Camboja
Mondolkiri

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Viajantes neste local
    • Dia 32–39

      Sen Monorom Mondulkiri - Cambodge part 1

      23 de outubro de 2023, Camboja ⋅ 🌧 24 °C

      Après Phnom Penh nous avons prit la direction de l’Est, le Mondulkiri ou se trouve les montagnes, la campagne et cette région est la partie la moins peuplée du Cambodge, mais on trouve de supers paysages et c’est aussi ici que nous avons fait de vraies rencontres avec les Khmers, et oû nous avons partagé énormément de moments ensemble. Merci aussi à la Belgique d’avoir été présente ;)Leia mais

    • Dia 47

      Trek jour 3 : On perd pas le Nor

      28 de abril de 2023, Camboja ⋅ ⛅ 33 °C

      Par Antoine 🏃‍♂️

      Dernier jour de trek. Je me réveille à 5h30 a cause de l’humidité et du froid, je retrouve Nor (notre guide) avec qui on prépare le petit dej et le repas du midi pour la troupe, donc c’est parti pour faire le feu, chauffer de l’eau, couper les légumes, les piments les épices, couper du bamboo pour faire des verres (je commence à prendre la main

      mais c’est super dur, je suis pas encore prêt pour Koh-Lanta attendez un peu avant de m’inscrire).

      J’ai le temps d’échanger avec lui, même si son anglais est approximatif je comprends qu’il a 8 adelphes et qu’il est le seul avec sa sœur à être allé à l’école et qu’ils sont donc 2 à ramener de l’argent dans la famille. Nor vient d’une minorité montagnarde : les Bunong. Ils possèdent leur propre langage qui est seulement parlé, on ne peut pas l’écrire.

      Une fois que tout le monde est réveillé et a pris son petit dej on se met en route (vers 10h ).

      On a du mal à comprendre combien de temps va durer la journée, Nor affirme qu’on va faire 12km alors que l’on vient de réaliser 2km en 2h (c’est dur de progresser dans la jungle). La relation de confiance est un peu rompu depuis les incidents et mensonges de la veille, donc on est tout le temps dans l’incertitude et c’est pas tout le temps facile de se motiver, on ne sait pas à quoi s’attendre en terme de difficulté de durée et d’activité.

      Au milieu de la randonnée on tombe sur des éléphants dont un qui prends son bain, c’est un moment hors du temps, on s’arrête pour manger et avec Mathis on fait voler le drone à la recherche d’autres éléphants et on arrive à en trouver un autre (je manque de faire tomber le drone dans la rivière oupsi).

      Enfin on arrive au village de Nor ce qui signe la fin du trek, on croise pleins de membres de sa famille (a 10 enfants par génération ça commence à faire beaucoup) on est plongés d’un coup en plein milieux du village et on peut observer la vie des habitants et l’atmosphère qui y règne, génialement indescriptible.

      Candi nous ramène à l’auberge et on se réconforte de notre manque de civilisation avec lasagnes burgers et pâtes carbo (meilleur repas du voyage selon Mathid).

      On prend le bus direction la capitale pour préparer le départ au Viêt Nam.
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    • Dia 47

