Ecuador
Provincia de Napo

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Top 10 Travel Destinations Provincia de Napo
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Travelers at this place
    • Day 33

      Quito Express

      June 18, 2022 in Ecuador ⋅ 🌧 22 °C

      C’est le jour de la grande aventure ! On entame notre trajectoire manifestante depuis Puyo en direction de Quito. Mais étape 1, on s’est données comme objectif d’atteindre la ville de Tena aujourd’hui. 80km et des barrages plein les rues, on a tenté de se renseigner sur l’ampleur de ce qui nous attendait, mais les informations équatoriennes sont plus qu’approximatives. Certains nous disent qu’il y a plus de 150 paros, d’autres uniquement 3, ce sera la surprise.

      Notre réseautage de la veille s’est avéré utile, on passe tranquillement le premier barrage qui est aussi le plus dur grâce à un gentil monsieur qu’on a rencontré la veille et qui a plaidé en notre faveur.
      Puis, deuxième barrage quelques kilomètres plus loin : on nous dit clairement qu’on ne passera pas, qu’eux sont là depuis plusieurs jours à se battre et qu’ils ne comprennent pas pourquoi nous on ferait du tourisme. On leur explique qu’on les soutient et qu’on peut les aider, et ils acceptent de nous laisser passer si on les épaule 20 minutes. On leur propose des cannes à sucre, on leur parle des gilets jaunes puis on finit par chanter la vie en rose sur leur demande, ce qui les convainc de nous laisser partir ! Ah, et aussi ils ont pris nos contacts sur les réseaux sociaux, la grande méthode de drague des sud-américains.

      Et de deux ! C’est reparti. Les autres sont plus simples, on se retrouve même à se voir offrir un repas traditionnel, tandis que d’autres piochent plus qu’allègrement dans nos réserves de bonbons et de gâteaux. Certains encore en viennent à nous proposer de dormir chez eux, dessinent sur le visage d’Anais et TOUS prennent des photos avec nous. Nous devons parfois marcher sur plusieurs kilomètres avec nos 15kg sur le dos car aucun taxi n’est présent entre deux barrages, et à d’autres moments les indigènes se démènent pour appeler leur cousin taxi et qu’on ne doive fournir aucun effort.

      Nous avons rencontré de très belles personnes, qui vivent des moments durs et qui persévèrent parfois au risque de leur vie pour faire valoir leurs droits. Une de nos journées préférées du voyage en définitive ! En particulier lorsqu’on est arrivées à l’hôtel à Tena et qu’on a pris une douche chaude.
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    • Day 507–509

      Zu Gast bei den Sinchi Warmi

      April 5 in Ecuador ⋅ ⛅ 29 °C

      Im Amazonastiefland Ecuadors leben verschiedene indigene Völker, so auch die (amazonischen) Kichwa. Wir verbringen ein paar entspannte Tage bei den Sinchi Warmi aus der Gemeinde San Pedro de Misahuallí. Sinchi Warmi bedeutet soviel wie starke, tapfere Frauen.

      Betty, die Leiterin des Projektes, erzählt uns, dass in vielen Kichwa-Gemeinden die Frauen den Männern noch immer stark untergeordnet sind. Sie selbst hatte vom Machogehabe der Männer irgendwann die Schnauze voll, woraufhin sie den Mut fasste etwas zu verändern. Anfang der 2000er Jahre gründete sie mit 12 anderen Frauen Sinchi Warmi. Die Anfangsjahre waren sehr hart und während dieser Zeit wurden einige der Frauen von ihren Männern verlassen, weil die mit der neu gewonnenen Selbständigkeit der Frauen nicht zurecht kamen. Heute erwirtschaften die Sinchi Warmi durch nachhaltigen Tourismus ihr eigenes Einkommen, wodurch sie wiederum ihre Lebensqualität verbessern können. Gleichzeitig bewahren sie ihre eigene Lebensweise und Kultur im Einklang mit der Natur, teilen ihre Bräuche & Traditionen aber gern mit Außenstehenden. Ein, wie ich finde, sehr tolles und gelungenes Projekt der Entwicklung, Nachhaltigkeit und Gleichstellung. Die Community wächst, mittlerweile wohnen auch Männer und Kinder dort. Dennoch besteht kein Zweifel daran, dass die Frauen hier alles unter Kontrolle haben.

