Боливия
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10 лучших туристических направлений Боливия
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Путешествующие в этом месте
    • День 115

      Pampa, tout plein d'animales

      1 июня 2023 г., Боливия ⋅ 🌙 22 °C

      Par Arzhêl,

      On rentre à Rurrenabaque en suivant le courant du Rio Beni pour rejoindre la pampa. On suit pour se faire une longue route en travaux, autant dire que nos fessiers n'apprécient guère. Chanceux comme nous sommes, on croise deux paresseux (parrezoso) 🦥 sur le chemin, il paraît que c'est assez rare. Heureusement que Milton a la buenavista ! On y voit nos premiers alligators 🐊 et caïpibaras également, qu'on s'amuse bien sûr à courser. On a même la chance de passer à travers un énorme troupeau de vaches menées par des cowboys au coup fouet assuré. Watcha 🤠
      On mange en vitesse à Santa Rosa dans un hostel rempli de toucans et de perroquets🦜 avant d'arriver à destination.
      Ici, on monte sur un bateau dont on ne lèvera plus nos fesses avant longtemps. Safari time ! On suit le cours du Rio Yucama aux rives envahies par une végétation débordante, un bonheur constant pour les yeux. On croise des mono amarillo🦧, petits singes jaunes très sociables et qui deviennent fou à la vue d'une banane. Peu difficiles à inviter sur notre barque, l'un d'entre eux confondra même ses commodités avec la chevelure touffue de Maël. Il y a aussi des pescadors, un oiseau préhistorique avec une magnifique iroquoise sur la tête et au chant de castafiore. On compte parmi les plumés locaux des martins pêcheurs, des hérons et autres Ave (oiseaux) au bec en aiguille capable de tuer un anaconda. attention !
      Autour de nous se prélassent alligators et caimans qui se confondent avec des branches à la dérive, à l'affût de nos orteils qui dépasseraient. On croise régulièrement des tortues 🐢qui se réchauffent sur des tronçons de bois proches du rivage, allongées les unes sur les autres et qui plongent dans l'eau de temps en temps à notre passage pour les plus pleureuses. Enfin, le clou du spectacle, il y a des dauphins 🐬 ! Qu'est ce qu'il foutent là, nul ne sait, il y en a pourtant du chemin depuis la mer.. En tout cas ils sont bien plus discrets que les autres animaux. On ira voir finalement le coucher de soleil à Puerto del sol, qui étonnement n'est pas de tout repos. Sur l'inspiration de Laura, on danse sur du Bob Marley pour échapper à la nuée de mosquitos qui réclame son festin. No dengue, no cry. Le soir, on écoute les anectodes fantasques de David, un guide à qui il est arrivé bien des histoires. Disons qu'il s'en passe des choses dans la salva la nuit...

      On se lève tôt pour un lever de soleil où la brume entourant des arbres isolés donne un air de savane, c'est vraiment magnifique. En fait la végétation et les animaux se concentre autour de la rivière, sinon autour c'est bien moins rempli. On tente ensuite de pêcher notre petit déj pendant 1h avec bien plus de chance que précédemment, cest grisant. On en chope au moins 2 chacun cette fois !! No Piranha perro pescado gato🐟. On devrait passer dans le prochain chasse et pêche, restez à l'affût ! On en garde un peu pour les filer au caïmans plus tard.
      L'activité finale de cette aventure c'est baignade avec les dauphins. Enfin il y en a 1 et il restera à distance respectable, on part donc s'amuser avec les croco bien plus sympas. Finalement on retourne au lodge pour manger un plat qu'on n'arrivera toujours pas à finir, ils prévoient beaucoup trop ici, puis on fonce à travers la jongle pour rentrer à temps.

