Oman x 3

October - November 2021
3 Freunde, 3 Wochen - Norden, Süden und wieder zurück
3 amis, 3 semaines - au nord, au sud et de retour
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  • Oman : plus / minus

    November 19, 2021 in Oman ⋅ ☀️ 26 °C

    🇫🇷 A la place d’une conclusion …

    PLUS
    Paysages variés - déserts, montagnes, wadis, palmeraies, plages. Et beaucoup de vert pour un pays désertique. C’était parfait.
    Dommage qu’il y a bcp de dechets plastique partout , soit laissés sur place soit apportés par le vent ou les marées.

    Les Omanais - très respectueux, grande hospitalité. Nous n’avons senti à aucun moment une tension, agressivité ou menace. Nous n’avons par contre pas non plus eu des contacts au delà des contacts superficiels.
    Presque tout le monde baragouine un peu d’anglais.
    Pour les femmes aucun problème de visiter l’Oman, y compris seule. Aucun mendiant, aucune vente agressive dans les souqs. Pas de dress code pour les Européennes, juste le bon sens de la décence.

    La cuisine - un savoureux mélange entre l’Inde, le Yemen, le Liban, la Turquie …. Streetfood très développé : coffee shop, sans café ni drogues douces, mais des plats à 2 ou 3 €. Très gouteux, mais ambiance souvent très basique. Attention, portions énormes.

    Lemon-menthe : pas d’alcool, mais des jus frais pressés ou mixés partout, avec toute sorte de mélanges. Le plus consommé et notre préféré : lemon- menthe.

    Les routes : très bon état, les limites de vitesse sont respectées. Conduite très « polie ». Pas de bouchons. Pistes aussi en bon état et entretenues. Si on exclut les pistes on ratera beaucoup…

    Climat Novembre : pour nous parfait. A aucun moment la température nous a empêché de quelque chose. Deux premières semaines jusqu’à 33°, depuis 1 semaine plutôt max 28°.
    Par contre il fait nuit à 17:30.

    Camping « sauvage » : autorisé et accepté partout, les Omanais adorent pique-niquer

    MOINS
    Les immigrés indiens, pakistanais, Bangladeshi (env 50% de la population) font tous les « petits » métiers: tous les service ( coffeeshops…), tous les travaux manuels sont fait par les immigrés. Ils n’ont pas le droit de venir avec leurs familles. Le salaire minimum Omanais (env 500€) ne vaut que pour les nationaux. Uwe parlait avec des jardiniers bangladeshis qui gagnent 7€ par jour.
    Devant les coffeeshops les Omanais claxonnent - ils attendent d’être servis (par un Pakistani ou un autre expat) dans leurs voitures climatisées.

    Les villes sont soit très très modernes soit délabrées car pauvres. Il y a bien sûr quelques exceptions, mais pas beaucoup. La capitale Mascate est moderne, impressionnant mais un peu impersonnel.

    Vie publique : les Omanais vivent en famille. Il y a très peu d’endroits de rencontre en public. Même pas de terrasses de café ( dans notre village il y a une plage, des gens qui se baignent - mais pas de café comme il y en aurait partout autour de la Méditerranée…)
    En conséquence, les femmes pourtant très belles) sont très peu visibles. La bonne nouvelle : aucune restriction professionnelle pour les femmes, la constitution leur garantit l’égalité salariale. Nous avons même vu des policières et des soldates. Il semble qu’elles ne rigolent pas …

    Chaque maison doit être entourée d’un mur de min 1,80m pour protéger l’intimité des femmes, les protéger du regard d’autrui.
    Cette fermeture, ce cloisonnement de la société commençait à nous peser à la fin…

    🇩🇪 Anstelle eines Abschlusses ...

    PLUS
    Landschaften - Wüsten, Berge, Wadis, Palmenhaine, Strände. Es war perfekt.
    Schade, dass es überall viel Plastikmüll gibt, der entweder liegen bleibt oder vom Wind oder den Gezeiten mitgebracht wird.