      Ein kleiner Einblick in die Kultur der Kichwa Amazónico:
      https://conaie.org/2014/07/19/kichwa-amazonico/
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    • Day 9

      Heiße Thermalquellen und heiße Outfits

      November 3, 2019 in Ecuador ⋅ ⛅ 12 °C

      Heute hieß es Abschied nehmen von Quito und auf in Richtung Amazonasgebiet und Dschungel. Aber den Zwischenstopp an den vulkanischen Thermen in Papallacta wollten wir uns nicht nehmen lassen. Bezüglich der Bademode sind wir nun auf jeden Fall auf dem neuesten Stand und sollten wohl dringend in einem der nächsten Shops einkaufen gehen :-)Read more

    • Day 10

      Regenhalt im Regenwald

      November 4, 2019 in Ecuador ⋅ ☁️ 25 °C

      Von Papallacta ging's los in Richtung Lago Agrio. Trotz Regen haben wir einen Zwischenstopp am San Rafael Wasserfall gemacht, Ecuardors größtem Wasserfall. Und sind froh, dass wir die kostenlose Regendusche mit anschließendem Warten auf den Bus in Kauf genommen haben. Der Wasserfall und der Weg dorthin waren wahnsinnig schön.
      Angekommen in Lago Agrio, wollten wir den schönen Tag mit leckerem Essen besiegeln - lecker liegt allerdings im Auge des Betrachters ;-)
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    • Day 264

      Casa del Suizo Lodge

      February 14, 2020 in Ecuador ⋅ 🌧 31 °C

      Wegen eines drei tägigen Generalstreiks in Kolumbien müssen wir hier in Ecuador noch drei zusätzliche Tage einschieben. Kein Problem, kurz entschlossen buchen wir drei Tage in einer Lodge in Ahuano am Rande vom Amazonas. Mit dem Boot und Führern erkunden wir den nahen Dschungel sowie Farmen am Rio Napo.Read more

    • Day 106

      Au coeur des ténèbres ? 👹

      June 28, 2022 in Ecuador ⋅ ⛅ 28 °C

      [Emma - Suite péripéties crise sociale Équatorienne. Désolée pour la longueur, j’avais envie de détails, mais le souvenir vaut le détour]

      On part aujourd’hui à moitié pleines d’espoirs et à moitié pleines de dérisions face à ce plan sans queue ni tête. Nous optons pour la route la moins touristique, c ce qui signifie aussi moins de villes pour dormir. On ne sait pas si on doit s’attendre à de la violence ou à une folle ambiance, mais ce qu’on sait, c’est qu’on aimerait dormir à Tena ce soir.

      On passe la ligne de départ à 10h30, au lieu de 9h30. On est en plein de la philosophie du groupe. Qu’est ce qu’une heure de retard dans cinq mois de voyage après tout. On débute par un premier fiasco puisque nos deux plans taxis pour rejoindre le premier barrage ne daignent répondre à nos appels. (Que ceux qui pensent qu’on aurait pu anticiper se taisent à jamais 🤡)

      Bref, c’est parti pour l’échauffement du jour. Ça monte un genoux par ci, un genoux par la, sans oublier les montagnes de sacs à dos sur nous. Vous avez l’image ? On arrive tant bien que mal au premier barrage après 50 minutes de marche. Il y a beaucoup plus de monde que les fois précédentes et les indigènes semblent beaucoup plus virulents. Un jeune masqué nous menace de sa lance et nous dit qu’on ne passera pas. Il faut dire qu’on est pas aidées par le nombre de personne qui veulent passer : voitures et fourgonnettes en tout genre.

