Chile
Quinta Normal

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Travelers at this place
    • Day 100

      Roadtrip aan!

      November 25, 2015 in Chile ⋅ ☀️ 20 °C

      Als we weg willen rijden in onze nieuwe rijdende villa besluiten we in het office nog even snel in te loggen op het wifi netwerk. Grote verrassing!! Thomas is (peet)oom geworden van mooie kleine Lola! 😃 Fantastisch nieuws! Heel raar om zo ver weg te zijn op zo'n belangrijk moment, maar door facetime voelen we ons toch even heel dichtbij. Bijzonder!
      We vergeten bijna dat we nog wat kilometers te rijden hebben.. On the road dan maar! Haastig slaan we eten in bij de supermarkt. Instant koffie, havermout (een warm ontbijtje is wel fijn!), ingredienten voor een pastaatje, een zak chips en emu wipes (de Chileense versie van wetties, mét emu olie, whatever that may mean haha!). Dat is alles wat je nodig hebt om te overleven, weten we inmiddels uit ervaring. Als we de stad uit rijden is het al zes uur, maar het voelt goed: Iedere kilometer die we rijden is er eentje meer richting onze bestemming. Muziekje aan, voetjes op het dashboard en gaan! Genieten hoor! 😁
      Onze eerste nacht brengen we door op camping Pantanal, gelegen aan een mooi meer. Als we voor het eerst de tent bovenop onze pickup truck opzetten merken we pas hoe groot onze tent is.. Een balzaal voor alleen ons tweetjes, we verdwalen er bijna in 😜. Als we snel een maaltijd in elkaar flansen is het een feit: Onze kampeer modus staat weer aan!
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    • Day 15

      Santiago, Chile

      February 19, 2016 in Chile ⋅ 🌙 14 °C

      Mit Bea und Borja, die Gegensätze zwischen arm (größter Markt in Südamerika ) und reich (größtes Gebäude und Mall in Südamerika) erkunden; illegales fischrestaurante durch Lucke hinter der Theke betreten, um super lecker bei chilenischen wein zu speisen!Read more

    • Day 1

      Santiago

      April 7, 2016 in Chile ⋅ ⛅ 19 °C

      Après deux jours d'avion, qui nous aurons fait faire escale à Abu Dhabi et Sao Paulo, nous voilà enfin arrivés à Santiago ! C'est le début de notre périple de plusieurs mois en Amérique du Sud.

      Nous commençons notre séjour dans la capitale chilienne avec un seul but en tête : trouver notre futur moyen de locomotion-maison. Pour cela nous devons tout d'abord obtenir un numéro RUT, auprès des services des impôts. Là la tâche se complique un peu, car la loi a changé en début d'année, et ils demandent maintenant un garant chilien. Toutes les formalités se font dans un office notarial, pour l’authentification des pièces, puis au service des impôts pour finaliser les papiers. Comme nous n’avons aucun contact particulier au Chili nous commençons nos recherches de qui pourrait nous aider et passer devant le notaire avec nous. Nous contactons, via des forums, d’autres voyageurs qui vendent leur véhicule, mais la plus part ne sont pas au courant car ils ont acheté la leur il y a plus de quatre mois. Nous contactons une personne qui a fait appel aux services d’une expatriée française moyennant une rétribution financière. Nous lançons d’autres pistes en demandant aux propriétaires de notre auberge, mais il sont assez réticents dés que cela touche aux papiers. Nous lançons également des pistes sur couchsurfing, en expliquant que nous ne sommes pas en quête d’un lieu où passer la nuit mais d’un coup de main pour obtenir notre rut. C’est cette dernière piste qui sera fructueuse. Sergio nous répond rapidement et positivement. Au début où nous le rencontrons il est un peu suspicieux et ne comprend pas trop notre demande. Il nous explique qu’il n’aime pas trop à avoir à affaire à l’administration. Il nous accompagne quand même chez le notaire et vient avec nous aux services des impôts. Après quelques minutes l’ambiance est beaucoup plus détendue. Il nous explique qu'il est en collocation avec une française, et qu’il est en train de déposer un dossier pour faire ses études à Lille. Il nous pose du coup plein de questions, comment nous trouvons la ville, si on trouve des petits boulots facilement. La matinée passe vite et nous sommes les heureux propriétaires d’un numéro rut. Pour le remercier nous avions trouvé une bouteille de rouge et un pack de Stella Artois, cela tombait bien !

