Indien
Ratanada

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Reisende an diesem Ort
    • Tag 18

      Das Mehrangarh Fort in Jodhpur

      6. Dezember 2022 in Indien ⋅ ☀️ 25 °C

      Das Mehrangarh Fort hat aufgrund seiner prächtigen Architektur und der damit verbundenen vielfältigen Geschichte den Ehrenplatz in Jodhpur. Dieses Fort gilt als eines der beeindruckendsten Forts von Rajasthan und wurde im 15. Jahrhundert von Rao Jodha erbaut. Das Fort erstreckt sich über eine Fläche von 5 km und befindet sich auf einem 125 m hohen Hügel am Rande der Stadt Jodhpur.
      Von dem Mehrangarh Fort aus kannst du den Panoramablick auf die Stadt genießen, die wie ein blauer Teppich am Fuße eines Hügels wirkt. Jeder Herrscher von Jodhpur hat zur Errichtung dieses Forts beigetragen. Innerhalb der Festung kannst du die herrlichen Paläste sehen. Die Hauptpaläste im Mehrangarh Fort sind Moti Mahal, Phool Mahal, Sheesh Mahal, Takht Vilas und Jhanki Mahal.

      Wir treffen auch ein sehr nettes Paar aus Berlin, die auch auf Weltreise sind und trinken abends zusammen ein Bier in einigen der wenigen Rooftop Bars die Alkohol ausschenken dürfen. Doch das haben wir sehr genossen und es war ein netter Abend

      Uns gefällt es hier insgesamt mittelmäßig und ziehen jetzt weiter östlich nach Jaisalmer.
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    • Tag 15

      Rencontre avec Gravis mais pas que

      28. Februar 2023 in Indien ⋅ ☀️ 33 °C

      Aujourd'hui nous avons essayé de prendre une bonne résolution. Ça fait 2 semaines que nous avons commencé notre périple, et depuis nous n'avons fait aucun sport, hormis le fait de porter nos sacs à dos entre les gares et les hôtels...
      Nous avons donc décidé que la reprise avait sonné !
      Pour ne pas reprendre trop fort quand même, nous avons fait une mini ppg avec quelques pompes et quelques squats 💪.

      Ensuite vers 10h nous avec pris un taxi pour rejoindre l'association Gravis avec qui nous avions rdv.
      Pour cette rencontre, nous avions préparé plusieurs parties et beaucoup de questions assez précises pour mieux contrôler l'interview.
      C'était un entretien très intéressant.

      En résumé, cette association se bat pour l'accès à l'eau dans les villages reculés du désert du Thar. Pour vous donner un ordre de grandeur, l'été les températures peuvent dépasser les 45°C. Et dès février (donc encore en hiver), il fait autour de 32°C l'après midi.
      Dans ces régions, c'est le rôle de la femme et des filles d'aller chercher de l'eau, à plusieurs kilomètres parfois, pour subvenir aux besoins de leur famille. Une grande partie de leur journée est donc monopolisée. C'est du temps qu'elles ne peuvent pas utiliser pour aller à l'école, s'instruire, participer à des groupes de discussion du village...
      Par ailleurs, avec le manque d'eau, les cultures n'étaient plus assez conséquentes pour nourrir tout le monde. Beaucoup de maladies liées à la déshydratation et à la sous alimentation se sont donc développées...
      Gravis a développé des sortes d'énormes citernes qui permettent de récupérer l'eau de pluie (dans ces régions, il ne pleut qu'une dizaine de jours par ans..). En dimensionnant de manière astucieuse ces citernes, ils arrivent à stocker assez d'eau pour tenir jusqu'aux pluie de l'année suivante.
      Aujourd'hui, ils sont extrêmement sollicités par les communautés de la région.
      Ils ont déjà mené des projets avec plus de 1,6 millions de personnes, mais ce désert est un des plus peuplé au monde, plus de 30 millions de personnes y vivent. Et avec le réchauffement climatique, la situation ne va faire que s'aggraver, ce problème de sécheresse va se répandre à beaucoup d'autres régions.
      Cette question de l'eau dans un pays comme l'Inde, où les moyens sont presque inexistants, est un vrai challenge.

