Peru
Parinari

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Travelers at this place
    • Day 144

      Réserve Pacaya Samiria - Amazonie J2

      July 21, 2022 in Peru ⋅ ⛅ 31 °C

      Au réveil on découvre que notre moustiquaire a été bien plus efficace que celle des filles au vue de la cuisse de Caro que l'on pourrait confondre avec le clavier d'un accordéon. 🦟
      Après le petit déjeuner on retourne sur nos barques pour rejoindre le prochain campement. Sur la route on croise des tortues 🐢, des oiseaux 🦜, encore des petits singes 🐒 et des dauphins roses et gris 🐬.
      Pour le déjeuner c'est poisson pêché pendant la nuit grillé au feu de bois. Apparement il avait goût de terre mais Violaine l'a trouvé très à son goût.

      Après manger, nous partons pour une petite randonnée. A peine installées dans la barque, nous faisons demi-tour pour aller se réfugier à l'abris à cause d'une averse soudaine 🌧️.
      Une fois la pluie calmée, on enfile nos bottes de pluie et nous partons pour rejoindre la forêt. On apprend tout plein de choses dans la forêt. Pas besoin de faire des études de médecine, on peut soigner à peu près toutes les maladies avec les arbres de l'Amazonie ⛑️. On commence par jouer à tarzan sur une liane. Le guide nous fabrique ensuite une balançoire pour que ce soit plus confortable.
      On croise un arbre à caoutchouc. On en profite pour fabriquer une petite balle rebondissante avec sa sève.
      Petite formation en maçonnerie, le guide nous apprend à couper les feuilles de palmier pour faire les toits de maison. Vous pourrez voir Pauline en action.
      Juste avant de rentrer, petit atelier déforestation pour goûter le coeur d'un palmier 🌴. Sans pression, le guide abat un arbre de 10m de haut. C'est bon mais sans trop de goût. On espère que ce sera meilleur en salade demain 🥗 !

      Après un repas qui baigne dans l'huile, c'est l'heure pour nous de remonter sur la barque pour une balade nocturne à la recherche des crocodiles 🐊. C'est non sans peur que nous nous aventurons dans les eaux noires de l'Amazonie. A peine éloigné de la maison, le guide attrape à la volée un bébé crocodile noir. Il est vraiment fort ce guide. On le caresse, c'est dur. Après ça on part à la recherche de plus gros spécimens. Il y a plusieurs types de crocodiles, les blancs et les noirs. Les plus grands peuvent faire jusqu'à 8m de long. L'eau est haute, c'est compliqué de voir beaucoup de crocodiles. Après quelques temps de recherche nous voyons un adulte de 2/3m nager à un petit mètre de la barque (oui c'est une barque et pas un gros bateau). C'est ensuite un serpent tout petit mais dangereux que nous croisons 🐍. Après cette journée riche en émotions, on rentre à la casa pour dormir 💤.

      Juste avant de se coucher, un bébé tarentule viens nous faire un petit coucou juste à coté de nos lits 🕷️. On part se coucher en vérifiant bien les moustiquaires et en espérant que le GROS crocodile qui vie à côté va sortir cette nuit pour que nous puissions le voir.

      PS: à l'aube on entend les monos rojo faire du bruit, c'est un peu les coqs d'ici. Et on a même pu voir à quoi ils ressemblaient aujourd'hui.
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    • Day 145

      Réserve Pacaya Samiria - Amazonie J3

      July 22, 2022 in Peru ⋅ ⛅ 28 °C

      On se réveille un peu déçue car le crocodile qui vit ici n'est pas sorti cette nuit. D'après les guides il y avait trop de monde 😢
      C'est pas grave une nouvelle journée nous attend. Nous prenons le petit déjeuner puis nous reprenons le bateau pour retourner à Gloria, le campement de la veille. 🚣 Nous avons revu quelques animaux déjà vus comme un paresseux, des singes, des tortues plus un nouvel arrivant, un oiseau blanc qui ressemble à la fois à un pélican et à une cigogne !

      Une fois arrivées à Gloria, une baignade dans le rio s'impose. 🏊‍♀️ Nous avons un peu moins peur de ce qu'il y a dans l'eau que la première fois, on y reste donc un peu plus longtemps mais il ne faut pas forcer non plus... 😬

      Nous mangeons puis après quelques parties de coinche (encore) nous partons pour la pêche ! 🎣 Nous nous munissons chacune d'une canne à pêche, nous nous installons correctement dans la barque, canne dans l'eau puis nous attendons que quelque chose morde à l'hameçon. 🪝 Quand il n'y a pas de poisson c'est un peu long... Heureusement que Caro est là pour faire l'animation en attrapant poisson sur poisson ! Elle a battu le record avec 8 poissons à elle toute seule, 5 poissons chats, une lisa et 2 piranhas !! Juju a pêché 3 poissons, Pauline 2, un poisson chat et une lisa et Violaine n'a pas eu la chance d'en avoir. Nous avons donc vu un piranha en vrai, sacrées dents effectivement, et même pu le goûter le soir même ! C'est goûtu mais il n'y a pas grand chose à manger. (C'est le poisson avec du orange sur les photos.) 🐟
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    • Day 143

      Réserve Pacaya Samiria - Amazonie J1

      July 20, 2022 in Peru ⋅ ⛅ 30 °C

      Quand le réveil sonne à 2h40 c'est dur de se lever mais pas le choix l'Amazonie nous attend ! 🌴 On se rend au port pour prendre notre barco rapido à 3h30. 🛥️ Les sièges sont plus confortables que dans le bus de la veille, on s'endort très rapidement.