      Pour le retour, on retrouve notre chauffeur aux 4 femmes et 6 enfants qui nous régale d'un mix de reggaeton dont lui seul a le secret, y a de l'ambiance dans la pampa ! On aura vu presque toute la faune possible, mais on garde une pensée émue pour le jaguar qui nous aura échappé.
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    • День 211

      Missionskirchen und Fähren

      25 апреля, Боливия ⋅ ☀️ 32 °C

      In San Ignacio stoßen wir wieder auf den“Jesuit Mission Circuit“. Im 17. Jahrhundert gründeten die Jesuiten hier in der Gegend eine ganze Reihe von sogenannten Reduktionen, Dörfern, in denen die Jesuitenpater mit jeweils hunderten indigenen Familien lebten. Die Reduktionen waren weitgehend unabhängig von der spanischen Krone und die Indigne damit geschützt vor Verfolgung und Zwangsarbeit. Das war den Spaniern und Portugiesen natürlich ein Dorn im Auge und so wurden die Reduktionen Ende des 17. Jahrhunderts von der Krone verboten und aufgelöst, die Jesuiten verließen Südamerika wieder. Erst 200 Jahre später wurde die Geschichte wieder der Allgemeinheit bekannt. Vor allen durch die Arbeit von Hans Roth, einem schweizer Jesuiten und Architekten, der die Kirchen zwischen 1970 und 2000 alle wieder originalgetreu restaurierte bzw. wiederaufbaute. In San Ignacio lernen wir durch Zufall seinen Sohn Christian Roth kennen. Er ist auch Architekt in Bolivien und erzählt uns einiges zur Geschichte und gibt uns natürlich auch ein paar must-sees mit.
      So erfahren wir auch, dass in den hiesigen Kirchen derzeit auch das angeblich weltweit größte und bedeutendste Barockmusikfestival stattfindet. Anscheinend haben die Jesuiten auch mit Hilfe der Musik missioniert und im Rahmen der Kirchenrestaurierungen wurden tausende Notenblätter gefunden, die in Europa unbekannt oder verschollen waren.
      Sibylle nutzt die Gelegenheit und besucht eines der Konzerte vor unserer Bustüre.
      Und so hangeln wir uns die letzten 3 Tage von Mission zu Mission. Meist stehen wir zum Übernachten auf dem Plaza mitten in der Stadt.
      Heute geht’s dann weiter nach Westen durch die südlichsten Ausläufer des Amazonasbeckens. Auch wieder mit zwei interessanten Fähren.
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    • День 212

      Vom Amazonas durch das Yungas nach LaPaz

      26 апреля, Боливия ⋅ ⛅ 24 °C

      Heute war Fahrtag durch sämtliche Klimazonen. Morgens starten wir auf 200 m in San Borja, um 8 Uhr morgens hat es schon knapp 30 Grad. Die ersten 100 km auf nagelneuer Asphaltstraße. Mit dem Beginn der Ersten Berge verwandelt sich die Straße in eine Schlaglochpiste. Die nächste Stunde fahren wir im Slalom den gröbsten Schlaglöchern ausweichend durch tropischen Regenwald. Dann endet der Asphalt und wir fahren auf einer recht gut präparierten Erdpiste weiter. Das geht deutlich schneller voran.
      Dann geht es hoch aufs Altiplano. Der Pass beginnt in 1800 m und die Straße windet sich in endlosen, weiten Serpentinen auf 4650 m. Wir überholen unzählige Lastwagen, die sich im Schritttempo den Berg hochquälen.
      Schon kurz nach der Passhöhe passieren wir in 4300 m Höhe die Stadtgrenze von La Paz. Danach geht’s noch eineinhalb Stunden durch die Rush Hour von La Paz zu unserem Campingplatz in einem südlichen Vorort auf 3150 m.
      Wir packen wieder unsere Decken aus, hier sinkt die Temperatur nachts auf 3 Grad.
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    • День 213