      trek jour 2 : imprevus et rebondissement

      28 de abril de 2023, Camboja ⋅ ☁️ 33 °C

      Par Mathis 🥾
      Ce matin on se réveille dans nos hamacs. On a eu un peu froid, surtout Antoine qui se lève assez tôt.
      Au petit dej c’est omelette carotte oignon et pain avec de la confiture, les guides nous on sorti le grand jeu ! On est tout contents.
      Mais l’euphorie sera de courte durée, autour de 9h, un groupe de 3 policiers arrivent au campement. On se demande évidement pourquoi et après quelques discussions entre notre guide et eux, on apprend que Candy, qui a organisé notre trek depuis la ville, n’a pas prévenu les autorités de notre départ donc nous sommes dans l’illégalité.
      Nor (notre guide) nous fait donc comprendre que le trek va etre avorte et que nous allons devoir rentrer à la ville.
      On est clairement dégoûté, on s’attendait à un tel de trois jours pour qu’au final on doive rentrer après juste une nuit.
      On se fait donc escorter pendant plusieurs heures par les 3 gendarmes comme des enfants qui ont fugué et on ne comprend pas trop ce qu’il se passe.
      Les cambodgiens parlent entre eux, notre guide est au téléphone avec le guide de la police dès qu’il y a un peu de réseau, on nous dit qu’il reste 200 mètres, puis 500 mètres, puis 2 km etc on est complètement perdus sans informations..
      en plus de ça, nos guides devaient nous faire bouillir de l’eau dans des bamboos pour que nous aillons de l’eau potable dans la journée, malheureusement, ils en ont fait pour eux mais pas pour nous 🐒
      On marche donc tout l’après midi sans eau sous 40 degrés, petit plaisir.
      Ceci étant dit, les paysages sont incroyables, on s’est fait une petite frayeur avec le drone que je ne captais plus donc qu’on a cru perdre, il s’est pris des branches, est tombé et mais Dronovan (c’est son petit nom) en sort sans encombre !
      Au bout d’un moment les flics ont disparu, sois disant répartis à la ville, on ne comprend décidément pas vraiment ce qu’il se passe.
      Arrivé 15h on arrive enfin à la sois disant ville, qui n’est autre la maison d’un des deux rangers de la jungle qui nous accompagnaient …
      On mange un bout là bas et on boit beaucoup d’eau.
      Candy est sensé venir nous chercher en pick up. 1h,2h,3h toujours pas de Candy, on commence à s’impatienter mais il finit par arriver.

      On comprend qu’en fait on s’était fait rapatrié parce que on était trop pres de la frontière vietnamienne et que nous netions pas en sécurité parce que les vietnamiens ne sont pas trop pour les treks si prêts de la frontière donc on s’était faits rapatriés pour notre sécurité. Super rassurant ahah.

      On est remonté et on demande un remboursement. Mais il nous dit qu’il ne lui reste que 100 dollars sur les 500 qu’on lui a donné (le trek coûtait 100 dollars à peu prêt chacun) et nous propose à la place de continuer le trek à un autre endroit.

      Au début on refuse parce que on était tous sortis de mindset du trek mais après un discours de motivation de Toinou on accepte sa proposition.
      Nous voila donc répartis pour un nouvel itinéraire.
      Nous voila arrives à une cascade super chouette qui ressemble un peu à une aire de repos, il y a des petites tables un peu partout.
      On va poser notre campement ici. Candy et Nor monte un établissement en bamboo similaire à celui de la veille pour attacher nos hamacs.
      C’est impressionnant la vitesse à laquelle ils font ça pendant qu’on se baigne dans la rivière.
      Ce soir c’est soupe de légumes au poisson et riz avec de ânières qu’on avait acheté dans la journée pour le soir.
      On finit la soirée en jeu de cartes en tout genre puis dodo, demain on a 12km de marche ! (Enfin de ce qu’on nous a dit, on ne peut plus se fier aux indications de temps ou de km des guides 😂)
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    • Dia 54

      Jour 53 - Rando : Kbal Preah Waterfall

      19 de maio, Camboja ⋅ ☁️ 28 °C

      Ce matin, je me lève de bonne heure. J'ai besoin de me dégourdir les jambes après avoir été assigné à résidence le temps de racheter un téléphone et de le configurer. Je pars donc en randonnée pour découvrir la nature de la province de Mondolkiri.

      Sur des conseils de Nico et Yohan qui étaient à Sen Monorom il y a quelques jours, je choisis une randonnée qui mène à une cascade : la Kbal Preah Waterfall !

      Pour rejoindre le début de la randonnée, il me faut longer une route en bitume. Après environ 8km, j'accède enfin au début de la randonnée.

      Je débute par un tronçon sur un chemin de terre rouge. Je bifurque ensuite sur un plus petit chemin sur ma gauche. La vue sur les montagnes tout autour est splendide ! La province porte bien son nom : "Mondol" pour "centre" et "Kiri" pour "montagnes". Cette région est belle et bien le centre des montagnes ! ⛰️

      Je suis forcé de revenir sur le chemin de terre rouge. Je le quitte peu de temps à près pour prendre un chemin qui grimpe. Je suis en totale improvisation mais je progresse bien en direction de la cascade. Soudain, plus aucun chemin autour de moi. J'avance à travers les hautes herbes et je débarque alors sur un terrain en friches. Je suis égaré mais des habitants me remettent sur le droit chemin (j'ai croisé seulement ces 3 habitants et 2 autres personnes sur toute la randonnée). J'atteins ensuite sans trop de difficultés la Kbal Preah Waterfall !

