Turquia
Konya

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Viajantes neste local
    • Dia 93

      Woche 3 in der Türkei

      3 de maio de 2023, Turquia ⋅ ☁️ 18 °C

      Da Siggi immer schlechter angesprungen ist und Diesel verloren hat, haben wir in Denizli eine Werkstatt aufgesucht. Nachdem uns dort zwei Werkstätten nicht weiterhelfen konnten wurden wir in der 2 Mio. Stadt Konya fündig.

      Nachdem wir Freitagabend an der Werkstatt angekommen sind, war innerhalb von zwei Minuten die komplette Mannschaft um Siggi versammelt. Am selben Abend wurde noch bis 20:30 Uhr unsere Einspritzpumpe ausgebaut und keine 24 Stunden später sind wir mit einer komplett revidierten Pumpe wieder vom Hof gefahren. Die Nacht selbst haben wir direkt auf dem Werkstatthof geschlafen und die komplette Zeit über wurden wir mit Essen und Trinken umsorgt. Die Offenheit, Hilfsbereitschaft und Gastfreundlichkeit war einfach unglaublich!

      Ansonsten ist Konya für die "Mevlana Wirbelnden Derwische" bekannt, die wir uns Samstagabend im Kulturzentrum angeschaut haben. Die sogennanten Derwische sind ca. 30 Männer in weißen Kleidern. Bei dem Tanz handelt es sich um eine spirituelle Praxis, bei der sich die Derwische knapp eine Stunde lang nach links um ihr Herz drehend in Trance beten. Wir fanden das durchgehende Drehen sehr ungewohnt aber auf jeden Fall irgendwie fasizinierend zum Zuschauen.

      Am Sonntag ging die Fahrt weiter zum "Meke Lake" - ein vulkanischer Kratersee. Der See ist mittlerweile bzw. seit 2009 fast ausgetrocknet. Wir sind einmal drum herum gelaufen und am nächsten Tag auf den Krater hoch. Außerdem hatten wir selbst dort mitten im nirgendwo wieder eine super nette Begegnung mit Einheimischen: Zwei Männer kamen aus dem Nichts, haben uns Nüsse geschenkt, wollten ein Selfie mit uns und schon waren sie wieder weg - so versteht man sich auch ohne Worte!

      Als nächstes stand der "Hasan Dagi" auf unserem Programm - ein vulkanischer Berg auf 3.268m. Da es noch zu viel Schnee hatte, haben wir es leider nicht auf den Gipfel geschafft. Dennoch war es eine super schöne Tour mit fünf tierischen Begleitern bei Traumwetter und einem super leckeren Abendessen in einem Restaurant mit einem Tisch direkt am Kamin.

      Unser Weg ging nun weiter in das Ihlara Tal. Dieses schluchtartige Tal ist 14km lang und 110m hoch und es gibt Hunderte von alten Kirchen in den vulkanischen Felsenhöhlen.  Neben den Kirchen und Co. gibt es hier in der Region auch einige unterirdische Städte. Wir haben die Größte in der Türkei - die Underground City in Derinkuyu - angeschaut. Diese mehrstöckige unterirdische Stadt erstreckt sich bis in eine Tiefe von etwa 85 Metern und ist groß genug, um bis zu 20.000 Menschen zu beherbergen.
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    • Dia 329

      Konya, la pieuse

      6 de fevereiro, Turquia ⋅ ☀️ 15 °C

      On quitte le lac, son troupeau de chèvres, nos copines les vaches & ses énormes chiens errants, à la recherche d’un marché alimentaire pour faire le plein de fruits & légumes. Cette activité passagère, sur la route nous menant à Konya, s’étire finalement dans le temps ; au gré des multiples sollicitations des locaux·ales toujours aussi accueillant·e·s et curieux·euses à notre égard ! À peine nos premiers pas foulés sur la place principale, un homme plutôt âgé nous aborde avec toujours ces mêmes interrogations : que faites-vous ici ? d’où venez-vous ? où allez-vous ensuite ? Une fois les réponses obtenues (via traducteur interposé), il nous prend pour des fous·olles à nous diriger vers l’est et le grand froid. En quelques phrases et rires échangés, il n’en faut pas davantage pour être convié·e·s chez lui, à Izmir !