      La Paz

      27 апреля, Боливия ⋅ ☀️ 19 °C

      La Paz erstreckt sich über mehrere Berge und Täler und bildet zusammen mit El Alto, das in 4000 m auf dem Altiplano liegt und mit La Paz zusammengewachsenen ist, das Zentrum Boliviens.
      Über iOverlander, der App für Reisende, bekommen wir Kontakt zu Gert. Er lebt seit 35 Jahren in La Paz und arbeitet mittlerweile als Guide. Wir engagieren ihn und erkunden einen ganzen Tag die Stadt. Die beste Möglichkeit, die Stadt zu erkunden, sind die Teleféricos. 9 Linien dieser Doppelmayr-Seilbahnen verbinden quasi alle Stadtteile und überwinden bis zu 700 Höhenmeter. Hochmodern, sauber, zuverlässig und günstig. Und obendrein hat man eine geniale Aussicht auf die Stadt und die umliegenden 6000er.
      Und Gert zeigt uns nicht nur die Stadt, sondern wir lernen viel über die Geschichte Boliviens und vor allem auch der aktuellen politischen Situation.
      Ein Höhepunkt ist der Besuch einer Wahrsagerin und Schamanin. Diese gibt es in Bolivien zu tausenden und sie werden zu jeglicher wichtigen Entscheidung hinzugezogen. Wir lassen uns nicht die Zukunft voraussagen, sondern unterhalten uns nur mit ihr. Sie ist eine richtige Cholita und erzählt uns aus ihrem Leben. Auf dem Land aufgewachsen durfte sie als Mädchen nicht zur Schule gehen und ist dann erst mit 14 Jahren in die erste Klasse gegangen. Insgesamt war sie nur 3 Jahre auf der Schule. Sie lebte mit verschiedenen Männern im Konkubinat, was in ihrer Kultur akzeptiert ist. Sie zieht zur Zeit alleine ihre Kinder auf. Eine starke, selbstbewusste Frau.
      Spätnachmittags gehen wir noch auf den Hexenmarkt, auf dem all die Opfergaben, die man als Schamane so braucht, verkauft werden. Unter anderem getrocknete Lamaföten und - babies. Zufällig werden wir auch noch Zeuge einer spirituellen Reinigung.
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    • День 72

      Tuni : entre lacs et montagnes

      25 апреля, Боливия ⋅ ☁️ 11 °C

      Tuni, dernier stop du voyage. Et quel stop ! 🤩
      Ce hameau est un cul de sac, au pieds des montagnes de la Cordillera Real culminant entre 5000 et 6300m d'altitude. 5 familles vivent ici (15 environs), mais pas en continue. 2 vivent quasi a l'année car elles tiennent des auberges pour les touristes et les autres cest surtout durant la période estivale quand les lamas et alpagas sont en patures. Il y a donc 30 fois plus de camélidés que d'habitants à Tuni et je vous laisse imaginer le nombre de pétoulettes qu'il y a partout dans les montagnes 😅
      Bref, moi qui suit venu pour me reposer, me déconnecter et marcher j'ai était servi ! C'est d'un calme impressionnant, il n'y a absolument pas de réseaux et pleins de balades (sur des sentiers plus ou moins inexistants...).
      Moulte fois recommandé par les groupes fb et autres, les touristes qui viennent loger ici sont 100% de francophones, autant vous dire ça prrique l'espganol à fond ! 😆
      La famille qui accueille est tellement sympa, ils sont aux petits soins. Ils parlent espagnol (ceux qui n'est pas le cas de tout le monde dans les petits villages ici où beaucoup ne parlent qu'amayra ou queshua) et comprennent bien le français. Les repas sont bons, malgré que j'ai eu mes premiers problèmes intestinaux alors que j'avais résisté jusque là ! 😬 Bon après quand tu vois que le mouton est dépecé à 14h et reste dehors 24h passant de pleins soleil a 5 dzgres la nuit c'est pas très étonnant qu'on est mal au ventre...
      Sinon pour finir les randonnées que j'étais faites et très belles, mais même sans balader loin et longtemps le paysage ici est très beau. Il y a pleins de lacs, depuis les sommets on voit aussi le lac titicaca caca quand il faut beau, il y a des somment escarpés, des glaciers, des camélidés partout et toutes sortes de rapaces. Cette fois je ne suis pas montée plus haut de 5300m mais cette fois j'ai eu un temps incroyable qui m'a permis d'avoir une vue à 360° qui fait rêver !!! 😍🤩😍 🏔⛰️🗻 ☀️