      Le midi, nous sommes retournés manger à côté du stepwell que nous avions repéré la veille. Comme il faisait très chaud, beaucoup de personnes s'amusaient à sauter dans ce stepwell, parfois certains s'essayaient à des sauts du haut de stepwell (donc une dizaine de mètres 😅). On aurait bien voulu les rejoindre, mais les doutes que nous avions sur la qualité de l'eau nous a fait changer d'avis.
      L'après midi, nous sommes restés à l'hôtel. C'est la stratégie que nous avons adoptée pour éviter les grosses chaleurs.

      Vers 17h, nous sommes ressortis. Nous sommes passés par un couloir bleu avec des belles fresques des 2 côtés. Puis nous avons rejoint le point de vue pour voir le coucher de soleil sur la magnifique ville bleue. On n'a pas été déçu 😍, le mélange des couleurs orangé et bleu était magnifique! Sur le chemin, nous avons croisé quelques singes, super impressionnant d'en voir comme ça sur les toits des habitations !
      Nous avons ensuite déambulé dans des petites ruelles où il y avait surtout des habitations (donc pas beaucoup de circulation car pas de magasins et aussi car elles étaient un peu trop étroites). L'atmosphère change complètement dans ces cas là ! C'est beaucoup plus paisible et plus sympathique !
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    • Tag 17

      Fort de Mehrangarh

      2. März 2023 in Indien ⋅ ☀️ 34 °C

      Ce matin nous sommes allés visiter le fameux fort dont je vous ai parlé les jours précédents. C'est une énorme forteresse du 15e siècle qui surbomple la ville du haut de ses 120m.
      De l'intérieur, c'est un peu dommage, nous n'avons que très peu de point de vue sur la ville en contre bas.
      Mais nous avons quand même pu apercevoir un côté de la ville avec de une belle vue sur l'ensemble des façades bleues, ainsi que l'arrière pays de Jodhpur qui n'est pas du tout urbanisé.

      Nous avons également visité le musée qui est dans le fort. Ça nous a fait tout drôle de retrouver des gens d'un milieu plutôt aisé et de croiser tant de touristes. Depuis notre arrivée à Delhi, nous sommes immergés dans un milieu avec une précarité assez importante...
      Dans ce musée, nous avons pu voir les différentes armes utilisées à l'époque, il y avait de quoi faire pour charcuter les pauvres petits soldats... Il y avait également des superbes pièces, ainsi qu'une petite exposition sur les turbans, leurs origines et leurs significations.

      Le soir nous sommes retournés au restaurant où j'avais pris ma salade aux oignons, cette fois j'ai pu prendre ma revanche avec un bon plat à base de riz (comme 90% des plats 😊) .
      Vers la fin de notre repas, un petit groupe de musiciens est arrivé pour mettre l'ambiance. Ils étaient vraiment super dynamiques, on a donc traîné un peu au restaurant pour en profiter plus longtemps !

      Petite remarque sur jodhpur, dans les rues, tous les soirs il y a des gens qui font du tam-tam super fort.
      On peut les entendre à 200m à la ronde !
      Apparemment c'est très répandu dans cette ville, ça doit leur permettre de déconnecter le cerveau en étant complètement abasourdi...