      Les prix fluctuent d’un stand à l’autre. Nous commençons à déceler lorsque le·la commerçant·e abuse un peu de notre statut d’étranger·e ! Nous faisons également la rencontre d’un afghan souhaitant à tout prix savoir si nous étions marié·e·s et si nous avions des enfants et d’un couple turc ayant vécu en France, ne cessant de répéter « Paris » et « Concorde » ! De retour au van stationné le long du trottoir, Paulo entre par la porte latérale, dépose comme à son habitude ses chaussures sous le van, pousse la porte pour davantage d’intimité vis-à-vis des passant·e·s, et s’attèle au rangement des produits frais. Quand le moment de reprendre la route est venu, les chaussures ont disparu ! N’y croyant pas, nous fouillons des yeux les environs, à la recherche d’une mauvaise blague. Rien. Les chaussures sont bel et bien introuvables ! Nous prenons du recul sur la situation plutôt rapidement et, au vu de la teneur du vol, espérons qu’elles soient entre les mains d’une personne en ayant davantage besoin que nous. Restent les semelles orthopédiques de Paulo dont le manque va cruellement se faire sentir ; et qui nous est impossible de remplacer... Comme une malchance n’arrive jamais seule, nous sommes interpellé·e·s par des policiers en sortant de la ville. Ne comprenant rien au permis de conduire français, il nous laisse repartir après avoir tous jeté un coup d’œil amusé au papier rose.

      Konya, nous voilà ! Motivée par la possibilité d’assister à une cérémonie bien particulière, notre venue au sein de la ville dite la plus pieuse du pays (environ 3000 mosquée !)  ne faisait aucun doute. Malheureusement, n’ayant pas anticipé suffisamment nos recherches, nous trouvons porte close au centre culturel Mevlâna... Les derviches tourneurs, ces hommes en robes blanches tournoyant sur eux-même tels des toupies, entrant en transe et tentant ainsi de se rapprocher de dieu, ne dansent que le week-end...

      La déception passée, nous partons à la découverte de la ville & ses particularités, toujours en bonne compagnie avec le petit groupe de français·e·s rejoint il y a maintenant une semaine. Une sorte de cloître à colonnades monumentales à la pierre immaculée attire notre attention sur le chemin menant au centre de Konya. Sur fond de musique solennelle, nous pénétrons au sein d’un jardin intérieur, décoré de plaques commémoratives énumérant les noms des soldats tombés au combat pour l’indépendance de la Turquie. Au bout de l’esplanade, un petit musée nous accueille gratuitement et présente une reconstitution miniature de la vie sous l'occupation ottomane et de l'organisation de la révolution. 

      Faute de découverte du cérémonial des disciples de Mevlâna (« notre maître » en turc), nous décidons de faire la visite du musée éponyme. Le sanctuaire est ouvert à toustes, fidèles & curieux·ses. De petites salles, autrefois chambres du couvent des membres de l’ordre mevlevi, donnent à voir aux visiteureuses vêtements officiels, livres sacrés joliment calligraphiés, instruments de musique servant à accompagner la pratique de la fameuse danse sama... La petite cour réchauffée par les timides rayons du soleil est paisible. Nous nous approchons maintenant du haut dôme de faïence turquoise. Une porte de cuir à franges nous conduit au cœur du lieu saint, somptueuses lampes orientales et calligraphies en langue arabe aux murs et plafonds, gardien du mausolée de Rûmî (ou Mevlâna), maître spirituel soufi. Les tombeaux du chef sacré des derviches tourneurs et des membres de sa famille sont un lieu de recueillement important pour les musulman·ne·s. Devant nous, une femme à genoux, les mains vers le ciel, prie. 

      Les estomacs de la petite troupe se réveillent, il est temps d’initier les copaines au kahvalti, le petit déjeuner turc ! Sur la grande tablée, les plats fusent et les ventres se tendent dans la bonne humeur.