      Retour à La Paz ensuite pour un week-end entre copines et 2 petits jours de repos avant de regagner le Pérou et continuer quelques temps le voyage à deux ! 😉🥰
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    • День 75

      Weekend entre copines à La Paz

      28 апреля, Боливия ⋅ ☁️ 10 °C

      C'est la fin du voyage en Bolivie après 2 mois à gambader à travers le pays. Mais avant c'est week-end de "despepida" entre copines 🥰🤗 avec un programme chargé évidemment !
      Nous avons fait une super expo, bu un verre dans un bar irlandais (oui ça existe aussi en Bolivie), aller danser en boîte, manger péruvien, se balader au parc, et faire un bon petit dej dans un joli petit café ! Mais surtout nous avons rigoler à nous remémorer des souvenirs de notre échange en Argentine ! 😆
      J'ai passé un weekend à leur dire 1000 mercis car elles ont été dans accueil, d'une bienveillance, d'une aide incroyable durant ces 2 mois et que cela m'a fait énormement plaisir de connaître les lieux qu'elles aiment et d'entrer dans leur quotidien ! Elles m'ont aussi appris beaucoup de choses et sans elle mon périple en Bolivie n'aurait pas eu la même saveur.
      Bref, un week-end parfait pour finir tranquillement mon périple, les 2 jours suivants ont servi à me reposer et profiter pour faire le pleins de petits souvenirs colorés à ramener !! 😉
      Un peu de tristesse quand même de quitter la Bolivie mais l'aventure continue au Pérou et pas seule cette fois 🥰 alors pas de place pour la mélancolie, j'aurais tour le temps de l'être en rentrant en France ! 😄

      En photo, quelques tableau de l'exposition que nous sommes allées voir et de tous pleisn de peintures qui innondes les rues de La Paz mais dont on passe souvent devant sans les voir.
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    • День 217

      Tiawanaku und Titicacasee

      1 мая, Боливия ⋅ ⛅ 15 °C

      Wir sind wieder auf dem Altiplano. Nachts sinken die Temperaturen auf knapp über den Gefrierpunkt und nachdem wir in La Paz schon unsere Decken auspacken mussten, kramen wir jetzt die Schlafsäcke wieder raus.
      Gestern ging es von La Paz nach Tiawanaku, der bedeutendsten Prä-Inka Siedlung Boliviens. So richtig viel weiß man nicht über diese Kultur. Aber sie war wohl die erste städtebauende Kultur in der Region. Pyramiden, in die Erde gebaute Tempel- oder Grabanlagen und tonnenschwere Steinmetzarbeiten, die zum Teil noch recht gut erhalten sind. Wir übernachten auf dem Parkplatz vor der Ausgrabungsstätte.
      Heute fahren wir dann auf kleinen und kleinsten Straßen entlang des Südostufers des Titicacasees. Abends fahren wir nochmal mit einer abenteuerlichen Fähre auf eine Halbinsel.
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    • День 219

      Copacabana und Isla del Sol

      3 мая, Боливия ⋅ ☁️ 10 °C

      Wo hat man schon die Gelegenheit, in 4000 m Höhe eine Küstenwanderung zu machen? Im strömenden Regen und Gewitter fahren wir mit einem kleinen Boot von Copacabana an die Nordküste der Isla del Sol. Dort wandern wir erst anstrengende 200 Höhenmeter weiter nach Norden und dann entlang des Hauptkamms an das Südende der Insel. Wieder runter steigen wir über Treppen, die schon von den Inkas angelegt wurden.
      Auf der Insel leben einige Hundert Menschen, früher von Landwirtschaft und Fischfang, heute hauptsächlich vom Tourismus. Die terrassierten Hänge sind noch überall zu sehen. Die Insel ist autofrei und sämtliche Lasten werden von Packeseln transportiert. Auf dem Wanderweg hat man herrliche Aussichten über die Insel und den Titicacasee. Nachmittags kommt auch die Sonne raus und wir können im Osten die Andenkordillere mit ihren 6000ern erahnen.
      Wir stehen zwei Tage in Copacabana direkt am Strand. Copacabana ist ein wichtiger Wallfahrtsort und vom Ende des Kreuzwegs auf einen Hügel hat man einen tollen Blick auf Copacabana und den See. Skurrilerweise ist die Basilika aus der Kolonialzeit komplett im maurischen Stil gehalten.
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    • День 89

