Bolivya
Potosí

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Buradaki gezgin
    • Gün 10

      Lagūnu diena

      8 Mayıs 2023, Bolivya ⋅ ☁️ 8 °C

      Lagūnas Dienvidamerikas iedzīvotājiem ir svētas, droši vien tapēc, ka Andu kalnu masīvā ūdens ne vienmēr un visur ir pieejams. Šodien plānots apmeklēt kādas 5 gabalas lagūnas, un, Edsona vārdiem, tās cita par citu esot skaistāka.
      Beidzot ir pienācis tas rīts, kad brokastīs jādzer šķīstošā kafija. Tā kā es jau biju sagatavojies, ka agri vai vēlu tas notiks, izdzēru 2 krūzītes. Vēl pirms došanās ceļā Zandiņa izlemj, ka grib drusku paelpot skābekli, jo neesot spēka. No skābekļa diez ko labāk nepaliek, tapēc nolemjam izmantot vietējo metodi - košļājam kokas lapas. Pašiem liekas, ka drusku palīdz.
      Esam uzbraukuši vēl augstāk, un mūs apņem ledains vējš, jo šajā ekvatora pusē sākas ziema. Atceros, ka pirms 8 gadiem bijām ļoti tuvu šai vietai, tikai Čīles pusē, tad bija decembris, un laiks bija krietni siltāks.
      Vispirms šķērsojam vēl vienu sālāju, kurš gan nav tik koši balts kā Uyuni, cauri tam kā taisna stīga stiepjas dzelzceļa līnija, pa kuru Bolīvijas izrakteņi nonāk Čīles ostās. Aukstais vējš ir tik stiprs, ka ārā grūti nostavēt, ātri lienam iekšā savā džipā.
      Apskatāmās lagūnas ir dažādās krāsās un neiegaumējamiem nosaukumiem, tāpēc necentīšos tās aprakstīt. Lai runā pievienotās bildes, kuras šoreiz tiešām iesaku visas apskatīt.
      Beidzot saprotam, kāpēc mums jabrauc ar tik varenu auto - pēkšņi starp akmeņu kalniem paveras šaurs koridors, kuru gadu tūkstošiem grauzis mazs strautiņš. Pa šo koridoru nonākam smilšu tuksnesī, kas esot apmēram tik pat liels kā Uyuni sālājs. Gribas visu sabildēt, bet vējš ir tāds, ka nevar gandrīz nemaz izturēt.
      Novērojam, ka šodien pa šo maršrutu brauc kādi padsmit džipi, un man jau liekas, ka tie pārējie man traucē izbaudīt Andu klusumu. Sezonas pīķī, domāju, ir kādas trīs reizes lielāks pieplūdums. Atkal nospriežam, ka esam gudri izvēlējusies ceļojuma laiku.
      Pēcpusdienā nonākam līdz tā sauktajam Salvadora Dalī tuksnesim, kur daba izveidojusi vides objektus gluži kā slavenā sirreālisma meistara darbos. Atkal, ciesdami no stiprā vēja, fotofrafējamies - šoreiz pie slavenā Akmens koka, klints veidojuma mežābeles izskatā. Nospriežam, ka bilde būs vērtīga, jo akmens koka stumbra apakšdaļa ir kļuvusi tieva un smilšu sagrauzta. Drīz tas varētu nokrist un cauri.
      Sagaidītā dienas kulminācija ir Laguna Colorada jeb krāsainā lagūna, kas ir lielākā lagūna šajā apvidū, un kuras ūdens spīd sarkanās krāsas dažādos toņos, bet to caurvij daudzas citas krāsas. Atkal iesaku skatīt bildi, vārdi šeit nepalīdzēs.
      Lagūnas ir slavena ar 3 falamingo šķirnēm, kuras pastavīgi to apdzīvo, un patiesi - redzami vairaki simti ja ne tūkstoši šo dekoratīvo putnu. Flamingo dabiskais stāvoklis ir ar galvu ūdenī un dibenu gaisā, bet esot viņu dzīvē arī romantiski mirkļi. Edsons mums stāsta, ka flamingo pāri pēc kāzām dzīvo kopā uzticīgi viens otram, līdz nāve tos šķir. Nezinu gan, ko dara jauni atraitņi, bet to nezina arī Edsons.
      Šonakt augstakā naktsguļa mūsu ceļojumā. Redzu, ka mītnes saimnieks uz galda noliek sarkanvīnu, nezinu, kā būs.
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    • Gün 69