      Des bruits dans le fond nous réveille, des péruviens parlent et crient, "esta borachado !", "mejor llegar tarde pero vivo" et tambourinent à la porte pour appeler le capitaine ... de quoi bien paniquer trois d'entre nous ! 😰 Seule Violaine semble trouver ça drôle et s'inquiète plus pour les berges que pour notre survie 😅
      Des étrangers ayants peur des manœuvres des péruviens, c'est normal mais des péruviens ayants eu même peur c'est qu'il y a un problème !
      Forcé par les péruviens, le capitaine se décide à ralentir son bolide et nous nous rendormons sans problèmes 😴

      Après 4h de bateau nous arrivons à Lagunas où nous attend Javier notre premier guide ! A l'agence on rencontre notre 2eme guide Gin (2 guides pour 4 on sera bien entouré). 👬🏽 On prend un petit déjeuner avec des pains pas très garnis, un moto cargo de luxe nous amène dans la forêt et nous partons sur nos embarcations de fortune le long du rio Tibilo, 2 par barques. 🚣
      On pourrait presque croire que ce sont des barques de luxe, avec sièges et petits dossiers (ce sont les affaires qui servent de dossiers). Mais bon pas très étanche, notre guide doit écoper toutes les 20min parce que la barque se remplie d'eau 😅
      On navigue pendant bien 4h30 en faisant des pauses pour voir toutes sortes d'animaux grâce à l'œil de lynx de nos guides. Ci dessous voir la liste détaillée des animaux aperçus :
      - 1 grenouille (2 pour le guide, 0 pour Polin) 🐸
      - 2 jeunes Anaconda 🐍
      - Papillon Helena (le plus grand d'Amazonie) 🦋
      - plein de singes "frayle" trop mignons 🐒
      - 4 monos "wapo" (des singes pour ceux qui parlent pas espagnol) 🙊
      - chauves-souris 🦇
      - oiseau cabilan "mama vieja" 🦅
      - 3 paresseux dont un très proche 🦥

      On a également entendu un mono Rojo 🦧 qui fait un bruit très étrange (gargouillement de ventre selon Pauline), on espère en voir les prochains jours !
      Le calme de l'Amazonie et la douceur de l'eau nous ont bercé, c'est incroyable comme c'est apaisant ! 😌
      Le temps est très changeant mais toujours chaud et humide. 🥵 Nous avons eu du soleil sauf un déluge le temps d'un petit quart d'heure, nous avons pu sortir les supers ponchos. 🌧️

      On arrive à 16h au campement pour le repas du midi. Nous dormirons dans des cabanes sur pilotis avec des toits en branches de palmiers, vrais matelas avec moustiquaire. 🦟
      En attendant le repas, petite baignade dans le Rio pour se laver, il faut essayer de ne pas penser à ce qu'il peut y avoir dedans... 😬 Après ça nous mangeons de super bonnes pâtes en guise d'almuerzo/Cena, quelques parties de coinche puis nous nous préparons pour aller au lit.
      Pendant ce temps les guides vont installer un filet dans le fleuve pour attraper notre repas du lendemain pendant la nuit. 🐟 Ils reviennent avec un bébé crocodile de 1 an dans les mains ! 🐊 Improbable ! Tout petit mais sympa de voir la taille des dents à son âge 😅
      Après cette belle surprise, nous partons sous notre moustiquaire pour une (espérons) bonne nuit malgré la chaleur étouffante et les moustiques.
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    • Day 36

      Amazonas speedboat

      February 13 in Peru ⋅ ☁️ 25 °C

      Ráno nás vzbudila varovná zpráva na telefonu, kde zjevně v Peru testují poplašný systém. My měli budíka na osmou a v 07:56 začal řvát telefon tónem, který jsme dosud neznali. Pak jsme vyzvedli naše vyprané oblečení, dobalili věci a zašli na snídani. Po cestě jsme vybrali peníze a konečně víme, jaky bankomat nemá žádný poplatek za výběr - to nám ušetří spoustu peněz. Po check-outu na hotelu bereme taxi za 5 Soles (30 Kč) a jedeme asi 15 minut na místní nádraží, odkud prý jezdí autobus do Nauty. Speedboat nejezdí do Iquitos, ale do jediné s ním silničně spojené vesnice jménem Nauta, a proto nás pak ještě čeká přibližně dvouhodinová jízda autobusem.
      Po příjezdu v půl 12 jsme zjistili, že tam nejsou žádné autobusy, ale jen dodávky a osobní auta. Náš autobus měl jet ve 12 a tak jsme trpělivě čekali. To přijela větší dodávka a všichni se seběhli na skupinu a bojovali o místa. Niki vybojovala skvělá místa za řidičem a já se mezitím dával s řidičem batohy na střechu. Za dvouhodinovou jízdu a cca. 100 km si účtovali 12 Soles za osobu. Až v autě jsme si uvědomili, že jsme se nikoho nezeptali, kam dodávka jede a ani na ní nebyl jediný nápis. Protože v okolí ale nic jiného než Nauta není, muselo to být správně. Řidič pouštěl samé pecky a my se pohupovali do rytmu a sledovali osamělá stavení podél cesty.
      Po příjezdu jsme akorát vzali tuktuk do přístavu. Pod slovem přístav jsme si představovali víc, než jsme viděli. Tři větší přivázané lodě a plechové boudy kolem. Z jedné z lodi zrovna vyváděli prase a my doufali, že to později nebude ta naše. Vyměnili jsme naše lístky - zjevně nestačí koupit jednu jízdenku, ale člověk ji musí později vyměnit za jinou - a šli si dát pivo, než náš pustí na loď.
      Sedli jsme tedy na místa, co stala na jízdenkách a čekali, jak to bude probíhat dál. Na loď se poté seběhla skupinka pouličních prodejců všeho možného a po pár minutách jsme vyráželi. Na palubě je poměrně klid, až na pár jedinců, kteří tu sledují videa a poslouchají hudbu nahlas. Na západ slunce jsme vyšli na příď, posadili se a kochali se okolím. Nakonec jsme zjistili, že loď má WiFi zdarma 🤯 Aspoň máme co dělat. Zatím máme poměrně dobré tempo a mohli bychom dorazit do Yurimaguas před obědem. Stavíme u různých osad a svítí se na břehy, jestli tam náhodou někdo nestojí, kdo by nastoupil.
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    • Day 26