      Heureusement notre bonne étoile est avec nous. La première étape fut largement négligée par l’équipe, cependant nous avons eu la sainteté d’esprit d’anticiper la deuxième.
      [La veille au soir, devinez où nous fûmes ? sur les bancs du paro pardi. Nous avons beaucoup discuter avec les plus jeunes manifestants. Ils nous ont expliqué leur cause et décrit de quoi étaient fait leurs lances : un peu du bois le plus dur de l’Amazonie agrémenté de quelques pelures de singes et hop le tour est joué. On a tenté de leur apprendre quelque chants révolutionnaires français mais il faut dire que notre répertoire n’était pas fameux. Alors on a vite arrêté. L’ambiance était quand même un peu pensante, certains n’avaient pas l’air très content de notre présence, d’autres dormaient sur des matelas pour les plus chanceux et sous des camions pour d’autres. Des femmes préparaient le repas pour tout ce beau monde. Ça faisait déjà six jours que ça durait.]
      Tout ça pour dire qu’un des indigènes nous a reconnues le lendemain matin. Il s’avère que c’était le chef du barrage et que par chance il a nous autorisé un laissé passer parcequ’on les avait aidé la vieille. Mais le barrage était tellement gros que ceux du fond n’avaient pas entendus là décision. Lances pointées sur nous, cinq indigènes maquillés courent et commencent à chanter. On nous laisse finalement passer grâce à l’intervention de nos amis. Un monsieur avec les yeux très rouges de fatigue nous dit que nous, on ne souffre pas dans notre pays. Je me dis que notre urgence d’avion n’est pas grand chose face à leur situation. A ce moment là je passe la gorge serrée entre les militants.

      Un civile s’étant improvisé taxi, nous amène jusqu’au prochain paro. Vous connaissez le dicton il en faut peu pour être dangereux ? Ils étaient dix mais pourtant personne ne pouvait passer. Des deux sportifs du dimanche à vélo jusqu’à la famille d’une vingtaine de personnes en deuil, il n’y avait rien à faire. « Ça fait six jours que je suis ici et toi tu fais du vélo ? Rentre chez toi » ,« Les morts sont morts, on est ici pour aider les vivants ». Vous l’aurez compris, aucune excuse n’est valable. Après quelques minutes passées avec eux, (et quelques cannes à sucres léguées) ces grands gaillard(e)s s’adoucissent. L’un nous parle de son travail d’ingénieur et l’une nous fait chanter des chansons « romantiques » en français. Alors on leur a un peu fait voir la vie en rose et on peut dire un grand merci à cette bonne vieille Edith Piaf pour ce deuxième passage.

      Un garçon de notre âge s’entête à vouloir nous accompagner jusqu’au prochain paro. Il nous a aidé à négocier en assurant qu’on avait appuyé plus d’un barrage et qu’on avait participé à plus d’un jour de mission dans une finca en Amazonie. Il lui a fallut trois barrages pour comprendre qu’aucun mariage n’étais possible avec l’une d’entre nous. Aussitôt a-t-il compris aussitôt le filou est reparti.

      Nous voilà seules sur la route. Plus de motos pour nous escorter. Mais la chance continue de nous sourire puisqu’on croise le seul taxi à 100km à la ronde. Celui ci (dont on oubliera le prix) nous avance jusqu’au prochain paro ou on se fait littéralement raquetter par un papi fan de coca cola. S’en suit un pillage du gâteau qu’on avait concocté la veille. Semblant rassasiés et satisfait du gâteau, c’est une autre victoire pour l’équipe.

      On marche un peu plus d’une heure sans croiser personne. La route est magnifique. On est en pleine amazonie. Les lanières commencent à creuser mes hanches et mes clavicules. Mais personne ne se plaint car ce n’est pas le moment de se dégonfler, nous ne sommes qu’à mi chemin.

      On tombe à nouveau sur un très gros paro où d’immenses arbres ont été abattus sur la route. L’ambiance semble assez festive, c’est l’heure du repas et vas y que je me mets un poisson grillé sous la dent par ci, et vas y que je me mets une banane plantain sous la dent par la. C’est ambiance barbecue du dimanche à Ville-Franche sur Mer. Tous semblent très étonnés de notre présence, on nous ordonne très rapidement de poser nos sacs à terre pour se reposer. Un petit attroupement de personnes se fait autour de nous. Cependant certains ne parle que quelques peu espagnol. Le mix quechua-castellano ne fait pas bon ménage mais on comprend qu’ils veulent nous faire visiter la région. Tout le monde se démène pour nous, on nous apporte une assiette entière (poisson grillé d’Amazonie) et d’autres sont au téléphone avec toutes la région pour nous dégoter un taxi.

      On s’en va finalement en les remerciant infiniment. Un monsieur adorable en taxi nous avance de quelques kilomètres précieux. On croise quelques paro ou les militants nous demandent des photos. On sent qu’on est dans l’Amazonie non touristique et qu’ils sont très curieux de voir d’autres cultures. Ces personnes ont été très accueillantes avec nous malgré le fait qu’ils ne parlaient que très peu espagnol.