      Journée Space invaders

      1 Mayıs 2023, Bolivya ⋅ ⛅ 14 °C

      On se lève avant 9h pour pouvoir profiter du petit déjeuner et à notre plus grande surprise on se retrouve à s'asseoir à table avec deux filles qu'on avait croisé de nombreuses fois à Uyuni. Il s'agit de Amina et Anaëlle, deux nantaises avec qui le courant était bien passé. Après avoir discuté un long moment, on étant le bruit d'une fête dans la ville. Quoi de mieux que de visiter une ville en fête.

      Il s'agit d'une fête en l'honneur des mineurs de la ville. En effet, la principale ressource financière de la ville est une mine d'argent ou travaille plus de 27 000 mineurs dans des conditions très difficiles. A l'époque des conquistadors, Potosi était l'une des villes les plus riches du monde grâce à cette mine. (La légende dit qu'il y avait tellement d'argent qu'on aurait pu construire un pont d'argent entre Potosi et l'Espagne) La mine est aussi le plus grand cimetière du monde puisque depuis le début de son exploitation plus de 9 millions de personnes y sont mortent. Actuellement il y a environ 1 à 2 morts par jour ...... c'est pour vous redonner le contexte de cette fête.

      Bref on profite du défilé puis on décide de marcher dans la ville avec les deux filles afin de trouver les différents musées et églises de la ville (il y en a beaucoup). Mais ce qu'on ne savait pas c'est que le 1er mai c'est aussi la fête du travail ici, tout les lieux touristiques sont donc fermés... va falloir s'occuper d'une autre manière.

      Après avoir manger un menu au marché pour 1€50 (on verra si nos estomacs tiendront le coup), on redécide de partir marcher en ville. Et là par hasard on tombe sur Martin et Célia, deux parisiens avec qui ont avait également bien accrochés pendant le tour à Uyuni. On se retrouve donc à 8 (sacré groupe). Pour s'occuper durant cette journée, ils nous parlent des spaces invaders. Il s'agit de petites mosaïques cachées dans différents lieux de la ville. Il y a 52 exactement à Potosi. C'est l'œuvre d'un artiste français qui installe ses créations un peu partout dans les villes du monde (notamment en Europe et en France quand même) mais il n'y en a que dans 3 villes en Amérique du Sud. C'est donc l'occasion de visiter la ville tout en s'amusant. Au final on tourne dans la ville et sur ses hauteurs pendant 3h. On trouvera une dizaine de space invaders. Après cette recherche imprévue on décide d'aller boire un coup dans un petit bar.

      Et c'est ici que nous finirons notre journée. De 18h à 1h, au fil de très nombreuses discussions et jeux, on rigole et apprend à tous se connaître. On rentre bien bien bien bourracho.....

      Demain on avait prévu de partir marcher aux lacs Kari Kari au dessus de la ville à 4500m. On verrait notre état au réveil
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    • Gün 23