      1-8 Kanotocht dag 1

      August 1, 2018 in Peru ⋅ ☁️ 23 °C

      Op het laatste moment nog een paar spullen in de hostel gelaten en om 8 uur (8.15 natuurlijk) met de tuctuc naar de hut van de jungletochtorganisatie. Gelukkig hoeven we niet te lopen, want het regent en de weg is 1 modderbad. Ontbijt is...... geéén rijst😁.
      Dan met grotere tuctuc naar de kano. Dat is 9 km. over "niet zo'n goede weg" en we pikken nog benodigdheden op. Om half elf of zo varen we weg.
      Wát gaaf, we zitten in een kano in een tropisch regenwoud in Peru!
      Veel vogels gezien (heel veel ijsvogels, 2 soorten) apen, vlinders, een luiaard, een otter boven water, mooie bomen en planten. Erg gaaf.
      Ik krijg alleen steeds meer pijn in mijn nek (mee opgestaan, en bed en kussen waren nog wel zo lekker). Op 2 paracetamol gaat het nu wel.
      We slapen in een grote hut met slaapzalen van 3 met muskietennetten over de bedden. Er is zelfs een douche!
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    • Day 117

      Mit "Henry 8" nach Pucallpa, Peru

      December 6, 2018 in Peru ⋅ 🌧 30 °C

      Wir sind pünktlich um 15:00 Uhr am Hafen 😊 "Henry 8" heißt unser Frachtschiff! Wir suchen uns ein strategisch gutes Plätzchen im obersten Geschoss um unsere Hängematten aufzuhängen. Kriterien: gut sichtbar und an einer Wand um unsere Rucksäcke gegen "Langfinger" besser im Griff zu haben und ein Plätzchen, von dem aus man gut nach draußen sehen kann. Um 17:00 Uhr ist Abfahrt. Ich flitze noch schnell die Straße entlang, um noch etwas Warmes zum Essen zu kaufen...

      ... Es ist mittlerweile 18:00 Uhr und wir schauen den Hafenarbeitern zu, wie sie pro Mann fünf schwere Zementsäcke auf einmal vom Nachbarschiff abladen...

      ... 21:00 Uhr, mittlerweile haben sich unzählige Hängematten zu uns gesellt und wir sehen dem Gewimmel im Hafen zu und wie ein Teil der Fracht mit großen Planen gegen Regen abgedeckt wird...

      23:00 Uhr, das wird wohl nichts mehr mit 17:00 Uhr Abfahrt. Wir kuscheln uns in unsere Hängematten, "Gute Nacht!"

      1:30 Uhr, es rumpelt und kracht. Unsere Hängematten schwingen nach links und rechts. Da tut sich was 🙂
      Es gibt nur ein Problem! Unser Boot ist eingeparkt von dutzenden Schiffen und unseres schiebt und drückt sich wie auf italienischen PKW Parkplätzen in 40 Minuten aus unserem Stellplatz. Verrückt... Es geht los! Ganze 800 Kilometer Fluss aufwärts nach Pucallpa. Erst auf dem Amazonas, dann den ersten schiffbaren Nebenfluss des Amazonas, dem Ucayali, entlang. Beide Flüsse sind braun von der ganzen Erde und Sedimente, die sie mitführen - und riesig! Soooo viel Wasser! ... und das ist erst der Anfang vom Amazonas!

      Es ist keine klassische Kreuzfahrt. Es ist vielmehr ein alternativloses Verkehrsmittel für viele tausend Menschen, die entlang des Flusses leben.

      Unser Boot ist das größte der "Henry" - Flotte und misst vielleicht 120m Länge. Genug Platz also für eine ganze Menge Fracht. Da Iquitos eine konsumierende und keine produzierende Stadt ist, sind die Frachter von Pucallpa kommend, immer mehr beladen, als in unserer Fahrtrichtung - dadurch können wir uns ein wenig auf dem Boot bewegen.

