Mir wurde auch von einer Bekannten die aus Estland kommt, kennengelernt beim MercedeCup aufm Weissenhof, Viljandi empfohlen. Sie kommt von dort. Gegen Spätnachmittag in Viljandi angekommen, nachdemRead more
Heute bin ich nur schwer in die Gänge gekommen …… wie schön dass ich Urlaub habe und dies keine Rolle spielt!
Mit dem Bus 350 geht es nach Viljandi - und bei einer der Stationen gab es eine Fahrschein Kontrolle 🎫 - wie schräg, mitten im Nirgendwo!
Viljandi (deutsch: Fellin) ist eine Hansestadt in Estland. Die ältesten Siedlungsfunde am Viljandi-See gehen bis ins fünfte Jahrtausend vor Christus zurück. Spätestens in der Wikingerzeit war von den Esten eine Burg errichtet worden. Während des Livländischen Krieges 1560 wurden Stadt und Ordensburg teilweise zerstört. Von der damaligen Pracht zeugen heute nur noch die am See gelegenen Schlossberge mit teilweise unversehrt gebliebenen Mauern. Der See Viljandi liegt in einem 11 m tiefen, 450 m breiten und 4600 m langen Urtal. Der sich um den See schlängelnde Pfad führt die Wanderer bis zum Aussichtsplatz an der anderen Seite des Ufers.
Nach einem nüchternen Beginn auf meiner kleinen Runde durch die Stadt, zeigt sich der alte Teil von seiner besten Seite!
Sowohl die unter Denkmalschutz stehenden Holzhäuser als auch die Reste der Burg beeindrucken mich.
Dann aber: ein mega! vorzüglicher Lunch + gr. Veltliner aus Strass am Kamp im Ormisson - bevor ich zum See runter gehe 🙃
Herrliche Ruhe, gepflegte Wiesen und immer wieder kleine Uferstellen zum Baden und picknicken.
Viel zu schnell muss ich wieder zurück - wir wissen ja, die Busse am Land …….. ich wäre gerne noch geblieben!
Milline ilus pärastlõuna …….Read more
Mir wurde auch von einer Bekannten die aus Estland kommt, kennengelernt beim MercedeCup aufm Weissenhof, Viljandi empfohlen. Sie kommt von dort. Gegen Spätnachmittag in Viljandi angekommen, nachdem es 10km über eine Gravelroad durch den Sooma Nationalpark ging. Morgen wieder zurück, zur Moorschuhwanderung und Kanutour. Viljandi, die sechstgrößte Stadt Estlands, mit 17.500 Einwohner. Aber dafür umso so schöner. Hier könnte es mir gefallen, irgendwie Dorf aber auch Stadt. Nachdem Essen, war ich schon auf dem Heimweg und bin inmitten einer großen Menschentraube gewandelt. Man war hier was los. Zu Ehren des Baltic Way vor 35 Jahren, eine Menschenketten von Tallinn bis Vilnius, 675 km, zur Demonstration für die Unabhängigkeit von der Sowjetunion, gibt es eine Oldtimerrallye, die diesen Weg nachfährt. Somit war das Abendprogramm auch geplant. Die Übernachtung findet an einem nahegelegenem See statt.Read more
Es hat heute morgen weiter soll geregnet und ich habe eine Regenpause genutzt um mein Zelt abzubauen und am Strand zu frühstücken. Es sprangen wieder ein paar in das kühle Nass, während ich dreilagig angezogen daneben stand und staunte. Ich bin heute ein Stück weitergefahren in den Soomaa National Park. Ich versuche das Tempo rauszunehmen und in kleinen Wegen voranzufahren. Dadurch fährt mein Körper etwas herunter. Ich bin also in langsamen Tempo den Riisa Moorlehrpfad und ein Wanderweg durch das Moor Kureso. Die beiden dauern jeweils eine Stunde und ich bin beeindruckt von der Landschaft. Estland reiht sich ein neben seine beiden baltischen Nachbarn was wunderschöne Landschaft angeht. Und die Leute sind super freundlich. Ich kaufe an der Infostelle Wanderkarten. Dort kann man auch umsonst auf dem Zeltplatz oder auf dem Parkplatz übernachten. Die liebe Dame an der Rezeption empfiehlt mir zwei Spots in der Natur wo ich zelten könnte. Ich fahr beide ab, aber trau mich nicht dort alleine zu stehen. Es reicht für mich schon auf einen Parkplatz und nicht einem Campingplatz zu stehen 😂 Hier stehen noch ganze viele andere deutsche, auch aus Leipzig 😊😊(Luissse, eine Hippie Familie mit VW Bus😍) und es fühlt sich sehr gemütlich und sicher an 😊. Ich habe auf meiner Wanderung auch zwei Rehe gesehen, die sehr hellbraun waren und die sich erschrocken haben wie nah wir uns kamen (ich dachte auf den ersten Blick da kommen jetzt Golden Retriever 😂). Ich habe sie leider nicht schnell genug fotografieren können. Dann lief noch ein Maderhund gemütlich über die Straße (ich dachte erst es wäre eine Katze). Die Flora und Fauna ist hier sehr schön und interessant und man läuft über Stege über das Moor. Leider hat es ab und zu geregnet und es war kühl, sonst hätte man auch in vereinzelten kleinen Seen baden gehen können😊.Read more
Le périple en Estonie continue avec un urbex que nous avions repéré tous les quatre avec Léa & Paul, les français•e•s en van avec qui nous voyageons depuis Tallinn.
