Taşkapı Sahil

Hier ist so ein wunderschöner Platz. Sonne, Strand, Meer, sogar Platz für unsere Hängematten. Hier in der Türkei ist es auch erlaubt, frei zu stehen, was im Übrigen auch die Einheimischen selbstRead more
Hier ist so ein wunderschöner Platz. Sonne, Strand, Meer, sogar Platz für unsere Hängematten. Hier in der Türkei ist es auch erlaubt, frei zu stehen, was im Übrigen auch die Einheimischen selbst sehr gerne tun.
Es tut mir in der Seele weh, wie viel Müll hier in der Botanik liegt, obwohl jede Menge (leerer) Müllcontainer herumstehen. Das ist uns absolut unverständlich, warum nicht mehr Bewusstsein für die Schönheit der Natur vorhanden ist.
Vier Müllsäcke aufzusammeln, war wie ein Tropfen auf den heißen Stein. Dennoch ist es um unser rollendes Zuhause nun bedeutend sauberer.
Nun am Wochenende haben sich noch ein paar andere Camper eingefunden. Andere kamen nur für ein Bad und ein Picknick. Wir lassen das Wochenende hier noch ausklingen.Read more
Distanz: 300 km
Fahrzeit: fast 5h
Wetter: angenehm die erste halbe Stunde, dann 2h regemässiger Regen und am Schluss wieder lange schön
Ein letztes, feines Frühstück im Mövenpick und los gehts die ersten gut 2h dem Meer entlang bis Tekirdag. Unterwegs schüttet es einmal dermassen, das ich kurz tanke und fast eine halbe Stunde am Trockenen auf besseres Wetter warte. Regenschutz anziehen und bis zur Zielankunft behalte ich den gleich an. Der Weg führt mich zur Meerenge der Dardanellen, quasi die Einfahrt ins Marmarameer Richtung Istanbul/Bospurus. Die Meerenge ist bei Eceabat nur etwa 5km breit und ich entscheide mich für die Fähr-Überfahrt nach Çanakkale. Alternativ führt etwas weiter die 2022 fertiggestellte Çanakkale-1915-Brücke in gut 4km über den Meeresarm, ist jedoch mautpflichtig.
Übernachtet wird im schönen Städtchen Çanakkale. Vielleich kennt jemand von euch das Trojanische Pferd aus dem Film Troja mit Brad Pitt... Das Holzpferd steht nämlich in Çanakkale an der Küsten-Promenade. 🤗😏Read more
Nach einigen Fahrtagen mit Stopp in Kas zum Schwimmen, Wäsche waschen und Friseur besuchen und in Izmir am Mount Atatürk setzen wir mit der Fähre über die Dardanellen auf die Halbinsel Gallipoli. Die gehört schon zu Europa. Wir besuchen Denkmäler für die Gefallenen der schrecklichen, langen Schlacht im 1. Weltkrieg um die Oberhand über die Meerenge.
Neben Denkmälern und Friedhöfen gibts auch eine Burg und ein Weingut zu besuchen.Read more
Faire le plein de denrées alimentaires en Turquie se révèle un peu différent que dans les destinations précédentes. Ici, la plupart du temps, pas de grands supermarchés, ni d’enseignes que nous connaissons, nous fréquentons plutôt de petites supérettes et des épiceries. On y trouve peu de légumes, beaucoup de fruits, énormément de produits en vrac (pâtisseries, amandes, noix, épices, semoule, riz...), d'imposants blocs de fromage au lait de vache, chèvre ou brebis, des savons artisanaux, de grands bocaux d’olives locales, des pains légèrement briochés et de la sauce tomate épicée dans des barquettes en plastique.
Nous parcourons de grands axes gratuits très bien entretenus ou très récents, un peu monotones. Sur la route, la police est partout. Leurs gyrophares accompagnent notre périple et, il n’est pas rare (en ce moment, une fois par jour !), qu’iels nous interpellent. Une fois notre plaque française en vue, iels nous font systématiquement signe de repartir, sans nous contrôler. La gêne ressentie à la vue de leurs mitraillettes en bandoulière ne risque certainement pas de nous quitter.
