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C'est là que les problèmes commencent..
Le dernier départ du bivouac de Merzouga devait être synonyme de départ pour l'épreuve mythique du marathon : 250km de piste puis autant de route pour rejoindre Marrakech avec en prime, une nuit en autonomie dans le désert.

Cependant, au matin de ce grand départ, nous avons amené notre bolide au pôle mécanique pour un problème que nous pensions bénin.
C'est après avoir froncé les sourcils, gratté son menton et répété la phrase "votre bagnole c'est un mouton à cinq pattes" (imaginez la avec l'accent du sud) une bonne dizaine de fois que le mécano nous a fait comprendre que nous ne serions pas dans les temps pour prendre le départ de l'épreuve marathon traditionnelle et que nous allions devoir laisser la partie piste de côté pour ne prendre que la route.

Avec le recul, c'était un mal pour un bien. Nous avons traversé de beaux villages, franchi de somptueuses montagnes et surtout, nous avons retrouvé le confort d'une douche chaude et de draps propres à Ouarzazate où nous avons passé la nuit dans un riyad.Leia mais