      Musée des sous

      10 Haziran 2023, Bolivya ⋅ ☀️ 16 °C

      Après le bon petit dej de l’hostel, (d’ailleurs ça me fait bien rire parce que tout le monde vole le pain des buffets donc j’arrête de culpabiliser maintenant ahah) je pars pour Potosi.
      Après 3h30 de bus à côté d’un vieux monsieur qui pu, et un mr qui rentre dans le bus avec un micro et une drôle de malette, et qui commence à faire un discours, je comprends qu’il veut vendre ses plantes médicinales, j’avais jamais encore eu ça ! Très bon orateur! Le señor à côté de moi était enchanté. J’arrive dans la ville réputée pour ses mines d’argent.
      Je retrouve dans le dortoir de l’hostel, 2 français·es (Fred et Marina) qui étaient dans le même hostel que moi à Sucre. Nous partons faire le musée de la monnaie recommandé par mon taxi ! En effet ce fut très intéressant, voir l’évolution des techniques et machines utilisées pour fabriquer des pièces de monnaie. On passe de tout à la main, à des machines avec des engrenages en bois dont certaines tirées par des mules (j’ai mal pour les rendements…). Les mules avaient seulement 2 années d’espérances de vie car ces animaux ne sont pas acclimatés à l’altitude et l’effort demandé était très important.
      Puis bien sûr aux machines à vapeur.
      De voir toutes les machines ça me rappelle le dessin industriel de la Prepa !
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    • Gün 87

      Potosi et sa mine

      16 Mayıs 2023, Bolivya ⋅ ☀️ 15 °C

      Nous arrivons à Potosi en fin d'après midi, ville la plus haute du monde (selon un minimum d'habitants). En effet, elle est a 4100m et ça se ressent !
      Recherche d'un hostel avec tout le petit groupe et on part visiter la ville de nuit et trouver un resto. Bon on se laisse tenter par un restaurant (sans Annah qui est trop malade pour se joindre à nous) qui ressemble beaucoup à un gastro et on est sapé comme des baroudeurs mais bon ça reste des prix boliviens donc ça va. Aller hop au dodo, demain visite de la ville et de la mine !

      Après avoir traversé la place d'armes au look colonial, on se dirige vers le marché de Potosi. La ville est très colorée et les câbles électriques emmêlés créent un effet chaotique très charmant.

      On rentre donc dans le marché couvert et il y a vraiment de tout: des instruments de musiques à la nourriture en passant par les cassettes VHS (oui oui il y en a encore !) et les fœtus séchés de lamas (il paraît que ça donne chance). On se dit donc que c'est le bon moment d'acheter du bicarbonate de soude pour essayer de supprimer l'odeur de mort qui est incrusté dans nos chaussures depuis ces nombreux mois de marche ! Et on en trouve (spoiler ça n'aura pas marché pour tout le monde) !

      On monte ensuite sur la Torre de la Compañía de Jesús pour s'offrir un beau point de vue à 360° sur la ville qui est surplombée par la montagne Potosi (où la mine se trouve).

      On part donc pour la visite de la mine avec Willy un ancien mineur. Devant la mine se trouve les vestiaires des mineurs et on remarque des tâches noirs au dessus des portes. C'est en fait du sang de lamas qui sont sacrifiés pour porter chance. La mine est exploité 24h/24h par tranche de 8h. Les mineurs doivent acheter eux même leur équipement (tenue, pioche, casque, lampe et dynamite !) dans le marché minier appelé "Le Calvaire". Il y a différents jobs et la hiérarchie est définie par l'expérience dans la mine. Il y a ceux qui transportent les minerais hors de la mine en poussant le chariot quasi en courant en équilibre sur les rails. Puis vient le perforateur, le travail potentiellement le plus dur et le plus dangereux (espérance: 45 ans) car plus il descend bas dans la mine plus il fait chaud (jusqu'à 38°C à 160m de profondeur !!), Il forre dans la roche pour y placer des bâtons de dynamite et tout faire péter et découvrir plus de filons. Ils ont alors 3 minutes pour sortir en courant dans des couloirs d'1m60 avec plusieurs étages (je le rappelle on se trouve à plus de 4100m d'altitude) et je peux vous dire qu'entre les galeries étroites et l'atmosphère étouffante ils sont vraiment forts. Puis finalement on trouve le chef de groupe qui gère toute l'équipe.

