. Passerelle, moteurs, hélices, propulseurs d'étrave, tout y est passé. Savez-vous par exemple qu'une hélice mesure 5,8m! Et ben oui!
    Sympa, nous pourrons visiter la dite passerelle un de ces jours.

    Et je sens que l'on va lire aujourd'hui. C'est calme cet après-midi. On se maintient en forme pour demain et après-demain où on va crapahuter.
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  • "Si tu vas à Rio..." On y est!

    January 21, 2020 in Brazil ⋅ ☁️ 26 °C

    Aujourd'hui, je n'évoquerai que rapidement la soirée d'hier: thème La Famille Adams, c'était bien. Voilà.

    Ce matin, réveil très tôt pour admirer l'arrivée sur Rio. Dès que l'on approche un peu, on aperçoit les plages de Ipanema et Copacabana. Encore quelques minutes, le bateau vire légèrement sur bâbord et le Pain de Sucre apparaît. Et, dans la foulée, au moment où l'on pénètre dans l'immense baie par un étroit passage, les yeux se portent naturellement en hauteur, vers le Corcovado, le Christ rédempteur, qui veille sur toute la ville.

    Cette entrée dans la baie était un moment étrange, magique, et qui personnellement m'a presque submergé d'émotion. Cette ville que j'avais déjà visité il y a plus de vingt ans est une ville magique, pleine d'histoire, de musique, de soleil et de joie de vivre, même pour ceux qui n'ont pas la chance de vivre dans les quartiers les plus célèbres.

    Le bateau est mouillé juste avant l'immense viaduc qui traverse toute la baie. C'est assez loin du centre ville, voire très loin, et heureusement que nous avions choisi de prendre des excursions. Beaucoup de monde certes, mais comme c'est bien organisé, on reste dans le timing et on a le temps des voir le nécessaire. Pour le superflu...

    Donc, 8h45, départ pour la petite gare où l'on va prendre le train à crémaillère qui va nous faire monter à flan de colline, à travers la forêt vierge, du niveau de la mer jusqu'au presque sommet à près de 700m d'altitude. Voyage de vingt minutes au cours duquel, au fur et à mesure de la grimpette, on découvre à droite comme gauche, un paysage de plus en plus saisissant. C'est haut, c'est beau... et il commence à faire bien chaud.
    On termine par une montée de 220 marches (oui je sais, certains en ont monté 1.000) pour déboucher au pied de l'immense statue de 70m qui étend ses bras sur toute la ville. Somptueux et impressionnant. Bien sûr, il faut faire abstraction de la foule car nous ne sommes pas seuls à vouloir jouir de ce paysage exceptionnel. Et on a du mal aussi à ne pas penser à Roger Moore (Bond, James Bond) et à Jean Dujardin (117, OSS117). Désolé, je n'ai pas d'autres références sous le coude.

    La descente, toujours en train et ensuite, nous prenons la direction des plages en longeant la lagune. Ipanéma, puis très vite nous rejoignons la fameuse plage de Copacabana. 4Km der sable fin, une longue esplanade aux dessins si particuliers, des marchands de boissons, de lunettes, ...de tout! Nous avons posé nos serviettes et avons profité un bon moment de cette plage à l'ambiance incroyable. D'énormes vagues empêchent de vraiment se baigner, mais l'eau était très accueillante et nous avons pu nous mouiller. De toutes façons, dès que l'on a de l'eau aux genoux, dans les secondes qui suivent on est trempé complètement et c'est bien agréable.

    Encore une petite ballade sur l'esplanade afin de remplir notre tête de toutes ces images si formidables. Et je n'insiste pas sur les strings, ce n'est pas une légende...

    Un pot pour récupérer de la chaleur et retour vers le bateau en passant par Maracana et le Sambodrome.

    Ce soir, il semble que quelque chose soit prévu, mais on a pas bien compris quoi. A suivre.

    Demain le Pain de Sucre. Chouette, on va prendre le téléphérique..!
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  • C'est haut, mais c'est beau, beau, beau!

    January 22, 2020 in Brazil ⋅ ⛅ 28 °C

    Hier soir , nous étions HS et avons préféré rejoindre notre cabine car le spectacle du pont 13 était sympa mais n'avait rien d'exceptionnel. Et ce matin, nous devions nous lever avec le soleil. Magnifique d'ailleurs sur la baie.

    Départ pour le Pain de Sucre. Nous avons traversé le centre ville, autrement dit la partie la plus au nord de Rio, quartier qui mériterait d'être un peu rénové, mais qui montre le Brésil dans son jus. Maisons coloniales, petites ruelles, terrasses sur les trottoirs avec, au loin, les favellas présentes partout sur les hauteurs.