      Repu·e·s, nous partons faire le tour du bazar local, où les ruelles s’organisent en thématiques : salle de bain, bricolage, vêtement de soirée, bijoux, alimentaire... L’occasion également de craquer pour divers denrées et objets tels que du savon, des olives, du café, des figues, des noix de cajou, des cacahuètes, un chou-fleur, des épices ; mais aussi pour certain·e·s une scie à bois ou encore une lampe frontale. Au bazar, on trouve absolument tout !

      Nous gravissons l’unique petite colline de cette ville construite sur un plateau à l’heure de l’appel à la prière. La mosquée d’Alaaddin nous accueille en son sein. En contre-bas, nous flânons au Kültür Park, sans oublier de passer par la case pâtisseries au sirop & café. On y fait la rencontre d’un jeune franco turc vivant ici depuis 4 ans avec sa famille. Heureux de parler français, il nous fait la démonstration du « bonjour » à la turque en serrant la main de Guillaume et en collant sa tête contre la sienne à droite, puis à gauche. Il s’enquiert de connaître notre ressenti sur la population de son pays. Nous lui indiquons que nous trouvons les turc·que·s très accueillant·e·s et ouvert·e·s à la discussion. Abondant dans le sens de notre sentiment, il nous explique que si l’on nous invite à manger ou boire un çay, il est considéré comme impoli, presque insultant, de refuser la proposition. Il ne nous cache pas sa surprise de nous voir ici, ayant un avis plutôt négatif sur sa ville, ne la trouvant pas assez attractive à son goût. La conversation dérive ensuite sur une note de racisme interculturel, le jeune homme nous conseillant de nous méfier de la population « arabe » du quartier où nous sommes stationné·e·s depuis la veille.

      La journée s’achève par la grande place de la mosquée Selimiye, animée en ce début de soirée. Une association luttant pour le respect des droits des enfants a investit joyeusement l’espace. Un bénévole vient nous saluer avec un ballon de baudruche orange et insiste pour nous offrir des barbes à papa. À l’écoute du conseil de notre rencontre précédente, nous acceptons avec amusement ! On nous signifie qu’offrir de la nourriture et la partager dans l’espace public fait partie intégrante des fondement de l’islam. Sucreries et ballon à la main, nous finissons par scander (tant bien que mal !) le slogan de l’association que les membres du groupe nous ont appris devant leur banderole. Quelques jours plus tard, nous retrouvrons notre modeste prestation en vidéo sur instagram !

      De retour au van, on improvise un petit « apéro parking » dont seul·e·s nous avons le secret !

      Pour une immersion complète, Paulo & moi proposons aux copaines qui le souhaitent de finir le séjour à Konya par une session matinale de hammam turc. Le rituel du bain est toujours aussi délicieux, quoique un peu plus tonique pour les hommes ! Toutes relaxées par cette séance, Cécile & moi nous voyons offrir le çay dans la partie réservée aux femmes ; quand soudain, le téléphone de la masseuse sonne. Paniquée, elle s’adresse à nous à l’aide de geste en mimant une bague au doigt. Nous comprenons qu’elle souhaite nous indiquer que nos « maris » nous attendent. Nous rions et tentons de l’apaiser en lui expliquant que nous pouvons prendre le temps de boire le thé, que nous les rejoindrons dans quelques minutes et qu’il n’y a aucun souci à les faire patienter un peu !

      Ce midi, c’est pide au menu dans un petit boui-boui conseillé par le masseur du hammam des hommes. 😋
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    • Dia 331

      Paysage lunaire

      8 de fevereiro, Turquia ⋅ ☁️ 15 °C

      Étendue désertique. Montagne de la désolation aux volutes de fumée rouge provoquées par le soleil couchant et une traînée de nuages. Décor lunaire. 🌚

      Bienvenue au lac Meke !

      Entre vent et poussière, nous stationnons nos quatre vans pour la nuit face à ce lac presque asséché créé par une éruption volcanique il y a 4 million d’années. En raison de l’extraction intensive d’eau pour irriguer les champs des alentours, il s’est tarit entraînant la fuite de centaines d’espèces d’oiseaux depuis 2015.