      Potosí - Part 1

      3 мая, Боливия ⋅ ☀️ 15 °C

      Gestern ging es dann mit dem Bus über Nacht nach Potosi. Potosie war im 17. Jahrhundert eine der größten Städte der Welt. Grund dafür waren große Silbervorkommen, welche bis heute abgebaut werden. Genau deshalb sind wir auch hierher gekommen, wo hat man schon die Gelegenheit, in einer aktiven Mine den Bergleuten über die Schultern zu schauen.
      Um 7 Uhr kam der Bus an und nach einem Frühstück ging es dann in einer kleinen Gruppe los. Erst wurden wir eingekleidet, dann ging es zum Bergarbeiter Markt, wo wir uns mit Kokablättern, Wasser und Sprengstoff eindeckten. Kein Scherz! Es gab TNT Stangen zum freien Verkauf, schlappe 3,5 Euro pro Stück 😅.
      An der Mine angekommen war richtiger Hochbetrieb, wir teilten uns die schmalen Gänge mit den Bergarbeitern und ihren Erzwägen, was zeitweise wirklich hektisch wurde. Wenn die knapp 1,5 Tonnen schweren Wägen anrauschten, half nur sich dicht an die Wand zu pressen, um nicht erwischt zu werden. Knappe 600m tief ging es für uns über 3 Ebenen, bis zu 60 höhenmeter in den Berg. Wir mussten kriechen, klettern und rennen. Durch den hohen Feinstaub und die Phosphor Resten, brannte die Luft beim Atmen, bis tief in die Lunge. Kurz vor Ende zündeten wir in einem der Stollen das mitgebrachte TNT, super aufregend. Als wir nach knapp 2 Stunden wieder Tageslicht sahen, waren wir sichtlich erleichtert, aber auch begeistert, über diese doch grenzwertige Erfahrung.

      Dün gece boyunca otobüsle Potosi'ye seyahat ettik. Potosi 17. yüzyılda dünyanın en büyük şehirlerinden biriydi. Bunun nedeni, bugün hala çıkarılmakta olan büyük gümüş yataklarıydı. Buraya tam da bu yüzden geldik - başka nerede aktif bir madende madencilerin omuzlarının üzerinden bakma fırsatınız olabilir?
      Otobüs sabah 7'de geldi ve kahvaltıdan sonra küçük bir grup halinde yola çıktık. Önce giysilerimizi giydik, sonra madencilerin pazarına gittik ve burada koka yaprağı, su ve patlayıcı stokladık. Şaka değil! Neredeyse ücretsiz satılan TNT çubukları vardı, tanesi sadece 3,5 Euro 😅.
      Madene vardığımızda gerçekten çok yoğundu, dar koridorları madenciler ve onların cevher arabalarıyla paylaştık, bu da zaman zaman gerçekten telaşlı hale geldi. Neredeyse 1,5 tonluk vagonlar hızla yukarı çıktığında, yakalanmamanın tek yolu kendinizi duvara yakın tutmaktı. Dağın 60 metre içine kadar 3 kat boyunca neredeyse 600 metre inmek zorunda kaldık. Sürünmek, tırmanmak ve koşmak zorundaydık. Yüksek seviyedeki ince toz ve fosfor kalıntısı nedeniyle hava nefes aldıkça ciğerlerimizin derinliklerine işliyordu. Sondan kısa bir süre önce tünellerden birinde yanımızda getirdiğimiz TNT'yi patlattık - süper heyecan vericiydi. Neredeyse 2 saat sonra tekrar gün ışığını gördüğümüzde, gözle görülür bir şekilde rahatlamıştık ama aynı zamanda bu sınırda deneyim için heyecanlıydık.
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    • День 114–120