      Et on parle de Jodhpur, comme la ville bleue magnifique, mais malheureusement comme partout en Inde, il y a des déchets partout (cf dernières photos)
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    • Tag 516

      Jodhpur

      4. Dezember 2023 in Indien ⋅ ☀️ 23 °C

      Am frühen Nachmittag treffe ich in der Stadt ein. Ich hatte mir ein paar Unterkünfte im Internet vorher angesehen. Umgerechnet neun Euro für das Einzelzimmer. Es ist sauber mit frischer Bettwäsche.
      Die Fotos sind von einem Stufenbrunnen und vom Fort.
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    • Tag 65

      Blue City

      4. Januar in Indien ⋅ ☀️ 18 °C

      Ab geht's nach Jodhpur! Tejas hat Zeit und Reiselaune und begleitet mich für die nächste Etappe. Die Zugfahrt ist entspannt, aber am Bahnhof wird es schlagartig chaotisch: Fahrer die uns belagern, ungeduldiges Hupen, gehetzte Menschen. Ein Tuktuk soll uns zur Unterkunft bringen, aber der Fahrer setzt uns schon nach Zweidrittel der Strecke aus. Den vollen Preis will er trotzdem kassieren. Na na na Freundchen, so nicht. Eine hitzige Diskussion beginnt zwischen uns Dreien auf Englisch, die schnell in einen ausgiebigen Streit in Hindi zwischen dem Fahrer und Tejas ausartet. Die beiden stehen sich auf der dunklen Gasse gegenüber, wildes gestikulieren, es fehlt nicht mehr viel zur Schlägerei. Der gutmütige, höfliche Tejas ist plötzlich in blinder Wut. Zum Glück verstehe ich kein Wort. Mittlerweile hat sich eine Schar Anwohner um uns geschart, die Action will keiner verpassen. Aus dem Kontext verstehe ich, dass mittlerweile Drohungen ausgetauscht werden und gehe dazwischen. Schluss jetzt. Geschützt durch meinen Status als "White foreigner girl", wagt es keiner der beiden mich zur Seite zu schieben. Ziemlich lahme Superpower, aber whatever works...
      Ich kann Tejas Wut gut nachvollziehen, es geht ums Prinzip: das ständige Scammen von Touristen nervt. Ich finde wenig Schlaf in dieser Nacht... der Typ weiß in welcher Unterkunft wir sind, ich fürchte einen Überfall. Aber nichts passiert, seine Drohungen bleiben unerfüllt. "Don't stress about it, this is normal in India" sagt Tejas, der wieder die Ruhe selbst ist. Ich bin trotzdem aufgekratzt, selten gerate ich in so lautstarke und bedrohliche Auseinandersetzungen.

      Am nächsten Morgen steuern wir eine gut besuchte Fressbude am Strassenrand an. Gerade tauschen wir uns darüber aus, dass die Stadt irgendwie einen unterschwelligen, ungemütlichen Vibe ausstrahlt, da wird Tejas von einem Mann um seinen Ausweis gebeten. Kurze Verwirrung darüber, was das soll.. Ist das ein Polizist? Vorsichtshalber kommt er der Bitte nach und schwupps ist der Ausweis einkassiert. Handgemenge, hitzige Diskussion, ein weiterer Polizist kommt zur Unterstützung. Ich verstehe überhaupt nicht was passiert, was wollen die beiden denn von Tejas? Ich setze wieder meine Superpower ein, stelle mich provokativ mitten ins Geschehen und fordere sofortige Erklärung. "You come to station now!", ist alles was ich erhalte. Ein Polizist platziert sich links, der andere rechts von Tejas. Kein Davonkommen für ihn. Ich wende mich hilfesuchend an die umstehenden Männer: ist das wirklich Polizei, und was wollen die? Sie sagen, es ginge um meine Sicherheit, ich soll mit auf die Wache kommen. Hä was? Wir haben keine Wahl. Ein fünfminütiger Fußmarsch und auf der Station wird Tejas ins Kreuzverhör genommen. Ich werde derweil unbeherrscht und finde endlich Beachtung vom Ober-Häuptling, der mir erklärt, dass er fürchtet, Tejas sei ein Scammer und sie sicher gehen wollen, dass ich gut aufgehoben bin. Ich flippe fast aus! Wieso fragt man mich nicht direkt?! was soll diese respektlose Umgang!? Nun muss/ darf auch ich Rede und Antwort stehen. Schlussendlich zwingen sie uns beide zu einer schriftlichen Aussage: "Tejas is my friend" schreibe ich, "Julia is my friend" schreibt Tejas in das scheiß Polizistenbuch. Damit ist die Sache erledigt. "Satisfied?" fragt mich der Polizist zum Schluss. Als hätte er mir irgendeinen Gefallen getan. Ich starre bitterböse, der Stinkefinger zuckt schon ungeduldig, und gehe ohne Antwort davon. Was für Arschlöcher. Bestimmt hat die Maßnahme einen Hintergrund und Berechtigung und grundsätzlich bin ich froh, dass auf mich, als Tourist, aufgepasst wird, aber heeeey... Jemanden auf blinden Verdacht abzuführen, ohne das vermeintliche Opfer zu befragen?
      Nordindien ist ein hartes Pflaster!
      Auf dem Rückweg klärt mich Tejas über den Teil des Gesprächs auf, der auf Hindi geführt wurde: Für die Zeit die ich in Indien bin, ist er von nun an offiziell für meine Sicherheit verantwortlich. Mein persönlicher Schutzbefohlener. Seine Daten sind erfasst, sollte mein Name, aus welchem Grund auch immer im System auftauchen, wird er zur Rechenschaft gezogen.
      What. the. fuck.