      Après une nuit ballotté·e·s par les bourrasques, nous partons explorer les lieux. Le sol noir que nous foulons nous rappelle notre ascension de l’Etna en Sicile. Une légère sensation de terre inconnue gagne le groupe, l’impression grisante d’effectuer nos premiers pas sur une autre planète. Les abords du volcan dévoilent les vestiges d’un lac où l’eau restante s’est cristallisée, est devenue saline et a généré l’apparition de drôles de micro-organismes, semblables à ceux du lac de Salda. Le sol moutonne d’étranges amas voluptueux blancs. De gros champignons.

      Nous évoluons sur ce sol douteux, les chaussures s’enfonçant légèrement à mesure que nous avançons en direction de la montagne imprenable. La montée est abrupte pour atteindre le cratère. Après quelques longues minutes d’efforts, nous parvenons au sommet. La douceur des formes de la caldeira invite à la poésie. Bousculé·e·s par le vent, nous nous regroupons et admirons la vue dégagée sur cette terre post-apocalyptique. La descente se déroule dans les gerbes de poussière du volcan. Nous dévalons la pente avec plaisir !

      Il est temps de quitter les bourrasques pour retrouver un peu de propreté et pouvoir, à nouveau, ouvrir les portes du van sans être enseveli·e·s ! La route vers notre prochaine destination offre un paysage tout aussi désertique ; ponctué d’amoncellements de déchets, de villages aux maisons anciennes esseulées faites de pierres aux toits plats en piètre état, de jeux pour enfants au beau milieu du vide, de minarets surgissant là où on ne les attend plus et d’une femme aux lourds fagots de bois sur son dos menant ses chèvres à leur domicile.
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    • Dia 1

      Back to Konya

      18 de abril, Turquia ⋅ ☀️ 24 °C

      We are back in Konya ready to continue travelling east. Back to where we were in December but it is now spring and warm. Back to minarets and regular prayers, feta cheese and tomatoes, helpful and friendly locals. We liked Konya last time and we love being back.

      We are met at Konya airport by gentle Muhammed with his pickup truck - he had taken us there in December. We stay in the same hotel, its not amazing but we know where we are and there is a good space for working on the bikes. Its time for us to start to unwind from all the long preparations.

      The morning is spent reconstructing our bikes and searching for gas and cash. In the afternoon we visit a museum, once a Seljuk educational establishment with a wonderful tiled ceiling. Tomorrow we will be pedaling east into the new…
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    • Dia 2

      Caravanserail

      19 de abril, Turquia ⋅ ☀️ 24 °C

      Grand départ ce matin, marqué des petites suprises de rigueur: pneus à regonfler, sacoches à rajuster, bol oublié à racheter dans un bazaar turc, vitesses à desserrer. Après 35 km de banlieue & autoroute, nous arrivons enfin dans la campagne d'avril.

      En fait... nous sommes sur la route de la soie! Ce caravanserail n'était rien d'autre qu'une station service améliorée, avec chambres, artisans, commerce, restos, etc. pour le ravitaillement des caravaniers et leurs équipages. Il est établi près d'un grand trou d'eau qui a bien perdu 10-15 m de profondeur avec l'assèchement d'un lac voisin et la baisse de la nappe.

      Chance, le caravanserail nous invite aussi à camper dans le jardin! Première nuit réussie, l'appel à la prière nous fait gicler deux fois du sommeil, sans merci.
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    • Tag 66: Beysehir bis Bükce