    Die Leute - sehr respektvoll, große Gastfreundschaft. Wir haben zu keinem Zeitpunkt Spannungen, Aggressionen oder Drohungen gespürt. Wir hatten aber auch keine Kontakte, die über oberflächliche Kontakte hinausgingen. Für Frauen gibt es keine Probleme, den Oman zu besuchen, auch nicht allein. Es gibt keine Bettler und keine aggressiven Verkäufe in den Souqs.

    Die Küche - eine leckere Mischung aus Indien, Jemen, Libanon und der Türkei .... Streetfood sehr entwickelt: Coffeeshops, kein Kaffee und keine weichen Drogen, sondern Gerichte für 2 oder 3 €. Sehr schmackhaft, aber oft sehr einfaches Ambiente. Vorsicht, riesige Portionen. Kein Alkohol, aber überall frisch gepresste oder gemixte Säfte mit allen möglichen Mischungen. Der am häufigsten konsumierte Saft: Zitronen-Minze.

    Straßen: Sehr guter Zustand, Geschwindigkeitsbegrenzungen werden eingehalten. Sehr "höfliche" Fahrweise. Es gibt keine Staus. Auch die Pisten sind in gutem Zustand und werden gepflegt. Wenn wir die Pisten ausschließen würden, würden wir viel verpassen....

    Klima November: Für uns perfekt. Zu keinem Zeitpunkt hat uns die Temperatur von etwas abgehalten. In den ersten zwei Wochen bis zu 33°, seit einer Woche eher max. 28°.
    Dafür ist es um 17:30 Uhr dunkel.

    Wildes" Zelten: überall erlaubt und akzeptiert, die Omanis lieben Picknicks.

    MINUS
    Die indischen, pakistanischen und bangladeschischen Einwanderer (ca. 50 % der Bevölkerung) üben alle "kleinen" Berufe aus: Alle Dienstleistungen (Coffeeshops...), alle Handarbeiten werden von den Einwanderern erledigt. Es ist ihnen nicht erlaubt, ihre Familien mitzubringen. Der omanische Mindestlohn (ca. 500€) gilt nur für Einheimische. Uwe sprach mit Gärtnern, die 7€ pro Tag verdienen.
    Vor den Coffeeshops klappern die Omanis - sie warten darauf, in ihren klimatisierten Autos bedient zu werden.

    Die Städte sind entweder sehr, sehr modern oder verfallen, weil sie arm sind. Es gibt natürlich einige Ausnahmen, aber nicht viele. Die Hauptstadt Muscat ist modern, beeindruckend, aber ein wenig unpersönlich.

    Öffentliches Leben: Die Omanis leben in Familien. Es gibt nur sehr wenige Orte, an denen man sich in der Öffentlichkeit treffen kann. Nicht einmal Straßencafés (in unserem Dorf gibt es einen Strand, Menschen, die baden - aber keine Cafés, wie es sie überall am Mittelmeer geben würde ...).
    Infolgedessen sind die Frauen (obwohl sie sehr schön sind) kaum zu sehen. Die gute Nachricht: Es gibt keine beruflichen Einschränkungen für Frauen, die Verfassung garantiert ihnen gleichen Lohn. Wir haben sogar Polizistinnen und Soldatinnen gesehen. Es scheint, dass sie keinen Spaß verstehen ...

    Jedes Haus muss von einer Mauer von min. 1,80m umgeben sein, um die Intimsphäre der Frauen zu schützen und sie vor den Blicken anderer zu schützen.
    Diese Abschottung der Gesellschaft begann uns am Ende zu belasten...
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  • Art & gouvernement

    November 18, 2021 in Oman ⋅ ☀️ 26 °C

    🇩🇪 Francoise und ich besuchen eine Kunstgalerie in Muscat, nur 10 km von unserem ruhigen Dorf entfernt. (Bait Muzna Gallery). Beeindruckend, dass so junge Künstler einen so entschlossenen und persönlichen Stil haben. Eine angenehme Überraschung ...
    Auf dem Rückweg und fast zufällig kommen wir durch das Regierungsviertel mit u. a. dem Hauptpalast des Sultans (den ich toll finde - den Palast).
    Ach so -heute ist übrigens Nationalfeiertag.