      Beide Konflikte sind auf die Tatsache zurückzuführen, dass ich als Whitey mit einem Inder reise. Wir bringen uns gegenseitig in Schwierigkeiten. Im Süden Indiens war die Synthese vorteilhaft für beide Seiten: Er wurde dafür bewundert mit einer Ausländerin unterwegs zu sein, und ich war sicher vor Scams. Im Norden werden ihm hingegen prompt böse Absichten unterstellt und seine Begleitung hat für mich den Nachteil, dass sie Neugierigen Tür und Tor öffnet: meine Haut- und Haarfarbe erweckt Aufmerksamkeit, Menschen (besonders halbstarke Männer) die es sonst nicht wagen würden mich anzusprechen, finden den Zugang zu mir über Tejas. Ständig wird er angehalten.. und sobald einer sich vor traut, kommen gleich 5 weitere Neugierige angelaufen die nichts verpassen wollen. Das artet oft in unangenehme und sogar beängstigende Situationen aus, manchmal gehe ich einfach schnell weg und lasse Tejas mit den Leuten stehen. Als wir uns am Tag danach in Jodhpur am step well unterhalten, platziert sich ein Paar vor uns auf den Stufen und ich bemerke, dass sie versuchen mich heimlich auf ihr Selfie zu bekommen. Ich stehe prompt auf und setze mich woanders hin. Kein Grund für große Diskussionen, aber genervt bin ich trotzdem. Wir werden von den restlichen Besuchern die sich am Well aufhalten beobachtet. Eine Gruppe junger Inder nähert sich zögerlich und setzt sich einige Meter neben uns. Die Augen sind minutenlang auf mich fixiert. Ich kann mich nicht mehr aufs Gespräch konzentrieren und schnappe genervt: "what are you staring at?" Der adressierte Junge, überhaupt nicht verunsichern von meiner Unhöflichkeit, steht flink auf, setzt sich nah an Tejas und bombardiert ihn mit Fragen. Die übrigen Jungen kommen wie Flummis angehüpft und hängen gebannt an Tejas Lippen. Auch das blöde Selfie-Paar horcht interessiert. Ich distanziere mich, das ist zu viel für mich. Nach einigen Minuten kommt Tejas zu mir rüber "they want to say hi to you. Are you okay with that?" ... Nee!?.. Hm. Nagut. Die Traube wandert zu mir rüber, die Kerlchen sitzen sich beinahe gegenseitig auf dem Schoß um näher am Geschehen zu sein. Nach einigen persönlichen Fragen verabschieden wir uns. Ich lasse Tejas wissen, wie unwohl ich mich mit solchen Situationen fühle. Er hat viel Mitgefühl für die Wissbegierigen, die so wenige Chancen im Leben haben. Ich weiche ein bisschen auf, Recht hat er ja... Sie sind nur neugierig und es ist eine große Chance für sie etwas neues, andersartiges zu lernen.

