traveled in 11 countries Read more Glère, France
  • Day 272–372

    Faune et paysages de la côte est

    November 1, 2023 in Australia ⋅ ☀️ 14 °C

    On a profité de nos week-end pour voyager le long de la côte, essayer du vin, du whisky, des restaurants… Bien que j’aimais déjà les animaux, je me suis faite copine avec les oiseaux ici, et les wombats aussi, faut pas oublier les wombats…
    On a rencontré le diable de Tasmanie dans son habitat naturel mais c’est une histoire qu’on est pas encore prêt à raconter 😂. Un conseil, en camping, où que ce soit, ne laisser aucune nourriture ou déchet a l’intérieur…

    1. Freycinet Peninsula (ah oui! pour le point culture, beaucoup de lieu ont un nom français ici parce qu’on y a mis les pieds avant les anglais, sans coloniser)
    2. Les Kookaburra (apparement il y a une traduction française pour son nom qui est Dacelo), et la maman qu’a attrapé un lézard pour le repas de son petit
    3. Bay of Fires, appelé comme ça pour la côte parsemée de tâches oranges, qui est en fait du lichen séché.
    4. Ici on a un échidna, un wombat, un pademelon, un gros bernard l’ermite et une immense huntsman spider
    5. Maria Island et ses fossils cliffs
    6. Encore un wombat
    7. Des phoques!!!
    8. Un sea eagle, un new holland honeyeater, une pacific gull, un splendid fairy-wren, un green rosella parrot, un western spinebill, un wedge-tail eagle, un autre new holland honeyeater et un albatross
    9. Moi après avoir grimpé au mont Amos pour la première fois
    Et dans la vidéo je vous ai laissé le vent, les scratch des wombats, et les commentaires de chacun.
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  • Day 272–372

    Le voyage, le vrai

    November 1, 2023 in Australia ⋅ ☀️ 15 °C

    J’ai fait l’expérience du voyage comme je l’avais jamais pensé, la coloc. En effet on a rencontré des gens du monde entier avec ce job. On était logés dans une maison avec trois autres personnes et la maison voisine était aussi remplie de cinq collègues, nous étions donc dix à venir pour la saison, pour faire nos 88 jours comme on dit.
    Quand on est arrivée le 1er novembre, notre maison (“la villa 2”) était vide, on était les premiers à arriver. Dans la villa 1, trois personnes étaient déjà là. Thanya qui vient d’un village dans le nord est de la Thaïlande était arrivée un mois plus tôt, et Coral et Lloyd, un couple d’écossais peu après. Une semaine après qu’on ait vécu à deux dans la maison, Pedro est arrivé avec sa copine, quelques jours avant qu’il commence à travailler pour profiter avec elle de la Tasmanie avant qu’elle ne parte pour le Japon. Pedro est Brésilien né de parents Coréen. Encore une semaine après, Laura et Etienne ont complété notre maison. Elle, vient de Monza, proche de Milan en Italie, et lui, de Bretagne. Pour finir, un mois plus tard environ, Thomas et Maria ont débarqué pour remplir la chambre restante dans la villa 1. Ils viennent tous les deux d’Italie, région du Piemonte. Maria a quitté la Croatie pour l’Italie quand elle avait 5 ans, et le père de Thomas est allemand.