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Nous parvenons ainsi à rejoindre le célèbre site archéologique de Troie sous une météo presque printanière !
Nous sommes les seul·e·s visiteureuses. Les vestiges que nous découvrons prouvent que les fondateurices de la ville ont usé d’une grande technicité dans les constructions ; les pierres encore visibles sont par exemple taillées et empilées avec soin, avant même la naissance de certains outils facilitant ce travail.
Nous évoluons parmi les fondations de pierres et de briques argileuses des anciennes mégarons, un type d’habitation datant de l’antiquité. Un audio-guide d’une rare qualité, aide notre regard à projeter ici des palais, là un amphithéâtre, puis des temples, et enfin, une agora... La ville s’étendait même au-delà des remparts dont nous discernons les limites.
Iconique ville historique et point central entre l’Anatolie et les mondes méditerranéens antiques, il est effectivement nécessaire de déployer une grande capacité d'imagination au sein des ruines. Nous visitons aux côtés de mignons petits écureuils peuplant les vielles pierres, ainsi que de nos fidèles chiens errants présents où que nous allions ! 🐶🐿
☝TROIE HISTORIQUE
Au fil des millénaires, la ville s’est reconstruite sur ses propres fondations, à plusieurs reprises. Il s’agit donc non pas d’une seule entité, mais de plusieurs Troie empilées et enchevêtrées les unes dans les autres, nommées de Troie I à Troie X et allant de l’âge de bronze à l’époque romaine. Elle est le témoignage de diverses ères de civilisation, de grecques à romaine. Les différentes strates ont fini par former une colline, renforçant son côté imprenable et sa position stratégique, dominant les alentours.
Subissant incendie et tremblement de terre, Troie s’est toujours relevée, devenant l’une des grandes villes prospères de l’Antiquité, principalement pour sa position géographique et les échanges commerciaux qui en découlaient.
☝TROIE MYTHOLOGIQUE
Ville légendaire de l’Iliade et l’Odyssée d’Homère, narrant les récits de la guerre de Troie et de ses héros inspirants, elle demeure le lieu de l’épisode le plus célèbre de la mythologie antique.
Petit récap pour celleux dont les cours d’Histoire semblant un peu trop lointains : 👇
Pâris, fils de Priam roi de Troie, avec l’aide de la déesse Aphrodite, enlève Hélène (réputée comme étant la plus belle femme du monde), épouse de Ménélas, roi de Sparte.
- Vous suivez toujours ? 😂 -
Cet événement déclenche alors une guerre entre grec·que·s et troyen·ne·s, ces premier·e·s rassemblant une flotte gigantesque et tentant d’assaillir la ville. Le siège durera 10 ans, et avec lui de nombreux épisodes belliqueux marquants tels que la mort de Patrocle par la main d’Hector, ou encore le duel entre Achille et Hector (menant au décès de ce dernier). L’issue arriva grâce à une idée ingénieuse d’Ulysse, roi d’Ithaque, qui fit construire un immense cheval de bois dans lequel des soldats grecs se dissimulèrent. Les navires feignirent de reprendre le large et quitter la ville, vaincus. Les troyen·ne·s prirent le cheval comme une offrande aux dieux et l’invitèrent au sein de leurs remparts afin de la sacrifier. La nuit venue, les hommes armés en descendirent et introduisirent le reste des troupes attendant leur signal. La ville de Troie fut saccagée et ses habitant·e·s massacré·e·s.
☝LES FOUILLES ARCHÉOLOGIQUES, UNE ÉPOPÉE À PART ENTIÈRE
À la fin de l’Antiquité, et au début du Moyen-Age, la ville fut perdue, les peuples grecs et romains abandonnant le site au 6è siècle.
Au 18è siècle, commence alors une longue quête quant à la localisation des ruines, qui durera près d’un siècle, semée de théories erronées ! 👀
En 1870, Schlieman, homme d’affaires allemand (et archéologue amateur à ses heures perdues !) entame et finance un grand chantier de fouilles approfondies. En résultera, notamment, la trouvaille de l'hypothétique trésor de Priam (roi de Troie durant la guerre mythique). Il s’appropriera le butin. Les turc·que·s n’ont d’ailleurs toujours pas, à ce jour, pu réintégrer toutes ses pièces au sein du musée du site archéologique de la ville ; certaines demeurant par exemple encore en Russie.
