Chile
Provincia de Parinacota

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Le 10 migliori mete di viaggio Provincia de Parinacota
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Viaggiatori in questo posto
    • Giorno 301

      🗻Parque Nacional Lauca🗻

      28 maggio 2023, Chile ⋅ ☁️ 3 °C

      ( Nachtrag) Mit 4 Frenchies erkunde ich, wieder im Leihauto, das Juwel "Parque Nacional Lauca" im Norden Chiles. Wir fahren bis an die bolivianischen Grenze und sehen unterwegs wilde Vicunaherden, einsame Dörfer, glasklare Lagunen, Vulkane und unfassbar weite Steppenlandschaften...Leggi altro

    • Giorno 137

      Road trip Lago Chungara

      29 settembre 2019, Chile ⋅ ☀️ 13 °C

      A l'auberge Pachamama à Putre, nous avons rencontré Alex et Cami, qui avaient loué une voiture pour visiter les environs. Ainsi nous avons pu réaliser un petit roadtrip à travers les dernières limites du Chili jusqu'à la frontière Bolivienne où ils nous ont déposé !Leggi altro

    • Giorno 94

      Par Bernard

      Départ pour notre première balade vers l'Altiplano avec notre chauffeur attitré pour la journée : Alban. Nous entrons dans le parc national Lauca, un des nombreux parcs du Chili et allons passer progressivement de 3 600 m à 4 500 m. Comment allons-nous supporter le mal des montagnes ?... Nous sortons de l'axe principal pour contourner le volcan Taapaca par le nord, passer par le village de Colpitas et aller visiter la petite église de Chujlluta. Nous retrouverons ce même type de jolies églises dans tous les villages de l'Altiplano – nef sans absides, murs de terre blanchis à la chaud, couverture de paille/herbe – plus ou moins entretenues. Hélas, elles seront souvent fermées. Le petit village est constitué de maisons basses, toiture maintenant de tôles avec ça et là des tas de bois dont nous découvrirons ensuite qu'il s'agit de branches et racines de quinoa des hauteurs, plante qui recouvre par endroit ces grands espaces désertiques, bois dur et imputrescible servant à la construction des maisons et églises. Avec le soleil, dans cet univers minéral, nous avons un peu l'impression d'être dans un western de Sergio Leone avec les villages mexicains un peu déserts... Il n'y manquait que le son de l'harmonica ou le tic-tac d'une montre gousset...
      Nous nous arrêtons pour pique-niquer au village de Parinacota – 4 400 m - dont le nom est inscrit en grandes lettres de cailloux empilés sur la colline qui le surplombe. « Parinacota » qui, en langue aymara, signifie « l'endroit des flamands roses ». L'église, qui date du XVIIe siècle, reconstruite en 1789, est magnifique. Nous apercevons, au loin, le volcan enneigé du même nom qui culmine à 6 342 m. La vue de son cône enneigé nous suivra tout au long de notre périple de la journée. Nous croisons régulièrement des troupeaux de lamas et alpagas, auxquels se mêlent quelques vigognes (la vigogne n'est pas domestiquée), qui paissent dans les zones humides, seules oasis de verdure dans ce paysage désertique, qui bordent les cours d'eau qui attendent les pluies pour grossir. Nous longeons ensuite les lagunes de Cotacotani avant de découvrir le lac de Chungara, 4 518 m d'altitude, un des plus hauts lacs du monde. La vue sur le Parinacota est sublime et Anne fera une irréelle photo du volcan se reflétant dans le lac ! Nous irons jusqu'à la frontière bolivienne mais ne la traverserons pas, ne sachant pas exactement ce qu'il y a à découvrir de l'autre côté dans une distance raisonnable et n'ayant aucun « bolivar » pour étancher une éventuelle petite soif. Retour vers Putre à « l'hospedaje » où nous prenons un temps pour préparer la suite du voyage et dîner d'un sandwiche, sans pain mais copieux. Mais nos neurones sont vraiment au ralenti : cette première journée sur l'Altiplano nous a fait ressentir, à Anne et moi, la fatigue des hauteurs qui nous impose un rythme physique plus lent, car nous sentons bien que toute accélération est impossible, et qui provoque des saignements de nez pour Anne. Quant à nos deux baroudeurs, aucun souci. Ils sont acclimatés après leur séjour prolongé à plus de 4 000 m, leur petite escapade sur des sommets à 6 000 m et leur entrainement physique !
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    • Giorno 147