    Chacun d’eux avaient déjà fait un bout de chemin en Australie ou dans le monde : Thanya est venu avec son copain depuis la Thaïlande, ils sont restés travailler à Sydney, et puis elle a choisi la Tasmanie pour se retrouver avec elle-même et sortir de sa zone de confort quand elle et son copain se sont séparés. Elle a eu le job à Coles Bay alors qu’elle était encore à Sydney. Dans un temps très limité elle a pris son billet pour le ferry, passé le permis de conduire, elle l’a raté, puis repassé et obtenu (je crois que c’était quelque jours avant le départ). Elle a acheté une voiture pourrie avant d’avoir le permis, puis s’est rendu compte qu’elle était pourrie, acheté une autre et vendu la première la veille du départ. Encore une fois dans un temps très limité parce qu’elle devait se dépêcher de faire ses 88 jours de travail avant que le temps restant sur son premier visa ne le lui permette plus. Malgré ça elle doute encore d’elle-même. Sur un coup de tête et sans équipement elle a fait la randonnée de trois jours autour du parc national avec deux amis à elle, aussi. Elle a eu froid, faim et a rencontré plusieurs serpents mais elle a géré ça comme une cheffe.
    Je ne sais pas si par chance vous avez déjà échangé avec un écossais, mais l’accent est plutôt rude à comprendre. En fait même au delà de l’accent c’est tout le dialecte qui est complètement différent de l’anglais anglais ou américain. Coral et Lloyd sont ensemble depuis 6 ans je crois, ils ont acheté un van, en arrivant à Perth, qu’ils ont emménagé eux-même et avec lequel ils ont traversé le desert du Western Australia pour venir jusqu’en Tasmanie. Au début ils ont vécu quelques mois avec la sœur de Coral qui vit et a construit une famille à Perth. Après m’être familiarisé avec leur accent (je dis ça comme si ça avait pris quelque semaines, c’était plutôt quelques mois en fait hein) je me suis rendue compte qu’ils étaient très drôle et pouvaient avoir un humour très beauf, que j’adore c’est pas un secret.
    Au premier abord, Pedro était un frimeur avec un piercing à l’arcade sourcilière. J’ai aussi l’impression qu’il a appris à réfléchir ici, à Coles Bay, quand il est arrivé je crois qu’il est resté en vacances pendant encore un mois dans sa tête. C’est vrai qu’on l’a un peu fait marcher dans la maison, mais ça lui donnait un air naïf, attachant. Et puis très vite on la découvert plus vulnérable, par des anecdotes amoureuses et des discours sur les relations, ou encore un tas de question sur la vie en générale, et surtout sur lui-même je crois. On a passé quatre mois ensemble, mais j’ai le sentiment de l’avoir vu grandir tellement. Pedro il avait l’habitude de nous dire qu’il a grandi avec la culture chaude et sauvage du Brésil, mais qu’une fois déchaussé et la porte de la maison passée, c’était comme entrer en Corée. Il fait parti d’une fratrie de deux sœurs, l’une plus vielle, l’autre plus jeune et d’un grand frère, Pedro a été conçu en Corée et est né au Brésil. Ses parents « fous » ont décidé de rejoindre son oncle « un peu fou aussi » en Amérique du Sud quand la mère de Pedro était enceinte de lui. Il a plus appris à cuisiner ici que dans toute sa vie, il a commencé par dire qu’il ne savait rien à rien et puis il y a trouvé beaucoup d’intérêt. Il y avait cette énergie dans la maison, d’essayer, de goûter, de partager. Pedro était toujours intéressé par ce que quelqu’un cuisinait et tout le monde lui donnait toujours des petits conseils, je crois que ça lui a même ouvert l’esprit sur la culture culinaire coréenne. Vous emballez pas, la seule chose que moi je lui ai appris c’est à faire c’est des crêpes. Pedro il a un diplôme en biologie, lit « Atomic Habits », se prend des grosses gamelles en vélo et skateboard, et c’est impossible de le résumer en un paragraphe.