      La Paz

      25 апреля, Боливия ⋅ ☀️ 9 °C

      Unsere letzte Station in Südamerika. Morgens um 9 landen wir in El Alto auf 4000 Metern Höhe. Nach der kurzen Nacht ist das dann schon ganz schön anstrengend. Kurz drauf sind wir im Hostal Anata, wieder in einer ruhigen, echt schmucken kleinen Gasse - dem Kolonialviertel.
      Wir machen uns auf eine erste Tour in die Stadt und der Unterschied zu allem bisher gesehenen ist gewaltig. Vor allem die meist recht kleinen Frauen, in ihrer Tracht, mit zu kleinem Hut und einem Gepäcktuch über den Schultern fallen auf und prägen das Stadtbild. Da wir unsere letzten Tagen nicht mit Magen-Darm-Kapriolen verbringen wollen, fragen wir Google nach Restaurants mit guten Bewertungen. Nach einem üppigen Mittagessen können wir unser Zimmer beziehen und machen erst einmal einen Mittagsschlaf. Den Abend verbringen wir mit anderen Reisenden auf der Dachterrasse mit toller Aussicht auf die beleuchteten Hänge der Stadt.

      Unser Hostal ist auf 3600m und wir spüren beide noch die Höhe und lassen es langsam angehen. Gleich ums Eck ist das Nationalmuseum für Ethnografie und Folklore.
      Gezeigt werden Traditionen, Masken, Musikinstrumente, Handwerk und die "Veränderungen", die die Eroberer mitgebracht haben.
      Nach einer Mittagspause finden wir uns zu einer Free Walking Tour am Plaza San Pedro ein. Drei Stunden ziehen wir durch die Stadt. Daniel, unser Guide, fängt mit dem Gefängnis an. Dort gibt es keine Wärter, innerhalb der Mauern organisieren sich die Gefangenen selbst, wählen Vertreter und so kann eine Menge Geld gespart werden. Das Rechtsprinzip ist auch etwas verschieden zu unserem: du kommst zuerst in den Knast und musst dann selber deine Unschuld beweisen. Und du musst, je nach Einkommen, auch Eintritt bezahlen. So ist dort eine eigene Welt entstanden. Wichtig ist wohl vor allem die Gastronomie, weil die eine Mahlzeit am Tag, die jeder bekommt, doch zu wünschen übrig lässt. Und der Drogenhandel blüht auch. Dort gibt es wohl das reinste Kokain weltweit. Die Rohstoffe werden problemlos von den vielen Besuchern reingebracht und dort wird dann beste Ware daraus gemacht. Der Weg raus geht über Wurfpost in den Park, in dem wir gerade stehen. Alle wissen, wie es abläuft - und es läuft weiter.
      Auch Familien dürfen dort zum Übernachten kommen, die Kinder gehen tagsüber in die Schule und gehen nachts "nach Hause".
      Das, was bei den Aymara nach eigener Kultur aussieht, sind fast alles Importprodukte. Die ausgestellten Röcke sind den spanischen Frauen nachgemacht, um nicht so ausgegrenzt zu sein. Und die zu kleinen Hüte haben italienischen Ursprung. Beides wird heute aber mit Stolz getragen. Nur die Stofftücher als Transportmittel und die langen, teils verlängerten Haare (als Zeichen der Weisheit) sind original. Ebenso spannend waren die Beschreibungen der schamanischen Traditionen auf dem Hexenmarkt: die getrockneten Lamaföten (es werden nur natürlich gestorbene Föten und Tiere verwendet), die hier zum Kauf angeboten werden, werden als Opfergabe an Patchamama, an Mutter Erde verwendet. Bevor etwas gebaut wird, wird ein Opfer gebracht, damit auch alles gut geht.
      Das traditionelle Flirten zwischen Mann und Frau beginnt mit dem Blenden mit einem Spiegel. Ist das Gegenüber interessiert, läuft sie davon. Und bei noch mehr Interesse zeigt sie ihm dann ihre Knöchel - weil starke Knöchel als Zeichen der Robustheit gelten.
      Nach Besichtigung der Kathedrale (da gibt es Symbolen der Aymara-Kultur in der Außenfassade) und des Präsidentenpalastes sind wir übervoll an Informationen und gönnen uns wieder ein leckeres Abendessen im Café del Mundo.