      Wir sind uns beide einig, die Stadt schnellstmöglich wieder zu verlassen, hier herrscht eine miese Briese für uns.

      🥇 Ärger mit der Polizei
      🎵 Tattad Tattad - Aditya Narayan
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    • Tag 13

      A fabulous family homestay in Rani

      11. Dezember 2023 in Indien ⋅ 🌙 17 °C

      Last night we stayed with a family who are friends of our guide in a small village near Pali. They were fantastic hosts. When the house was first built it had to house three wives who wanted separate wings so it's huge. We were treated to a lake visit at sunset and got to check out their farm. Good to be out of the cities and see some of the countryside.Weiterlesen

    • Tag 5

      Die wilde Jagd mit Plötze

      16. März in Indien ⋅ ☀️ 32 °C

      Ok, an alle Risikopiloten der NASA und Hochhaus Gleitflieger: die Reise zum Mond ist ein Spaziergang gegen eine Fahrt mit dem Tuk-Tuk durch die engen Gassen der Altstadt. Etliche tote Hunde, Streifenhörnchen und eine komplette Jahrespopulation Rinder hat unser Fahrer niedergemäht auf der wilden Jagd durch Jodhpur.

      Und wer ist Plötze? Warum eine wilde Jagd und was bedeutet das Alles? Wer das jetzt fragt, für den ist Jodhpur ein zu heißes Pflaster. Wer Plötze nicht kennt, nun, dem sei folgendes gesagt: das Königreich Temerien ist eines der nördlichen Königreiche und liegt zwischen dem Pontar im Norden, den Mahakam-Bergen im Osten und dem Brokilon-Wald im Westen. Temerien grenzt im Uhrzeigersinn an Redanien, Kaedwen, Aedirn, Mahakam, Untersodden, Brugge, den Brokilon-Wald und Cidaris.

      Für den nächste Artikel aus Jodpur muss man über 18 sein. Bitte den Ausweis scannen und anhängen. Es geht dann um den Commander und den Chief.
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    • Tag 209

      Jodhpur

      22. März in Indien ⋅ ☀️ 36 °C

      Dopo aver visitato la città d’oro - Jailsamer, vi siamo spostati in bus per altre 4-5 ore verso Jodhpur, conosciuta come la città azzurra per via del colore azzurro delle sue case.
      Al nostro arrivo siamo andati a vedere i Mandore Gardens, che sono dei giardini con dei templi.
      Dopodichè siamo andati in centro e siamo andari a vedere il memoriale del Marajha Jaiswant Thada. Si erge su una collina dove è possibile avere una prima vista sulla città.
      Per una panoramica migliore sulla città ci siamo poi spostati al forte di Mehrangarth, il quale ha delle stanze con delle decorazioni molto belle, oltre che una bella vista sulla città di Jodhpur.
      Infine abbiamo fatto un giro in città prima di andare a cena in un ottimo ristorante vegetariano e poi a dormire.

