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  • Hari 133

    La Union

    12 Mei, Peru ⋅ ⛅ 20 °C

    J53

    20km
    56m d’ascension et 350m de descente
    Temps actif 1h38 sur temps total 1h50
    Température moyenne 22C

    Comme nous nous sentons encore fatigués de nos 4 derniers jours, et que nous avons du mal à décoller, nous décidons de faire une petite journée de seulement 20km pour rejoindre la prochaine petite ville, La Union. Passé cette ville, il nous semble qu’il n’y aura que chemins de campagne et petits villages, donc ni hôtel, ni épicerie, et peut être passé restaurant non plus?

    Heureusement il fait très beau, grand ciel bleu mais pas trop chaud. La route semble avoir été construite pour l’industrie minière, et la majorité des véhicules que nous croisons sont de gros camions des mines. La route est tantôt très large, tantôt étroite, principalement en terre et gravelle, et occasionnellement asphaltée. C’est majoritairement une route poussiéreuse, et parfois boueuse car traversée de petits cours d’eau qui rejoignent la rivière à notre gauche. Nous sommes à un moment dans un genre de canyon magnifique. Nous arrivons à midi à la Union, nous nous enregistrons à l’hôtel puis allons au restaurant. Les restos sont bondés car c’est la fête des mères et c’est pris très au sérieux ici!
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  • Hari 132

    Huallanca

    11 Mei, Peru ⋅ ☁️ 19 °C

    J52

    42km
    321m d’ascension / 1364m de descente
    Temps actif 3h15 sur temps total 5h18
    Altitude au campement le matin 4637 et altitude à l’arrivée 3572m
    Température min 11 et max 28C

    La nuit a été si fraîche, que la condensation sur la tente et sur les sacoches à l’extérieur de la tente a gelé. Il fait très très froid… mais le temps de ranger la tente, le soleil frappe si fort qu’il fait déjà enlever la doudoune. Nous commençons par une légère côte pendant 1 à 2h, puis uniquement de la descente. Le paysage est magnifique, nous montons jusqu’à 4869m d’altitude, et le ciel est si dégagé que nous pouvons apercevoir différentes cordillères tout autour de nous, et notamment le Yerupara, qui domine la Cordillera Huayhuash du haut de ses 6635m. Nous sommes contents de le voir à nouveau, après notre trek où les nuages nous ont souvent empêché d’en voir le sommet! Passé un petit col, le paysage se transforme en spectacle minéral très différent, avec des sommets noirs, ocres, rouge, bruns. Nous n’avons croisé aucune voiture ni véhicule. Un moment, nous avons aperçu un camion au loin, qui semblait garé. Comme le circuit est populaire dans la communauté Vanlife, nous avons vite spéculé que c’était une van, et j’ai naïvement pensé que les occupants nous inviteraient à prendre un café, entre voyageurs! Mais non, c’était juste un camion en panne…

    Après 16km dans le parc, sur les mauvaises mais magnifiques routes, nous rejoignons une route asphaltée et fréquentée principalement par des camions. La région est minière, et nous croisons d’ailleurs sur notre chemin la Mina Santa Luisa, avec un aménagement léché! Plus tard, au village de Huallanca, on nous explique que les mines de la région exploitent le cuivre, le plomb et le molybdène. Sur la route, nous croisons un couple de Français, Thomas et Agathe, faisant la route dans le sens opposé du notre. Nous nous échangeons quelques bonnes adresses avant de nous souhaiter bonne route (et bonne chance pour eux qui entrent sur les routes de cailloux…).