      Le dernier barrage qu’on croisera nous apprendra que demain, il est prévu que tous les indigènes se dirige vers Quito pour, je cite, « enflammer le Palais Royal ». Ils nous proposent de venir avec eux en bus, proposition que nous déclinerons avec regret mais raison.

      On arrive finalement à Tena où nous trouvons un super plan pour traverser les barrages du lendemain.

      Quelques restaurants et heures de dodo plus tard, le quatuor reprend la route, et aujourd’hui messieurs dames, on a pas opté pour le pingouin le plus lent de la banquise. Vitesse moyenne de 148km/h. Je peux vous dire qu’on a jamais avancé aussi vite. J’ai les mains en sueur. La doctrine du taxi : le dos-d’âne ça passe mieux avec de l’élan. On se fait escorter sur le barrage. Le service de la compagnie de taxi est plus qu’organisé. On traverse dès Climats très différent en taxi. Certains ponts sont à moitié détruits et le chauffeur ne manque pas de faire le signe de La Croix après chaque passages. Je suis triste de quitter l’Amazonie.

      Nous voilà arrivées en banlieue de Quito. Au bilan : a notre grande surprise le jour préféré du voyage d’Oriane et une mission réussie. Deux jours de marche/taxi pour parcourir 243km. Beaucoup d’echanges et une belle performance strava si on oublie le fait qu’en temps normal tout ce petit ramdam se fait en seulement 4h30 de voiture. Ma Renaud Twingo première génération prend une toute nouvelle place dans mon estime.
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    • Day 37

      Die Reise geht weiter

      September 7, 2022 in Ecuador ⋅ ⛅ 18 °C

      Weitere Tage vergingen im Tierheim. Ich versuchte mit dem was vorhanden ist, den Hunden helfen wo ich kann, einen Unterschlupf zu bauen oder ihre Aufenthaltsmöglichkeiten zu verbessern. Dazu natürlich eine Menge Streicheleinheiten und viel Liebe. Auch die Hunde am Wohnhaus brauchten mal Auslauf und bekamen von Ash und mir eine Sonderbehandlung. Hier werden zwar viele Hunde zu Hause gehalten aber ich sehe kaum jemanden, die ihren Hunden Auslauf geben. Ich denke hier herrscht die Meinung, dass die Hunde ja genug Auslauf im Garten haben aber man merkt, wie sich Langeweile auf die Hunde auswirkt. Ash, eine Schottin, wohnte mit mir im Haus und es war sehr schön in ihrer Gesellschaft zu sein. Wir kochten, pflegten die Tiere und hatten einen tollen Austausch über unser Kulturen und Länder.
      Im Tierheim, aber auch bei sonstigen Begegnungen in Ecuador stelle ich immer mehr fest, dass in diesem Land die Geschlechterrolle noch klar getrennt ist. Das heißt, dass die Frau so ziemlich alles macht und der Mann wenig. Die Machokultur spüre ich hier stärker als in Kolumbien. Außerdem ist Kinderarbeit noch sehr weit verbreitet und sichtbar.
      Mein letzter Tag im Tierheim ist nochmal wunderschön. Ich verabschiedete mich von jedem einzelnen Hund und auch das Team drückte mich mit viel Dankbarkeit, über die ich mich sehr freute. Über die gewonnene Erfahrung bin ich auch sehr dankbar und ich wüsste nicht, ob ich das ein Leben lang ausüben könnte. Von Herzen her ja aber es fordert einen auch sehr. Das laute Bellen fängt ab 5:30 an und begleitet einen den ganzen Tag, dazu stinkt man selbst wie ein nasser Hund und kommt kaum hinterher, die Käfige sauber zu halten. Es ist eine sehr körperlich anstrengende Arbeit, ständig verletzt man sich irgendwie an Zäunen, Krallen oder beim Werkeln und man darf die emotionale Komponente nicht unterschätzen. Wenn dazu alles auf Spendenbasis basiert und man kaum Mittel hat, es den Hunden halbwegs angenehm zu machen, fühlt man sich manchmal ganz schön traurig. Aber nach meinem letzten Eintrag gab es einige Spenden, für die ich sehr dankbar bin!