Nous entamons une rando le long de l'enceinte de l'ancienne prison de la commune de Rummu. Fermée définitivement depuis 2004, cet établissement était en service entre les années 30 et 90, notamment en tant que camp de travail forcé durant l'ère soviétique. Lors de la fermeture officielle, les prisonniers furent placés dans d'autres centres de détention.
Enjamber les barbelés et atteindre une tour de guet encore debout.
Nous voici grimpant au sommet. Sans garde corps, l'ascension est plutôt vertigineuse, mais la vue plongeante sur l'ancienne prison en vaut la peine ! Des véhicules de chantier s'y affairent, semblant construire un nouveau bâtiment.
Plus loin, nous entrons au sein d'une carrière de calcaire où les prisonniers étaient forcés à travailler. Dans les années 90, l'exploitation a cessé. L'eau n'étant plus drainée, les nappes phréatiques ont rapidement débordé et englouti le site ! Aujourd'hui, le matériel, les engins de chantier et les bâtiments administratifs se retrouvent sous les eaux du nouveau lac créé. Nous déambulons dans un paysage étonnant fait de dunes artificielles et de morceaux de constructions semblant flotter. Un centre de plongée s'y est même installé et propose l'observation des vestiges !
Le site de la prison est fermé au public. Les barrières restent closes. Mais n'est-ce pas le principe de l'urbex ? Avec un léger sentiment d'adrénaline, nous nous introduisons à l'intérieur, par dessus les barrières.
Muni•e•s de nos lampes frontales, nous nous glissons à travers les couloirs obscurs et les anciennes cellules. Tout semble avoir été laissé à l'abandon, les prisonniers et le personnel ayant soudainement pris la fuite. Bols et cuillères sur une table, lettre dans un lit, livre ouvert par terre...
Certaines cellules aveugles donnent une idée des conditions de détention dans ce centre. Les nombreux lits superposés entassés dans quelques minuscules mètres carré témoignent de la torture psychologique "à la russe". Chez nous, la punition est souvent donnée par l'isolement. Dans la culture soviétique, l'enfer, c'est plutôt les autres. La promiscuité entre détenus devait être difficile à vivre. On imagine la sensation d'étouffement ressentie en ces lieux.
La prison est dans un état d'insalubrité extrême. Peinture décomposée, posters aux murs qui s'effritent...
Nous découvrons les parloirs où aucun objet ne pouvait transiter. Chaque visiteureuse devait entrer sans effet personnel. Seules les mères avaient l'autorisation de transporter avec elles les biberons pour leurs bébés. La cocaïne y était souvent dissimulée.
Cuisines, salle de sport où parfois les détenus étaient rassemblés afin de procéder à des fouilles approfondies de leurs cellules, magasins de denrées, pièce abritant d'intrigantes fosses en béton... Nous avons accès à l'entièreté de cette prison désaffectée, c'est une véritable immersion ! Nous apprendrons que les prisonniers foulaient le chou au sein de ces cuves pour préparer la choucroute. Ayant l'interdiction de sortir avant que le travail ne soit accompli, ils urinaient très fréquemment dedans !
Le lendemain, nous sentant un peu malade, nous partons en quête d'une bonne douche chaude réparatrice. C'est à cette occasion que nous atterrissons chez Mart, un fermier estonien un peu loufoque à la convivialité légendaire !