    Nous arrivons à Huallanco vers 14h, après plusieurs heures de descente, soit 1300m d’altitude, sur une route asphaltée mais avec tout de même trous et passages sableux ou caillouteux. Ça faisait du bien te retrouver l’asphalte et une vitesse supérieure à 10km/h en descente, nous avons même poussé jusqu’à 49km/h!
    Nous sommes explosés de fatigue de ces 4 derniers jours à rouler sur des chemins difficiles, en haute altitude, mais heureux des paysages traversés et avec une motivation renouvelée pour le vélo.
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  • Hari 131

    Parc Huascaran / Glacier pastoruri J2

    10 Mei, Peru ⋅ ☁️ 8 °C

    J50

    !!!Nouveau Record!!!
    Altitude max en vélo 4868m. (Ancien max 4400m au volcan Chimboranzo)

    23km
    652m d’ascension
    4h15 temps actif sur 6h27 temps total
    Altitude max à pied 5040m
    Campement à 4653m
    Température moyenne 9 degrés

    Nous levons le camp à 8h30, deux heures après s’être levés. Pendant que nous rangeons et nous préparons, nous voyons passer quelques véhicules, voiture et motos; probablement les gens qui travaillent au centre d’accueil du glacier. Nous reprenons la lente ascension. Il nous reste encore 15km avant d’atteindre la glacier. Cela nous prend 5h, à un rythme assez lent de 3km/h incluant toutes les petites pauses pour reprendre le souffle, boire une gorgée d’eau et manger des snacks pour nous donner des forces. La route est similaire à la veille, trous, gravelle, roches… par endroit elle s’améliore et on atteint des sommets de vitesse de 5km/h! Contrairement à la veille, pas de gros soleil. En revanche il fait assez frais, voire bien froid, et nous affrontons un vent de face, ce qui n’aide pas à nous faire avancer.

    Nous arrivons au glacier Pastoruri à 13h15, à 4867m d’altitude. Nous nous attendions à quelques services élémentaires mais on nous avise que les toilettes sont « déjà fermées ». Il n’y a que deux kiosques ouverts : une madame vendant des bonnets et gants en laine, une autre quelques boissons et de la bouffe basique. Nous sommes quand même contents d’acheter une bouteille de Coca-Cola, et une assiette de patates bouillies avec chacun un œuf dur. Nous laissons à cette dame la surveillance de nos vélos et partons voir le glacier. Un petit sentier de 2,5km est aménagé, mais nous sommes tellement en altitude, à 5040m, que ça nous prend un certain temps à monter. Plusieurs panneaux expliquent que le la glacier est un témoin des changements climatiques rapides : il a perdu 23% de la superficie en 22 ans. En nous approchant, nous voyons en effet qu’il goutte et ruisselle de partout. Il y a aussi des fossiles des dinosaures, de crocodiles et de fougères dans les rochers friables, bon nous reconnaissons surtout les fougères, moins les squelettes de tiburon…
    Nous sommes les derniers à redescendre du glacier, et la madame du kiosque est partie, mais heureusement nos vélos et nos sacoches sont toujours là. Il est 15h45, nous hésitons à camper ici ou repartir. Finalement, vu que les toilettes sont fermées et qu’il n’y a pas de source d’eau, nous décidons de repartir pour avancer un peu, surtout que les prochains kilomètres sont en descente. Le paysage est magnifique, il n’y a personne, la vallée est dégagée, et nous voyons les sommets des montagnes tout autour de nous. La route est correcte, presque belle si ne compte ni les trous, ni les éboulements. Nous croisons un petit groupe d’alpacas sur la route, avec un intrus vicuña dans le lot. Ils s’effraient de notre arrivée, et descendre rejoindre le gros du troupeau en bas dans la vallée. En tournant le virage, nous apercevons beaucoup d’autres alpacas, en haut de nous, qui s’empressent de descendre, traverser la route pour rejoindre le troupeau. Il y a même des bébés, tout fluffy! Un peu plus loin, sur un éboulement de pierres, nous voyons plusieurs chinchillas. Nous montons le camp en bordure de route, proche d’une source d’eau. Le ciel se dégage à la nuit tombée, et nous faisons des photos de ciel étoilé magnifique.
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  • Hari 130