      Ils n'ont pas de contrat de travail et le tout est géré par une "coopérative". Cette coopérative n'a rien de celles en France. Elles sont toutes corrompues et sont gérées par un certain nombre d'associés qui y rentrent soit par héritage soit par pot de vin. Concrètement quand une manif de mineurs a lieu (et il y en avait une quand nous sommes arrivés), le ministre passe un billet sous la table pour que les associés des collaboratives donnent des bières et organisent un tournoi de foot afin de calmer les manifestants. Puis les conditions ne changent pas et le cycle se répète.. Pas de contrat implique aussi une absence de lois encadrant la mort des mineurs (car il y en a beaucoup, une cinquantaine l'année dernière). Ainsi, lorsque cela arrive les associés donnent un peu d'argent en cash à la famille pour ne pas ébruiter l'affaire.

      Les mineurs sont très fiers d'être mineurs. C'est une histoire qui se transmet de père en fils. Il y a une culture machiste omniprésente. Les femmes ne travaillent pas dans la mine car cela porte malheur. D'ailleurs quand la femme d'un mineur travaille celui-ci recevra les brimades de ses camarades :
      c'est ton "mari" (on parle bien de sa femme) qui travaille !
      Les familles sont constituées de 6 enfants en moyenne et tout le monde parle Quechua dans la mine. Le délire masculiniste va encore plus loin jusqu'au fait de ne pas porter de gants pour toutes les activités minières car les mineurs ont des mains d'hommes forts.

      Parlons de la religion et la superstition présente au sein de la mine. Comme vous le savez, l'empire espagnol a envahi la région et a rendu en esclavage une partie des indigènes quechuas (et tuant aussi 8 millions d'individus au passage). Pour pousser les natifs à travailler ardemment dans la mine afin d'extraire l'or, l'Inquisition espagnol a justifié la plupart des accidents par la présence du Diable dans la mine, ce diable tuant les personnes paresseuses (péché capitale). Sauf que les indigènes avaient plus peur des espagnols que de ce supposé diable et ils restaient donc des jours durant dans la mine. Puis au bout d'un certain temps ils se sont dit que ce "diable" était peut être là pour les protéger et être un ami, un protecteur, un oncle. C'est ainsi qu'est né un certain nombre donations à base de feuilles de coca à l'époque (mais aujourd'hui ce sont aussi des cigarettes et de l'alcool a 96°C qui font parti des donations) à une statue d'un diable extrêmement bien membré symbole de fertilité. Ce diable appelé Georges est donc le tío (oncle et dérive du même mot en Quechua). On s'installera à ses côtés pour certaines explications. C'est là que Willy nous racontera la mort de son père, grand père et meilleur ami dans la mine. Trop d'émotions, nos yeux ne résisteront pas et les siens non plus.. Ce moment tragique est coupé par l'explosion, ou plutôt les 12 explosions de dynamites qu'on entendra dans la mine. La roche autour de nous vibre c'est un peu flippant mais apparemment on se trouve assez loin de l'explosion.

      Avant la visite, Willy nous avait fait acheter des gâteaux et des boissons à distribuer aux mineurs que l'on croise. C'est selon lui une bonne manière de les aider et ceux-ci sont d'ailleurs plutôt fier de voir des touristes s'intéresser à leur métier. Ça nous rassure pas mal sur l'aspect potentiellement voyeur du tour.

      Fin du tour, on en ressort muet. On mettra pas mal de temps a s'en remettre. Une expérience enrichissante et qui fait bien relativiser sur notre petite vie et notre consommation car bien évidemment la plupart des minerais extraits puis raffinés vont vers les pays développés..

      Sans transition, on passe visiter la Casa de la Monedad. Mais bon, entre ce que l'on vient de vivre et le fait que la guide expédie les explications, on restera sur notre fin.

      Le soir c'est repas dans un resto qui aurait été introuvable sans le savoir au préalable. Au menu, lamas et burritos !

      Demain on part vers la ville de Sucre.