      En parallèle des recherches pour le rut, nous avons également cherché un véhicule. Nous sommes allés voir plusieurs concessionnaires en centre ville, mais leur véhicules étaient beaucoup trop récents et hors budget. On nous conseille de faire un tour au movicenter, en périphérie de la ville, une sorte de palais de la voiture. On y trouve de tout, des véhicules neufs comme d’occasions, des accessoires pour la voiture ect… Là encore les véhicules sont trop neufs pour nous, mais nous avons repéré un autre centre qui correspond plus à nos recherches. Il ne s'agit plus de concessionnaires mais plutôt d’un dépôt vente. Il y a parfois des numéros de téléphone sur les véhicules et parfois des vendeurs indépendants. On ne sait pas trop quelles voitures appartiennent à qui, mais il y a toujours quelqu'un pour nous aider. On repère un 4x4 pathfinder qui pourrait nous convenir. Nous nous laissons le temps de la réflexion avant de réserver le véhicule. Quelques jours plus tard nous allons voir un autre 4x4 pathfinder avec deux avantages : le modèle est plus récent et il est déjà aménagé et équipé. Les vendeurs ont voyagé 8 mois avec en faisant à peu près le même itinéraire que nous souhaitons prendre. Nous sommes prêts à l’acheter mais à ce moment là nous n’avons toujours pas le rut. Dans nos recherches nous prenons contact avec un couple de français dont nous avions repéré l’annonce deux mois au paravent. Nous pensions qu'ils auraient peut-être déjà vendu le véhicule, mais il n’en est rien. Leur véhicule est plus grand, puisqu'il s’agit d'un combi van Volkswagen, isolé et tout aménagé. Ils souhaitent le vendre dans une dizaine de jours au nord du pays, ce qui nous laisse le temps de finir les papiers, et monter tranquillement vers le nord.

      Nous pouvons maintenant débuter les visites touristiques de Santiago. Nous commençons par un premier tour 4 tips de notre quartier : Brazil et Yungay. Il s’agit de quartiers populaires désertés par la classe aisée. L’architecture est un mélange de très grandes bâtisses de style colonial comme notre auberge, et de bâtiments au style Hausmann. Certains bâtiments comme la basilique El Salvador, n’ont pas été restaurés, faute de moyen, après les différents tremblements de terre. Le quartier Yungay regorge également de street art. Le deuxième tour nous fera découvrir le coeur historique de la ville mais aussi les hauteurs de la ville depuis le parc Cerro San Cristóbal. Le coeur de ville se trouve autour de la Plaza de Armas, et du Palacio de la Moneda. Les deux quartiers que j’ai le plus apprécié sont Bellavista, qui regroupe une quantités de restaurants et bars, et le Barrio Lastarria avec le centre culturel Gabriela Mistral. Ce centre culturel est complètement ouvert et gratuit à tous, quant au bâtiment il a été majoritairement construit par des citoyens volontaires.

      Nous ne quitterons pas Santiago sans faire un petit tour des vignobles chiliens. Nous nous rendons pour cela au sud est de la ville a la Vina Cousino Macul. Nous débutons par une petite visite du vignoble puis de la bodega. Nous n’apprenons pas grand chose car les explications sont très succinctes, mais il y a une dégustation à la fin :) Nous degusterons autour d’un bon plateau de fromages 3 blancs et 3 rouges. Mon préféré sera de loin le denier blanc licoreux, plus fin que du sauternes.