Après quelques minutes de piste, nous parvenons dans une cour où nous sommes accueilli•e•s par deux gros chiens. Rapidement, alerté par les aboiements, un homme d'une cinquantaine d'années en short et t-shirt troué au large sourire nous adresse un signe de la main.
Sa propriété perdue au milieu de la campagne estonienne est un petit paradis. 🌈
Instantanément, un sentiment d'apaisement nous gagne. Heureux de recevoir de la visite, Mart insiste pour que nous restions un moment nous ressourcer.
Nous nous lançons alors dans une visite guidée de la ferme, son sauna, sa mare, sa salle de réception improvisée et ses chambres pour les invité•e•s et/ou les voyageureuses.
Le drapeau estonien flotte au mat se trouvant au centre du jardin. La maison de Mart est un joyeux bordel, mi-rustique mi-magasin d'antiquités ! Il possède une collection impressionnante de pichets et pots à lait.
Son hospitalité est rare et précieuse. Il sert à Paulo son gin maison et me fait couler un bon café. Installé•e•s au soleil, nous faisons connaissance...
Son unité de mesure du temps est l'hiver. 3 hivers qu'il est ici. Aujourd'hui, rangement et nettoyage l'attendent, mais qu'importe il aime prendre son temps et remettre au lendemain ! Mart nous raconte l'occupation russe avant la seconde guerre mondiale, les pillages, les viols, la soumission qu'a vécu sa famille. Après avoir évoqué la tempête russe comme une de celle dont on ne se relève pas, il explique le soulagement du début lorsque l'Allemagne nazie a frappé à la porte de l'Estonie et les a débarrassé•e•s des russes. Lorsqu'iels sont revenu•e•s, beaucoup d'estonien•ne•s ont immédiatement fuit par la mer à bord de petites barques craignant la terreur rouge. Mart établit un parallèle avec la guerre en Ukraine qui se déroule actuellement et déclare d'un ton grave que "tout recommence".
Dans les années 90, il avait une vingtaine d'années et a vécu l'indépendance de l'Estonie. Il nous dit frissonner en nous narrant cette histoire, celle de son pays, mais aussi la sienne. Des images nettes nous parviennent de son récit, d'un peuple estonien enserrant les remparts de Tallinn, comme une chaîne humaine. Faire la révolution en chantant, nous explique-t-il. Sans arme. "Les chars sont passés et sont partis".
Cette discussion fut très forte et riche en termes de compréhension du pays et de l'histoire de ses habitant•e•s.
Un autre élément a marqué nos esprits, la présence à nouveau de la culture du sauna. Au cœur de la ferme, une mare se trouve derrière un bâtiment, face aux champs et à la forêt. Été comme hiver, Mart s'y baigne après sa séance de sauna. Attention, jamais l'inverse ! Cet enchaînement revitalise et énergise, tandis que l'ordre opposé endort. ☝
Après avoir cueilli une bonne quinzaine de pommes, nous reprenons la route, ravi•e•s de cette escale !
Au sein de ce tout premier pays balte, nous avons également parcouru le parc national de Soomaa, "Terre des marécages". On y retrouve un paysage similaire à celui de la Finlande ; tourbières, couleurs automnales, passerelles en bois, cabanes et feux de camp.
Sur le parking de randonnée, un gang de quatres vans français ! Nous faisons la connaissance de Max & Manue et de Chloé & Dylan. De chouettes rencontres en perspective ✌🚐.Read more
Nach einem guten Frühstück in einem Kaffee in der Nähe von unserem Hotel in Tallinn ging es Richtung Süden.
Wir hatten eine Kanu-Tour im Soomaa Nationalpark gebucht. Dahin war eine nette Überlandfahrt durch Estland.
Wir sind dann mit unserem Guide und dem „Veranstalter“ zur Anlegestelle mit einem Bus gefahren und dort unser Kanu zu Wasser gebracht. Die 3 Stunden auf dem Wasser vergingen wie nichts. Ein paar Geschichten und viel über die Natur gab es von Edu, unserem Guide.