      Unser Boot hält wie hier die Busfahrer 🙂 eben überall dort, wo Bedarf besteht - in jedem Dorf und noch so kleiner Siedlung. Sei es, daß Fahrgäste ein-, oder aussteigen, oder dass eben Fracht auf-, oder abgeladen wird. Mehrmals am Tag und in der Nacht halten wir an. Manchmal für ein bis zwei Stunden, manchmal aber auch nur für wenige Sekunden bis jemand aufgestiegen ist.

      Wir stehen an der Reling und schauen in die tief dunkle Nacht. Ungestört von künstlichem Licht strahlen unglaublich viele Sterne am Himmel. Es ist ein Gedicht! Wir fragen uns, wie unser Kapitän in der Lage ist, unser Boot durch die tief schwarze Nacht zu steuern, ohne für uns ersichtliche Orientierungspunkte. Es gibt keine Karten, kein Radar und auch kein GPS. Aldo, der Supervisor des Schiffes nimmt sich viel Zeit für uns und erklärt uns unsere Fragen. Für den Kapitän genügen wohl die unterschiedlichen Dunkel Töne, die die Bäume am Ufer machen, manchmal kontrolliert der Kapitän mit Scheinwerfern die Richtung - wahnsinn!

      Plötzlich erkennen wir ein blitzendes Licht in der Ferne. Nachdem von unserem Schiff mit großen Scheinwerfern die Stelle abgesucht wird, erkennen wir den Grund des Lichtes. Es ist ein Mann mit Taschenlampe, der unser Schiff sozusagen anfunkt und um Mitnahme von sich und seiner Waren zu bitten. Wir steuern die Stelle an und rammen mit dem Schiffsbug in die bewachsene Uferbefestigung. Es erscheint eine kleine Siedlung von vielleicht zehn Häusern. Der Mann springt auf und weiter geht es! Verrückt! Dieses Schauspiel wiederholt sich dutzende Male. Manchmal werden ganze Bananen-Ernten, oder der Fischfang des Tages mit unzähligen Dorfbewohner aufgeladen. Ich hätte nicht gedacht, dass doch so viele Menschen hier am Amazones/Ucayali im Dschungel wohnen.

      Um die Dörfer herum sind meist die Dschungel-Bäume durch Platanen ersetzt. In Guatemala haben wir erlebt, was dabei heraus kommt, wenn man Menschen einfach machen lässt - sie benötigten immer mehr Holz und auch Fläche... Aldo erklärte uns, was wir eigentlich aus dem Erdkundeunterricht schon wussten: wird eine Fläche im Dschungel abgeholzt und bebaut, so ist der Ertrag im 1. Jahr gut, im 2. noch ok und im 3. erntet man schon nicht mehr genügend um die Familie zu ernähren und noch ein wenig zu verkaufen - also müssen neue Flächen gerodet werden... Wir sehen auch mehrere Flächen, wo viel Holz geschlagen wurde, ohne dass eine Aufforstung oder landwirtschaftlicher Nutze darauf folgte. Inwieweit Peru hier ein Auge drauf hat, können wir nicht sagen, aber so, wie wir die Dschungel-Bevölkerung auf dem Frachter kennen lernen dürfen, scheint da nicht viel für Naturschutz bei den Menschen übrig zu sein. Es ist normal, den Müll in den großen braunen Fluss zu schmeißen... der Müll ist dann ja schließlich weg...

      Und das, was wir im "Centro de Rescate" gehört haben, dass die Leute noch immer Tiere aus dem Dschungel als süße kleine Haus- und Knuddeltiere mehr schlecht als recht halten, bestätigt sich auf dem Frachter: 1 Mann mit großem Papagei in Mini-Schachtel, 1 Dame mit 4 kleinen Loros (Jessica, total nett, unsere "Nachbarin", aber auch völlig falsche Ernährung für die kleinen: Plätzchen Fisch, etc. - Loros essen eigentlich kein Fleisch), 1 noch junger Affe an einer Schnur festgebunden, später auf der Fahrt ein Händler, der große Loros für 'n Appel und 'n Ei verkauft... Schade - das macht einen traurig!
      ... haben die Leute doch gelernt, dass sie das Klopapier nicht in den Klo, sondern daneben in eine Tüte werfen, warum können sie Plastik nicht in Mülltonnen werfen (selbst Ameisen haben eine "Mülldeponie") und die Tiere da lassen, wo sie hingehören?!?

      Es ist fantastisch, welch' freundliche Menschen mit den außergewöhnlichsten Geschichten uns an Bord begegnen. Ein älterer Mann zeigt uns ganz stolz riesige Bunte Federn einer Papageienart, giftige Pflanzen und die Haut einer kleinen Boa Negra. Das Öl sei gesund, sagt er! Es würde durch die Hand rinnen und diese ganz warm machen. Dann erzählt er, es gäbe Boas mit 30m Länge und andere mit 2 Köpfen! Dem nicht genug: Es leben Tiere im Dschungel, die faustgroße Diamanten im Kopf haben...! Wir müssen uns zusammenreißen um nicht zu lachen. Ja, vielleicht muss man nur ganz fest daran glauben 😁
      Ach ja - und es gibt gute und schlechte Delfine. Die schlechten springen aus dem Wasser und hauen mit den Schwanzflossen die Fischer aus den Booten. Und ein Tierchen namens Perrito, das Männern mit seinen kleinen Insektenschaufeln das Schnarchen aus der Nase zaubern