    Parc Huascaran / Glacier Pastoruri

    9 Mei, Peru ⋅ ☁️ 11 °C

    J50

    25km
    4h15 de vélo sur temps total de 8h50
    Ascension 717m
    Camp à 4217m d’altitude
    Vitesse moyenne 6,1km/h
    Température max 36C et température minimum 8C (en arrivant au site de camp)

    Départ de Catac avec une motivation mitigée. La veille nous avions fait quelques provisions pour compléter les courses de Huaraz afin de tenir 2 jours en autonomie. Les 8 premiers kilomètres sont sur l’asphalte, relativement en bon état mais avec plein de trous de taille variée, et une douce montée de 2/3% qui nous a bien ralenti. Puis nous bifurquons vers la route du glacier Pastoruri, en entrant par une guérite tenue par deux madames sur leurs téléphones qui nous facturent 10 sols par « véhicule ». Dès qu’on franchit la guérite, nous quittons l’asphalte pour une route de campagne caillouteuse, toujours plein de trous, et de roches de taille variées qu’il faut éviter autant que possible. Nous avançons à un pénible rythme de 4km/h, secoués par les cailloux. Nous ne sommes toujours pas en grande forme physique ni mentale, et l’altitude se fait sentir. Le soleil est très chaud et nous sentons qu’il brûle malgré les épaisses couches de crème solaire que nous appliquons régulièrement. L’ascension est très lente, pénible et éreintante. Nous mettons souvent le pied à terre pour souffler un peu ou pour pousser le vélo dans une montée un peu plus raide. Vers 10h, 6 minibus touristiques nous dépassent. À part ces véhicules, nous comptons sur les doigts d’une main les voitures et motos que nous croisons. Il n’y a personne autour de nous, mis à part très occasionnellement du bétail, moutons, vaches, des chevaux et quelques chiens.
    Nous mangeons pour midi du pain avec une canne de thon chacun, puis nous nous allongeons pour faire une petite sieste, en tentant de nous protéger du soleil. Au milieu de l’après-matin, la route s’améliore un peu, il y a plus de gravelle que de cailloux, et la pente s’aplanit. Les trous sont toujours présents en revanche. Nous arrivons à l’entrée officielle du parc, 13km passé la première guérite, à 15h. Tout est fermé, il n’y personne. Nous entrons donc sans payer, mais en profitant des toilettes propres pour remplir nos bouteilles d’eau. Nous poursuivons le chemin, le soleil baisse et l’air fraîchit vite. Nous découvrons les Puya Raymandi, une plante géante, typique des zones en altitude des Andes, et menacé d’extinction. Elle vit une centaine d’années, et ne fleurit qu’une fois, à la fin de sa vie, générant des millions de semences. Pas très longtemps après la pause photo de plantes, nous décidons de nous arrêter pour camper. Il est plus de 17h et la nuit tombe à 18h. Jérémie a trouvé un site parfait, proche de la rivière et un peu en contrebas de la route, sur une surface plate. Nous soupons des ramens, et hop dans la tente.
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  • Hari 129

    Catac

    8 Mei, Peru ⋅ ☁️ 17 °C

    J49

    38km
    586m d’ascension
    3h45 temps actif / 5h19 temps total
    Vitesse moyenne 10km/h
    Altitude 3600m

    Nous reprenons le vélo aujourd’hui après plus d’un mois de pause. Hier, nous avons révisé et graissé nos vélos. La roue arrière de Jérémie était voilée, depuis la bus jusqu’à Vilcabamba en Équateur, lorsque que l’assistant du chauffeur a tiré de toutes ses forces sur le vélo quand il était coincé… Finalement il est allé le faire réparer à un bike shop, et la roue a craqué sous la pression des rayons. Un changement de roue plus tard, et un ajustement de vitesse pour moi aussi tant qu’à faire, nos vélos étaient prêts. Nous un peu moins. Ce matin, ni la forme physique ni le mental n’étaient là. Nous sommes partis dans grande motivation, en nous répétant que celle-ci reviendrait au cours de la journée. Jérémie était encore malade ce matin (depuis la rando), nous avons mal aux genoux, aux fesses, à tous les muscles qui n’étaient plus habitués au vélo. Et c’était aussi un peu la déprime. Finalement, après la pause sandwich canne de thon, le moral est revenu. Nous avons deux semaines pour rejoindre Lima en vélo en passant par la route des Andes. Un parcours de vélo assez célèbre relie Huaraz à Cusco en passant par les chemins de campagne, la fameuse « Peru Great Divide ». Au bike shop, nous avions d’ailleurs croisé plusieurs cyclistes étrangers qui s’apparentaient à s’attaquer à cette route, comme nous. Nous ferons un peu moins de la moitié avant de bifurquer vers le Sud pour rejoindre Lima.