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      After visiting the golden city - Jailsamer, we moved to the next destination by bus for another 4-5 hours, arriving to Jodhpur, known as the blue city because of the blue color of its houses. Upon our arrival we went to see the Mandore Gardens, which are gardens with temples. After that we went downtown and went to see the Marajha Jaiswant Thada memorial. It stands on a hill where it is possible to have a first view of the city. For a better overview of the city we then moved to the Mehrangarth Fort, which has rooms with very beautiful decorations, as well as a beautiful view of the city of Jodhpur. Finally we took a tour of the city before going to dinner in an excellent vegetarian restaurant and then to sleep.
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    • Tag 391

      De spiegel van India II

      9. September 2016 in Indien ⋅ ⛅ 29 °C

      India is een land zonder vangnet. Heb je geen geld dan kan je niet eten. Dan kunnen je kinderen niet eten en ga je als niets verandert vanzelf je reïncarnatie tegemoet. Klagen heeft geen zin. Waar ik ook een handje van had en soms nog wel heb. Waar zoveel Hollanders een handje van hebben. Geen vangnet betekent: geen WW, geen zwangerschapsverlof, geen bijstand, geen zorgtoeslag, geen huursubsidie, geen kinderbijslag, geen nivellering, geen gelijke kansen voor elke laag in de maatschappij. Ik ervaar dit doordringend door al mijn poriën en begrijp zo goed dat Nederland 1 van de beste landen ter wereld is om te leven. Ongelooflijk welvarend. Dat maakt me ook trots. Dat ons vangnet een resultaat is van welvaart. Dat is fantastisch. Het zorgt er ook voor dat ik wel tien keer nadenk voordat ik cynisch de status quo bekritiseer in wat er allemaal niet deugt.

      Politiek filosofisch gemijmer II - Iedereen in de bijstand gaat verplicht naar Delhi om 1 week te overleven op straat. Daarna in groepstherapie reflecteren wat je hebt geleerd en hoe je dat kunt inzetten voor jezelf om te groeien naar financiële onafhankelijkheid en meer grip en regie over je eigen leven. Bij weinig progressie verplicht twee weken naar Delhi. Und so weiter!' Goed voor de economie. Goed voor werkgelegenheid. Goed voor het aantal beschikbare banen. Goed voor ondernemerschap. Goed voor balans geboorte- en sterftecijfer. Past perfect in het huidige beleid van meer zelfredzaamheid! Dit is natuurlijk een ridicuul voorstel. Alhoewel ik denk dat we van het karakter en de mentaliteit wel wat kunnen leren van de Indiër. Geboren ondernemers. Werkelijk waar creatieve acrobaten die overal wel een handeltje uit kunnen purren.