      6:00 Uhr, wie jeden Morgen klingelt, nachdem auch der Hahn aus dem Frachtraum gekräht hat, eine Glocke. Essen ist fertig, bedeutet dies! Und kurz darauf stehen wir mit in der großen Schlange vor der "Cocina", der Bordküche, mit unseren Schälchen und warten auf unser Frühstück. Das Prozedere wiederholt sich um halb 12 und nochmal gegen 17 Uhr zum Abendessen. Die Zeiten sind wie immer sehr variabel. Zu essen gibt es Reis mit Hühnchen, die frisch aus dem Todestrakt im Maschinenraum an Board geschlachtet werden, Reis mit Suppe und Reis mit süßer Milch-Wasser-Zubereitung. Die Hühner, die unter unserem Tisch gelagert werden, sind wohl erst mal noch verschont. Nach dem Essen wird gespült... Sehr gewöhnungsbedürftig, dass aus dem Hahn das braune ungefilterte Flusswasser läuft. Übrigens auch aus der Dusche... 😜

      Es kostete ein wenig Überwindung, die Duschen zu benutzen, aber nachdem Marcos lange Haare ein eigenes Biosphärenreservat zu werden drohten, war duschen dringend notwendig. Manche Einheimische tranken nach dem Spülen noch vom Wasser - wie man es gewöhnt ist😣

      Auf so engem Raum zusammen mit den vielen Einheimischen, lernen wir deren Sitten recht gut kennen: Viele Frauen reisen mit ihren Kindern. Die kleinsten bekommen eine ultra-süße Limonaden-ähnliche Plörre zum Frühstück, Mittag, Abend und zwischendurch. Aber sehr abwechslungsreich wird mal Brot, oder auch Chips darin getunkt! 🙃 schön bunt für die Kinder. Aber dass die Familie gemeinsam isst, sieht man nicht.

      Am 4. Tag sind zu uns unzählige Fahrgäste hinzu gekommen und mittlerweile zählen wir fast 200 Hängematten. Marco fungierte aufgrund seiner Größe auf unserem Deck als "Hängemattenaufhänger". In Tierra Blanca steigen überwiegend Männer und Frauen in traditionellen Kleidern hinzu. Die Männer in Hemden, Latzhose und Hüten, die Frauen in Kleidern. Wir vermuten eine Glaubensgemeinschaft wie Mormonen, oder Menoniten. Sie kommen wohl ursprünglich aus den Niederlanden es sind großgewachsene, meist blonde Männer und helle Frauen, sie sprechen dutsch. Sie siedeln bei Tierra Blanca in einer abgeschlossenen Kommune mit mehreren Kolonien/Familien mit bis zu 150 Menschen. Wir trafen einen, der auch ein wenig deutsch konnte, die Kommunikation war jedoch schwierig. Einige Familien kamen vor kurzem aus Belize, andere aus Bolivien. Wir haben nicht herausbekommen, warum sie dort weg sind. Echt verrückt!

      Wie auch in den Bussen stürmen unzählige Verkäufer an manchen Dörfern das Schiff und verkaufen Getränke, Obst, Kuchen, Fisch- und Fleischgerichte. Wir kaufen einen super leckeren Bananen-Kuchen und 2 Platano-Kugeln (tacacho), von denen Marco eine halbe isst und den Rest verschenkt. Die Menschen aus dem Dschungel sind unheimlich stolz auf deren Essen-sie lieben vor allem den frischen Fisch, von dem es hier genügend gibt, sowie Platano - wir können nach dem dritten Tag keine Freude mehr darüber empfinden 😒

      Beim Essen sind uns weitere hiesige Gepflogenheiten aufgefallen: Das Essen wird eher geschaufelt, Knochenstückchen und alles, was dann doch im Mund stört einfach vor sich gespuckt oder geschmissen... auch auf die eigenen Füße... und später läuft man dann da durch und andere richten ihr Nachtlager auf dem Boden😝

      Abends, wenn die Nacht anbricht, lockt das Licht unseres Bootes unzählige Moskitos, Falter, Käfer und sonstige seltsame Geschöpfe an Bord - wir zwei, als einzige Gringos an Board, haben uns natürlich gut eingedeckt und sowohl Fliegenschutzspray UND für jeden ein Moskitonetz gekauft - wir sind die einzigen an Bord mit so 'nem Kram... Da fallen die Gringos wieder auf😊 wir beide waren aber, angesichts dieser viele Käfer, Falter und sonstigen Krabbeltiere soooo froh, dass wir uns unter dem Netz in die Hängematte kuscheln konnten! Und wir haben echt gut geschlafen! Auch mit Motorengebrumm, Musik vom Handy anderer Mitfahrer, Gelächter, lautes Geschnatter... Die Einheimischen haben den gaaaanzen Tag in der Hängematte gelegen, entspannt und abends ging es dann los... Insgesamt ist uns aufgefallen, dass hier nicht sehr viel Rücksicht aufeinander genommen wird. Ein Parade Beispiel war unser Hängematten-Nachbar. Immer laut, übertrieben freundlich und dann fehlten uns 2l Wasser, während seine Flasche wieder gefüllt war... Ein Einheimischer, der schon mal in Deutschland im Urlaub war beschrieb es so, dass hier kein Respekt vor dem anderen gelehrt wird - was er wohl in Deutschland als positiv empfand.