      24 de abril de 2023, Turquia ⋅ ☀️ 15 °C

      Mustafa hat uns die Lage eines Fahrradladens zugeschickt und wir machen uns gleich auf den Weg. Ehrlich gesagt glauben wir nicht so recht daran, dass ein Fahrradladen das richten kann. In welchem Fahrradladen wird schon geschweißt. Wir schieben Lukas' Rad durch ein paar kleinere Gässchen durch und finden dann tatsächlich den Laden. Beim Betreten haben wir schon ein besseres Gefühl. Während rechts einige Fahrräder zum Verkauf stehen und ein Regal mit vielen Ersatzteilen, ist die linke Seite eine Werkstatt mit Werkbank und allem drum und dran. Ismail kommt auf uns zu und Lukas erklärt mit dem Übersetzer das Problem.
      Dann geht alles recht schnell. Das Fahrrad ist umgedreht und das Schweißgerät angeschaltet. Ohne Probleme wird der Rahmen geschweißt. Da wir schonmal da sind, fragt Lukas gleich noch nach dem Fahrradständer. Weil an seinem Fahrrad nötige Anbringungsmöglichkeiten fehlen, scheitern auch die Standard-Fahrradständer. Also bleibt nur eine Möglichkeit: Den alten irgendwie reparieren.
      Daraufhin folgt eine etwa eineinhalbstündige Szene, die schon fast filmreif wäre: Zunächst probiert Ismail (den wir unter uns als Fahrrad-Frank bezeichnen, weil er zu allem eine Lösung und dazu das nötige Werkzeug zu haben scheint) ein wenig herum. Dann kommt ein anderer Mann (für uns der Fahrrad-Olli) neugierig herein. Beide überlegen eine Weile. Nach und nach kommen immer mehr Türken aus der Nachbarschaft herein, grübeln, geben ihre Ideen preis und beteiligen sich mehr oder weniger an der Reperatur. Zwischenzeitlich stehen mal 5 Türken um das Rad herum, sehr interessiert, wie es ausgeht. Letztendlich können Fahrrad-Frank und Fahrrad-Olli den alten Fahrradständer etwas verlängern, die alte, abgebrochene Schraube aus dem Gepäckträger herausboren und den Ständer recht stabil anbringen. Natürlich gibt es zum Abschluss noch einen Cay (Tee) für jeden. 5 € möchte Ismail danach für seine Arbeit haben. Wir geben ihm diese und noch ausreichend Trinkgeld dazu. In Deutschland wäre so eine Aktion unbezahlbar gewesen und zudem auf diese Weise nie vorgekommen.
      Guter Dinge packen wir unsere Sachen und fahren noch zu Mustafas Office. Dort treffen wir auch Durmus wieder. Wie erfahren, dass sein Heiratsantrag, den er gestern seiner Freundin (eventuell auch nur Bekannten) gemacht hat, abgelehnt wurde. Außerdem wollte er, dass ich mal mit ihr (die ich nicht kenne und die 600 km entfernt wohnt) spreche und sie davon überzeuge, zu ihm zu ziehen. Wir hätten nie gedacht, dass wir so tief in private Dinge einbezogen werden würden. Besonders hat mich auch verwundert, dass er dies mir so offen dargelegt hat.
      Nach unserer Verabschiedung fahren wir noch etwa 30 km und schlagen dann unser Zelt oberhalb einiger Wiesen auf.
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    • Dia 126

      Konya

      30 de setembro de 2023, Turquia ⋅ ☀️ 23 °C

      On tente de trouver un meilleur point de vue sur le lac en remontant un peu plus. Mais après 45 min de route poussiéreuse, on doit se rendre à l'évidence: le lac est très sec. Rien à voir de plus... On prend donc la direction de Konya.
      On se gare sur un parking de camping car gratuit à l'entrée de la ville situé entre la route, un peu passante et un joli parc. Il y a un bloc sanitaire où je peux enfin me laver les cheveux 😆
      On part ensuite en ville en bus.
      Konya a été peuplée des le XIIIème millénaire avant notre ère des Hittites jusqu'au Seldjoukides. Mais elle est aujourd'hui surtout connue comme la ville où fut fondé l'ordre des derviches tourneurs par Mevlana. Cet ordre soufiste propose un islam tourné vers l'instropection et le mysticisme alimentée par de la musique et des poèmes. La danse des derviches tourneurs permet d'atteindre l'extase des derviches.
      On visite le musée de Mevlana abrité dans un ancien couvent en plein centre de la ville. Organisés autour d'une cour centrale abritant 3 fontaines, les batiments abritent les cellules des derviches qui pouvaient prétendre à ce titre une fois une petiose probatoire de 1001 jours effectués se terminant par 18 jours (chiffres sacrés chez les mevlevis) de retraites et d'introspection. On visite également la cuisine qui est un des lieux les plus sacré du couvent car c'est le chef cuisinier le "préposé aux chaudrons" qui étaient chargés de l'instruction des novices. Enfin, on entre dans le bâtiment principal qui abrite des tombeaux et notamment celui de Mevlana devant lequel viennent chaque jours de nombreux pèlerins. Le lieu est étonnamment peu cérémonie. Les visiteurs parlaient fort, pas besoin d'être voilée pour entrer, uniquement une tenue correcte est demandée et au milieu des croyants prient. Cela donne une ambiance très vivante et agréable.
      On continue notre promenade dans les rues animées. C'est le dernier jour du festival international de musique mystique. On observe de belles mosquées et quelques restes de bâtiments de l'époque Seldjoukide.
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    • Dia 25