      Mikroabenteuer in Bolivien

      4 luglio 2023, Bolivia ⋅ ☀️ 10 °C

      Auf geht es ausgeschlafen zur Fahrt zurück nach Patacamaya. Was wäre das Leben ohne Abenteuer. Große und Kleine. Dabei gibt es für sogenannte Mikroabenteuer sogar eine Definition. Sie sollten von A nach B nie länger als 72 Stunden dauern. Möglichst im Umkreis stattfinden dass man nicht erst extra dafür irgendwo hinfliegen muss und sie sollten einen über die eigene Komfortzone wachsen lassen. Es ist egal ob das ein Nachtspaziergang im heimischen Wald ist oder wie in meinem Fall einfach nur eine Busfahrt bei der möglichst viele Straßenblockaden umgangen werden.
      Tatort - El Alto. Ich trete aus meiner Unterkunft. Es ist mir ein Rätsel welcher Zauberkünstler es geschafft hat die Katastrophe vom Vorabend wieder in einen halbwegs passablen Straßenmarkt zu verwandeln. Überall herrscht bereits wieder emsiges Treiben. Die Frau an der Rezeption schildert mir schnell noch einmal den Weg bis zur Haltestelle. Ohne Ampel geht es mitten durch den Verkehr über eine achtspurige Straße. Zu dieser Zeit fährt eigentlich kein einziges normales Auto. Dafür hunderte, nein tausende Trufis. Wie soll ich da bitte das Richtige finden?
      Beim Nachfragen erhasche ich in dem Kauderwelsch aus Spanisch und Aymara immer wieder dass die Straße blockiert ist. Och nee oder? Das müssen noch Nachwehen von gestern sein. Aber heute ist ein neuer Tag. Letztendlich völlig hinter meiner Zeitplanung erreiche ich den neuen Busbahnhof von El Alto. Auch hier heißt es heute dass die Straße blockiert sei. Warum weiß noch keiner so recht. Aber der Bus fährt anstatt dem regulären Fahrplan trotzdem dann los wenn er voll ist und schlängelt sich hoffentlich an den Blockaden vorbei. Schauen wir doch mal, wer nichts wagt der nichts gewinnt. So erhalte ich in jedem Fall Einblicke in die Vororte und Favelas von El Alto in die ich sonst nie freiwillig gefahren wäre. Die Spritztour dauert über zwei Stunden nur für 15 Km. Beim Laufen und anschieben bin ich ob der Höhe aber auch keine große Hilfe. Hut ab, immerhin versucht der Fahrer nur auf Nachfrage unter den Leuten und völlig ohne Navi einen Weg um die Straßensperren herum zu finden
      Einen Plan hat er nicht. Kaum sind wir wieder auf dem Asphalt machen wir eine Zwangspause und fast der ganze Bus voller Bolivianer geht geschlossen hinter die nächste Häuserecke.

      Ich mache nur ungern Druck, doch mein Anschluss fährt ab Patacamaya nur einmal täglich. Wenn er voll ist fährt er los. Mit der Verspätung kann ich eigentlich nur leben wenn ich den Anschluss trotzdem noch erwische. Meine Erwartung täuscht mich nicht. Der Bus fährt wieder nur die Umgehungsstraße lang. Energisch klopfe ich an die Fahrertür und will jetzt sofort aussteigen! Wenn ich laufe habe ich wenigstens überhaupt noch eine Chance. Wenn aber einmal Straßensperre ist dann trifft das bekanntlich nicht nur mich. Der Fahrer wartet noch auf Fahrgäste weil er wegen drei Leuten noch keine Anstalten macht. Perfekt! Die Zeit reicht sogar noch für ein kleines Mittagessen.