      Ich fuhr also am Dienstag wieder zurück nach Quito, denn meine neue alte Reisebegleitung war auf dem Weg in die Hauptstadt. Paul wird mich nun bis Dezember begleiten und wir haben wunderbare Pläne im Gepäck. Voller Vorfreude stieg ich in den Bus und fuhr erneut durch das fantastische Tal. Leider wurde meine Freude kurz vor Ankunft sehr betrübt, da man mir unbemerkt aus meinem Rucksack den Laptop, ein altes Handy und die Musikbox stahl. Obwohl ich immer aufpasse, kam ich wohl jetzt an dieser Erfahrung nicht vorbei. Hab im Bus erstmal los geweint und mich tierisch geärgert. Zum Glück bin ich kein materieller Mensch, hatte alle meine Bilder Tage vorher in der Cloud gespeichert und war sehr froh, dass mir an sich nichts passiert ist. Dennoch hängt mein Herz sehr an dem emotionalen Wert des Laptops und natürlich sind auch einige Daten weg. In Quito angekommen machte ich mich auf den Weg zu unserem Treffpunkt. Als Paul vor 6 Jahren Südamerika bereiste, traf er Stefanie an der Küste, die nun in Quito wohnt und uns ihre Wohnung zur Verfügung stellte. Sie empfang mich mit offen Armen, nur mit einem Handtuch begleitet und in einer irre sympathischen Art. Bei ihr konnte ich meinen Ärger erstmal los werden und bekam volles Verständnis. Sie gab mir ihren Laptop, sodass ich meine Apple Produkte von meinem Account löschen konnte und niemand Zugriff auf meine Daten hat. Nach einem Bierchen ging es dann auch wieder und die Vorfreude stieg wieder. Wir quatschten und kochten bis Paul ankam und freuten uns schließlich über das große Wiedersehen. Nur eine Stunde später stand dann die nächste Feierei an, da ich Geburtstag hatte. 34 in Quito fetzt ☺️🎉 Den Tag verbrachten wir in der Stadt und gingen abends schön Essen und in eine Bar. Ich erhielt, auch Dank der Zeitverschiebung, gefühlt über 3 Tage verteilt liebe Nachrichten. Mögen all die schönen Wünsche in Erfüllung gehen.
      Vor zwei Wochen, als ich mit Sarah in Quito war, war ich gespannt, ob sich mein Eindruck der Stadt bestätigen würde. Was soll ich sagen? Leider ja, Quito ist die langweiligste und atmosphärenloseste Stadt, die ich bisher kennen gelernt habe. Und wenn einem die Höhe nicht zu sehr zu schaffen macht, dann bringen einen die Abgase um. Es gibt hier sogar die Regel, dass immer abwechselnd die Kennzeichen mit geraden und ungeraden Zahlen fahren dürfen, damit nicht so viele Autos unterwegs sind. Kaum zu glauben, dass das auch doppelte so viele schwarze Abgase sein könnten. Ich würde diese Stadt für einen längeren Aufenthalt wirklich nicht empfehlen. Wir haben mit unserer tollen Gastgeberin ja auch eine Ecuadorianerin, die uns einen Einblick zu dem Typ Mensch geben kann und bestätigte die Vermutung. An der ecuadorianischen Küste sollen die Menschen viel offener, amüsanter und lebensfroher sein. Vielleicht machen die knapp 3000m einfach zu müde und langweilig aber vor allem haben hier viele in der Stadt Angst und bleiben lieber zu Hause 🤷🏽‍♀️ Interessant finde ich allerdings, dass Quito zwar auch klimatisch eine kalte Stadt ist und dennoch überall große Palmen wachsen und Kolibris in den schönen Blüten den Nektar suchen. Das wird wissenschaftlich „kalttropisch“ genannt. Man würde die Höhe der Stadt nur schwer schätzen können. Die Lage der Stadt und die umliegende Natur ist jedoch sehr einzigartig. Vierzehn Vulkane umgeben die Stadt, von denen der Cotopaxi mit 5897m wohl der Beeindruckendste ist und nördlich über der Stadt thront. Außerdem gibt es zwei Stunden östlich der Stadt, bei Papallacta, heiße Quellen, die wir uns nicht entgehen lassen. Auf dem Weg dort hin überqueren wir den Pass ‘La Virgen’ mit 4.064m. Es zieht ordentlich und die Luft ist recht dünn aber für einen kurzen Fotostopp sind wir natürlich zu haben. Angekommen bei den Thermalquellen springen wir sofort in die sehr warmen Becken. Das Wasser kommt direkt aus den umliegenden Vulkanen, sodass sogar ständig kaltes Wasser hinzugeführt werden muss. Anfänglich konnten wir uns in einen privaten Bereich rein schmuggeln und leere Pools genießen aber wurden dann doch gebeten in den „normalen“ Bereich mit Eintritt zu gehen. Für 9$ hat man dann bestimmt 15 Pools mit unterschiedlichen Wärmegraden zur Auswahl und Genuss garantiert. Ein wunderbare Ort auf 3.300m, umgeben von grünen Hängen und idyllischer Natur.
      Der Naturausflug tat unglaublich gut aber Paul und mich zog es aus der Stadt an die Küste. Es ist Zeit, die nächsten Abenteuer gemeinsam zu entdecken. Es ist aktuell Walsaison und vielleicht haben wir ja das Glück welche zu sehen. Ich freue mich sehr auf den Pazifik, die Sonne und das Flair. Unser erstes Ziel wird Puerto López sein.
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    • Day 3