    Nous voilà devant le départ du téléphérique. Oh miracle, oh joie, oh félicité, il n'y avait personne et nous avons pu embarquer de suite pour passer de 0 à 700 m en deux fois trois minutes.

    Une fois en haut, alors là les amis, vous en restez sur le c..! 360° de vision panoramique sur la baie, son entrée, les montagnes, les plages, le Corcovado et même les avions qui atterrissent ou décollent de l'aéroport en passant en dessous de nous!

    Encore plus beau encore que la vue du Corcovado, pourtant beaucoup plus haute mais moins complète. Ensuite, la descente: normale.

    Puis, visite de la cathédrale. Toute en béton, en forme de pyramide, immense et pouvant contenir 20.000 personnes!!! Il paraît qu'ils ont quand même du mal à la remplir.
    Et puis, l'inévitable shoping et on se prépare pour la sortie de la baie en fin d'après-midi. Encore un spectacle formidable en vue.
    Et on dira au revoir à Rio. Sans doute me adieu, comme à la plupart des villes qui vont nous accueillir au cours de cette croisière.
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  • Cap sur Buenos Aires

    January 23, 2020, South Atlantic Ocean ⋅ 🌧 23 °C

    Le spectacle du départ était tout aussi magique que celui de l'arrivée. Hier en fin d'après-midi le Magnifica a largué ses amarres et pris doucement la direction de la sortie, entre le Fort Angello et le Pain de Sucre. Presque tous les passagers étaient regroupés sur les ponts supérieurs, prêts à refermer cette étape très spéciale. Il est vrai que Rio est une ville magique que l'on a pas envie de quitter si vite.
    Cinq coups de sirène pour dire au revoir et merci à notre ville hôte , et la plage de Copacabana, parée de toutes ses lumières, nous a fait un dernier clin d'oeil. Bye, bye les marins. Direction l'Argentine.

    Pas de spectacle encore hier au soir (mais qu'est ce que c'est que ce binz?). Il faut dire qu'il en est tout de même prévu 93 tout au long de notre aventure. De toute façon, entre les levers aux aurores et la marche des sorties, nous arrivons claqués le soir.

    Mais aujourd'hui, au théatre, une soirée tango! Et voilà!

    Ce matin, nous apprenons qu'il pleut sur Rio. Nous avons eu de la chance. Sur la mer, le temps est gris et il fait déjà moins chaud. Plus nous descendons vers le cap Horn, plus les jours vont s'allonger et la température va baisser. Le bateau suit son petit bonhomme de chemin et parcourt environ 900 Km en 24 h. En ce moment, la mer s'est agitée avec un vent de près de 60Km/h et il y a des creux de l'ordre de 3m, dixit le commandant. Mais pas de panique, le navire ne bouge pratiquement pas. Même si on ne marche pas toujours très droit, nous avons pu, sans difficulté, faire notre marche quotidienne sur le pont 7, celui de vrais marcheurs. Le pont 14, c'est pour les touristes... Et le reste de la journée sera coooooool!
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  • Demain Buenos Aires

    January 24, 2020, South Atlantic Ocean ⋅ ☀️ 23 °C

    En effet, il a fait un temps épouvantable toute la journée avec un vent fort, de la pluie et une mer bien agitée . Heureusement c'est toujours calme sur le bateau.
    Donc, lecture, thé dansant (!), et un vieux film: Coplan. A oublier, Bond, James Bond n'a pas de souci à se faire.

    Après le dîner, spectacle de tango argentin. Alors là, c'est top. Le tango ici par rapport au tango des bals populaires, c'est Strauss par rapport à la valse musette. Des musiciens toujours d'excellent niveau et un public conquis.

    Ce matin, réveil matinal involontaire. Donc à 8h, nous étions déjà sur le pont 7 pour notre marche quotidienne. 4 Km, c'est déjà pas mal.

    Puis, cours de cuisine par un grand Chef fran co-argentin: un plat typique lyonnais, les oeufs meurettes (il est vrai que l'on avait plutôt pensé à une recette Argentine, mais bon, c'est excellent les oeufs meurettes).

    A la sortie de la recette, direction le grand théatre pour une présentation de Montévidéo, notre ville étape juste après Buenos Aires.

    Après déjeuner, intermède musical. J'ai passé les auditions pour le spectacle de ce soir. Reçu avec mention! Je vais interpréter ma chanson « Tout simplement » qui avait été écrite à l'occasion d'une fête AXA où nous paraînions Les Petits Princes, une association qui s'occupe des enfants malades.