    Aujourd’hui, route principale de campagne, donc des vaches, cochons, moutons, poules, et chiens jappeurs sur le bord de la route, mais aussi quand même du trafic avec des collectivos, bus de longue distance, machinerie de travail et autres véhicules. Quasiment pas d’accotement, et beaucoup de trous dans la chaussée, mais tout à fait gérable.

    Pas beaucoup de photos, nous étions concentré à trouver la motivation, supporter les douleurs dans les fesses et trouver notre air, entre 3000 et 3400m d’altitude.
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  • Hari 112

    Huaraz - Rando 4 jours Santa Cruz

    21 April, Peru ⋅ ☁️ 4 °C

    Trek Santa Cruz

    La veille du départ, tournée des supermarchés pour acheter de quoi manger tous les 4 pendant 4 jours, puis organisations des sacs à dos, division de la bouffe et des équipements entre nous 4. Fou rire envers Arthur, dont c’est la première longue randonnée en autonomie, qui avait préparé un sac à dos de rando et son petit sac en plus.

    J1 : Départ à 6h, nous trouvons un collectivo vers Yungay encore plus facilement qu’on le pensait, celui-ci nous voit de loin dans la rue avec nos sacs à dos remplis! Changement de collectivo à Yungay après environ 1h de route. On constate que le secteur du transport est vraiment celui qui arnaque les touristes, un chauffeur de collectivo nous alpague et nous mentionne un prix de 50 sols chacun, tandis que son concurrent, vexé de s’être fait voler ses passagers nous offre 25 sols, bref le prix c’est 25 sols (ou moins…?). Le dernier segment du trajet est terrifiant, une route en lacets qui n’en finit plus de monter, et aucune végétation ou muret pour séparer la route à voie unique (mais aux deux sens de circulation) du vide… D’ailleurs on observe quelques croix sur le bord de la route, signe de décès à cet endroit. La plus récente est datée de 2024, donc à peine il y a quelques semaines ou mois… Nous faisons une pause pipi vers le haut des lacets, en l’absence d'obstacle pour se cacher, chacun urine dans son coin sans regarder les autres. Le bus nous dépose au village de Vaqueria, où nous prenons un café instantané pour nous réveiller des 4h de bus avant d’attaquer le sentier. Un groupe avec mules part devant nous, et nous croisons également plusieurs personnes ou binomes réalisant le trek sans tour, comme nous. Nous nous équipons rapidement contre la pluie, qui offre quelques petites averses. Arthur, avec son poncho par dessus son sac à dos, a l’air de Gandalf. Antoine est affecté par l’altitude, on arrête et on monte le camp. Il fait frisquet, mais on arrive quand même à se faire une petite douche au ruisseau, puis souper sous la pluie, sous l’auvent de la tente d’Arthur et Antoine.