    Laura et Etienne se sont rencontré à Amsterdam environ quatre ans plus tôt. Avant ça Laura a voyagé et travaillé aux États-Unis. Etienne a quitté Amsterdam pour le Japon avant que ces deux se retrouve en Australie. Il y a travaillé sept mois en temps que chef dans un restaurant de sushi. Ils sont ici pour l’argent, Laura est pressée de rentrer en Italie et acheter une maison après une dizaine d’années loin de chez elle. Étienne espère qu’ils finiront plutôt en France. D’ailleurs, on était pressé de les rencontrer pour savoir comment ils communiquaient, il se trouve que c’est l’anglais qui a gagné bien que Laura connaisse un peu le français. Mon envie d’apprendre l’italien a été contagieux puisqu’Etienne s’y ait mis aussi. En fait je sais pas si c’était moi ou le fait qu’ils étaient 4/10 (et donc en majorité). Ils vivaient près de leur sous mais je sais que chacun d’eux est d’une générosité énorme. Je saurai pas exprimer la taille du cœur de Laura. Tous les deux adorent la culture japonaise, les animés, les jeux de sociétés. Laura croit en les cartes, l’art et l’artisanat, Étienne est plus proche des puzzles, des jeux vidéos et du dépassement de soi. Il est arrivé à Coles Bay avec un ventre bien rond, et a quitté la ville en courant un marathon. C’est peut-être parce que leur voiture est restée en panne pendant plusieurs mois qu’il s’y ait mis maintenant que j’y pense.
    Thomas et Maria sont deux zinzins, deux enfants sauvages. Pendant le covid, Thomas parcourait la Nouvelle-Zélande dans son van, on sait qu’il est tombé amoureux du pays quand on l’entend en parler. Il a un air de baba-cool mais il faut se méfier de l’eau qui dort, il saura rendre les coups à celui qui l’emmerde. Je disais que Pedro était celui qui avait le plus grandi, mais Thomas est arrivé avec des drains locks vieilles de huit ans et les a coupé à la fin de leur saison à Coles Bay. Ça c’est du changement. Maria aussi appelée Mari, était infirmière en France avant de venir en Australie, elle parle donc croate, italien, français et elle apprend l’anglais ici. Elle aussi a le coeur sur la main, elle a un instinct maternelle tellement puissant que lorsqu’elle s’adressait en italien à Thanya, la thaïlandaise la comprenait, parce que c’était bien au delà d’une histoire de langage avec Maria, c’est les sentiments, l’empathie, les émotions, qui eux s’expriment sans mots. Elle est d’une douceur incroyable mais c’est aussi une vraie furie. Thomas et elle sont fan d’escalade, ces cinglés peuvent faire une randonnée de trois heures non balisé dans les buissons, sur le bord des falaises avec leur materiel (importer d’Italie avec eux) qui pèse une tonne pour escalader cette même falaise. Je le dis comme ça parce que Simone et moi on en a encore des séquelles ahaha. On est pas descendu tout en bas avec eux parce que ça devenait vraiment plus de l’escalade que de la randonnée pour descendre aux voies d’escalade, et en les attendant on s’est dit qu’on allait essayer de rebrousser chemin sans eux, pour avoir plus de confort et se dégager de ces falaises. On a essayé trois fois, jamais retrouvé le chemin, commencé à paniquer et pleurer. Alors que tous les deux on se sentait complètement en confiance avec eux dans la descente. C’est drôle, la façon dont fonctionne la confiance, ce truc que certaines personnes dégagent et qui te met à l’aise tout de suite. À la fin de l’histoire on est remonté tous ensemble et sans trop de galère. Une fois j’ai essayé de grimper avec eux parce que ça avait l’air amusant quand je les voyais et ils m’ont encouragé à le faire. Vous inquiétez pas j’ai grimper quelque décimètres avant de me figer et de redescendre… Je suis super admirative, ils ont une paire de c******* énorme, plongent dans tout ce qui est plus ou moins dangereux sans se soucier de ce qu’il peut arriver mais en restant conscient et concentrer. Je pense qu’ils nourrissent l’enfant qu’on fait tous un peu taire en vieillissant.