      Et voilà nous allons poursuivre l’aventure en direction du Nord.
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    • Day 32

      Santiago, Chile

      May 3, 2016 in Chile ⋅ ☁️ 11 °C

      We woke up early this morning to join a 10am walking tour ‘Off the beaten track Santiago’ offered by Tour4Tips. This was a wonderful tour that took us through all the markets, the old historic sector of the city and Cementerio General de Santiago. In the market we bought a kilo of fresh strawberries for $2 and received a sample of a delicious deep fried pumpkin treat. To cap of the walk off our guide gave us a glass of the infamous Terremotto ‘Earthquake’ drink which is made of cheap wine, grenadine and pineapple ice cream. Boy was it sweet! Why is it call the Earthquake….because when you stand up after drinking it you feel the earth shake.

      After the tour we made our way to the San Cristobal Park to see the Virgin Mary which lays at the top of the park on a hill overlooking the city. This was ~2 hour return hike up a meandering trail through forested areas which gave us panoramic views of the city from top. Afterwards we headed to a 2nd park called Santa Lucia which was noted in our guide book to be known for its beauty. It is actually the grounds of an old fortress and was very interesting to explore. We also found out this is the ‘make-out’ park as there were many couples rolling around in the grass completely oblivious to everyone walking around. What a great day in Santiago! It exceeded our expectations, if only we could stay a bit longer. The next few hours were spent wandering through a neighborhood called Bellavista which is considered a really ‘hip’ area and is where students hang out as there are 2 universities nearby. We picked a local bar to drink some cheap beer on a patio and have a bite to eat as we spent our last pesos.
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    • Day 120

      Santiago de Chile - unsere Unterkunft

      April 20, 2016 in Chile ⋅ 🌫 14 °C

      Unser Hotel ist ein Tip aus dem Reiseführer, sehr zentral und in einem schönen alten Gebäude mit einer super Dachterasse. Leider haben wir etwas Pech mit dem Zimmer im obersten Stock, die Fenster beginnen erst über unseren Köpfen und wir können die Aussicht auf die Anden nicht genießen.Read more

    • Day 43

      Santiago de Chile

      October 31, 2016 in Chile ⋅ ⛅ 14 °C

      31.10.: Sind gut in Chiles Hauptstadt angekommen und haben unser eigenes Appartement für die nächsten Tage bezogen.

      01.11.: An unserem ersten Tag in Santiago haben wir die Stadt von ihrer kulinarischen Seite kennengelernt. Bei einer Stadtführung besuchten wir den Fischmarkt Mercado Central sowie das angrenzende Marktviertel "La Chimba", bei dem es endlich mal typisch südamerikanisch zuging: laut, hektisch, kunterbunt und natürlich alles durcheinander. Ähnlich ging es auch auf dem Cementerio General zu - dieser Friedhof in der Größe von 120!!! Fußballfeldern gleicht eher einem Park als einer Ruhestätte. Da Allerheiligen auch hier gefeiert wird, war der Trubel heute natürlich besonders groß. Nach unserer Stadtführung mussten wir uns stärken und kehrten dazu sehr gerne auf den Fischmarkt zurück. Es gab typisch chilenisches Seafood: "Machas a la parmesana" (gratinierte Muscheln) sowie Pablo Nerudas Lieblingsessen - "Caldillo de Congrio" (Fischeintopf). Inhaber Tio Willy begrüßte uns dabei mit Pisco Sour und zum Abschied servierte er unbekanntes Hochprozentiges. Unsere Lokalauswahl war ein wirklicher Volltreffer! Danach ging es noch über gewundene Treppen auf den Cerro Santa Lucia, einen kleinen Hügel mit Festungsanlage ganz in der Nähe unserer Wohnung. Von dort hatten wir einen guten Ausblick auf unsere Nachbarschaft.