    🇫🇷 Francoise et moi visitons une galerie d’art à Muscat, juste 10 km de notre village tranquille. (Bait Muzna Gallery). Impressionnant, que des artistes si jeunes ont un style si déterminé et personnel. Bonne surprise…
    Au retour et presque par hasard, nous traversons le quartier des ministères avec aussi le principal palais du sultan (que j’adore). Ah oui - aujourd’hui est la fête nationale..,
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  • Ausklang / derniers jours

    November 17, 2021 in Oman ⋅ ☀️ 29 °C

    🇫🇷 Nous passons les 2,5 derniers jours dans la belle maison de Rigula (le nom de la sainte patronne de Zurich). Une petite maison de pêcheurs à 50 m de la plage, rénovée comme 3 autres maisons de pêcheurs par une autre expat allemande, Heidi. Les propriétaires préfèrent des maisons plus grandes, modernes en haut du village.
    Rigula est Suisse, juste retraitée. Après avoir dirigé des grands hôtels internationaux, elle a travaillé comme consultante pour le ministre du tourisme omanais. Ses histoires sur le mix entre copinage, incompétence et simple paresse sonnent un peu décourageantes pour le tourisme omanais. Nous avions vu quelques très grands projets mal positionnés qui semblaient ne jamais aboutir et peut-être confirmer son pessimisme.
    Heidi, la cinquantaine bien entamée, prépare un doctorat à l’université allemande en Oman. Son sujet : formation professionnelle et chômage des jeunes. Avec un sacré engagement elle nous explique quelques réalités que nous n’avions pas vu ainsi.
    Deux femmes expats très calées dans leur domaine et des fortes personnalités…
    Rigula nous rend le séjour super sympa avec du Nespresso, une bouteille de vin blanc et ce matin pour le petit dej des muffins encore chauds.
    Avant-hier nous avons dîné dans un restaurant pakistanais, hier Uwe faisait une de ses spécialités (crevettes à l’ail). La question pour ce dernier après-midi : lire encore un peu ou descendre à la plage? Que la vie est difficile…

    🇩🇪 Die letzten 2,5 Tage verbringen wir im schönen Haus von Rigula (benannt nach der Schutzheiligen von Zürich). Ein kleines Fischerhaus 50 m vom Strand entfernt, das wie drei andere Fischerhäuser von einer anderen deutschen Expat, Heidi, renoviert wurde. Die osmanischen Besitzer bevorzugen größere, moderne Häuser am oberen Ende des Dorfes.
    Rigula ist Schweizerin und gerade in Rente gegangen. Nachdem sie große internationale Hotels geleitet hatte, arbeitete sie als Beraterin für den omanischen Tourismusminister. Ihre Geschichten über die Mischung aus Vetternwirtschaft, Inkompetenz und schlichter Faulheit klingen für den omanischen Tourismus ein wenig entmutigend. Wir hatten einige sehr große, schlecht positionierte Projekte gesehen, die nie zum Erfolg zu führen schienen und vielleicht ihren Pessimismus bestätigten.
    Heidi, eine Frau in den Fünfzigern, promoviert an der deutschen Universität im Oman. Ihr Thema: Berufsbildung und Jugendarbeitslosigkeit. Mit einem ziemlichen Engagement erklärt sie uns einige Realitäten, die wir so noch nicht gesehen haben.
    Zwei Expat-Frauen, die sich in ihrem Bereich sehr gut auskennen und starke Persönlichkeiten sind...
    Rigula macht uns den Aufenthalt super sympathisch mit Nespresso, einer Flasche Weißwein und heute Morgen zum Frühstück noch warme Muffins.
    Vorgestern haben wir in einem pakistanischen Restaurant gegessen, gestern hat Uwe eine seiner Spezialitäten zubereitet (Garnelen in Knoblauch). Die Frage für den letzten Nachmittag: noch ein bisschen lesen oder an den Strand gehen? Wie schwer das Leben ist...
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  • Bootsalltag / la vie sur le bateau II

