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- 31 mar. 2024
- ☁️ 28 °C
- Altitud: 587 m
- ChileSantiagoBarrio BellavistaParque Forestal33°25’57” S 70°38’14” W
Santiago - Sushis à foison
31 de marzo, Chile ⋅ ☁️ 28 °C
[Louis]
Après tout ce trajet de zinzin on arrive enfin à Santiago. On se pose et Gabriel, le man du projet nous propose de venir nous chercher lundi à Quilpué, une ville pas trop loin. On a donc un jour et une nuit pour profiter. Après quelques discussions endiablées on décide de rester à Santiago, on trouve le premier hostel dispo et on s'y pose.
C'est dimanche, on se fait une petite journée chill, on se balade dans le marché local. Pierre et moi tentons pour la première fois un ceviche du coin : un plat à base de poisson où la mixture citronnée cuit le poisson. Bon en tant que street food, l'allure fait très très peur mais franchement c'était super bon, on en a même pris un deuxième.
On retourne ensuite à l'hostel du siècle, où il y a table de ping pong, anneau et ballon de basket et jeux de fléchettes. On s'envoie sous thés pendant toute l'aprem, et on fait la rencontre d'Enzo. Prof de sport en France, il fait le même voyage que nous et nous conseille quelques p'tits trucs sympas pour la suite. Il a aussi découvert un resto de sushi juste en face de l'hostel : 11 euros pour sushis à volonté ... Le plan est irréel.
Après des douches plus que nécessaires on va au fameux resto à 5. On s'attendait à des sushis miteux au vu de l'offre. Ils étaient tout simplement sublimes. Ça se présentait comme ça : on regarde la carte et on choisit une assiette ils arrivent par 10. Parfait on est 5.
Première salve on fait les timides, on prend genre 50 sushis ... Bonté divine c'était succulent. Les dragon Roll .... On s'en souviendra. Évidemment on les a tués en bonne et dûe forme. On est passés à l'acte deux fois de plus, en passant par des sushis frits, des sushis sucrés, avec viande, poisson, calamar, légumes ... Au final on en a eu pour plus de 280 sushis, tout ça pour 11 balles. Les chefs ont mérité un tonnerre d'applaudissements à la fin du massacre, on les a bien saccagés.
Notre plavon était ensuite de kiffer un peu la ville le soir et de prendre le bus le lendemain vers 14h. On se chope alors une bouteille et demie de pisco, l'alcool fort du Chili (c'est leur cognac) et on s'y fout sous jeux de cartes. On s'amuse bien même si à la fin on en peut plus ; on décide de se prendre une p'tite bière dans un bar pas loin. Je pense qu'on est tous d'accord : c'était la pire bière du voyage (pour l'instant mais j'espère que ça le restera pitié) et de loin. Par contre le Pierro sympathise avec un mec et nous propose d'aller à une boîte qu'il connaît (un bon dimanche soir). Allez pourquoi pas.
On arrive là bas et la boîte vient à peine de fermer, il est un peu trop tard ... Le mec super sympa mais on va dire ... Obstiné voire insistant, il demande à plein de monde un plavon pour continuer la soirée. On va demander à pas mal de monde et une adresse ressort. Moment très gênant, des fois il nous présente à des gens ( = des meufs) et balance : regardez des français. Comme on est des bêtes de foire. Il était rusé le boug.
Au final on va au plan qu'on a trouvé. Après quelques négoces on arrive a entrer et là c'est assez énorme : un appart sur 3 étages aménagé pour un sale After avec au premier de l'électro et au deuxième du reaggaton. On s'envoie comme des rois toujours avec le bon vieux boug. Il est plus vieux que nous et a des enfants, mais il s'envoie le mec (ou en tout cas il a envie).
Au final on rentre à 6h du mat' complètement épuisés, après une journée mine de rien bien chargée. On dort comme des souches et le lendemain on part pour Quilpué, trouver Gab.Leer más