      02.11.: Heute wurde dort weitergemacht, wo wir gestern aufgehört haben - beim Essen und Trinken! Von unserer Probierliste streichen können wir jetzt "Pastel de choclo" (Maisauflauf mit Hühnchen, Olive und Ei), "Mote con huesillos" (Erfrischungsgetränk mit Weizengraupen und eingelegten Pfirsichen - schmeckt viel besser als es aussieht) sowie "Terremoto" (spanisch für Erdbeben; die Stärke lässt sich eher über den Promillepegel als über die Richterskala messen😃. Es handelt sich nämlich um einen Cocktail, von dem der vierte einen angeblich zu Boden bringt. Wir haben es bei einem belassen, dafür aber noch einen Pisco Sour und einen Mojito getrunken - es war schließlich Happy Hour und wir wollten das mit dem Erdbeben nicht zu wörtlich nehmen).
      Zwischen Essen und Trinken stand die Besichtigung von Pablo Nerudas Wohnhaus (gebaut als Liebesnest für seine Geliebte und ihn) sowie die Fahrt mit der Standseilbahn auf den Hausberg "Cerro San Cristóbal" auf dem Programm. Von dort aus hat man einen tollen Blick über die Stadt und auf die angrenzende Andenkette, die sogenannte Cordillera.

      03.11.: Das mit dem Essen und Trinken will hier einfach kein Ende nehmen.... Heute besichtigten wir das Weingut "Concha y Toro". Neben einer Führung über das Anwesen, die Reben und die Weinkeller konnten wir auch diverse Weine probieren. Diese waren durchweg sehr schmackhaft! Highlight unserer Führung war eine zusätzliche Verkostung weiterer Weine, welche durch einen Sommelier präsentiert wurden. Dazu gab's passenden Käse und Schinken. Als Andenken durften die Gläser und Vesperbretter mitgenommen werden - mal schauen was wir davon heil nach Hause bringen können! Damit die Gläser wenigstens noch einmal benutzt werden, haben wir in der Weinhandlung einen guten Tropfen erworben.
      Abends konnten wir den Sonnenuntergang von Südamerikas höchstem Gebäude, dem "Gran Torre", genießen. Der Blick aus stolzen 300 Metern über der Stadt ist ganz schön beeindruckend...

      04.11.: Heute gab es tatsächlich ein kleines Erdbeben, etwa 100 km südlich von Santiago, das manche gespürt haben, andere wiederum nicht 😄 Das Beben hatte eine Stärke von 6,3 und dauerte etwa 6 Sekunden. Für die Chilenen ist das überhaupt nichts, die sind das schließlich gewohnt und sprechen nicht mal von einem Beben sondern bezeichnen es als schwaches Zittern!
      Am Nachmittag haben wir an einer zweiten Stadtführung teilgenommen, dieses Mal durchs Zentrum von Santiago. Unter anderem kamen wir am Palacio de la Moneda (Präsidentenpalast) und am Plaza de Armas vorbei.

      05.11.: Leider schon der letzte Tag in Santiago. Waren noch im wirklich sehr gut gemachten und informativen "Museo de la memoria y de los derechos humanos", welches die Pinochet-Diktatur näher beleuchtet. Danach ging es wie immer voll bepackt zum Busbahnhof und in nur läppischen 2h erreichten wir die Hafenstadt Valparaíso.
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    • Day 65

      Santiago (CHI) - Yungay, Brasil

      January 8, 2017 in Chile ⋅ ☀️ 26 °C

      Authentieke, volkse wijken. Veel volk op straat, ontspannen sfeer. Het duistere verleden in een modern museum gegoten. Enkel in de metro voelt het wat benauwd. Elektrozaak, nachtwinkel of kapsalon, zo goed als elke gevel is hier volgekladderd in felle kleuren. Wat kleiner, wat rustiger, wat minder fotogeniek. Al bij al komt Santiago over als het kleine broertje van een wereldstad.Read more

    • Day 86

      Santiago

      January 26, 2017 in Chile ⋅ 🌙 23 °C

      Nach den eher ernüchternen Tagen in Conception haben wir es endlich zu unserer letzten Station in Chile geschafft. „Endlich“ sage ich weniger, weil es mir hier keinen Spaß gemacht hat, sondern vielmehr, weil wir uns sehr auf Santiago gefreut haben. Katalina hatte uns bereits in Bolivien von dem „Museo de la Memoria y los Derechos Humanos“ erzählt. In diesem Museum wird die Militärdiktatur Pinochets aufgearbeitet bei der mehrere tausend Menschen getötet wurden oder „verschwunden“ sind. Zudem wurden unzählige von ihnen Opfer grausamster Folter.