    Moi aussi je pense que j’ai beaucoup grandi avec eux. On a beaucoup partagé sur nos cultures respectives, sur nous-mêmes. Pendant ces quatre mois, on a fêté Noël et nouvel an ensemble (on a acheté un agneau entier pour le manger tous ensemble), on a beaucoup mangé, beaucoup bu, ri, pleuré, dansé, couru, nagé, pêché. On a beaucoup joué aux cartes aussi (Laura et moi on a défoncé Simone et Pedro à Scopa, un jeu de cartes italien, en faisant le maximum de points et il a fait la gueule pendant deux jours) et surtout on s’est beaucoup plaint du travail, sans trop se tuer à la tâche.
    Je suis tellement reconnaissante d’avoir partagé un bout de route avec ces gens.
    Tout ça dans un lieu assez extraordinaire. La rue qui tourne à gauche au bout de la route sur la deuxième photo, c’est là qu’était nos maisons.
    Je vais pas décrire toutes les photos comme il m’arrive de le faire, mais elles ont été prises dans la maison ou depuis la rue, dans le village ou sa plage, et au parc national ; depuis le sommet des montagnes, ou sur l’une de leurs faces, ou depuis l’autre côté.
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  • Day 272–372

    Bienvenue à Coles Bay

    November 1, 2023 in Australia ⋅ ☀️ 15 °C

    Coucou tout le monde, ça fait un moment que je n’ai pas écrit ici. Comme si j’avais besoin de clore un chapitre pour pouvoir en parler…
    Avant notre road trip de Sydney à Philip Island, je disais que nous avions acheté une voiture pour retourner en Tasmanie, y travailler. J’avais vraiment envie de découvrir l’autre côté de la région, et de montrer à Simone les endroits qu’il avait vu seulement en photo.
    Nous voilà de retour en Tasmanie pour faire nos 88 jours de travail en ferme que notre visa impose pour être rallongé. Cette fois-ci sur la côte est, plus précisément à Coles Bay, là-où nous attend la Freycinet Marine Farm, ferme d’huîtres et moules.
    Coles Bay c’est plus petit que Glère, pour vous donner une petite idée de taille. Je ne sais pas exactement le nombre d’habitants, par contre la moitié des maisons du village sont des maisons de vacances et sont habitées quatre mois dans l’année. L’autre moitié c’est des giga maisons avec une giga vue sur la baie. Il y a quand même un pub, deux pizzeria et un fish&chips.
    Bon je vais parler d’abord du travail, et plus tard de la vie là-bas. Nous, on est recrutés pour travailler au magasin, en fait je ne sais pas vraiment la taille de la ferme (je crois que c’est assez gros), ni ce que ça représente, mais je crois que ça demande pas une charge de travail énorme, il y a trois ouvriers là-bas.
    Il y a deux magasins ; le principal qui est à 5 minutes en voiture de notre maison, qui fait plus de préparation, plus de clients, plus de staff et plus de chiffre, et une annexe à Devil’s Corner, un immense vignoble. Donc on se retrouve à 30 minutes de voiture, dans cette endroit qui regroupe la degustation du vin de Devil’s Corner, les pizzas et les huîtres/moules/fish&chips, trois business séparés. Après avoir fait deux semaines dans le magasin principal, on bouge à Devil’s Corner et on nous le vend comme étant un petit espace qui peut être géré par deux personnes seulement, qu’on aurait plus de liberté, qu’il y a beaucoup de potentiel pour ce qui est de travailler avec le vignoble et proposer des déjeuners premium, en gros. La réalité a été bien différente, on a été plus libre certes mais l’organisation et le management n’était pas vraiment au rendez-vous. Bon, l’endroit est resté ce qu’il était ; un attrape-touristes impolis, avec une vue incroyable. Je vais pas m’éterniser trop longtemps parce que malgré tout on a eu ce qu’on voulait, nos soirées, du temps pour nous, et notre visa rallongé.
    On faisait du 9h-17h cinq jours sur sept, à ouvrir des huîtres, peler des moules et faire des fish&chips. La période de Noël et nouvel an a été plutôt intense mais le reste du temps c’était assez ennuyeux. La chose vraiment chouette c’était qu’on était logés dans une maison propre et confortable dans un lieu assez incroyable, avec des gens du monde entier.

    Les photos : 1. Coles bay, vue sur les hazards mountains. 2,3. Great oysters bay tour à la ferme. 4. Une huître de 2 mois. 5. Une huître de 12 ans. 6. La vue depuis la ferme, avec la dégustation à la fin du tour. 7. Notre magasin à Devil’s Corner. 8. Devils Corner. 9. La vue sur les montagnes depuis Devil’s Corner.
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  • Day 262

    Une semaine à Philip Island

    October 22, 2023 in Australia ⋅ 🌧 13 °C

    à Philip Island on est aussi allés voir les koalas dans la réserve, les pingouins revenir de l‘eau au coucher du soleil et leurs petits qui attendaient avec impatience d’être nourris et voilà ! Cap sur la Tasmanie cette fois…Read more

  • Day 261

    The Roar of the Island

    October 21, 2023 in Australia ⋅ ☁️ 18 °C

    Philip Island, au sud est de Melbourne, est connu pour deux choses, ses pingouins et son circuit de Grand Prix de Moto. On a passé six jours là-bas, pour profiter des paysages et de l’île mais aussi et surtout parce que pour l’anniversaire de Simone, je nous ai acheté des billets pour les trois jours de Moto GP ! Quel timing n’est-ce pas. Le programme était le suivant : vendredi free practice, samedi qualifications et épreuve du sprint et dimanche la course. J’avoue avoir ressenti quelque chose en entrant dans l’enceinte du circuit, je vous explique pas pour Simone! Vendredi la météo était un incroyable (même trop chaud pour rester la journée à regarder des motos pour être honnête), mais le soir, le ciel s’est couvré et il annonçait un tempête pour le dimanche, pluie et vent violents. Alors le staff a décidé d’avancer la course à samedi, et de mettre le sprint le dimanche. Mieux vaut annuler un sprint qu’une course. Je peux vous dire maintenant que le sprint n’a pas eu lieu parce qu’il y a bien eu une tempête avant, mais que la Moto3 a couru sous la pluie, et que la Moto2 a été stoppé au milieu de sa course parce que la pluie et le vent devenaient trop intense. Bon, retour à la course de la Moto GP le samedi. Je vais écrire selon ce que j’ai appris de Simone : Martin et Bagnaia sont en grosse concurrence pour le titre (encore aujourd’hui à une course de la fin) Bagnaia est italien et roule en Ducati (alors c‘est lui qu‘on supporte!). Martin devance tout le monde dès le départ pendant que Bagnaia, Zarco (français), Di Giannantonio (italien) et Binder (sud africain) compétitionnent entre eux après Martin. A trois tour de la fin, Martin se voit ralentir parce qu’il n‘a pas su gérer ces pneus jusqu‘à la fin. Zarco profite d‘un virage pour le doubler de l‘intérieur et ouvre le passage à tous les autres. Martin a fini cinquième et ce français à gagné sa première course de sa carrière en GP après huit ans. J‘ai entendu la Marseillaise jusqu‘à Philip Island ! “Pas grave pour l‘Italie parce qu‘il roule aussi avec une Ducati“ disait l‘Italien.Read more