    November 16, 2021 in Oman ⋅ ☀️ 28 °C

    🇧🇪 Les images s’expliquent par elles-mêmes ou par une brève légende.
    Sauf la dernière : Kasham tout au nord de l’Oman est le port le plus proche de l’Iran. Des commerçants iraniens font tous les jours la navette en bateau rapide lourdement chargés pour acheter en Oman des produits qui manquent en Iran dû à l’embargo américain 🇺🇸 (cigarettes, couches bébé, médicaments, téléphones portables,…).
    Durée du trajet : 2h

    🇩🇪 Die Bilder erklären sich selbst oder durch eine kurze Legende.
    Außer dem letzten: Kasham ganz im Norden des Oman ist der nächstgelegene Hafen zum Iran. Iranische Händler pendeln täglich mit schwer beladenen Schnellbooten, um im Oman Waren zu kaufen, die im Iran aufgrund des US-Embargos 🇺🇸 fehlen (Zigaretten, Babywindeln, Medikamente, Mobiltelefone, ...).
    Dauer der Fahrt: 2 Stunden
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  • Dolfins, dolfins !!

    November 16, 2021 in Oman ⋅ ☀️ 26 °C

    🇫🇷 Avec cet appel, nous nous alertons mutuellement lorsque nous voyons des dauphins.
    Not’ capitaine Youssef connais son métier. Il a fait un véritable « teasing de dauphins » avec nous.
    Dans un coin ou se trouvent souvent des dauphins, ils nous en a montré hier soir - pour nous mettre en appétit…
    Ce matin après le petit déjeuner et avant le snorkeling il nous a emmené dans la baie de sham : encore plus de dauphins, 2 groupes de 5 ou 6 animaux. Il les approche doucement, ils ne nous évitent pas, mais nous ignorent complètement.
    3e niveau : il fait avec le dhow des cercles serrés à plein gaz à côté des dauphins qui viennent maintenant vers nous. Ils adorent jouer avec le sillon profond creusé par le bateau pour faire du surf, mesurer leurs forces entre eux et avec le bateau.
    Nous (Françoise et moi) sommes aussi émus de voir ces belles animaux sauvages de si près qu’après notre première rencontre avec des baleines.
    (Cela ne vaut pas pour Uwe, mais il avait nagé avec des baleines…)

    🇩🇪 Mit diesem Ruf benachrichtigen wir uns gegenseitig, sobald einer von uns Delfine sieht.
    Unser Kapitän Youssef versteht sein Handwerk. Er hat mit uns ein regelrechtes "Delfin-Teasing" durchgeführt.
    In einer Ecke, in der sich oft Delfine aufhalten, hat er uns gestern Abend Delfine von weitem gezeigt - um uns Appetit zu machen...
    Heute Morgen nach dem Frühstück und vor dem Schnorcheln nahm er uns mit in die Sham-Bucht: noch mehr Delfine, zwei Gruppen von je fünf oder sechs Tieren. Er nähert sich ihnen langsam, sie weichen uns nicht aus, sondern ignorieren uns komplett.
    3. Stufe: Er zieht mit der Dhau bei Vollgas enge Kreise neben den Delfinen, die nun auf uns zukommen. Sie lieben es, mit der tiefen Furche, die das Boot gezogen hat, zu spielen, um zu surfen und ihre Kräfte untereinander und mit dem Boot zu messen.
    Wir (Francoise und ich) sind genauso gerührt, diese schönen wilden Tiere so nah zu sehen, wie nach unserer ersten Begegnung mit Walen.
    (Das gilt zwar nicht für Uwe, aber er war mit Walen geschwommen...).
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  • Musadam côté mer / Meerblick

    November 15, 2021 in Oman ⋅ ☀️ 25 °C

    🇫🇷 Avant notre «  journée en bateau » et avant de rendre notre deuxième voiture de location nous faisons encore un tour sur la route côtière qui relie l’enclave Musandam aux EAU (émirats). Cette prouesse d’ingénieur, une fine bande entre la mer et les falaises verticales a été terminée en 1998.
    Malgré nos déboires d’hier nous y ajoutons une quinzaine de km de piste de crête.
    Nous terminons sur un terrain de pique-nique qui est dans une situation si extraordinaire qu’il aurait toutes ses chances lors de l’élection des « 10 plus beaux terrains de pique-nique au monde. Jugez par vous même…