      Auf der Fahrt sahen wir auch einige der Waldbrände, die Chile derzeit heimsuchen. Sie gelten als die schlimmsten Brände, die es hier in den letzten Jahrzehnten gegeben hat. Ich habe dazu eine wirklich gute Bilderschau gefunden:
      https://www.nzz.ch/panorama/bildstrecken/bildst…

      Santiago liegt in einem Kessel aus Bergen, so dass der Rauch, vielleicht war es auch Smog, fast durchgehend über der Stadt hing. Ein Taxifahrer hat uns erzählt, dass es in Chile keine hauptamtlichen Feuerwehrleute gibt. Das heißt, dass der gesamte Einsatz zur Brandbekämpfung von Ehrenamtlichen geleistet So mussten zahlreiche Anfragen an das Ausland getätigt werden. NACHTRAG: Etwas später als ich diesen Eintrag begonnen habe, sollten wir erfahren, dass die Stadt Concecion maßgeblich von den Bränden bedroht war und, so zumindest die Nachrichten, nur das Eingreifen von russischen Flugzeugen ein Übergreifen der Brände auf die Stadt verhindert werden konnte.

      Unser Hostal in Santiago lag etwas außerhalb, so dass wir immer erst eine halbe Stunde in die Stadt fahren mussten. Etwas zentraleres konnten bzw. wollten wir uns nicht leisten. Dafür war es bestens ausgestattet, so dass wir hier -seit langem das erste Mal- wieder etwas kochen konnten. Wir schleppten seit Ewigkeiten eine große Einkaufstasche mit Lebensmitteln mit uns herum, hatten aber seit Puerto Varas keine gute Küche mehr.

      In unserer Nähe lag auch ein Einkaufszentrum, so dass wir den ersten Tag eigentlich nur mit Bummeln verbracht haben. Am Abend haben wir uns nach dem Essen „Animales fantasticós“ von J.K. Rowling im angeschlossenen Kino angeschaut. Toller Film. Die Story ist zeitweise etwas dünn, wird aber durch die magische Welt, die man kennenlernt und die zahlreichen guten Interpretationen der 20er Jahre in New York wieder wettgemacht.

      Am zweiten Tag sind am Morgen noch schnell auf einen Abstecher ins Museum der schönen Künste gegangen. Wir wollen eigentlich nur Zeit überbrücken, bis unsere Tour anfing, sind aber auf eine Austellung von Godoy gestoßen. Er malt hauptsächlich nackte Männer, manchmal in Sadomasosituationen:
      http://d2vpb0i3hb2k8a.cloudfront.net/wp-content…
      Das war ein wenig schräg, aber für so ein eher konservatives Land auch spannend. Dafür fand man dann in der zweiten Etage wieder die für Südamerika typischen katholisch inspirierten Gemälde von Maria, Jesus und kleinen dicken Engeln.

      Vor dem Museum startete auch unsere Tour durch die Stadt. Die wohl interessantesten Punkte, an denen wir Halt gemacht haben, waren das „Centro cultural Gabriela Mistral“, der Präsidentenpalast und das frühere Hauptquartier der „Radikalen Partei“. Sie alle hatten mit der Regierung Allendes zu tun.

      Das Kulturzentrum wurde ursprünglich für ein Treffen der Vereinten Nationen errichtet. Es sah allerdings zunächst so aus, als wäre es nicht möglich, es bis zur Konferenz fertig zu stellen. Da Allende das Land von seiner besten Seite präsentieren wollte, startete er einen Aufruf:
      Alle Arbeiter Chiles sollten sich, sofern möglich, in Santiago einfinden, um das Gebäude zu errichten. Und Tausende folgten seinem Ruf. So schafften sie es, anstatt der ursprünglich angesetzten 2 Jahre, lediglich wenige Monate mit dem Bau zu verbringen. Die Konferenz konnte wie geplant abgehalten werden. Nach deren Ende widmete Allende den Bau den Arbeitern Chiles und füllte es mit sozialistisch angehauchten Dovotionalien.