„Eine Kanutour im Soomaa Nationalpark in Estland ist ein einzigartiges Naturerlebnis, das die Schönheit und Wildheit der estnischen Landschaft offenbart. Hier sind einige Informationen und Highlights über eine solche Tour:
Der Soomaa Nationalpark, gegründet 1993, liegt im Südwesten Estlands und erstreckt sich über eine Fläche von etwa 390 Quadratkilometern. Der Park ist bekannt für seine weitläufigen Moore, Flussauen und urwüchsigen Wälder. Der Name "Soomaa" bedeutet auf Estnisch "Land der Moore".
Eine Kanutour im Soomaa Nationalpark ist besonders während der sogenannten "fünften Jahreszeit" im Frühling beliebt, wenn der Schnee schmilzt und die Flüsse über die Ufer treten, weite Teile des Parks überfluten und ein einzigartiges Wasserlabyrinth entsteht. Diese Periode ist ideal für Kanufahrten, da man weite Teile des Parks auf dem Wasser erkunden kann.
Die Kanutouren werden meist von lokalen Führern organisiert, die nicht nur die besten Routen kennen, sondern auch viel Wissen über die Flora und Fauna des Parks vermitteln. Teilnehmer haben die Möglichkeit, eine Vielzahl von Wildtieren zu beobachten, darunter Elche, Hirsche, Wildschweine, Biber und verschiedene Vogelarten.
Die Touren variieren in Länge und Schwierigkeitsgrad, sodass sowohl Anfänger als auch erfahrene Kanufahrer passende Angebote finden. Eine typische Tour dauert mehrere Stunden, es gibt jedoch auch mehrtägige Expeditionen mit Übernachtungen in einfachen Hütten oder Zeltlagern.
Während der Tour paddeln die Teilnehmer entlang malerischer Flussläufe wie dem Halliste, Raudna, Lemmjõgi und Navesti. Die friedliche und unberührte Natur bietet zahlreiche Fotomöglichkeiten und lädt zum Entspannen ein.
Für eine Kanutour im Soomaa Nationalpark ist keine spezielle Ausrüstung erforderlich, da die Veranstalter in der Regel alle notwendigen Utensilien, einschließlich Kanus, Paddel und Schwimmwesten, bereitstellen. Es wird empfohlen, wetterfeste Kleidung und wasserdichtes Gepäck mitzubringen.
Eine Kanutour im Soomaa Nationalpark bietet eine einzigartige Gelegenheit, die beeindruckende Natur Estlands hautnah zu erleben und ist ein unvergessliches Abenteuer für Naturliebhaber und Outdoor-Enthusiasten.“Read more
Gefahrene Strecke: 91 km
Heute mussten wir unbedingt Viljandi nochmal genauer anschauen. Das Wetter ist gut und so können wir trockenen Fußes das Städtchen genießen, das ein Hotspot der Kreativ- und Kulturszene sein soll. Von der UNESCO hat die Stadt die Auszeichnung "Kreativstadt" erhalten.
Über Viljandi thront eine beeindruckende Burgruine, die einst dem livischen Orden gehörte und heute zwar wirklich eine Ruine ist, aber als ganz tolle Kulisse für diverse Kulturveranstaltungen dient.
Von der Burgruine, die heute übrigens von unzähligen Schulklassen bevölkert war, hat man einen fantastischen Ausblick auf den malerischen Viljandi-See, am dessen Ufer wir ja die heutige Nacht verbracht haben.
Am frühen Nachmittag fuhren wir dann weiter nach Tartu, der Europäischen Kulturhauptstadt 2024.
Direkt bei Markt haben wir einen Übernachtungsplatz gefunden, gerade mal 5 Minuten zu Fuß in die Altstadt. Heute beschnuppern wir die Stadt noch ein bisschen. In der Tourist-Informstion im Rathaus wollen wir wesentliche Infos zu Tartu im Allgemeinen und Tartu als Kulturhauptstadt im Besonderen. Die völlig desinteressiert Dame drückte uns eine Broschüre in die Hand, Tartu 2024 hat sie nicht einmal erwähnt, obwohl es aus diesem Grund genau heute Abend ein Sting-Konzert in der Stadt gegeben hätte, was wir natürlich erst durch eigene Recherche und viel zu spät erfuhren.
Auf eigene Faust spazierten wir schon mal durch die ganze Altstadt und kamen ganz zufällig an der einen oder anderen Sehenswürdigkeit vorbei. Am frühen Abend retteten wir uns vor dem Regen in ein Restaurant am Rathausplatz. Feiner Service, angenehmes Lokal, gute Küche.