      Quito - Paramo - Andes - Shushufindi

      September 7, 2023 in Ecuador ⋅ ⛅ 22 °C

      Most exciting bus ride ever!
      - Spectacular views of a towering snow covered Cotopaxi
      - brief experience of the windy Paramo due to technical difficulties!
      - An erupting Volcano!
      - A MASSIVE sink hole that swallows a bridge and road
      - Lunch with hummingbirds in the Andes!
      -First hand witnessing of the damage by big oil firms

      As we are not packing light we hired a bus to take us from Quito to the pick up point on the Aguarico Rio.

      A small technical hiccup with the bus allowed us to experience the windy Paramo and then a lovely lunch in the Andes where we enjoyed the hummingbirds and WiFi!

      The winding road offered us spectacular views from the cloud forests and the first ever sighting of a volcano erupting!!!
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    • Day 10

      Papallacta und Casa Museo Guayasamín

      October 12, 2023 in Ecuador ⋅ ☁️ 10 °C

      Die neue Woche haben wir mit viel Spanischlernen begonnen. Wir haben jeden Vormittag 4 Stunden Unterricht, diese Woche mit Roberto. Da aktuell nur ca. 8 SchülerInnen an der Sprachschule sind, sind wir nur zu zweit in der Klasse. Wir gehen recht zügig und mit viel Humor durch die Basics und haben am Mittwoch bereits das erste Niveau abgeschlossen. Am Mittag gehen wir mit einigen aus der Sprachschule ein typisches Almuerzo (Mittagessen) essen, welches jeweils aus einer Suppe, einem Teller mit Reis, Fleisch, Fisch oder vegi, Gemüse und teils noch Kartoffeln oder Frites, einem kleinen Dessert, meist eingekochten Früchten, und einem Saft besteht. Für am Nachmittag haben wir mehrere Seiten Hausaufgaben aus dem Lehrmittel plus sollten wir noch Wörtli lernen.
      Umso dankbarer sind wir für die Auszeit am Mittwochnachmittag in Papallacta. Dort machen wir nach dem Almuerzo eine kurze Wanderung durch einen kleinen Teil des Nationalparks. Wir befinden uns hier bereits im Amazonas, jedoch auf 3‘300 m.ü.M. Bereits auf der Hinfahrt sehen wir am Strassenrand ein Bär und auch auf der Wanderung ist am gegenüberliegenden Hügel ein Bär zu sehen. Ausserdem hat es viele Kaninchen, Lamas und auch einen Kolibri konnten wir erblicken. Nach der Wanderung, welche vom Direktor der Sprachschule Elgenio geleitet wurde, gibt es Entspannung pur im Thermalbad. Papallacta hat aufgrund umliegender Vulkan heisse Quellen und dadurch etliche Thermalbäder, wofür das kleine Städtchen bekannt ist. Wir konnten in einem dieser Bäder während knapp drei Stunden baden, entspannen und uns mit den anderen SchülerInnen austauschen. Océane aus Frankreich, sowie Nils, Andreas und René aus Deutschland waren mit dabei. Das Highlight des Tages für Franca war die anschliessende heisse Dusche mit viel Wasser, welche in unserem Airbnb etwas dürftig und kühl ausfällt.
      Am Donnerstag nahmen wir nach dem Unterricht und etlichen unregelmässigen Verben an der Cooking Party teil. Es gab Volquetero, eine Art Ceviche aber mit weissen Bohnen anstatt Fisch. Viel kochen mussten wir jedoch nicht, das meiste wurde von Mario, dem Mitarbeiter der Sprachschule vorbereitet und anschliessend wurde uns erklärt wie es zubereitet wird und wir halfen beim Fertigstellen und durften es anschliessend geniessen. Das Gericht konnte mit typischen ecuadorianischen Zutaten garniert werden, wie Chifles (Chips aus grünen Bananen), Maíz tostado (geröstete Maiskörner) und Canquil (Popcorn). Anschliessend gingen wir mit Océane und Nils ins „Casa Museo Guayasamín“. Wie der Name schon sagt, ist dies das Haus und nebenstehende Museum vom berühmten ecuadorianischen Maler Oswaldo Guayasamín. Zuerst konnten wir durch Teile des Hauses, wie sein Schlafzimmer und Atelier gehen, sowie die hauseigene Galerie im Untergeschoss bestaunen. Anschliessend gingen wir ins nebenstehende Museum, welches aus zwei riesigen Räumen besteht und sehr grosse und imposante Gemälde beinhaltet. Die Aussicht von diesem Anwesen wäre atemberaubend gewesen, jedoch war es bedeckt und zwischendurch wurden wir von einem Gewitter zum Tee trinken und Abwarten gezwungen. Zurück in unserem Airbnb erkannten wir, dass im Wohnzimmer eine Kopie eines Gemäldes von Guayasamín an der Wand hängt.
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    • Day 78