      Unser Deck war verhältnismäßig wenig besetzt. Für 1 Nacht ist das Schiff so voll geworden, dass einige unter freiem Himmel schlafen mussten. Aldo erzählte uns, dass manchmal 400 Leute mitfahren (Kapazität: 200 Personen). Dann werden zusätzlich Planen gespannt! Die hygienischen Verhältnisse will ich mir gar nicht vorstellen! Solche Stoßzeiten seien, wenn die Kinder Ferien bekommen und wenn Wahlen anstehen - wer nicht wählt muss Strafe zahlen (aber ob das geahndet wird, wenn so viel Gravierenderes übersehen wird!?!).

      Am Ufer wird auch Reis angebaut. Wenn der Wasserspiegel dann steigt, finden die Bauern keinen Halt mehr zum Stehen und Ernten im Kajak oder schwimmend. Der Reisanbau ist wegen der Wasserschlangen nicht ganz ungefährlich!

      Neben Wäsche flicken, Block schreiben, Spanisch lernen und mit anderen an Board quatschen, genießen wir es, auf den Fluss zu schauen und die frische Luft zu atmen, vor allem am Abend, wenn es kühler wird! Schiffe, die uns entgegen kommen, scheinen vor Ladung fast unter zu gehen. Wir haben Glück und sehen einige Amazonas-Delfine! Und... am letzten Tag wurde ein Deck unter uns noch ein Kind geboren. 😊

      Ein großes Abenteuer...

      Viele Grüße vom Amazonas
      Ariane & Marco
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    • Day 27

      2-8-18 Kanotocht dag 2

      August 2, 2018 in Peru ⋅ ⛅ 29 °C

      Fantastisch otters gezien en blauwgrijze dolfijnen. Beiden onfotografeerbaar. Jammer dat wij aangeven dat we graag dolfijnen willen zien en dat ze dan niet zeggen dat er 2 modellen zijn hier. Alle boekjes hebben het over de pink dolphin en die hebben we nu dus niet gezien. Blijkt maar 2 uur verder varen te zijn, dus met de vierdaagse tour hadden we ze waarschijnlijk wel gezien. Wel jammer. Ook jammer dat ik de halve dag zit te stressen of we wel dolfijnen zien, want het was zo ver varen en we varen aldoor niet door. Ik probeer als Karin te zijn, die zit lekker te ontstressen.
      Maar toch een gave dag, 3 soorten havikken, een rode aap, schildpadden, toekan, ara's, krokodilletjes en weer heel veel ijsvogels.
      En 's avonds nog een tochtje (wij dachten dat we gingen wandelen, maar weer met de boot). Prachtige sterrenhemel, veel krokodilletjes, want je ziet nu aldoor hun rode oogjes boven water, padden, een nachtvogel en een breedbekreiger. En groene vuurvliegjes. Segundo vist nog wat een speer met 2 punten voor zijn ontbijt.
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    • Day 128