      Den nächsten Tag verbringen wir unspektakulär und genussvoll in der Stadt, kaufen ein paar Souvenirs und lassen das rege Treiben und das wilde Gehupe auf uns wirken.

      Um 8.30 Uhr werde ich am Hostel abgeholt. In der Hoffnung, dass von meiner guten Kondition noch was übrig ist und die Höhenanpassung schon gut ist, will ich mich am Huayna Potosi (6088m) probieren. Wir werden mit Plastikbergschuhen, Steigeisen, Helm, dicken Handschuhen und Gurt ausgestattet und fahren in einer guten Stunde auf 4700 Meter. Dort gibt es Mittagessen und dann geht's zum Campamento Roca, einer einfachen Hütte auf 5200 Metern. Der Rucksack mit dem ganzen Zeug wiegt einiges, aber irgendwie läuft der Aufstieg ganz locker. Die Hütte ist einfach und praktisch ausgestattet, mehr braucht es nicht. Unser Guide bespricht den nächsten Tag, es gibt Abendessen und nach dem Rucksack vorbereiten geht es um 18 Uhr ins Bett. Und dann schlägt die Höhe bei mir zu. Der hohe Puls stört mich eher wenig, aber die Atmung kommt nicht zur Ruhe und damit kann ich mich bis zum Wecken um Mitternacht ganz und gar nicht erholen. Nach einem schnellen Frühstück geht es um 1 Uhr los. Nach 20 Minuten im Fels kommen wir auf den Gletscher und Edgar, unser Guide, nimmt Ruben und mich ans Seil. Es gibt eine gute Spur und im Schein der Stirnlampe geht es langsam und gleichmäßig aufwärts. Auch nachts beeindruckt der Gletscher und stellenweise wird es richtig steil. Und nach einer dieser Steilstufen auf 5750 Meter sagt mein Körper, dass es reicht. Schade, aber das gehört in den Bergen eben dazu. In einer anderen Seilschaft trifft auch jemand die Entscheidung zur Umkehr und so geht es in neuer Zusammensetzung zurück zur Hütte. An jedem noch so kleinen Gegenanstieg merke ich, dass es die richtige Entscheidung war. Bei Beginn der Dämmerung sind wir unten, mich interessiert aber nur mein warmer Schlafsack. Dannach geht es mir wieder etwas besser und ich freue mich mit den völlig erschöpften Gipfelrückkehrern über deren Erfolg. Es gibt nochmal Essen, aber das lass ich lieber sein - irgendwie ist alles durcheinander. Zurück in La Paz gibt's einen Mittagsschlaf, dann gehen wir nochmal in die Stadt. Das kleine Coca-Museum ist voll mit Leuten und Informationen. Das hin und her zwischen erlauben und verbieten, die Bedeutung für die indigene Bevölkerung und natürlich die Folgen von Kokain werden aufgezeigt.