Morgen werden wir Tartu dann genauer erkunden.Read more
Der Plan war in Césis eine Nacht auf dem Stellplatz zu verbringen, doch dort soll es den gaaaaanzen Tag regnen...auch doof...
Also Regen ☔️ Tage sind Fahrtage 🚐 und somit geht's nach Vilijandi / Estland.
Unterwegs Unwetter ⛈️☔️🌩⚡️ und sehr viel Regen ☔️, sodass Straßen kurzzeitig überschwemmt waren. Unterbodenwäsche fürs Womo 😉🤭.
Die Stellplatz Suche war etwas schwierig, stehen aber nun direkt am Strandabschnitt...
Kleine Abendrunde 🚶♂️ 🚶♀️... Anschließend den Abend ausklingen lassen.Read more
Thobi Ontour Tja, der Regen hat uns auch einen Strich durch die Rechnung gemacht🤷♀️. Hat auch was.....Strickzeug wächst, Bücher werden gelesen.....weiterfahren wollen wir noch nicht.nwollen unbedingt mit dem Fahrrad an der Dunajec entlang. Zum Wochenede wirds besser
Das Hotelfrühstück war spannend. Weniger wegen der Auslagen auf den Buffets, mehr wegen der Leute die dort aufkreuzten. Eine Frau, die sich ein knallenges Shirt mit einer Art James Dean-Aufdruck auf der gesamten Vorderseite über sämtliche Schwimmringe gewummst hatte und das gesamte Buffet abfilmte, ein schwules Pärchen aus Deutschland die unerkannnt bleiben wollten oder ein Mann mit massiver Fettschürze und sowas von überhaupt keinem Arsch, dass wir Angst hatten, seine Jogginghose könnte jeden Moment ihren Dienst versagen. Aber wer weiß in welchem Block wir auftauchen und vor allem unter welcher Rubrik. Räder gepackt, ein letzter Blick auf das Grandhotel und dann Aufi zu den letzten 145 km nach Valga an der lettischen Grenze, von wo aus wir dann die Eisenbahn rückzu nach Riga ergreifen wollen. Die Fahrt geht noch ein bisschen durch die Stadt dann durch den strandnahen Küstenwald und dann parallel zur Autobahn die wir irgendwann kreuzen müssen. Dort wo das Navi es anzeigt steht ein Schild: Fahrräder verboten! Schnell hält ein Auto mit hilfsbereiten Menschen, die uns viel erklären aber selbst wohl auch keine Radfahrer sind. Wir fahren trotzdem drüber und: es passiert nichts! Außer dass noch ein Wagen hält und wir gefragt werden: Hi guys what's up? Was soll man da antworten? Ne ne alles gut! Und dann fahren wir viele Kilometer Bundesstraße bis wir mal wieder einen Laden brauchen um mein Wasser und unsere Energiereserven mit einer netten Kleinigkeit aufzubauen. Am Ende war es da ein Eis und verschiedene Getränke, wie das beliebte "mental water". Nach weiteren 15km war dann Mittag mit Grillrippchen und Kaffee. Die nächsten Kilometer ziehen an uns vorüber bis ich am Straßenrand einen Storch liegen sehe. Schade, denke ich, weil auf dem Horst, 100m entfernt, der andere Storch wartete. Ich hielt an, um auf Claudia zu warten, Da stand der Storch kurz und taumelte. Als Claudia dann kam, machte er schon Flügelbewegungen. Wahrscheinlich ist er von einem Fahrzeug mitgerissen worden und hatte jetzt ein Schleudertrauma. Wir waren jedenfalls zuversichtlich, dass er sich erholen wird. Wenig später konnten wir andere Storchens bei der Atzung ihrer Jungen beobachten. Und noch etwas später, vertikutierte ein Traktor eine Wiese, da waren gezählte 34 Störche zugange. Claudia rannte gleich wie wild aufs Feld zum fotografieren, um dann festzustellen: Speicherkarte voll! Im weiteren Verlauf stellte uns die Wegführung von Mapy vor ein Rätsel :(Foto). Nachdem ich den Kreisel einmal umrundet hatte, war klar, weitere Male bringen uns auch nicht vorwärts. Also abgefahren und dann gings wieder. Langsam kommen wir ins estnische Hochland. Ein kleines