      La cascade est vraiment très jolie, perdue en plein milieu de la forêt ! Je m'y arrête pour manger des restes de ce que j'ai commandé à la fête foraine la veille : des saucisses frites avec du fromage.

      Je me remets en marche et alors que je suis sur un beau chemin de terre rouge, je décide de couper dans la jungle via un chemin sur ma droite. La végétation est vraiment très dense. Je libère un bâton prisonnier de lianes pour pouvoir me frayer un passage au milieu de toutes ces branches. Mais bientôt, je ne suis plus en mesure de deviner le "chemin". Je remonte un cours d'eau à sec. Je me retrouve ensuite obligé d'escalader avec comme seules prises des racines. Je suis complètement perdu et à ce stade-là il est difficile de rebrousser chemin.

      Je marche alors dans une direction aléatoire au beau milieu de la jungle. Heureusement pour moi, cet épisode ne durera pas trop longtemps : je finis par retomber sur un chemin un peu plus haut. Je finis la randonnée par ce chemin beaucoup plus académique.

      Je retombe enfin sur la route. Il s'agit désormais de rentrer à à Tree Lodge. Sur le trajet retour, je vois ce que je pense être un serpent. Je me ravise en me disant qu'il s'agit simplement d'une feuille de bananier. Je me rapproche pour en être certain et il s'avère que finalement ma première intuition était la bonne. En cherchant sur Google, j'ai pu identifier ce serpent comme étant une vipère verte de Thaïlande. La morsure s'avère mortelle pour l'homme que dans de très rares cas. Je vous rassure le serpent ne m'a pas mordu et j'ai pu poursuivre mon chemin sereinement 🐍

      La route au retour est monotone et interminable. Je n'ai plus d'eau, je suis déshydraté. Revenant sur un axe un peu plus fréquenté, j'achète un coca et recharge ma gourde. Je rentre à Tree Lodge bien fatigué. Environ 40km parcourus sur la journée !

      Le soir, je retrouve les 2 britanniques qui reviennent de 2 jours entre éléphants et trek dans la jungle. Pour manger, nous rejoignons le groupe avec lequel ils ont partagé ces 2 derniers jours. Je commande de très bonnes tagliatelles au pesto dans un restaurant italien. Nous terminons la soirée à 3 : parties de billard et bières ! 🎱
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    • Dia 52

      Jour 51 - Sen Monorom : Coffee farm

      17 de maio, Camboja ⋅ ☁️ 27 °C

      Je me lève pour prendre un petit-déjeuner depuis la terrasse de Tree Lodge : omelette aux légumes et baguette. Je rencontre alors 2 jeunes britanniques arrivés eux-aussi la veille à Sen Monorom (Zach et Ben). Nous décidons de partir ensemble pour la journée. Au programme : plantation de café et Bousra Waterfall.

      Nous louons tout d'abord des scooters dans le centre de Sen Monorom. Nous faisons le plein d'essence et nous partons direction la PIDA Coffee Farm. La pluie fait rage et malgré mon k-way, j'arrive bien trempé à la plantation de café 🛵

      Nous attendons que la pluie cesse avant de débuter la visite de la plantation. Pendant ce temps, je déguste un très bon café au goût assez unique ☕

      La pluie s'étant calmée, nous suivons Kim pour une visite guidée de la plantation.

      Tout comme le poivrier, le caféier est une plante tropicale. Cette plante n'est en théorie pas faite pour pousser à une altitude aussi basse que celle à laquelle la PIDA Coffee Farm cultive. Cette dernière a donc laissé le temps au caféier de s'habituer au sol et au climat de la région. 2 variétés de café sont cultivées : Arabica et Robusta. Ce sont d'ailleurs les 2 principales variétés et représentent 99% de la production mondiale. Arabica produit un café de meilleure qualité mais la plante est plus fragile comparée à Robusta.

      A l'image du poivre, le jeune fruit du caféier est vert et il devient rouge à maturation. Il ressemble alors à des petites cerises. Il est ensuite récolté à la main. On en extirpe le grain qui une fois séché prend cette couleur noire.

      J'apporte moi-même ma pierre à l'édifice : je plante 2 jeunes pieds de Robusta. Je reviendrai peut-être dans quelques années récolté les fruits.

      Si je suis un grand consommateur de la boisson, je ne connaissais pas grand-chose au café. Le tour était vraiment intéressant !