    Verdict ce soir à la boîte Amétista.
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  • Ici Buenos Aires, la cité du tango

    January 25, 2020 in Argentina ⋅ ☀️ 29 °C

    Le sectacle d'hier au soir: une revue sur le thème de Las Végas, avec plumes et strings d'un côté, et torses musclés et dévêtus de l'autre.
    Nous étions déjà très proches de Buenos Aires quand a commencé le « récital » des passagers. Les chansons se sont succédées, de bonnes et de moins bonnes, voire très moins bonne qualité. Personnellement, ça a été, si ce n'est que nous ne ressentons aucune vraie amphatie de la part des animateurs (c'est pas Claudine!) et un public tellement disparate que la communication n'est pas simple. Plus de la moitié de la salle ne comprend pas un mot des chansons en français. Résultat des courses: comme chez Jacques Martin, tout le monde a gagné.

    Peut avant, nous avions doublé la ville de Punta del Este avant de rentrer dans le rio de la Plata, un immense estuaire qui sépare l'Uruguay de l'Argentine. C'est comme l'estuaire de l'Authie, avec Berck d'un côté et Fort Mahon de l'autre. Ici, c'est Montevideo et Buenos Aires... Sauf qu'entre les deux il y a près de 200 Km.

    Ce matin, réveil et petit déjeuner matinaux. Buenos Aires, nous voilà. Muni de notre pifomètre complété heureusement d'un plan récupéré à la dernière minute, nous avons errer plusieurs heures dans les rues les plus attractives (pensez, y-a des magnets..!) pour arriver sur l'avenue du 9 juillet (les Champs Elysées) et sur la place du palais du gouverneur. C'est là que les « grand-mères tournent chaque semaine autour d'un monument pour manifester contre le silence assourdissant des autorités sur le sort de nombreux prisonniers.

    Sous un cagnard d'enfer, retour au bateau pour un déjeuner tardif.
    En fin d'après-midi, nous partons en car pour un dîner en ville dans une boîte à tango.
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  • Du tango, du tango, du tango

    January 26, 2020 in Argentina ⋅ ☀️ 29 °C

    Après un après-midi de repos à la piscine (eau de mer, 30°), nous avons pris la route du cabaret Tango, le Tango Porteno, un établissement « historique ». En fait, une grande salle genre Lido, salle et scène immenses. Repas standard. A noter toutefois la viande qui nous a été servie, un morceau d'environ 350 Gr. On est pas en Argentine pour rien.
    Le spectacle quant à lui était superbe avec une vingtaine de personnes, musiciens, danseurs et chanteur. La photo à 20€ avec une danseuse et un danseur...on leur a laissée.

    Ce matin, visite complète de la ville. En fait, trois quartiers: le centre ville où l'on retrouve les bâtiments officiels, la cathédrale, le palais du gouverneur (tout rose). Là, on se croirait parfois sur les grands boulevards à Paris, tant les bâtiments ressemblent aux immeubles Hausmann. Ce n'est pas une coïncidence, c'est un disciple du Baron qui a sévit ici.

    Puis direction du quatier de la Boca. Une sorte de Greenwich Village avec toutes ses vieilles maisons peintes de toutes les couleurs. Une débauche de bleu, de jaune, de rouge,... De la musique, des restaurants, des danseurs de tango et des gauchos qui tentent d'attirer les clients. Et des clients potentiels, il n'en manque pas. C'est une suite quasi inintérompue de cars qui se vident de leurs touristes. C'est Montmartres, Venise ou la Rambla de Barcelone. Il faut venir un jour où il n'y a pas de bateau dans le port.

    Enfin, le nouveau port, à l'est. C'est un quartier complètement réhabilité. On y trouve d'immenses promenades le long du canal, de beaux immeubles flambant neufs, des hôtels, des restaurants, des touristes...

    Et le quatrième tiers était consacré à la visite du cimetière. Oui, celà peut paraître lugubre, mais ce ne sont que des caveaux extraordinaires, tant pas leur taille que par leur style. Même le Père Lachaise ne joue pas dans la même cour. Ca sent l'ISF dans ces allées. Même le caveau d'Evita Peron.

    Tout à l'heure, on appareille pour Montevideo. Attention l'Uruguay, on arrive.
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  • Réveil à Montevideo

    January 27, 2020 in Uruguay ⋅ ☀️ 20 °C

    A l'heure où passe habituellement le laitier, nous étions déjà réveillés, près à affronter une nouvelle visite, une nouvelle ville.