      Mutproben im Regenwald

      November 13, 2023 in Ecuador ⋅ ☁️ 25 °C

      Ein Stellplatz direkt im Regenwald am Fluss. Es könnte nicht schöner sein. Nachdem wir nur fast zwei Wochen auf über 3500 Meter Höhe waren, lag dieser Teil unserer Reise auf gemütlichen 200 Metern über Meeresspiegel. Das machte mir ganz schön zu schaffen… also wurde am ersten Tag nur ein bisschen gekocht und dann zeigte uns Remo, der Schamane der hier lebenden Gemeinschaft einige Heilpflanzen, die auf dem Gelände wuchsen. Er brachte uns auch einige Wörter in der Quecha-Sprache bei. Die indigenen Sprache, die hier gesprochen wird. Ziemlich müde fielen wir dann früh ins Bett. Am nächsten Tag frühstückten wir in Ruhe und sahen schon, dass im uns herum ein reges Treiben war. Einige Personen machten sich am Feuer zu schaffen… wir gingen also hoch um auf Toilette zu gehen und auf dem Weg zurück wurde uns gesagt, warum heute so viele Leute da wären. Eine Studentin und ein Professor aus Quito kämen heute um die lokalen Gepflogenheiten kennen zu lernen. Wir seien herzlich eingeladen, auch daran teil zu nehmen. Und was das für eine Vorstellung war. Es war leider auf spanisch, aber wir verstanden einiges und lernten etwas über die traditionelle Kleidung, über das Körbe Flechten, über das Räuchern, das Kochen in Bananenblättern, über Rituale in der Familie, mehr über Heilpflanzen, das Tanzen und die spirituellen Orte der Umgebung. Das alles bleib natürlich nicht ohne Praxis und so tanzte Helena mit den Stammestänzerinnen, wir bekamen traditionelle Gesichtsbemalung, Matthias probierte Maden (roh und gegrillt), wir tranken traditionellen Guy***-Tee, Helena bekam eine Termiten Massage, Matthias kletterte in eine spirituelle Höhle und bekam Fledermäuse, Fossilien und Geißelspinnen zu sehen. Zu guter Letzt wurden wir noch spirituell gereinigt, in dem uns ein Sud aus Tabak in die Augen geträufelt wurde und wir dann mit Palmblättern gestreift wurden um unseren Stress auszutreiben. Bei mir gab es nicht viel auszutreiben, aber Matthias wurde von dem Schamanen noch massiert, da seine Zahnschmerzen ihm doch noch Stress bereiteten.
      Als dann sich die Truppe aus Quito dann auf den Heimweg machte, holte George, ein Mitglied der Gemeinschaft, der super englisch konnte, den selbstgebrannten Schnaps raus, und wir quatschten noch lange über das Reisen, die Natur, Ecuadors Probleme und natürlich Frauen.
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    Provincia de Napo

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