      Nach seinem Sturz wurden diese durch Pinochet entfernt. Da der Präsidentenpalast zerstört war, bezog er die Räume zunächst und machte sie zu seinem Hauptquartier. Dies ist eine ganz typische Vorgehensweise für das Regime gewesen:
      Die Vernichtung der Symbole der vorangehenden Gesellschaft war eines der Kerngeschäfte der neu errichteten Diktatur. Es erinnert dabei ein wenig an die Bücherverbrennung der Nazis. Nichts sollte existieren außerhalb des neuen Regimes. So kam es auch in den ersten 2 Jahren zu den meisten Menschenrechtsverbrechen. Chile sollte „kulturell gesäubert“ werden.

      Das selbe galt auch für das ehemalige Hauptquartier der Radikalen Partei, die Allende unterstützt hatten. Nach der Machtergreifung Pinochets wurde es zum Stützpunkt der Geheimpolizei. Es muss ein furchtbares Gefühl gewesen sein, in seiner ehemaligen politischen Heimat von einem folternden Polizeiapparat verhört zu werden… Auch hier zeigt sich wieder, welche Macht Umdeutungen haben.

      Der spannenste Abschnitt der Tour war aber der Präsidentenpalast. Der Sturz Allendes war nicht so, wie es der Sturz von der Witwe Peróns in Argentinien Mitte der 70er Jahren war. Sie hatte damals die Möglichkeit einfach frei abzuziehen und das Land zu verlassen. Danach zog auch hier der Schrecken ein.

      Der Sturz Allendes war mit einem militärischen Angriff auf den Palast verbunden, der dabei durch die Luftwaffe fast vollständig zerstört wurde. Die letzte Rede Allendes ist bis heute erhalten geblieben:
      https://www.youtube.com/watch?v=HC8UirZLCZQ (Untertitel verfügbar)

      Kurz danach setzte er seinem Leben ein Ende, um der Gefangenschaft zu entgehen. Der Film „Allende en su laberinto“ (auf Netflix verfügbar) ist dabei eine verhältnismäßig authentische Erzählung seiner letzten Stunden. Auf IMDb hat der Film eine recht geringe Gesamtbewertung. Schaut man in die Kommentare sieht man, dass noch heute der Konflikt zwischen Amerikanern und Chilenen schwelt. Alle positiven Stimmen kommen aus Chile, während die Kritk aus Nordamerika kommt:
      „Allende was not a bad president in the eyes of many president but had ideals much too close to communism. This meant he was the US's enemy and we had to do something about it.“

      Man sieht also, dass auch heute noch eine ideologische Aufladung des Themas besteht.
      Ich persönlich kann den Film nur empfehlen. Auch wenn er, wie alle Nacherzählungen, seine Schwächen hat. Gemacht wurde er vom großartigen Miguel Littin, über den Gabriel García Márquez, ein schönes Buch geschrieben hat:
      https://de.wikipedia.org/wiki/Das_Abenteuer_des…

      In angesprochenem „Allende-Film“ ist das eigentlich beeindruckende die Art und Weise, wie Allende dargestellt wird. Aufrecht und rechtschaffend. Ob er das wirklich war, kann ich natürlich nicht sagen. Eine Szene aus dem Film hat mich trotzdem besonders beeindruckt. Allende schickt darin seine Verteidiger nach draußen, um dem Tod zu entgehen. Er selbst bleibt zurück, um sich zu opfern. Bevor er seine Männer entlässt, gibt er, bei anhaltendem Beschuss, jedem einzelnen von ihnen die Hand. Das hat schon etwas ungemein anrührendes und eben „aufrechtes“.