    Nous nous étions couchés assez tôt après la prestation rock d'un beau jeune homme qui paraîssait bien seul sur cette grande scène. Et pourtant il était bon et a bien chauffé la salle à la fin. On dansait le twist dans les allées! Dommage qu'il n'ait pas eu un orchestre derrière lui.

    Ce matin donc, départ pour Montevideo. La ville est décevante. Il faut dire que venant de Rio et Buenos Aires, le challenge était plutôt ardu pour la capitale uruguayenne. Le centre ville est vieux et sale, et les bâtiments ont très nettement besoin de ravalement. Même l'immeuble du président de la République fait peine à voir. On ne peut pas lui reprocher de vivre dans les ors de la République.

    Sorti de ce centre, les choses s'améliorent un peu. Le très beau bâtiment du sénat est entouré de verdure et plusieurs autres parc donnent un peu d'oxygène.

    Ensuite, nous avons pris la direction de plages en longeant la mer... qui n'est pas la mer car c'est toujours l'estuaire Rio del Plata. On le voit également à la couleur de l'eau qui est plus marron que bleue. De toute façon, alors que nous sommes en été , il fait froid ici: moins dix degrès par rapport à Buenos Aires situé à 250 Km vers l'ouest. Il parait que c'est toujours comme ça ici. Celà nous a fait une transition climatique, car dès ce soir, nous reprenons notre descente vers le sud, donc vers le froid et les jours plus longs, voire très longs.
    En tout cas toute cette partie de côte fait plutôt penser à la Baule avec de longues petites plages (ça c'est pas comme à la Baule) et de grands immeubles pas tous frais mais, paraît-il, très cher.

    Puis restaurant. En particulier, encore un énorme morceau de boeuf grillé au barbecue. Dommage que ce soit toujours trop cuit car la la viande est excellente.
    La visite se termine par une heure dans un centre commercial type Parly 2 §§§§§???!! On se demande bien ce que l'on fait là. Enfin, on se doute...

    Cap au Sud. Demain, nouvelle journée de transition ce qui ne fera de mal à personne car toutes ces visites et ces longues marches nous crèvent un peu.
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  • La voix de la mer parle à l'âme

    January 28, 2020, South Atlantic Ocean ⋅ 🌬 18 °C

    hier soir, après tous les trucs bizarres que nous avions ingurgités le midi - oui parce que j'ai oublié de mentionner la double entrée avant le steack: fromage fondu genre justement fondue qui aurait durcie, puis cervelle, ris de veau et saucisse, et le dessert constitué d'une crème aux oeufs accompagnée d'un gros tas de caramel au lait, bien épais, bien sucré - et bien nous n'avions pas le coeur à nous mettre vraiment à table. D'où, un petit potage, une petite salade, un Citrate de Bétaïne et au lit!

    Et ce matin, salle de gym - ne pas oublier de désinfecter les appareils que vous avez touchés - et tentative de pesée. Pour l'instant, la mer étant trop forte, l'opération s'est révélée impossible car, même si le bateau ne bouge pas vraiment, d'une seconde à l'autre la pauvre balance nous fait du plus ou mois 2 Kg. Nous attendrons donc la prochaine escale ou une éventuelle mer d'huile.

    Je pensais ce matin - ça m'arrive - à Lecorbusier et sa Citée Radieuse. Finalement, un bateau de croisière, c'est un peu ça: un grand immeuble, un bon nombre d'habitants, une vie sociale organisée et toutes les facilités à l'intérieur du bâtiment. Nous aussi nous avons des clubs pour enfants, des cours de langues, de gym, de cuisine, de points de rencontre, une vue superbe, ... Une seule chose nous différencie, nous disposons sans doute de bien plus nombreux bars que ne l'avait imaginé le célèbre architecte.

    La mer est très bleue aujourd'hui, parsemée de nombreux moutons car il y a du vent et des creux de 2 m (pas grand chose pour le Magnifica). Demain nous débarquerons dans des paysages plus sauvages - Enfin! diront certains - et celà nous changera des visites de grandes métropoles, aussi belles et attrayantes soient elles. Il est vrai que nous rêvons aujourd'hui des grands espaces que nous allons retrouver en Patagonie.

    Comme il est d'usage, aujourd'hui, conférence sur la prochaine escale, Puerto Madryn. A ne pas manquer car de nombreuses informations nous sont délivrées et celà est bien utile au moment de débarquer, sauf peut-être la liste exhaustive de tous les musées du coin ou l'origine de la langue que parlait le grand-père de l'oncle du cousin de celui qui est arrivé le premier.
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