      Flo
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    • Gün 227

      Über den Dächern von Potosi

      11 Temmuz 2023, Bolivya ⋅ 🌬 13 °C

      An diesem Vormittag erkunde ich die Innenstadt zu Fuß. Der zentrale Platz ist die "Plaza de 10 Noviembre". In seiner Mitte thront eine Miniaturnachbildung der Freiheitsstatue von New York. Sie erinnert an den Kampf für die Unabhängigkeit Boliviens von Spanien.
      Als ich das Kloster San Francisco erreiche habe ich Glück, denn es wird soeben eine Tour auf das Dach der Kirche angeboten. Hier hat man einen fantastischen Überblick bei Sonenschein und klarer Sicht und Potosi liegt mir zu Füssen. Das Kloster wurde 1547 von Bruder Gaspar de Valverde als erstes Kloster Boliviens gegründet. Mittlerweile ist es Zeit für einen kleinen Imbiss in einen der vielen kleinen Cafes und Restaurants. Die Preise sind hier natürlich etwas höher aber insgesamt immer noch sehr günstig. Je nach Tageszeit und Ort liegt der Preis zwischen 1,50 € und 9 € in Bolivien. Zwischenzeitlich habe ich meine neue WhatsApp Gruppe in Bolivien bemüht. Geräusche an der rechten Seitentasche. Eine Halterung ist gebrochen. Fast nicht zu entdecken. Ich bekomme eine Adresse und einen Termin am Nachmittag bei einem Schweißer. Die Halterung ist sogar zweimal gebrochen, Glück gehabt. In dieser WhatsApp Gruppe ist auch ein Eric der deutsch spricht. Interessant, vielleicht treffe ich ihn demnächst. So ist eine Weiterreise in den nächsten Tagen mit Erleichterung verbunden und das Gefühl schnell Hilfe in Bolivien zu bekommen beruhigend.
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    • Gün 82–83

      Potosi

      20 Aralık 2023, Bolivya ⋅ ⛅ 18 °C

      Wer gedacht hatte, dass es höher nicht mehr geht, wird eines Besseren belehrt...
      Auf unserem Weg in den Süden Boliviens machen wir in einer der einst reichsten Städte der Welt Halt....
      Potosi liegt auf 4'090 M.ü.M. und liegt am Fusse des 4'800 Meter hohen Cerro Rico, dessen Silber- und Zinnvorkommen die Stadt im 16 Jhdt. reich machte und die Spanier veranlasste, im Jahr 1572 die königliche Münze, die Casa Real de la Moneda in Potosi zu gründen.
      Ein Besuch im Museum ist ein Muss.
      Die Verkostung vom lokalen Bier aus der höchstgelegenen Brauerei der Welt ebenso ..
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    • Gün 166

      Potosi

      9 Şubat, Bolivya ⋅ ⛅ 16 °C

      Potosí bedeutet auf Quechua „Lärm“. Das wirft natürlich die Frage auf, wieso eine Stadt in den Bergen einen so positiven Namen trägt. Das liegt natürlich an dem Berg, Cerro Rico, der in der unmittelbaren Nähe steht. Aber für uns stand zu Fasching vor allem eine Antwort parat: die Bolivianer lieben es zu feiern und das auch gerne sehr laut. Mit unseren Freunden Johannes und Charlotte (kennengelernt haben wir sie in Rurrenabaque im Regenwald und hier wieder getroffen) erkundeten wir den Fasching und waren auch von Regen und Schaumsprühflaschen nicht abzuschrecken. In vielen Ecken Boliviens wird nämlich statt Konfetti aus Sprühflaschen Seife verschossen. Zum Glück roch diese ganz ok und war rückstandslos von der Kleidung zu entfernen. Insgesamt war der Fasching in Potosí ziemlich interessant und hat uns mal wieder gezeigt, dass das gemeinsame Feiern in allen Kulturen die Menschen zusammen bringt.