      Unseren letzten Tag beginnen wir mit Rucksack packen, dann fahren wir noch eine Runde Gondel. Hochmoderne Kabinenbahnen aus Österreich sind inzwischen ein sehr wichtiges Verkehrsmittel in der Stadt und am Nachmittag ist die Schlange Richtung El Alto sicher hundert Meter lang. Schon wieder geht es um 18 Uhr ins Bett. 22 Uhr aufstehen. Um 23 Uhr holt uns ein Taxi ab und bringt uns zum Flughafen. Die Fahrt hat gewaltig an den Nerven gezehrt. Ein altes klappriges Auto, bei dem so einiges nicht funktioniert und dessen Motor kein Vertrauen erweckt. An der ersten Tankstelle fragt der Fahrer, ob er kurz tanken kann. Angesichts der langen Schlange entscheiden wir uns dagegen, was den Spannungsbogen noch erhöht. So einen Start in den Tag braucht es nicht. Die Vorstellung, nachts in El Alto liegen zu bleiben, stresst gewaltig. Wenn man da tagsüber als Tourist schon nicht hin soll... Aber wir erreichen den Flughafen - und das Taxi springt danach erstmal nicht mehr an.
      Es braucht eine Weile, bis wir uns wieder beruhigt haben. Wir geben das Gepäck auf, müssen wieder digitale Grenzformalitäten erledigen und erfahren, dass ich für die Dominikanische Republik auch ein Einreiseformular brauche. Und das hält uns auf Trab. Mein Hostal ist nicht in der Liste und ich komme auch nicht mehr an die Infos meines Weiterflugs nach Martinique, die sind nämlich sicher im Frachtgepäck. Unser Backup in Nürtingen darf an unserem Stress teilhaben - Sorry und Danke Bärbel! Selber kriegen wir es nicht hin, ein Mitarbeiter der Fluglinie, wir sind bereits beim Boarding, betont nochmal, dass ich ohne dieses Formular nicht mit darf und hilft uns beim Ausfüllen. Alle Passagiere, also bis auf zwei eben, sind schon an Board. Das hebt den Stresspegel nochmal an. Erst mit erfundenen Daten und einer anderen Unterkunft kommt das ok. Der Fluglinienmitarbeiter legt aber nochmal wert darauf, dass er uns offiziell nicht geholfen hat. Hinter uns schließen sich die Flugzeugtüren und bis wir am Platz sind, geht es schon los. Wir konnten uns nicht vorstellen, dass die Taxifahrt noch getoppt wird. Darüber verfallen wir in einen Lachanfall. Ein ruhiger Flug mit etwas Schlaf. Zwischenstopp in Bogota, mit langer, aber angenehmer Wartezeit. Und nach 10 Wochen trennen sich hier dann unsere Wege. Anna fliegt zurück nach Hause. Wir hatten eine tolle gemeinsame Zeit, immer wieder mit Herausforderungen, aber ich bin dankbar für die gemeinsamen Erlebnisse. Schön war's!
      Das gesamte Helfersystem ist erleichtert, als ich den Flieger nach Santo Domingo besteige. Das war der (bisher 😁) anstrengendste Tag meiner Reise!
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    Вам может быть известно это место также под этими именами:

    Plurinational State of Bolivia, Bolivien, Bolivia, Bolivië, ቦሊቪያ, Bolibia, بوليفيا, Wuliwya, Boliviya, Балівія, Боливия, Bolivi, বোলিভিয়া, བོ་ལི་ཝིཡ།, Bolivija, Bolívia, Bolívie, Bolifia, Bolivia nutome, Βολιβία, Bolivio, Boliivia, بولیویا, Boliwii, Bolivie, An Bholaiv, Boilibhia, બોલિવિયા, Bolibiya, בוליביה, बोलीविया, Բոլիվիա, Bólivía, ボリビア共和国, ბოლივია, បូលីវី, ಬಲ್ಗೇರಿಯಾ, 볼리비아, बोलिविया, بۆلیڤیا, ໂບລິເວຍ, Mbolivi, Bolīvija, Боливија, ബൊളീവിയ, बोलिव्हिया, Bolivja, ဘိုလီးဘီးယား, Boribiya, Bolivtlān, Bholiviya, बोलिभिया, ବୋଲଭିଆ, Boliwia, Puliwya, Bolivïi, බොලීවියාව, Boliifiya, பொலிவியா, బొలీవియా, โบลิเวีย, Polīvia, Bolivya, بولىۋىيە, Болівія, Bô-li-vi-a (Bolivia), Bolivän, Orílẹ́ède Bọ̀lífíyà, 玻利維亞, i-Bolivia

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