      Terug naar onze gastvrije ontvangst in Delhi. Ravi is 1 van de drie broers die gezamenlijk het bedrijf van pa hebben overgenomen. Een handel in wetboeken redigeren, binden en drukken. Anju is naast een voortreffelijke gastvrouw en India gids op allerlei onderwerpen ook lerares Engels. Voor drie ochtenden in de week. De pa van Ravi leeft ook bij het gezin. De jongste zoon werkt in Singapore en de oudste zoon werkt als accountant en is rijp voor een huwelijk aldus pa en ma. Pa heeft al wat op het oog. Uithuwelijken klinkt a-westers maar als je jezelf erin verdiept heeft het ook wel schoonheid. Het beslissen gaat namelijk niet over 1 nacht ijs. Tot in de diepste details wordt er gekeken wat een eventuele goede match voor zoon en dochter kan zijn. Weet jijzelf wie goed bij je past als je 24 bent? Ik snap dat het wat inlevingsvermogen vergt. De opa in huis is een man van 85. Hij leeft in huis. Doet elke dag een wandeling en kijkt elke avond steevast zijn favoriete Hindi programma’s. Samen met de hulp Raju. Ik houd van die man. Onverstoorbaar. Zijn armen langgerekt langs zijn lijf en ietwat leunend naar achter. Hij schuifelt heen en weer. Af en toe spitst hij zijn oren. Hij is trouw hindoe gelovig. Bid elke ochtend voor zijn mini tempel. Voor een kast vol met goden. Je vergeet dat hij er is. Je vermoed dat het leven aan hem voorbi trekt. Totdat hij denkt dat wij vertrekken en staat hij er als de kippen zo snel bij. Dit keer vals alarm. Maar stiekem houdt hij alles in de gaten. Zijn vrouw is vorig jaar overleden. Op de vraag of hij haar mist wordt hij even stil. Hij draait zijn hoofd kijkt me aan en antwoord:’natuurlijk!’ Stilletjes draait hij weer om. Je ziet dat hij haar mist. Je voelt dat daar misschien lichtzinnig over wordt gedacht. En dan is daar Raju. Een lieve jongen die het gezin 24/7 bijstaat. Ver weg van zijn familie. Hij kan zich niet heugen wanneer hij is gaan werken. Hij weet niet beter. Raju is als de zon. Een lichte, goedlachse positieve knaap van rond de twintig jaar oud. Hij heeft 1 dag in de maand vrij. Dan bezoekt hij zijn broer. Die ook in Delhi werkt. Op een motor. Het geeft hem een stoer uiterlijk. Zijn moeder is ziek. Hij verlaat het gezin voor ongeveer tien dagen. Een vervangende hulp is al ingeslagen. Opa en Raju.Twee mensen alleen en als vrienden samen. Erg mooi om hun wisselwerking te zien. Vriendschap gaat over de klassen heen. Ik voel me ontroerd als ik ze beiden ‘s-avonds aanschouw. De een lachend. De ander serieuzer. Samen in een ruimte. Gezonken in Hindoe avonturen. Wij zitten in de ‘formal room’. Te converseren. Te praten over het leven. Te praten over de verschillen. Het voelt aristocratisch. Russisch begin negentiende-eeuwse elite. Raju lacht en ik neem een slok van mijn Johnny Walker. Ik heb verschil in ongelijkheid niet meer gevoeld dan dat moment. Ik ben niet gewend dat mijn water wordt gebracht. Mijn eten wordt opgediend. Dat ik zit en iemand anders basale huishoudelijke handelingen voor mij verricht. De Indiër kan niet zonder. Ik voel me eerst vreemd en ongemakkelijk. Welke etiketten horen hierbij? Ben ook wel verrast hoe snel het went. Is dat erg?

      Drie dagen hebben we genoten van een wereld in India, zijn we verwend, inzicht vergaard in India die we waarschijnlijk nooit hadden gezien als we een andere huidskleur hadden gehad. White privilege is overal. Wellicht in India weer meer dan de andere plekken die we hebben bezocht. Het is ook bizar om je echt te realiseren dat blank zijn echt een dikke pro is in de wereld waarin we leven. Ik wil het niet geloven. Maar het helpt wel om het te zien. Het kan helpen om hiermee bijvoorbeeld milder te kijken naar een vraagstuk als 'Hoe gaan we om met een continue stroom aan migranten die opzoek zijn naar een beter leven. Een veilig leven. In the end - Je gaat pas weg als je geen andere mogelijkheid hebt, toch? Mensen in Nederland zonder baan verkassen wellicht ook zonder vangnet.

      Genoeg gedachten en pseudo politiek filosofisch gebrabbel. We zijn nu in Jodhpur. De blauwe stad. Boef ligt heerlijk te tukken en draait zich nu wat om. De airco blaast zachtjes koele lucht (29 graden?). Straks springen we de luid toeterende straten weer op. Waar koeien, tuk tuks, geiten, fietsers, bestelwagens en heel veel mensen ons weer opnemen in de chaotische schoonheid van hun land. Op naar een volgende chai. Ons favoriete opkikkertje.
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    • Tag 79

      Jodhpur

      7. Dezember 2016 in Indien

      Onderweg van Udaipur naar Jodhpur bezochten we het Kumbhalgarh Fort en de prachtige Jain tempel in Ranakpur.

      Het fort van 'de blauwe stad' Jodhpur verkenden we eens op een minder traditionele manier, via een reeks ziplines!Weiterlesen

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    Ratanada

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