    🇩🇪 Vor unserem "Tag auf dem Dhow" und bevor wir unseren zweiten Mietwagen abgeben, machen wir noch eine Fahrt auf der Küstenstraße, die die Enklave Musandam mit den VAE (Emiraten) verbindet. Diese Meisterleistung der Ingenieure, ein schmaler Streifen zwischen dem Meer und den senkrechten Klippen der Steilküste, wurde 1998 fertiggestellt.
    Trotz unserer gestrigen Reifen-Panne fügen wir der gut ausgebauten Strasse noch etwa 15 km Piste hinzu, rauf auf den Berg zu einem Aussichtspunkt am Ende einer Grat-Strasse.
    Wir enden an einem Picknickplatz, der sich in einer so außergewöhnlichen Lage befindet, dass er bei der Wahl der "10 schönsten Picknickplätze der Welt" alle Chancen hätte, in die Top 10 zu gelangeb.
    Urteilt selbst...
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  • Panne nº5

    November 14, 2021 in Oman ⋅ ⛅ 25 °C

    🇫🇷 … le pneu avant droite éclate, à plus d’une heure de pistes de la prochaine ville.
    Notre optimisme de pouvoir rapidement échanger la roue aura vite sa dose de douche froide : impossible de sortir la roue de réserve.
    Du coup nous acceptons l’aide des quelques voitures qui passent ( tous s’arrêtent).
    Notre problème : nous ne comprenons pas le fichu « système Toyota » pour libérer la roue de réserve.
    Le premier qui s’arrête est un jeune homme encore plus maladroit avec ce système que nous.
    Ensuite s’arrête une grande voiture avec 5 Omani d’âge mur qui donnent l’impression d’être des profs d’université. Charmant, cultivés, mais pas vraiment mécaniciens…,
    Mais très communiquants : à un moment il y en avait deux au téléphone avec des personnes capables de leur expliquer le fonctionnement du système Toyota et deux autres cherchant des explications dans des tutos sur YouTube. Il y en a finalement un de ces compères, qui nous promet de nous envoyer quelqu’un de plus compétent qui travaille sur le camp militaire pas loin de là.
    Nous admirons leur enthousiasme d’affronter ce problème qui n’est pas le leur, et leur capacité de garder leur robes blanches immaculées. Lorsque la garantie d’une relève peut être donnée ils prennent congé de nous.
    Quelques minutes plus tard arrive un jeune homme, qui commence tout juste de comprendre le problème lorsque « la cavalerie arrive » - sous forme d’une camionnette pickup militaire.
    Leurs deux jeunes occupants se connaissent bien ce qui facilite les travaux.
    Sans mode d’emploi ni bon outillage, ils mettent quand-même 1 bonne heure pour débloquer la roue de réserve. Uff -et merci à eux!