D’autres archéologues (de métier) se succédèrent ensuite et le site fut classé en 1988 au patrimoine mondial de l’UNESCO.
Le musée construit aux abords des vestiges donne à voir les objets retrouvés lors des fouilles ; comme des bijoux d’une rare finesse, mais aussi des objets du quotidien en poterie. Bien pensé, il propose une entrée interactive intéressante dans la vie des troyen·ne·s des différentes époques.
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🥳 18 janvier 2024. Jour des 34 ans de Paulo ! Nous le passons paisiblement au bord de la mer égée. Le soir venu, un « toc toc » surprise à 23 h à la porte du van rompt l’atmosphère chaleureuse et calme de Phoeni... Ce ne sont pas ses proches venus nous surprendre, mais trois hommes en uniforme de police demandant à inspecter le van et vérifier notre identité et la date de notre arrivée dans le pays !!Read more
Rather than try to cross into Asia via the mess of Istanbul, our plan has been to head down the Gallipoli peninsula and then cross the narrow channel of the Dardenelles into Asia. This being a rather strategic location it has seen its share of battles, most infamously from the first world war where the allies tried - and failed - to capture it, with huge loss of life on either side. So the rolling hills of the peninsula are dotted with memorials and forts. And there is an ongoing heavy presence of the turkish army. Turns out we are not allowed to picnic on a military pier. Sigh.
The choice of roads leaves something to be desired. There is nothing in between a bumpy slow tiring dirt road and a relatively empty dual carriage way with a generous hard shoulder. We do a little dirt and then decide to rejoin the bigger road. It is faster but we slow as we have an increasing headwind. Four new tunnels sadly mean we miss out on a chunk of the coastal views as we arrive into Ecebat for the ferry to Asia.Read more
Traveler il existe aussi une tres belle histoire d amour turque entre les 2 cotes du detroit des dardanelles : un jeune homme traversé chaque soir le detroit pour retrouver en cachette son bel amour… mais je vs laisse les turcs vous l a racontee… car apres je ne sais plus la suite 😂🤣
Traveler L'ancien nom de la tour de Léandre vient de l'histoire d'une autre jeune fille : l'ancien mythe grec de Héro et Léandre. Héro était une prêtresse d'Aphrodite qui vivait dans une tour à Sestos sur la rive européenne de l'Hellespont (Hellespont est l'ancien nom du détroit des Dardanelles). Léandre, un jeune homme d'Abydos, de l'autre côté du détroit d'Abydos, sur la rive asiatique, tomba amoureux d'elle et nageait tous les soirs pour la rejoindre de l'autre côté. Héro allumait une lumière chaque nuit au sommet de sa tour pour guider son chemin. Succombant aux mots doux de Leandros, et à son argument selon lequel la déesse Aphrodite, déesse de l'amour méprisait les vierges, Héro lui permit de faire l'amour avec elle. Cela dura tout l'été. Mais une nuit de tempête en hiver, les vagues rejetèrent Léandre dans la mer et le vent éteignit la lumière mise par Héro, et Léandre perdit son chemin et se noya. Lorsque la mer rejeta son corps le lendemain, Héro folle de chagrin se jeta de la tour et mourut également. Le nom de jeune fille à la Tour pourrait aussi avoir son origine dans cette histoire ancienne.
Last few days were quite eventful. Last things first: I am now officially in Asia (regardless of what this platform says, I am pretty sure Edirne is still Europe). Ironically, Canakkale is more European than the European part of Turkey.
But let’s go through this chronologically. Like 15 km outside of Edirne, I got held up by the military, which was pretty cool. Nice guys: apparently I was somewhere I wasn’t supposed to be. Photos weren’t allowed though. After a while the gravel turned rough, the roads went up, and the wind started kicking in. And I can tell you, in this part of Turkey there is no cover from the wind.