      Nach mittlerweile schon üblichen 6 Stunden Anfahrt erreiche ich das kleine Dorf Sajama. Für die nächsten Zwei Tage wird der älteste Nationalpark in Bolivien meine Spielwiese. Unterwegs sammeln wir noch zwei Rucksackleute auf die gerade frisch aus Chile herüber gekommen sind. Sie berichten auch da heute von katastrophalen Zuständen. Irgendwie habe mehr als 10 Reisebusse gleichzeitig den Grenzübergang als Ausweichroute genutzt. Für die beiden bedeutete das über vier Stunden anzustehen um unser Trufi zum Schluss eigentlich nur um 10Sekunden zu erwischen anstatt die letzten 10km mühsam durch den Staub zu wandern. Ich, mein der Anblick während diesem Mikroabenteuer ist und bleibt grandios. Aber ohne Gepäck läuft es sich auf über 4.000m bedeutend leichter.
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    • Giorno 92

      Arica - Putre

      23 dicembre 2022, Chile ⋅ ⛅ 14 °C

      Par Bernard

      Nous quittons notre hôte breton chez qui nous laissons les vélos et la tente pour aller récupérer notre voiture et départ direction Putre à 130 km d'Arica, par une belle route goudronnée qui mène jusqu'à La Paz en Bolivie et sur laquelle le trafic de camions est intense.
      Première étape à une quarantaine de kilomètres pour visiter un projet LowTech repéré par nos baroudeurs : un éco-village pour touristes de passage ou résidents pour de plus longs séjours. Une jeune volontaire chilienne nous accueille pour la visite. Le lieu a été créé, il y a une quarantaine d'années, par des adeptes d'Hare Krishna ce qui explique l'aspect « pagode » d'un certain nombre de constructions (chambres individuelles, lieux de méditation, réfectoire…). Murs en briques de terre, essences de bois locales pour les meubles, bouteilles de verre incrustées dans les murs pour apporter lumière, couleurs et fraicheur... on est vraiment dans l'éco-construction. Les deux années de Covid ayant stoppé toute activité d'accueil, de touristes ou de jeunes volontaires, les jardins servant à la production de légumes pour une vie le plus possible en autarcie, sont à l'abandon. Il y a du travail pour tout remettre en état nous confie notre jeune guide qui nous offre de délicieux gâteaux de Noël de sa confection pour nous remercier de notre passage.
      Deuxième étape avant d'arriver à Putre : le village de Socoroma situé dans une vallée surplombée par la route que nous empruntons. Village paisible, avec une réserve d'eau en surplomb qui permet d'arroser les jardins en terrasse. Village vivant et occupé à la différence des nombreux villages que nous traverserons sur l'Altiplano, mais où nous retrouverons sur la place du village, comme ici, un accès libre à la WiFi, installé par le gouvernement !
      Arrivée en début d’après-midi à l'auberge Chakana, à Putre, où nous nous installons et déjeunons avec steak d'alpaga et pommes de terre locales, avant d'aller faire une petite visite du village. Et là... surprise..., nous croisons le père Noël tout juste arrivé du pôle Nord sur son … Pick Up 4x4 escorté par les « carabineros » distribuant les ballons multicolores aux enfants ! Puis, pendant que les garçons se cherchent une petite bière et des cacahuètes, Anne part à la recherche d'un chapeau local pour être bien protégée du soleil. Elle le trouvera dans le magasin de Julia qui, après avoir vendu le chapeau adéquat, nous fait découvrir son atelier et l'arrière-boutique où sont stockés ses ouvrages tricotés et tissés par elle à partir de la laine de ses alpagas élevés sur l'Altiplano. Du bel ouvrage ! Dernière artisane du secteur à pratiquer le tissage à la main, Julia vend sa production à l'étranger et est d'ailleurs déjà venue à Paris pour un salon.
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    • Giorno 93