      Au-delà du café, PIDA Coffee Farm développe une partie hébergement et propose une restauration. Après ce tour dans la plantation de café, je profite donc de la piscine qui offre une vue magnifique sur les montagnes ! Je déguste aussi du poulet très bien cuisiné accompagné de riz.

      Alors que nous cherchons à repartir, Zach ayant laissé la clef avec le contact sur son scooter, il n'a plus de batterie. Pendant que mes 2 compagnons attendent une assistance technique, je pars seul en direction de la Bousra Waterfall. Ils ne m'y rejoindront pas. 🔋🚫

      Face à moi, un nuage noir. Ce qui devait arriver arriva : je fais les frais d'une grosse averse. Après cet épisode, je souhaite m'assurer de la direction de la Bousra Waterfall. Je sors donc mon téléphone de ma poche mais celui-ci ne s'allume plus. L'écran reste noir. La poche de mon k-way était pleine d'eau et le téléphone était en partie immergé. C'est le 4ème téléphone du groupe à tomber au combat après ceux de Yohan, Nico et Olympe📱

      Malgré tout, je garde mon cap et je parviens à atteindre la Bousra Waterfall grâce aux indications des habitants. La cascade est vraiment impressionnante ! Mais préoccupé par mon téléphone, la météo et la nuit qui s'apprête à tomber, je ne profite pas pleinement. J'enfourche à nouveau mon scooter pour rentrer à Sen Monorom qui se trouve alors à une quarantaine de kilomètres. Je traverse une véritable tempête, il ne cesse de pleuvoir, la route glisse : je redouble de vigilance. Tout grelottant, j'arrive à Sen Monorom pour rendre mon scooter ⛈️

      A Tree Lodge, je plonge mon téléphone dans du riz en espérant le ramener à la vie. Je me console avec un burger au poulet et je pars me coucher. Mon téléphone reposera dans le riz toute la nuit.

      Si vous pouvez lire ce résumé, c'est que depuis j'ai pu solutionner cette problématique de téléphone. Pour savoir comment, je vous invite à lire le prochain résumé.

      J'ai perdu une partie de mes photos. J'ai cependant pu récupérer des vidéos auprès de la PIDA Coffee Farm. J'en ai fait des captures d'écran pour illustrer ce résumé. Vous n'aurez malheureusement pas de photo de Bousra Waterfall puisque mon téléphone a lâché peu de temps avant.
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    • Dia 99

      Olifanten + 18km wandelen!

      17 de abril, Camboja ⋅ ☁️ 30 °C

      Na Khmer Nieuwjaar hadden Amber en ik nog niet genoeg gewandeld naar ons goesting, dus zijn we met de bus naar Mondulkiri gereden. Daar hebben we olifanten gezien in een Sanctuary, toen Amber en ik in de rivier aan het zwemmen waren met de groep en gids, kwamen er zelf 2 olifanten mee zwemmen.
      Die nacht hebben we in een hangmat geslapen (slechtste nacht ooit, de hangmatten hingen tot op de grond dus je mag zo krom als een banaan en dan nog eens op een hard stuk met uw onderrug, ook vele muisjes horen voorbij huppelen, gezellig.

      Helemaal uitgerust zijn we dus niet aan onze 18km jungle trek begonnen, het was vermoeiend! Maar we vinden het wel knap van onszelf dat we dat gedaan hadden
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    • Dia 48–53

      Off The Beaten Path - Eastern Cambodia

      30 de novembro de 2023, Camboja ⋅ ☁️ 27 °C

      For the next few days, Andrea and I left the tourist spots behind us and instead traveled into the remote areas of Eastern Cambodia. We had little idea how to plan, book or organise trips, as not much information was available online - a sign that tourism has yet to make its way to this part of the country.

      Anyway, once we got off the bus, we quickly found accommodation and booked a tour that brought us into the gem mine area, a lake, waterfalls and a hill to watch the sunset from. In particular the gem mine area was eye-opening, as the miners dig their holes (up to 12 meters deep) with sticks, shovels and some makeshift mechanical threat to get the dirt out. It is some dirty, tiresome and dangerous work (no safety rope or anything when going down) and apparently they only earn $1.25-2.5 per day on average (obv more if they find a big stone). After the mine area, we relaxed by a lake for a short while before finishing the day watching a beautiful sunset over green and rural Cambodia.