So, looking for a supermarket and shelter in this part of Turkey wasn’t that easy, but on the first slightly bigger town (or just “town” in any other country) I first had 10 turkish men around me, wanting to show me the way to the supermarket and wanting to know where I was from, all conversing through some translation app. At the supermarket I was invited to tea, all kids wanted to know where I was from, second tea; you really feel you’re being rude on leaving. I got a short entourage out of town by kids running along—immediately after though, on a busy car road, full headwind exposure with steep climbs immediately makes you forget all that. A double-faced country.
Camped at a lake where in a town nearby they were playing folk music (its not all islamic), and the next day, after a hilly tiring start, I got again invited for tea. “Stay overnight!” “Have you eaten?” (For context, this was a very small farmer’s town.) I got introduced to this guys’ family, introduced to everybody, got a big big meal, more tea, more google-translating: Just an amazing experience. I left after about an hour, getting tired quickly around groups of people and still having a long road ahead, and immediately the winds and hills made me regret that decision. After maybe 35 exhausting kilometers (which might have taken 3 hours) I again entered something-which-isn’t-a-town-but-has-a-name, and a turkish guy who lived in Austria approached me and immediately arranged that I could pitch my tent at the restaurant. Dude, these people are friendly.
Now, short intermezzo: at the lake I was awoken by a load “gulp” noise in the middle of the night. I had all my food packed away closed and unreachable by not-too-agile animals, but outside I had bags with electronics and toiletries. So what was this gulp?! Well, in the morning I think I established the source to be a (big-ass) frog. (S)he didn’t take anything… At the restaurant, I was also waken, but by a small kitty, being very curious and actually having found and taken my bread. The second didn’t worry me at night, but was more annoying. There’s no point Im making here, but both the frog and kitty deserves mention. Or maybe the point is that it’s nicer to be woke up by kitties, regardless of the consequences.
Next day I actually avoided stopping at villages because I was tired, too tired for conversations and translating, etc. (Well, I did accept the compulsory tea at the restaurant, with someone who lived in Linz for a while!) After my first nail and tubeless plug, and many many hills, I got to some very small village and, being exhausted (12% fully loaded means pushing) I decided to push my luck to ask some woman where I could camp: maybe this person would let me camp on her beautiful garden… I got told, somewhat aggressively, to “ yürü, yürü!” Obviously I dont know what that meant, but the piece of onion she threw at my leg said enough. (It seems to mean “to walk”, so I think she told me to fuck off… Am I not supposed to ask women things in islamic countries maybe?)
Well, whatever, I found some trees near the next village which were occluding enough.
Then, the next day, and last day of this post, about 15-20 km in, I got followed not by children but by very ferocious and scary dogs, four of them. Teeth exposed, you get the picture. And they wouldn’t stop following, all shouting was futile—it was scary. The owner was there but clearly didn’t care, or was just totally unsuitable for keeping a dog (let alone 4). Luckily a car followed me shortly, giving me some extra space so I could outsprint these horrible, absolutely horrible, animals. One followed me for 500m to maybe a kilometer: I hate these dogs. I get why people generalize, I distrust all dogs here now also.
Ok, so I made it to Eceabat, and I thought… this place is a shithole. Just small shoppy looking markets, nothing there, no restaurants... Took the ferry to the other side — that being cinakkale —and it’s a totally different continent, literally and figuratively speaking. Except Canakkale is modern, alive, European, and has a lot going for it. Continents got swapped here somewhere along the way.
Last point to make: I get told 5 times a day here that allahu akbar through loud speakers, so it must be true.Read more
Traveler Hoi Jacco, weer leuk om je verslag te lezen wij reizen op deze manier met je mee en zo zijn we weer in Turkije.
Traveler De honden houden waarschijnlijk niet van fietsers wij hebben nl niet één agressieve hond meegemaakt maar ja mee rennen met een camper is natuurlijk niet zo leuk 😉.
Traveler Haha nee heeft iets met fietsen of fietsers te maken. Blaffen, ok. Maar ontblootte tanden, eeh, liever niet. (Ben ik al voor gewaarschuwd, zelfs door de turken zelf.)
Das durch Homers Epos „Ilias“ berühmt gewordene Troja liegt auf einer weiten Ebene an der Mündung der Dardanellen in der Ägäis. Wir fahren von unserem Übernachtungsplatz in Assos ca. 65 Kilometer nach Norden auf den Parkplatz vor der historischen Stätte.