      Der Cerro Rico „Reicher Berg“ hat mit seinem Silberreichtum natürlich im 17. Jahrhundert zu unglaublich viel Bergbau geführt und daher kam auch der viele Lärm. Bei unserem Aufenthalt in Potosí besichtigten wir auch diese Minen und für mich war das wirklich eine große Herausforderung, aber ich hab es geschafft! Unser Guide Wilson hat uns viel über die Minen erzählt und uns erklärt wie sie heute funktionieren. Dadurch, dass das Silbervorkommen schon fast erschöpft ist und hauptsächlich Mineralien wie Zinn und Kupfer gefördert werden ist der Betrieb der Minen nicht mehr so lukrativ wie früher und die Minenarbeiter arbeiten quasi selbstständig. Und mit wenig Eigenkapital kommt schlechte Ausrüstung und schlechte Regelkontrolle. Wir sahen in den Minen Kinder, die sich zur Arbeit aufmachten und hörten von 12 Stundenschichten, die nur mit Koka überstanden wurden. Ein furchtbarer Zustanden, aber auch heute noch dreht sich ganz Potosí nur um den Bergbau und die dazugehörige Infrastruktur. Wie unser Guide sagte: „The Mountain drives the economy“, also „der Berg treibt die Wirtschaft an“. Was wäre also Potosí, die Stadt die 1611 mit 150.000 Einwohnern eine der größten Städte der Welt war, ohne ihren Bergbau?
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    • Gün 27

      Potosí

      4 Mart, Bolivya ⋅ ☁️ 12 °C

      Es war einmal Potosí, eine der reichsten Städte. Davon zeugt heute nur noch das Zentrum der Stadt. Alles außerhalb ist trist und hoffnungslos. Und doch hat Potosí eine ganz eigene Charme und ist wesentlich interessanter als das schöne Sucre. Die Silbermine, die heute noch 15.000 von 250.000 Menschen Arbeit gibt, wurde 15xx von den Spaniern in Betrieb genommen. Damals arbeiteten dort indigenen Sklaven, da die afrikanischen Skalen mit der Höhe und dem Klima nicht zurechtkamen.

      Potosí liegt in einer Höhe von 4090 Metern.

      Für mich ist es ein Zwischenstopp auf dem Weg nach Uyuni. Ich mag es tagsüber zu fahren und mir die Gegend anzuschauen. Außerdem haben die Nachtbusse in Bolivien die blöde Angewohnheit immer gegen 3:00 und 5:00 morgens anzukommen. Total dämlich 🤦🏼‍♀️

      Man merkt gleich, dass hier nicht ganz so viele Touristen unterwegs sind wie in Sucre, die Leute starren mehr 😅
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    • Gün 126–128

      Potosi

      28 Şubat, Bolivya ⋅ ☁️ 14 °C

      Potosí wasn't the nicest place to visit - at 4,100m the air is thin which is exacerbated further by the 50 year old buses and taxis puffing out fumes constantly (our COVID masks came out for the first time in a few years!)
      It shows some of the worst colonial effects in the world. The silver mine there (which we chose not to visit) has been a graveyard for millions of miners/slaves over the centuries. The silver trade resulted in 16th century Potosi having a population of over 200,000! It produced 60% of worldwide silver (helping Spain's treasury nicely). Since then the silver dried out and the city is now incredibly poor.
      We did visit the mint (Casa de Moneda) where they manufactured the silver into coins. No longer in use as they can't afford to run the mint.
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    • Gün 121–125

      Potosí

      14 Mart, Bolivya ⋅ ⛅ 16 °C

      Potosí is mainly famous for its “Cerro Rico”, a mountain next to the city with lots of minerals, mainly silver. During colonisation, the Spanish would exploit this mountain, force Indigenous people to work for them and Potosí became one of the richest cities with the second highest population right after London. Until today, there is still several active mines in which mainly male workers extract minerals in order to sell them and sustain themselves. The working conditions in those mines are absurd and even young boys at the age of 14 start working there. As part of a guided tour we could eventually enter the mines and get to know their rich culture inside the mines and even watch them working. The tour is not made for people with claustrophobia or asthma since you’re walking, crawling and climbing in those dark mines on almost 4.300m over see level. Nevertheless it has been one of the most impressive experiences on this trip. It is expected that in 20-30 years there will be no more minerals left which ends an era of more than 470 years of mineral extraction. Other than that the city of Potosí has a nice city centre which is pretty small but I found it cute. One day we went to a thermal lagoon called “Ojo del Inca” and on the way discovered a small festival of apples where they sold every possible product containing apples and we even met some Belgians selling Belgium waffles with apple marmelade topping!Okumaya devam et

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