      The next two days were the main reason, we traveled east. We booked an overnight jungle trek with a homestay. While the trek itself was largely okay (interesting bits were river crossings, improvised bridges and some cool waterfalls), the guides we had and the homestay was what was so fascinating - on top of a perfect opportunity for star-gazing and sleeping in a hammock.

      Not just to see and learn about the daily life of the people who live here, but the interactions with them were incredible - for example, our guide used to be a child soldier for the Khmer Rouge and his stories about being forced out of their homes into the jungle, having nothing/little to eat and shooting everyone that passes a particular road on the way to Saigon was shocking, but provided an insight into what people here had to go through during the Khmer Rouge. We also met a local who was very proud to have met Gordon Ramsey and showed him how to make a traditional Bunong (local tribe) wedding meal.

      On the last day, we headed to Kratie, to see one of the six last remaining species of river dolphins during sunset. These Irrawaddy dolphins are some funny-looking creatures and provided the perfect end to our little adventure into eastern Cambodia.

      To sum it up, it is the people we met and talked to that made this little detour so valuable to me - it provided a glimpse into the country that many other travelers do not get.
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    • Dia 26

      Elephant Valley Project

      19 de novembro de 2018, Camboja ⋅ ⛅ 28 °C

      Geweldige dag vandaag!!

      Deze ochtend werden we opgepikt door de mensen van Elephant Valley Project en naar de ingang van het park gebracht. Hier kregen we een uitleg over wat er allemaal met ons geld gebeurt. Zo helpen zij olifanten die hard werken bij de lokale bevolking. Dit doen ze door een contract aan te gaan met deze mensen waarop de olifant een bepaalde periode in het park komt om te rusten. De eigenaars worden vergoed tijdens deze periode. Ook dient deze ngo als ambulance en eerste hulp voor lokale mensen. De trainers of hier "mahouts" genoemd mogen ook mee naar het park. De verschillende gidsen en andere mensen die meehelpen zijn allemaal van de lokale bevolking. Dus ze zorgen ook voor werkgelegenheid.

      In de voormiddag mochten we onmiddellijk met olifanten wandelen. Eerst zagen we een mannetjes olifant, Hen en later nog twee vrouwtjes Dho en Darling. We zagen ze eerst gewassen worden in de rivier. Daarna namen ze een modderbad en schuurde Dho tegen een boom om van de jeuk verlost te geraken. Hierna trokken de twee vrouwtjes de jungle in en wij volgden ze op de voet. Een fantastisch gevoel!

      Op de weg naar het basiskamp voor lunch kwamen we onverwacht nog een ‘jonge’ olifant, Ruby tegen. Deze mochten we een aai op de slurf geven. Even verder zagen we eentje, Sambo in de ziekenboeg. Toen kwamen we aan en hadden een zeer lekkere lunch. Veel groentjes en veel fruit.

      In de namiddag maakten we een stuk bos vrij om het kamp uit te breiden. Dit was voor ons voor vandaag het vrijwilligers werk. Tatjana had een ontmoeting met een grote spin van dichtbij. Gelukkig wist ze het zelf niet dat deze op haar rug zat! 😄 Iedere keer dat we een nieuwe spin tegenkwamen, zei Steven steeds, die op u rug was nog groter! ( onderaan staat er een spin met een hand ter referentie, deze was nog steeds kleiner dan degene op Tat haar rug .. ) Steven had ook een vriendje, maar wel een iets leukere. Er was namelijk een lokaal jongetje dat absoluut Steven wou meehelpen met emmers dragen. Heel schattig en deed ons heel erg denken aan een ander patatje dat ook graag emmers naar de wei brengt.

      We hebben ook veel leuke mensen ontmoet. Zoals een vader en zoon die meedoen aan een Brits tv-programma waar ze zonder vliegen de wereld doorreizen op een beperkt budget. Zeer interessant! Een soort van Peking express. We zullen dus misschien ook op tv verschijnen! Of toch misschien ergens in de achtergrond ;)
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    • Dia 27

      Elephant Valley Project - dag 2

      20 de novembro de 2018, Camboja ⋅ ⛅ 28 °C

      Tweede dag op het Elephant Valley Project basiskamp. Tijdens de nacht werd Tatjana gewekt rond drie uur in de ochtend en riep ze Steven om licht te maken. Er was iets op haar bed gevallen. Maar wat was het?
      Was het
      a: een rat
      b: een kat
      c: een gekko
      d: een grote spin

      In de toiletten van het kamp zaten grote spinnen en er zat ook één in onze kamer. Maar die had Tat niet gewekt in het midden van de nacht. Het antwoord volgt later.