      Tuz Gölü

      22 de abril de 2023, Turquia ⋅ ⛅ 16 °C

      Im Herzen der Türkei gelegen befindet sich der Tuz Gölü, einer der salzigsten Seen der Welt (ca. 32,9 % Salzanteil) und der zweitgrößte See der Türkei. Von hier stammen 70 % des in der Türkei konsumierten Salzes. Abhängig vom Winkel der einfallenden Sonnenstrahlen kann die Oberfläche des Sees verschiedenste Farben annehmen. Wir haben ihn in Braun, Blau und leichtem Rosa gesehen. Im Sommer kann er sogar richtig pink erscheinen.
      In den Jahren 2008 und 2016 war der See bereits vorübergehend ausgetrocknet und auch jetzt war er nicht mehr komplett mit Wasser gefüllt. In einer Art Salzwüste konnten wir kilometerweit in den eigentlichen See hineinlaufen.

      Der größte Teil der Rosaflamingos, sowie die zweitgrößte Kolonie der Armeniermöwen der Türkei nistet hier - beide haben wir aber leider während unserer Zeit am See nicht angetroffen.
      Dafür hat Joshi beim Spazierengehen eine Schildkröte entdeckt und wir hatten uns zunächst gewundert, seit wann er Steine anbellt. Naja, zum Glück hat die Schildkröte einen dicken Panzer mit dem sie sich vor Joshi in Acht nehmen konnte!

      Weil wir uns nicht so schnell vom Anblick der funkelnden Salzkristalle und der unendlichen Weite trennen konnten, haben wir ein paar Nächte hier verbracht. Anders als an den meisten Orten der Türkei gab es fast keinen Müll, es herrschte eine unglaubliche Ruhe (nur Vogelgezwitscher und Wind) und nur eine Hand voll Menschen begegnete uns am Tag.
      Also konnte Joshi den ganzen Tag lang ohne Leine draußen herumpirschen und über den See flitzen und rennen, so wie er es am liebsten mag.

      Einfach herrlich!
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    • Tag 65: Beysehir