      Journée sur Putre

      24 dicembre 2022, Chile ⋅ ⛅ 31 °C

      Par Anne

      La magie du Chili est d’offrir des fruits tropicaux jusqu’en Patagonie et des cerises, des pommes, du raisin et des poires arrivant du Sud sur les plateaux andins et dans le désert du Nord. Au petit-déjeuner copieux servi par nos hôtes (le plus copieux de tout notre voyage : pain, fromage, charcuterie ou œufs brouillés, jus de fruit, fruits frais, yaourts, purée d’avocat, céréales..) se côtoient donc pommes et mangues fraiches.
      On a bien dormi sous nos chaudes couvertures en triple exemplaire. Les garçons sont dans leur élément. Bernard et moi, on se sent au ralenti, mais pas de signe particulier de mal d’altitude. Depuis notre arrivée, on respecte scrupuleusement les consignes : boire beaucoup d’eau, se servir à volonté de la tisane locale contre le mal de tête, et surtout ne pas vouloir en faire trop… Ce sera donc une journée d’acclimatation, au rythme tranquille.
      On consacre la matinée à randonner sur les monts alentours, tout en admirant les hauteurs enneigées les plus proches. Objectif : dénicher les peintures rupestres se trouvant à 3 km de notre hébergement. Il fait beau, le ciel est superbe, le fond de l’air est frais malgré tout. Nous sommes à 3 500 m. On parcourt cet univers minéral parsemé de cactus sur un étroit sentier. À la sortie du village, on découvre quelques espaces plus plats et surtout plus verts, pâturés ou fauchés, ou encore occupés par un peu de maraichage. Et voilà un petit tracteur qui fane du foin, le seul que l’on verra sur toute cette région ; le conducteur est ravi de se faire prendre en photo. On marche, on marche, chacun à son rythme, le soleil tape. On désespère un peu de trouver les peintures, et finalement elles sont là, pile à l’endroit qu’indiquait le téléphone d’Alban. Des lamas et alpagas de toutes les tailles, des silhouettes qui semblent guider le troupeau. C’est toujours troublant de constater qu’aux quatre coins du monde, on trouve la même volonté de raconter, de mettre en images, de laisser une trace peut-être… et la même technique employée. Quel dommage que certains n’aient pas perçu la valeur de cet héritage et l’aient bien abimé… Un homme sur son âne arrive en contrebas, poussant quelques moutons. Un peu avant et un peu après, on trouve des enclos de pierres servant à regrouper les troupeaux. Des ruines, un chemin bien tracé entre deux murs de grosses pierres, des vestiges de conduits d’irrigation laissent penser que l’activité a été plus dense à une époque. Une cabane inoccupée, cadenas sur la porte, dispose d’un lampadaire et de son panneau solaire. Quelques condors nous survolent. Sur le chemin du retour, arrive un autre homme sur un cheval, bien âgé, bien typé, qui pousse un autre troupeau de moutons. De loin, il crie, agite son bâton. On se range sur le côté, pensant qu’il stimule ses bêtes pour qu’elles avancent, puis on finit pas comprendre qu’il n’est pas content. Il est même très en colère ; on n’aura pas su pourquoi, mais c’est intéressant d’avoir entendu la musique (même énervée) de la langue aymara.
      On rentre un peu KO de la balade. L’après-midi sera plus cool : bains chauds et bains de boue dans les termes en plein air de Jurasi. Délassant et vivifiant à la fois. On apprécie !
      Retour au village et courses dans une des multiples tiendas (qui s’insèrent parfaitement dans l’architecture locale, avec leurs larges portes aux linteaux de pierre sculptés datant de la période glorieuse et ayant résisté aux tremblements de terre) pour préparer nos sandwiches pour la sortie du lendemain ; au programme : lagune, lac et volcans.
      C’est Noël, alors on s’offre un bon diner dans un bon resto au cœur du village. Grâce aux garçons, on découvre peu à peu les diverses spécialités locales, ils nous aident à nous repérer dans les menus et, surtout, ils finissent nos assiettes qui sont vertigineusement remplies.
      Puis retour à l’hébergement où on se souhaite un Joyeux Noël avant de se coucher.
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    • Giorno 124

      J124

      12 marzo, Bolivia ⋅ ☁️ 13 °C

      Après avoir traversé la moitié de la ville à pied, j'atteins le terminal de collectivos où je trouve rapidement un moyen de me rendre à Patacamaya. Après deux heures de route, je descends et soulagement le bus pour Sajama est bien toujours là et il reste de la place. Je prends mon ticket et commence à discuter avec les deux couples de français présents, qui seront mes compagnons d'excursion sur place. Après 3 nouvelles heures de route, nous arrivons dans le petit village de Sajama, au pied du volcan éponyme qui culmine à plus de 6500m, plus haut sommet de Bolivie. L'après midi se fait à l'hostal car il s'est mis à pleuvoir.Leggi altro