      In de voormiddag waren we van dienst voor het vrijwilligers werk. Het werk was compost brengen naar een veldje dat gebruikt wordt in het natte seizoen om bomen te kweken. Het was een stevige wandeling naar het veldje dat beneden de heuvel lag terwijl de composthoop bovenaan was. Hierna, mochten we wat gras maaien in de bananenplantage met slecht materiaal. Dus dit ging echt niet goed. Vandaag was het een grote groep met onder andere een leuk Brits koppel, Andrew en Carolyn (Rain for short), met wie we de hele dag gebabbeld hebben. Ook Rory, een Amerikaan die hier in Cambodja zijn tweede jaar les geeft en toevallig vanavond in de tent naast ons ligt. Een tent? Inderdaad, een tent. Doordat Steven zich had vergist van datum, een maand later dan nodig, met de boeking was er enkel nog plek in een tentje voor de komende twee dagen.

      Na eerst een pintje om de dorst te lessen gevolgd door een stevige en lekkere lunch, was het weer tijd voor olifanten. Vandaag spendeerden we veel tijd met Sambo en Ruby. Ruby is de kleinste en jongste olifant in het park. Ondanks haar grootte moest ze zwaar werk leveren. Ze moest samen met mannetjes olifanten bomen uit het bos sleuren. Waarschijnlijk is er op een dag zo'n boomstam blijven steken in de modder en daarna tegen haar staart gevolgen waardoor deze gebroken was. Doordat ze zoveel tijd met mannetjes heeft doorgebracht, gedraagt ze zich ook als een mannetje, wat soms wat problemen opleverde met de rest van de groep.
      Sambo heeft ook een groot verhaal. Zo werd ze in beslag genomen door de Rode Khmer en mishandeld, ze sneden namelijk haar achillespees door zodat ze niet kon weglopen . Na de oorlog vonden de eigenaars haar terug en ze was de laatste olifant die in Phnom Penh werkte. Maar door altijd op asfalt te lopen waren haar poten in zeer slechte toestand. Ze stapte op een gegeven moment op een nagel en kreeg een zeer groot abces. Nu geniet ze van een welverdiend pensioen in het park. Sambo had wel nog nooit andere olifanten ontmoet. Dus had ze ook geen natuurlijk gedrag en vonden de andere olifanten haar maar raar. Gelukkig is Ruby een geduldige leermeester.
      Wij genoten van de tijd die we hadden om deze lieve, intelligente dieren te bestuderen en dat we deze tijd met ze mochten doorbrengen. Zo genoten we van de interactie tussen Sambo en Ruby toen ze al knuffelden met hun slurfen elkaar omhelsden. Ook om te zien hoe handig ze zijn met hun slurf. We kunnen niet genoeg benadrukken hoe hard we hebben genoten van onze tijd met deze grote vriendelijke reuzen!

      Oh ja, het antwoord bijna vergeten te vermelden. Geen zorgen! Het was enkel maar de kat die Tat had wakker gemaakt toen ze een knusse plek zocht om te slapen. 😄
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    • Dia 78

      A Beautiful Trek

      3 de janeiro de 2023, Camboja ⋅ ☁️ 25 °C

      Let’s start with the night before! We and a couple from NZ were the only guests at the project camp that night. We had a nice dinner featuring a traditional soup cooked in a bamboo tube over a campfire. Dinner was followed by rice wine drinking games with our new NZ friends, led by our trek guide. To say the least, some of us did not fare well with the games!
      After much needed sleep in our hammocks with mosquito netting, we had a breakfast of (fairly dry) banana pancakes.
      After breakfast we set off on an 18-km trek in the Mondulkiri highlands: jungle, caves, ancient forests (although sadly, much of the forest has recently been clear-cut to plant crops), waterfalls, and fields of rice! Words cannot describe the experience. Watch the entire video via the link below and the short/cut video in the gallery.

      https://www.relive.cc/view/v26MrNXgg3q
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    Você também pode conhecer este local seguindo os nomes:

    Mondolkiri, Môndôl Kiri

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