Bergstädchen, vergleichbar mit Oberwiesenthal, auf immerhin ca. 100m NN. Für die Übernachtung hat Claudia ein RMK-Camp ausgesucht, welches auf jedem Navigator anders ausgewiesen ist. Auf jeden Fall ziehen sich die letzten Kilometer mächtig, bis wir den Waldweg finden, an dessen Ende unser Platz liegt. Jètzt hatten wir immerhin 95km auf der Uhr. Nachdem wir angekommen sind, wurde erstmal ein ordentliches Rauchfeuer entzündet. Unser einziges auf der ganzen Reise! Hernach wurde ein riesiger Onepott Nudeltopf bereitet, den wir natürlich nicht alle gekriegt haben und nach zwei Blechsemmeln, wurde noch eine Flasche Crianza geleert. Mit einer solchermaßenen Bettschwere ging es dann auch in das Selbige.Read more
Gefahrene Strecke: 54 km
Schade, aber bei Regenwetter ist's halt nicht lustig im Nationalpark. Nach längerer Überlegung beschließen wir, weiter nach Viljandi zu fahren, einer kleineren Stadt am östlichen Ende des Nationalparks. Das heißt, wir drehen die geplante Route um und fahren jetzt in den Osten des Landes und besuchen die Inseln im Westen von Estland auf der Rückreise. Vielleicht ist bis dahin wieder strahlendes Sommerwetter.
Also fahren wir nach Viljandi, wo wir gegen 14.00 Uhr bei strömenden Regen ankommen und schon mitten in ein Straßenfest geraten, das wegen des Regens etwas desolat ist und eigentlich alle schon am Zusammenpacken sind. Wir setzen uns in ein gemütliches Cafè, essen eine Kleinigkeit und warten auf Sonnenschein, der auch bald kommt. Also brechen wir zu Fuß zur Bootsanlegestelle am Viljandi-See auf, weil wir schauen wollen, ob es dort mit dem Balù einen Übernachtungsplatz gibt. Gibt's.
Leider ist der Sonnenschein wenig nachhaltig und auf dem nicht sehr langen Rückweg beginnt es heftigst zu schütten. Mein Regenmantel hält mich ziemlich trocken, Thomas wir ziemlich durchnässt. Trotz schlechten Wetters beschließen wir, hier zu bleiben.
Morgen vormittag werden wir uns die Stadt noch ein bisschen ansehen und dann nach Tartu weiterfahren.
Heute Abend ist es auch wieder strahlend schön geworden, sodass wir eine Wanderung um den See machen konnten.Read more
Wir haben uns heute wie immer in Ruhe fertig gemacht. Beim verlassen des Campingplatz habe ich wahrscheinlich den Pfosten gestreift. Nach ein paar Kilometern war der linke Reifen vom Wohnwagen total kaputt und das mitten auf der Landstraße. Was nun?
Einen Augenblick später hielt ein Wagen an. Wie sich später rausstellte die Fahrschule. Der Fahrlehrer hat uns sofort geholfen. Er ist mit Lutz kilometerweit gefahren, um einen neuen Reifen zu besorgen und aufziehen zu lassen. Da das ja noch nicht reichte habe ich mein Handy auch noch zerschrottet. Nach 2 Stunden waren wir wieder startklar. Ein gemeinsames Foto inklusive.Read more
You might also know this place by the following names:
Viljandimaa, Kreis Viljandi, Vilyandimаа, Павет Вільяндзі, Вилянди, Comtat de Viljandi, Вильяндимаа, Επαρχία Βίλγιαντι, Condado de Viljandi, Viljandi maakond, استان ویلیاندی, Comté de Viljandi, ויליאנדי, Okrug Viljandimaa, Վիլյանդիմաա, County Viljandi, ヴィリャンディ県, ვილიანდიმაა, 빌리안디 주, Konteth Viljandi, Viljandžio apskritis, Viljandi apriņķis, Вильяндимаа ёнкс, Viljandi fylke, Comitatul Viljandi, Viljandi Coonty, Виљанди, Viljandi län, Viljandi ili, Вільяндімаа, ویلیاندی کاؤنٹی, 維爾揚迪縣
Traveler Die Holzhäuser sind sehr beeindruckend- genieße weiterhin den Norden! 😘
Traveler Finde ich auch …. 📷 ist im Dauer Einsatz! 2 Tage noch der (heiße) Norden…. 😘
Traveler Schöne Impressionen 😍😍😍