    • Giorno 145

      Sajama National Park

      3 novembre 2022, Bolivia ⋅ ☁️ 16 °C

      סובב סחאמה - יום ראשון
      קמנו בבוקר עדיין עם המון דברים לא סגורים לקראת הנסיעה. בלילה טל רצתה להצטרף אלינו ועוד אין לנו מושג איזה אוטו נקבל ומה באמת אנחנו מתכננים לעשות
      יאיר ובר נסעו לאסוף את האוטו ואנחנו באירגונים של כביסה ולהמיר כסף ולארגן אוכל וציוד.

      קניתי גיטרה. מה

      בערך ב10 הכל מוכן ואנחנו יוצאים לדרך. אוספים שקשי שינה עוד קצת אוכל ויאללה 4 שעות נסיעה עד סאחמה. בדרך עוצרים בתצפית יפה ובגבעה עם פסלים מסלעים קצת קיצורי דרכים קצת אגרות לכבישים ומרחוק מתחילים לראות את ההר הענק והמושלג הגבוה ביותר בבוליביה 6560מ.
      מגיעים כבר לקראת השקיעה אל הכפר סאחמה. שורות של בניינים ערומים וביניהם ומסביבם כלום. מגיעים אל בית הספר ורואים כיתה עושה חזרות לקראת הטקס המתקרב. בר מפטפט עם המורה שלהם אליסון בחצי ספרדית וחוזר עם הזמנה אליה הביתה להיום יותר מאוחר להיפגש עם ההורים שלה שהם מדריכי טיולים באזור.
      מוצאים את ההוסטל של מריה (שהיא בדיעבד תתגלה כשטן בהתגלמותו) ויוצאים להסתובב בכפר. מגיעים אל בית העם שם יושבים כל המבוגרים מכוסים בשמיכות עם מרק ביד ומדברים בחבורות. אנחנו מקבלים הזמנה להצטרף לארוחת ערב אך מהניחוח באוויר מהמראה של המרק וממבט אחד בקדמת הבמה והבנה שהשמיכה שעל הרצפה היא בעצם שאריות לאמה אנחנו מסרבים בנימוס וממשיכים הלאה לראות שקיעה מול הרי הגעש של צ'ילה.
      כשהחושך יורד אנחנו מחפשים את הבית של אליסון שאליו קיבלנו רק כיוון כללי. לבסוף היא יוצאת אלינו מאחד הבתים ואנחנו נכנסים לשבת עם ההורים שלה. הם מציירים לנו מפה ומציעים לנו ללכת למחרת לגבול עם צ'ילה לראות לגונה חמודה. מודים להם וחוזרים לבשל לנו ארוחת ערב בהוסטל שלנו. הולכים לישון לקראת מחר.
      5 אנשים 4 מיטות היום לירון ואני בכפיות.
      לילה טוב

      *תמונות מהמצלמה של יאיר*
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    • Giorno 125

      J125

      13 marzo, Bolivia ⋅ ☁️ 12 °C

      Ce matin réveil à 5h00 car nous avons donné rendez vous au chauffeur à 6h pour qu'il nous dépose au départ du circuit des lagunas altas, premier jour d'acclimatation pour l'Acotango, un 6000m prévu vendredi par le groupe. En plus de Coralie et Allan, et Emilien et Adèle qui sont mes compagnons de chambre, nous sommes avec Charles, un autre français guide de moyenne montagne et Jorge, un espagnol qui voyage en vélo. On se fait posé aux geysers à 4400m et la balade commence en pente douce. Après une partie un poil plus raide on arrive à la première lagune, où l'on voit plein de viscachas. Des espèces de lapins mais avec une longue queue. Puis après une deuxième petite montée, on arrive à 2e lagune, toujours entourés de viscachas. Et enfin après un ultime effort, on passe le col à 5000m pour atteindre la 3e lagune où l'on s'arrête manger. J'essaie de trottiner pour voir ce que ça fait et je me ravise rapidement au vue de mon rythme cardiaque pour pas me mettre dans une situation délicate pour une bêtise. La descente se fait tranquillement jusqu'à ce que l'on se prenne une averse de grêle à quelques km des thermes qui étaient l'objectif final. On se réfugie chez un éleveur de lama et on attend le 4x4 que l'on a appelé pour venir nous chercher. Comme tous les jours ici, l'après midi est orageuse donc c'est sieste à l'hostal.Leggi altro