      Amazonas

      March 9, 2022 in Peru ⋅ ⛅ 28 °C

      Schon vor Beginn unserer Reise stand für uns fest, dass der Amazonas einer der Orte ist, die wir gerne sehen wollen.
      Nachdem es mit dem kolumbianischen Amazonas mit den Flügen nicht so gepasst hat, entschieden wir uns spontan die peruanische Seite zu besuchen. Zum Glück fließt er ja durch einige Länder.
      Also machten wir uns von Lima auf den Weg nach Iquitos, der größten Stadt der Welt, die man nicht mit dem Auto erreichen kann. Sehr viel zu sehen gibt es in der Stadt für uns nicht. Es gibt sehr viele Tuk Tuks und allgemein wirkt die Stadt eher ärmlich. Nach einer Nacht dort starteten wir direkt in unser dreitägiges Amazonasabenteuer. Da außer uns niemand anders gebucht hatte, hatten wir sogar eine ganz private Tour.
      Am ersten Tag wurden wir dann morgens um 7 von unserem Guide Rony abgeholt. Mit einem Auto fuhren wir flussaufwärts ca. 2 Stunden in den kleinen Ort Nauta. Nauta liegt nicht mehr am Amazonas, sondern an einem der Quellflüsse. Dieser ist aber mit 2 km Breite immernoch riesig. In Nauta ging es dann auf ein langes, langsames Motorboot, was die nächsten Tage unser Transportmittel war. Nach 3 Stunden Bootsfahrt sind wir dann im Nationalpark Pacaya Samiria angekommen. Wir fuhren durch kleinere Flüsse und hielten Ausschau nach den Tieren. Nach einer Weile legten wir einfach am Ufer an und liefen durch den Dschungel. Rony schlug uns mit einer Machete den Weg durch die Äste und markierte den Weg, damit wir auch wieder zum Boot zurück finden. Unterwegs sahen wir verschiedene Affenarten und viele Vögel. Die Faultiere hielten sich leider vor uns versteckt, aber die haben wir ja eh erst in Cartagena gesehen. Anschließend schipperten wir in die kleine Community Buenos Aires, in der wir auch die Nacht verbrachten. Es war interessant zu sehen, wie die Menschen dort so abgeschieden leben. Es gibt unzählige Kinder, die draußen spielen, währenddessen die Mütter die Kleidung im braunen Fluss waschen. Andere Erwachene spielen Volleyball oder Fussball auf der Straße. Strom und fließend Wasser gibt es nur für 2 Stunden am Abend über einen Generator. Nach einem von Rony gekochten Abendessen machten wir noch eine Nachtwanderung durch den Regen und sahen nachtaktive Affen, einige riesige Spinnen und andere Krabbeltiere. Gegen halb 10 fielen wir dann total erschöpft von der langen Fahrt und den vielen Eindrücken ins Bett.
      Am nächsten Morgen gings dann auch schon zum Sonnenaufgang vor dem Frühstück weiter mit dem Boot und zu Fuß weitere Tiere entdecken. Auf dem Wasser sahen wir immer wieder die rosanen Amazonasdelfine neben uns auftauchen. Leider waren die eher unmotiviert und sprangen nicht hoch und waren schnell wieder weg. Daher gibt es von den Delfinen, wie schon in Mexiko, keine Fotos 😃 Nach einem Frühstück in der Community fuhren wir weiter durch den Nationalpark. Unterwegs war das Wasser plötzlich übersät von Wasserpflanzen. Es sah fast aus als würden wir durch eine Wiese fahren. Der Fahrer unseres Bootes musste sehr aufpassen, dass wir da nicht irgendwo steckenbleiben. Nach einer Weile legten wir wieder am Ufer an und hatten unser "Camp" für die Nacht gefunden.
      Wir spannten ein paar Planen als Regenschutz und bauten unser Zelt auf. Als "Baño" grub Rony ein kleines Loch hinter einem Baum. Leider waren dort dann als es dunkel war 2 riesige Spinnen, sodass wir das Baño lieber nicht mehr besuchten 😂
      Mit Rony erkundeten wir die Umgebung um unser Camp herum, sahen Affen und suchten abends im Dunkeln am Flussufer nach Kaimanen. Leider hat es abends wieder geregnet, sodass die leider unter Wasser waren und wir keine sehen konnten. Gekocht und gegessen wurde am Camp übrigens einfach auf dem Boot. Das Camping hat uns sehr an Namibia erinnert - nur mit viel mehr Moskitos.
      Am nächsten Tag fuhren wir dann in einen kleinen Seitenarm des Flusses und fischten mit von Rony gebauten Angeln nach Piranhas und anderen Fischen. Nach etwas Übung hat das sogar ganz gut geklappt. Zumindest bei Thomas. Er hat gleich 5 Fische gefangen. Luise nur einen - dafür aber den Größten. Danach badeten wir noch eine Runde im Fluss, bevor wir wieder die 3 Stunden mit dem Boot zurück nach Nauta fuhren. Während der Fahrt regnete es fast die ganze Zeit stark, was auch ziemlich abenteuerlich, aber auch etwas anstrengend, war. Gegen 19 Uhr waren wir dann wieder in unserem Hostel in Iquitos und sehr froh über eine Dusche und ein Zimmer ohne Moskitos. Am nächsten Tag ging es dann wieder zurück nach Lima.
      Die Zeit im Amazonasgebiet hat uns sehr gut gefallen. Schon allein die lauten Geräusche der vielen Vögel und Brüllaffen war beeindruckend. So laut hatten wir das vorher noch nicht gehört. Auch mit Rony haben wir uns gut verstanden, auch wenn er ab und zu Dinge doppelt erklären musste, weil unser spanisches Gehirn nicht so schnell mitgekommen ist 😃
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    • Day 45