      23 de abril de 2023, Turquia ⋅ ☁️ 16 °C

      Heute haben wegen des Ramadans keine Fahrradläden offen, deshalb gehen wir den Tag gemütlich an. Wir schlafen aus, essen und nutzen den Tag um mein Fahrrad in Gang zu bringen. Ich ändere die Griffposition, weil meine rechte Hand immer wieder einschläft, wechsle die Bremsbeläge und verstelle den Sattel etwas. Während ich an meinen Bremsen verzweifle (diese wieder richtig einzustellen vermag einer Meisterleistung) geht Lukas schonmal etwas für unser Mittagessen einkaufen. Im Bim, quasi dem türkischen Aldi, passiert gleich mehreres. Während er alles Nötige zusammen sucht, wird er stetig von einem Verkäufer umschwärmt, der ihm alle möglichen Rabatte andrehen will und schon fast sauer wird, als Lukas ablehnt. Draußen trifft er noch zwei belgische Radfahrer (die ersten Tourenradler in der Türkei), die von der albanisch-griechischen Grenze gestartet sind und bis nach Kirgisistan wollen. Lukas erzählt ihnen von unserer Unterkunft.
      Gegen Nachmittag kommen Mustafa, seine Tochter Sude (die perfektes Englisch spricht) und ihre Mutter von ihrer Tour in die Heimat zurück. Wir schildern ihnen unser Problem mit dem Fahrrad. Generell sind sie sehr freundlich und hilfsbereit. Sie kennen schon einen passenden Mann, der uns morgen helfen kann.
      Bald darauf setzt Regen und kurz danach sogar Hagel ein. Wir sind zum Glück gut unter.
      Dann taucht plötzlich Mustafa nochmal auf und zeigt ins eine Mail der Belgier, die Mustafa wegen des Regens über WarmShowers kontaktierten. Während wir noch nicht ganz die Situation begriffen hatten, winkt Mustafa einen Radfahrer von der Straße rein, Alex aus Manchester. Auch er hat Mustafa scheinbar kontaktiert.
      Verrückt! Da trifft man wochenlang niemanden und dann gleich drei an einem Tag!
      Es werden noch ein paar Bilder mit Alex im Fahrrad-Trikot gemacht, dann verabschiedet sich Alex zu dem Hotel, das auch ihm eine Nacht gezahlt wird.
      Am Abend gehen wir dann noch mit Alex "Etliekmek" (die türkische Pizza) und Baklava (eine Süßigkeit) essen und wir erfahren, dass er von Israel gestartet und über Jordanien gefahren ist und noch bis in die Schweiz will, eventuell auch weiter bis England oder ans Nordkap. Je nachdem, ob das Schengen-Visum reicht, etwas worüber wir uns keine Gedanken machen mussten.
      Von den Belgiern hören wir nichts mehr.
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    • Dia 1.158

      Konya

      25 de abril de 2023, Turquia ⋅ ⛅ 13 °C

      Mir war klar, daß ich meinen Berg verlassen musste, da nasses und kaltes Wetter angesagt sind
      Ich hatte zwar keine wirkliche Ahnung, wo ich hin will und bin einfach mal losgefahren, nachdem ich beim Friseur war

      Touristisch interessiert, wie ich es nun einmal bin, habe ich mir als Ziel die größte Karawanserei aus der Zeit der Seldschuken auserkoren. Natürlich an der alten Seidendtraße gelegen.
      Imposant. Das ist wirklich einen tolles Bauwerk. Ich bin begeistert. Allerdings nicht begeistert genug, um die Nacht dort verbringen zu wollen, wäre aber besser gewesen.
      Also bin ich weiter auf der stinklangweiligen Straße nach Konya gefahren. Natürlich habe ich mir die Stadt viel kleiner vorgestellt. Prompt verfahren, da nicht aufgepasst. Bei Regen im Stau gestanden und im Berufsverkehr gefahren. Anstrengend.
      Letztendlich auf einem kostenlosen Stellplatz am Park gelandet. Leider nicht im Park, sondern zwischen Straße und Park. Laut. Sehr laut. Alles wieder mal kostenlos und sehr gepflegt., aber ich brauche ja nichts. Es gibt hier bloß nichts anderes. Wäre ich doch mal bei der Karawanserei geblieben...

      Fotos gibt es nicht
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    Você também pode conhecer este local seguindo os nomes:

    Konya, قونية, Кония, Konya ili, Конья, Правінцыя Конья, Província de Konya, پارێزگای قۆنیە, Konyanská provincie, Qonya, Επαρχία Ικονίου, Provinco Konya, Provincia de Konya, Konya provints, Konya probintzia, استان قونیه, Konyan maakunta, Կոնիա, Provinsi Konya, コンヤ県, კონიის პროვინცია, Konya walayati, 코니아 주, Qonye, Iconium, آستوٙن قوٙنیه, Konjas ils, Конија, कोन्या प्रांत, Wilayah Konya, Provinsen Konya, صوبہ قونیہ, Provincia Konya, Konya Province, Konya eanangoddi, Provinca Konja, Mkoa wa Konya, Вилояти Кония, Konýa, كونيا ۋىلايىتى, 科尼亚省

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