3000 v. Chr. erstmals besiedelt, wurde Troja bis 500 n. Chr. neunmal zerstört und wieder aufgebaut.
Die von Heinrich Schliemann 1870 begonnenen Ausgrabungen wurden von einem Tübinger Archäologen fortgesetzt.
Der Rundgang durch das antike Troja erfolgt auf einer gut ausgeschilderten Holzplattform. Die Beschilderung ist auch nötig, von dem historischen Troja ist aufgrund der vielen Zerstörungen nämlich nicht mehr viel übrig.
Mich trägt die tragische Geschichte um Paris und Helena und der Kampf des Königs Menelaos sie zurückzugewinnen durch die alten Steine. Da die Götter aus dem Olymp kräftig mitgewirkt haben, obwohl Zeus dies verboten hatte, wogte der Kampf 10 Jahre hin und her.
Der Historienfilm mit Brad Pitt in der Hauptrolle ist unvergessen. Troja galt als uneinnehmbar. Das kann man sich tatsächlich vorstellen wenn man die dicken Stadtmauern sieht. Erst die List unter Einsatz des trojanischen Pferdes, (seither ein geflügeltes Wort), brachte Troja zu Fall.
Also, ich hab die Illias verschlungen und die Göttin Athene war dabei meine Lieblingsgöttin. Aber der Gang durch das fast nicht mehr vorhandene Troja war bei aller Phantasie enttäuschend. Noch nicht mal das trojanische Pferd hat uns am Eingang begrüßt, es wird zur Zeit restauriert. 🥲
Wir übernachten am Ufer der Dardanellen, schauen den Schiffen zu, wie sie zwischen den Kontinenten Asien und Europa hin- und herfahren.Read more
After being constantly asked to pay for sections of the route, tunnels and bridges during my further journey in Turkey, I reached the archaeological site of ancient Troy in the province of Çanakkale. In the wooden horse, however, no brave Spartans are hiding anymore, only unarmed "Kawaii"-asians. Afterwards, I crossed the Dardanelles by ferry and drove towards Greece. Just before the border I got into a Turkish traffic control and so I already stopped with bad premonition. But I should be wrong. All of the three police officers were very friendly and while waiting for the results of the data check, I even got served a cup of cold water. Back in the European Union I continue the trip along the coast to Thessaloniki.Read more
Die Nacht am Kanal war eindrücklich, aber nicht ganz ohne. Die schwerbeladenen Schiffe fahren unablässig und die tiefen Motorengeräusche wummern uns in den Schlaf. Nach dem semi-erholsamen Schlaf fahren wir runter zur Festungsanlage / Bastion von Kilitbahir. Leider sind beide Museen am Montag geschlossen, damit haben wir nicht gerechnet. Schade, aber von aussen auch gut zu bestaunen.
Auch auf dem Weg dorthin sieht man viele Denkmäler zur Involvierung der Türkei im 1. Weltkrieg. Zum Beispiel das Denkmal für die gefallene Soldaten im Sanitätsdienst.
Von den 16. Geschützstellen in Kilitbahir wurden nur 2 im Kampf abgefeuert, die anderen hatten zu wenig Reichweite.
Etwas beklommen von den Eindrücken und Kriegserinnerungen entscheiden wir uns gegen die Fähre nach Çanakkale, sondern machen ein Picknick in einem eigens dafür bestehenden Park. Diese Kultur wird hier wirklich gepflegt (mit Grillen und Tischdecke). Wir finden das schon viel toller. 😃Read more
Also Troja ist nicht fürchterlich groß, aber fürchterlich teuer und mit 29 Grad auch fürchterlich warm 😂 Aber 3500 Jahre Geschichte auf einen Blick, das ist schon wirklich beeindruckend. Auch wenn das Internet etwas anders sagt, ich finde es lohnt sich.Read more
Traveler Euer Plätzchen sieht super aus 🥰
Reisen mit Moni und Marco 😊
Traveler Da habt ihr ein schönes Plätzchen gefunden das macht Lust auf Türkei wir werden übermorgen einreisen und an der Küste weitergehen Süden liebe Grüße Sigi und Norbert