      Eduardo VII

      October 1, 2018 in Peru ⋅ ⛅ 32 °C

      Die Sonne kitzelt meine Nase - ich wache auf in meinem Kokon aus Moskitonetz und Hängematte, die Vögel zwitschern. Am Ufer sehe ich ein kleines Dorf, Frauen waschen ihre Wäsche im Fluss - aber Moment mal! Wir bewegen und gar nicht mehr! Wir stehen! Oh nein, ich erahne die nächste Katastrophe. Langsam werde ich wach und genieße den Sonnenaufgang. Als die anderen Hängematten sich auch langsam bewegen, krabble ich aus der Hängematte. So viele Mosquitos hier draußen! 6:30 Uhr klingelt die Glocke unten in der Küche - wir stapfen also erstmal mit unseren Boxen zum Koch. Ein Frühstück an Board besteht aus einer süßen Milchsuppe mit Reis, in die man 2 Packungen trockene Soda-Kekse rein krümelt (das haben wir uns von dem kleinen Jungen an Board abgeschaut :)). Anfangs ganz lecker, aber man kommt schnell an den Punkt, an dem es in Übelkeit umschwenkt :). Ich esse also nicht ganz auf, sondern gönne mir aus meinem Vorrat noch eine Banane und einen Apfel. Nach dem Frühstück kommt der Kaptain zu uns und erklärt uns das Problem. Wir sind im Moment noch auf dem Río Huallaga, in der Reserva Nacional Pacaya Samiria, in der Nacht haben wir den Ort Lagunas passiert. Wir sind also kurz vor der Mündung in den Río Marañon. Es ist zu wenig Wasser im Fluss, weshalb wir hier verweilen müssen und nicht weiter können. Wir warten also auf Regen und dass das Wasser steigt! Auf die Frage, wann es weitergeht, sagt er nur „quizaz mañana“ - also vielleicht morgen! Aber in peruanischer Zeit sind das wahrscheinlich wieder Tage - ob wir jemals in Iquitos ankommen? Wir alle haben ja aber Zeit und sehen es deshalb eher gelassen. Ein paar Minuten später legt ein kleineres Frachtschiff an (das wohl weniger wiegt als wir) - der Kaptain gibt uns die Option das Boot zu wechseln. Wir sind hin- und hergerissen und beschließen, uns das andere Boot zumindest mal anzuschauen. Also gehen wir über wacklige Bretter und an Kanten ohne Railing auf das andere Boot und checken die Lage - hier ist nur unten zwischen der Fracht Platz zum Schlafen. Einige Hängematten hängen schon über Stapeln von Eiern, zwischen Kisten mit Weintrauben, Orangen und Hühnern. Puhhhh, ziemlich eng und stickig hier. Die Lage hier auf dem Boot nimmt uns schnell die Entscheidung ab. Wir bleiben auf der Eduardo VII und werden warten. Es ist auf jeden Fall um einiges komfortabler! Die Peruanische Familie entscheidet sich mit dem anderen Boot mitzugehen. Wir verabschieden uns und das Boot fährt davon.
      Das war zu viel Action am frühen Morgen, wir chillen uns erstmal aufs Deck. Die Crew wird auch langsam warm mit uns - einer von ihnen kommt zu Luisa und mir und schenkt uns eine große Tüte voll mit Orangen! Mhhhmmm! Luisa gibt mir Ihre Spanischsachen (sie war 6 Wochen in der Schule in Montanita, Ecuador) und ich lerne ein bisschen spanisch. Später irgendwann geht plötzlich der Motor an und wir fahren ein Stück weiter, dann bleiben wir allerdings stecken mitten im Fluss - na toll! Die Crew versucht mehrere Male das Boot zu bewegen, keine Chance! Pünktlich um 12 Uhr klingelt dann erstmal der Koch wieder mit dem Glöckchen - es gibt Mittagessen! Reis und Kartoffeln mit Bohnen und Hühnchen, was sonst? :) Danach gehen wir ein bisschen auf Cargosuche :) wir können zwei leckere gelbe Mangos ergattern und ein paar Weintrauben! Chips haben wir auch gesichtet, aber dafür müssen wir noch einen Plan aushecken :) Zum Nachtisch gibt es also Mango und Orangen. Mich überkommt schon wieder der Schokohunger - schlechter Zeitpunkt wenn man mit einem Schiff im Fluss im Nirgendwo feststeckt! Immer wieder probieren sie das Boot in Bewegung zu bringen, aber man sieht von hier oben sogar den Boden des Flusses. Ich weiß nicht ob wir hier jemals wegkommen!
      Dann fängt es 15:30 Uhr an zu regnen! Ein Wunder, als hätte uns die Natur erhört. Vor Freude tanzen wir auf Deck im Regen :) Und wirklich! Nach dem kräftigen Regenschauer ist das Wasser ein bisschen gestiegen und der Kaptain kann das Boot wieder in Bewegung bringen! Wir sind wieder auf Kurs - Yes! Und hinter uns ein wunderschöner Regenbogen! 17:30 Uhr Klingelingeling es gibt Abendessen. Es gibt leider wieder das Gleiche wie heute Mittag - Reis, Kartoffel und Hühnchen. Oh je ... bald kann ich es nicht mehr sehen!
      Der Sonnenuntergang ist wieder traumhaft und viele rosa Delfine (andere als in Yurimaguas) springen im Wasser umher. Ein paar mal halten wir noch am Ufer und sammeln peruanische Passagiere ein :)
      Heute ist die Nacht noch klarer als gestern, der Sternenhimmel ist der Hammer! So viele Sterne, so viele Sternschnuppen und die Milchstraße. Tomas (20), Julian (26), Sik (30), Luisa (23) und ich (25) sitzen zusammen und genießen gemeinsam die wundervolle Nacht. Tomas lernt uns ein bisschen Spanisch und kocht uns einen Kaffee (er hat ja eine ganze Campingausstattung dabei) und wir tauschen verschiedene Worte wie Milchstraße und Sternschnuppe in unseren Sprachen aus (deutsch, koreanisch, spanisch, französisch, englisch): Milchstraße, Unhazu, via láctea, voie lactée, milkyway UND Sternschnuppe, Byul dong byul, estrella fugas, étoile filante, shooting star. Vor allem bei Siks Koreanischen Wörtern und unseren Versuchen es richtig auszusprechen haben wir ziemlich viel Spaß! :) Wir sind echt eine coole Truppe, ist schon fast wie eine Familie! Gegen 21:30 Uhr gehen wir alle schlafen (wir sind grad übrigens kurz vor Maipuco).
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    • Day 24

      La selva (2)

      March 29, 2019 in Peru

      Uns allen war es möglich die drei Tage ohne Rucksack und Elektrizität zu überleben. Ich würde sogar sagen, dass dieses Missverständnis das Dschungelerlebnis zu einem der Besten gemacht hat. Am zweiten Tag wurden wir weiter durch den Dschungel gepaddelt um mit Delfinen schwimmen zu gehen und verschiedene Tiere zu sehen. Am dritten Tag ging es dann im strömenden Regen entgegen der Strömung zurück nach Lagunas. Gut, dass wir unseren "Motor Aleman" (Max) dabei hatten, der Ron und seine Freundin unterstützt hat.Read more

    You might also know this place by the following names:

    Parinari

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