      Wie geplant haben wir es auch noch in das erwähnte Museum geschafft. Wir haben knapp 3 Stunden benötigt, waren aber bereits nach einer schon so erschlagen von all den Informationen und Hintergründen. Der Rundgang durch das Museum beginnt mit dem Sturm auf den Präsidentenpalast und endet mit Pinochets Rücktritt. Die Themen Gewalt und Folter sind zwar allgegenwärtig, aber dennoch nur ein kleiner Teil der Austellung. Viel wird auch über die politischen Strategien der Junta erzählt, viel auch über die Gegenbewegungen und die Rolle der Kirche.
      Das Museum stellt auch eine online zugängliche digitale Bibliothek mit einer gigantischen Menge an Material zur Verfügung: http://www.bibliotecamuseodelamemoria.cl/gsdl/c…

      Das Museum ist, vor allem unter Chilenen, ungemein populär. Es kommt jedoch öfter die Kritik auf, dass es die Zustände in Chile vor dem Putsch nicht beleuchte und so die Realität verzerre. Dem halten die Macher des Museums allerdings entgegen, dass die Zustände, die unter Allende geherrscht haben, keine Rolle in Bezug auf die Menschenrechtsverletzungen unter Pinochet spielen. Dem schließe ich mich an. Ob man Allende nun politisch mochte oder eben nicht, entbindet die nachfolgende Regierung nicht von ihrer Pflicht zur Achtung des menschlichen Lebens. Im Report der Valech-Komission, den ich ja schon einmal verlinkt hatte, werden Details offenbart, die keinerlei Dikussion in Bezug auf den Daseinszweck des Museums zulassen.

      Trotz alledessen hatte Santiago natürlich auch schöne Seiten. Eine witzige Geschichte rankt sich um den sogenannten „Kaffee mit Beinen“ (Café con piernas). Chile ist aufgrund seiner Seefahrertradition eigentlich ein Teetrinkerland. Kaffee hat hier nie den Stellenwert erhalten, den es heute in den meisten andren Ländern Süd- und Mittelamerikas hat. Da sich aber einige Leute in den Kopf gesetzt hatten, mit Kaffee in Chile Geld zu verdienen, wurde der „Kaffee mit Beinen“ erfunden. Überall in Santiago finden sich heute Kaffeeläden mit schwarzgetönten Scheiben, in die nur Männer hineingehen. Ausgeschenkt wird tatsächlich nur Kaffee, kein Alkohol und die Beine sind natürlich die der leichtbekleideten Bedienungen.

      Richtig guten Kaffee findet man in Chile kaum. Die meisten Haushalte und sogar die meisten Restaurants servieren Nescafé. Oft bekommt man einfach eine Tasse heißes Wasser und drei Plastikbeutel serviert: Zucker, Nescafé und Kaffeeweißer…

      ...ich war also ganz froh, dass wir bald schon in Buenos Aires sein sollten, welches maßgeblich durch italienische Einwanderer beeinflusst wurde. Insofern hoffte ich dort mal wieder einen richtigen Kaffee trinken zu können.
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    • Day 169