    🇩🇪 ... der rechte Vorderreifen platzt, mehr als eine Stunde von der nächsten Stadt entfernt.
    Unser Optimismus, das Rad schnell austauschen zu können, bekommt schnell seine kalte Dusche : es ist uns unmöglich, das Reserverad herauszunehmen.
    Wir nehmen also die Hilfe der wenigen vorbeifahrenden Autos an (sie halten alle an).
    Unser Problem: Wir verstehen das verdammte "Toyota-System" zum Lösen des Reserverads nicht.
    Der erste, der anhält, ist ein junger Mann, der mit dem System noch ungeschickter ist als wir.
    Dann hält ein großes Auto mit 5 Omanis mittleren Alters, die wie Universitätsprofessoren aussehen. Charmant, kultiviert, aber nicht wirklich Mechaniker...,
    Aber sehr kommunikativ: Zu einem Zeitpunkt telefonierten zwei von ihnen mit Leuten, die ihnen das Toyota-System erklären könnten, und zwei andere suchten nach Erklärungen in YouTube-Tutorials. Schließlich verspricht einer von ihnen, uns jemand Kompetenteres zu schicken, der in dem nicht weit entfernten Militärlager arbeitet.
    Wir bewundern ihren Enthusiasmus, mit dem sie ein Problem angehen, das nicht ihr eigenes ist, und ihre Fähigkeit, ihre weißen Gewänder makellos zu halten. Als die Garantie einer Ablösung gegeben werden kann, verabschieden sie sich von uns.
    Wenige Minuten später trifft ein junger Mann ein, der gerade anfängt, das Problem zu verstehen, als "die Kavallerie eintrifft" - in Form eines militärischen Pick-up-Trucks.
    Die beiden jungen Insassen kennen sich gut, was die Arbeit erleichtert.
    Ohne Anleitung oder das richtige Werkzeug brauchen sie eine gute Stunde, um das Reserverad zu lösen. Uff - und Dank an sie!
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  • Musadam terrestre & minéral

    November 14, 2021 in Oman ⋅ ☀️ 27 °C

    🇩🇪 Bevor wir uns auf eine 24-Stunden Tour begeben, um das maritime Musandam mit seinen Fjorden zu entdecken, machen wir eine große Tour durch die steilen und kargen Berge. Insgesamt 70 km Pisten mittlerer Qualität warten auf uns.
    Auf einem Feld aus schwarzen Steinen entdeckt Françoise einige Felszeichnungen (Petroglyphen). Wir wussten, dass es diese über 2300 Jahre alten Zeichnungen dort gibt, aber wir wussten nicht, wo sie genau liegen.
    Alles läuft gut, bis ...

    🇧🇪 Avant d’embarquer pour une journée et une nuit pour découvrir le Musandam maritime avec ses fjordes, nous faisons un grand tour dans ses montagnes raides et arides. Au total 70 km de pistes de qualité moyenne nous attendent.
    Sur un champs de pierres noires Françoise découvre des dessins rupestres tapés dans la pierre. (Pétroglyphes) Nous savions que ces dessins vieux de 2300 ans sont dans cette zone mais ne connaissions pas leur emplacement exact.
    Tout va donc pour le mieux jusqu’à ce que …
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  • Panne nº 4

    November 13, 2021 in Oman ⋅ ☀️ 25 °C

    🇫🇷 … jusqu’à ce que nous voyons sur le moniteur du vol que l’avion dessine un drôle de tour autour de notre destination Khasab.
    Explication : Khasab est un petit airport encaissé, si le temps n’est pas bon, les avions ne peuvent pas atterrir.
    Après 2 tours le capitaine a tranché : retour au point de départ, à Mascate.
    Nous cherchons refuge dans le Novotel de airport (à 10 km) et trouvons un excellent bouiboui juste â côté qui nous sert le meilleur Chawarma du voyage.
    Le lendemain matin réveil à 5:10, départ du vol programmé rapidement à 7h, arrivé à Khasab à 8h. Cette fois-ci tout va bien, nous faisons le check-in un peu fatigué dans notre hôtel (un peu vieillot mais bien sympa).

    🇩🇪 ... bis wir auf dem Flugmonitor sehen, dass das Flugzeug einen komischen Kreis um unser Ziel Khasab zieht.
    Erläuterung: Khasab ist ein kleiner Flughafen, bei schlechtem Wetter können die Flugzeuge nicht landen.
    Nach 2 Runden beschloss der Kapitän, zum Ausgangspunkt Mascate zurückzukehren.
    Wir suchen Zuflucht im Novotel am Flughafen (10 km entfernt) und finden gleich nebenan ein ausgezeichnetes Bouiboui, das uns das beste Chawarma der Reise serviert.
    Am nächsten Morgen wachen wir um 5:10 Uhr auf, brechen um 7 Uhr zu unserem Flug auf und kommen um 8 Uhr in Khasab an. Diesmal geht alles gut, wir checken etwas müde in unserem Hotel ein (etwas altmodisch, aber sehr schön).
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