  • Day 257

    ROAD TRIP DAY 8 Pt. 2

    October 17, 2023 in Australia ⋅ ⛅ 14 °C

    (ce tout petit oiseau bleu est la chose à plus dur à photographier, ça m’a pris des semaines. sur la vidéo il est littéralement en train de toquer à la fênetre)

  • Day 257

    ROAD TRIP DAY 8

    October 17, 2023 in Australia ⋅ ⛅ 9 °C

    Doux réveil à au camping de Port Welshpool, le vent a cessé et le soleil laisse passer sa lumière juste avant de s’élever derrière l’épaisse couche de nuages. Direction le parc national du Wilsons Promontory, l’un des parcs les plus populaires d’Australie et on comprend pourquoi ! La météo est idéale, les paysages sont magnifiques et on y croise emus, kangourous, wallabies, wombats… On y passe la journée avant de conduire une bonne heure, jusqu’à… Philip Island !Read more

  • Day 256

    ROAD TRIP DAY 7

    October 16, 2023 in Australia

    Le septième jour à été celui de la fuite de la météo du Victoria, j’ai pourtant l’habitude que le temps change très rapidement dans ma Franche-Comté. La journée a commencé par un réveil gris au creux de la vallée, puis on a entendu un immense vent arriver. Vraiment, l’entendre avant de le sentir était impressionnant, ni Simone ni moi n’avions entendu une chose comme ça avant. Puis on a senti des gouttes, tout de suite un peu plus. On s’est réfugiés dans la voiture, sans manger, sans café. Au bout d’une bonne quinzaine de minutes, on se résonnait à replier la tente, mouillée. Bonne idée, puisque dès lors qu’on a eu fini, c’est la grêle qui a pris la place de la pluie. On est redescendu sur la côte pour le petit déjeuné, à Lake Entrance. Je crois que c’est un petit village portuaire assez touristique. C’était tellement venteux ce jour là… c’est ici que commence la fameuse 90 miles beach, qui fait environ 150 kilomètres de long, comme son nom l’indique.
    On décide de parcourir le plus de kilomètres possible, c’est une journée entre rayon de soleil et pluie/tempête, extrêmement venteuse. On passe dans les minis villes de Metung et Paynesville, sans même mettre un pied hors de la voiture. On fait aussi l’impasse sur l’île Raymond, connue pour être blindée de koalas, trop de vent pour le ferry. On atterri à Port Welshpool, un camping désert et bien inondé, pour y passer la nuit après des centaines de kilomètres en ligne droite. Après plusieurs nuits humides et fraîches, on se questionne : C’est quoi le pire tu penses, le vent ou la pluie ?
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  • Day 255

    ROAD TRIP DAY 6

    October 15, 2023 in Australia ⋅ ☁️ 17 °C

    Toujours aussi gâtés par les lever de soleil, on prend un petit déjeuné bien Australien à base de toast, œuf et saucisse avant de quitter Mallacoota pour la Snowy River. La vallée ce situe à environ une heure dans les terres. Premier rendez-vous à Buchan Caves, des formations de stalactites et autres datant de plusieurs centaines d’années, quand la mer couvrait encore ces terres. Elles ont été découvert par des chercheurs d’or et s’étendent sur des dizaines de kilomètres. On a décidé de planter notre tente dans ce parc et d’aller faire un tour à la rivière avant la nuit. Toujours des paysages aussi similaires à la maison, je crois même regarder par la fenêtre de chez papy et mamie parfois !Read more

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