    • Giorno 84

      Uyuni - Sajama: Busfahre chömer

      19 maggio 2023, Bolivia ⋅ ☀️ 11 °C

      D'Nacht isch super gsi. Min Körper freut sich mal uf en Tag wos ned andauernd chalt - heiss - chalt und so wiiter isch. Hoffentlich. Pünktlich es paar Minute vor Buffetstart bedienemer eus bim fantastische Zmorgebuffet. Stellt sich use dases bedient wär wemer ned z'früeh dete wär - upsi ^^ Hauptsach mir sind bald fertig und schaffeds pünktlich uf eusen Bus in Richtig Oruro. Ich verbringe meh oder weniger di ganz Fahrt mit Blog schribe. Bi zimli hindedri 😇 Das isch aber halb so wild, wil währed de ganze vier Stunde gsehmer eigentli vorallem verlassni riesigi ebni Felder und ide Ferni d'Berge. Pünktlich chömemer z'Oruro a und mached eus miteme (übertüürete) Taxi uf zude andere Bushaltestell, wo d'Minibüs uf Sajama sölled fahre. Tatsächlich stoht scho eine parat und mir gebed euses Gepäck ab, gönd schnell es lokals Mittagsmenu go esse und sind denn überpünktlich ei Minute vor Abfahrt wider bim Büsli (also bim Auto mit acht Plätz). Dummerwiis häts nume na ide hintere Reihe freii Plätz, wos aber für eusi lange europäische Bei bitz eng isch. Janu, sind ja au wider nume öppe vier Stunde 😅 Nebst wenig Platz hämer au ab und zue es bitz wenig Suurstoff aber ja, Alternative hettis öppe keini geh... Schliessli schmeisster eus bide Abzwiegig zum Dorf use und mir müend en Weg sueche zum di letste 12 km überbrücke. Es chunnt grad es Auto usem Dorf wo meint, dases schnell goht go tanke aber eus i 20 min ufem Zruggweg chan uflade. Tönt guet. D'Warteziit verbringemer miteme Plauderstündli miteme Taxifahrer, wo eus au wür is Dorf bringe (aber nime mal a für tüürer). Nebed eus ragt de Sajama id Höchi, mit 6'542 Meter de höchst Gipfel vo Bolivie. Nach 45 Minute goht d'Sunne unter und mir entscheided, dasmer jetz zu jedere Möglichkeit würed ja sege (s'Taxi isch mit anderne Lüt unterwegs) und siehe da, nachere Stund chunnt s'Auto zrugg vom tanke und mir stopfed eus z'sechste is Auto ^^ Holprigi 12 km spöter werdemer vorem Hostel usglade. Isch sicher billiger gsi als s'Taxi aber obs das d'Warteziit wert gsi isch...? Im Hostel acho chömer direkt euses Zimmer, wo eigentli es eiges Hüsli isch, bezieh. Es isch iischalt und für d'Heizig müestemer extra zahle. Wil d'Übernachtig sus scho verhältnismässig tüür isch, entscheidemer eus für Taktik Körperwärmi ^^ Vorem Znacht redemer mitem Hostelmensch über Usflugsmöglichkeite. Er verzellt vo Lagune aber wo mir afanged vome Gipfel uf 5'000 Meter rede, meinter, dass das en guete Akklimatisierigsberg für en 6'000er ide Nöchi wär, womer denn ja am Sunntig chönnted mache. Tönt verlockend aber mal luege, zerst machemer morn mal 5'000 und lueged wies eus nachher goht... S'Znacht isch sehr fein aber ned so warm und denn gohts ab is Bett go iiheize. Au so en Reisetag chan ermüedend si...Leggi altro

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    Provincia de Parinacota

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