    J2 : malgré un réveil à 6h, le temps de prendre le déjeuner, de faire plusieurs rondes de cafés et de défaire le camp (surtout les tentes mouillées…), on part à 9h. On continue de monter vers le col, Punta Union. Le dernier stretch de la montée est difficile, on cherche notre air. Arrivés en haut, le col est un petit passage taillé entre deux rochers qui donne vraiment l’impression d’une porte. Lorsqu’on franchit cette porte, la vue est incroyable! Un sommet enneigé avec à son pied une lagune turquoise. On profite de la vue pour faire plein de photos avant de descendre un peu pour pique-niquer. La descente est longue, on passe le camp des autres randonneurs qui sont en groupe guidés pour se mettre un peu plus loin, mais avant une autre descente. Les terrains plats sont humides, plein d’eau et surtout de bouses de vaches… On aurait dû être à l’écoute des indices car après avoir mangé notre soupe ramen sous la tente, en raison de la pluie habituelle du soir et s’être couché, on entend de drôle de bruit tout proche… ce sont les vaches et taureaux qui sont venus lécher les casseroles que nous n’avons pas lavées… On les effraie et on essaie de les faire partir, mais les vaches, et surtout ce taureau qui dans la nuit paraît immense, reviennent toujours, peut-être 3 ou 4 fois. Finalement Arthur fait la vaisselle sous la pluie, dans l’espoir que les vaches arrêtent de venir lécher les pots, mais ce n’est pas assez. On espionne les allers et venus par les zippers entre-ouverts de la tente. On finit par lancer les casseroles et la poubelle le plus loin possible de la tente pour les faire déguerpir. Cette nuit là, on dort sur le qui-vive, et pas très bien!

    J3 : Le 3ème jour inclut un détour de quelques heures vers une lagune. Nous sommes accompagnés par un chien qui nous suit depuis le matin, venant du camp des autres randonneurs. Pour monter vers la lagune, on laisse nos sacs à dos dans la plaine, rangés sous une bache à l’abri de la pluie. On a peur que les vaches, présentes tout autour, viennent renifler et jouer dans nos affaires… On tend bien la bâche par dessus et on sécurise comme on peu avec des roches pesantes. On donne des morceaux de saucisson au chien qui nous accompagne dans l’espoir qu’il garde nos affaires et les protège des vaches! La lagune est magnifique, d’un bleu turquoise, au pied de l’Alpamayo (apparemment le sommet le plus beau du monde!). Nous prenons plein de photos. Au retour vers nos sacs, on constate avec surprise et bonheur que le chien est toujours à côté de nos affaires et que celles-ci sont intactes! Le chien est récompensé à grand renfort de saucisson et fromage! La descente vers le 3ème camp est assez longue, on finit l’après-midi sous une pluie démoralisante, mais il faut bien avancer. Cette fois-ci, nous montons le camp avec les autres groupes, pour nous protéger des vaches… nous montons la tente au crépuscule, sous la pluie froide… Nous devons faire pitié car la guide d’un groupe nous apporte un bol de nouilles et une casserole d’eau bouillante avec laquelle nous faisons notre souper.

    J4 : on se lève très tôt et il fait si froid, toutes nos affaires sont mouillées, qu’on décide de partir aussi rapidement que possible, après avoir avalé des biscuits et du granola sous la tente. Finalement, on avance d’un pas si rapide que nous arrivons avant 11h à la fin du trek, où une voiture attend astucieusement les touristes qui sortent du trek (un bon business model!) et nous amène à Huaraz. Retour à Huaraz, on se repose un peu à l’hôtel, puis on va fêter la dernière soirée d’Arthur et Antoine dans un bar, le Bonus Track, où nous découvrons la liqueur de coca (à coup de shots et de pisco coca sour…). Bref, soirée arrosée!

    Pour la dernière journée et dernière soirée d’Arthur et Antoine, on se repose à Huaraz, on soigne notre gueule de bois, on fait le tour des cafés de gringos pour jouer à des jeux de société tranquillement, on passe par les kiosques d’artisanat pour qu’ils achètent leurs souvenirs. Puis, on les accompagne à l’arrêt de bus pour les derniers au revoir. Après 3 semaines avec mes parents et mes frères, on se sent soudainement un peu seuls! Mais on a 3 jours pour s'en remettre, avant d'attaquer le prochain trek.
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