      IV. SA Chile/W1: Santiago & Valparaíso

      February 14, 2017 in Chile ⋅ ☀️ 23 °C

      Di, 14.02. Flug Sydney, Australien - Santiago, Chile
      Nach mittlerweile fast 6-monatiger Reise (2 Monate im südlichen Afrika, 1 Monat in Südostasien und 3 Monate Australien) ging es den ganzen Weg (11.700km, um genau zu sein) von Sydney in Australien über den großen Teich nach Santiago in Chile - endlich nach Südamerika, um mein Spanisch zu verbessern.
      Der Flug ging insgesamt über ca. 13h und nach ungefähr 3h überquerten wir die Internationale Datumsgrenze, d.h. ich bekam einen weiteren Tag und erlebte den 14. Februar oder Valentinstag zweimal ;) Quantas ist eine gute Fluggesellschaft, das Essen war schmackhaft und es gab sogar TimTams, was mich noch einmal an meine tolle Zeit in Down Under erinnerte, bevor wir eine schöne Landung in Santiago mit den Anden im Osten hatten.
      Nach einem halben Jahr Linksverkehr fiel es mir wirklich schwer, mich wieder an den für mich eigentlich normalen Rechtsverkehr zu gewöhnen :P
      Südamerika - ich bin so froh, wieder hier zu sein: super freundliche Menschen, gute Stimmung, super Personal und Rucksackreisende im absolut entspannten Hostel inmitten des Party- und sehr bunten Viertels Barrio Bellavista :) Oh und wieder einmal sind die beiden meist anzutreffenden Nationalitäten Franzosen und Deutsche :P
      Wie ich gleich beim Spenglish-Abend mit Ernesto feststellte, entschied ich mich mit Chile für ein sehr herausforderndes Land, um mein Spanisch zu üben: sie sprechen sehr schnell, verschlucken die Wörter, sprechen das "s" nicht aus und benutzen bedeutungslose Fullwörter - und all das natürlich in südamerikanischem Spanisch mit unterschiedlichen Wörtern wie z.B. "plata" anstelle von "dinero" für Geld.
      Wo wir schon beim Geld sind, die Währung ist CLP Chilenischer Peso (1€ = 650$), Chile ist zusammen mit Argentinien und Uruguay ein teures Land vergleichbar mit Zentraleuropa und ich hatte fast 8€ (!) Bankgebühren; also das nächste Mal muss ich unbedingt eine Scotia Bank aufsuchen, die DKB Karten anscheinend nicht belastet.

      Mi, 15.02. - Fr, 17.02. Santiago
      Chile ist ein sehr schmales Land, das vom Süden mit Patagonien, Gletschern und der Nähe zur Antarktis bis in den Norden mit der berühmten Atacama-Wüste reicht. Während dieser Reise werde ich nur den Norden besuchen und mir den Süden für später aufheben, wenn ich mehr Geld habe und es mit Argentinien und v.a. der Antarktis verbinden kann.
      Von den insgesamt 17Mio Menschen leben ca. 7Mio in der Hauptstadt Santiago am Fluss Mapocho, was die Stadt neben der geographischen Lage zum politischen und wirtschaftlichen Zentrum macht. Die Hauptreligion ist römisch-katholisch, Deutschland hat auch hier einen großen sichtbaren Einfluss hinterlassen und Chile ist eines der am sichersten zu bereisenden Länder Südamerikas - auch als weibliche Alleinreisende; man wird nur ab und zu gefragt, ob man schon verheiratet ist und Kinder hat, da die Familie hier eine große Rolle spielt.

      Am Mittwoch traf ich im Hostel ein französisch-spanisches Mädchen namens Lisa, mit dem ich zu Cerro Santa Lucía ging - eine ehemalige Festung und Militärstützpunkt, der später in einen schönen Park auf einem Hügel inmitten der Stadt umgebaut wurde. Auf der Terraza Neptuna gibt es mehrere schöne Brunnen und viele Treppen, über die man zu einem tollen Aussichtspunkt mit Blick über die ganze Stadt, inklusive der Anden sowie der Cerro San Cristobal Statue auf 870m Höhe, kommt.
      Dort war ich dann auch mit Natalia, einer Chilenin, die ich letztes Jahr in Kuala Lumpur kennengelernt habe. Nachdem ich das berühmte chilenische Getränk "Mote con huesillos", einen sehr süßen Saft mit Mais und einem Pfirsich, probiert habe, wanderten wir den steilen Weg hoch und wurden mit einem atemberaubendem Ausblick über die ganze Stadt belohnt. Dieser Hügel ist Teil des Parquemet/Parque Metropolitano, eines der weltweit größten Städteparks inclusive 2 Schwimmbädern, einem Zoo, einem Japanischen und einiger anderer Botanischer Gärten. Wir gingen den ganzen Weg bis zum reicheren Viertel Barrio Providencia und sahen dabei sehr viele Läufer und v.a. Radfahrer. Der gesamte Park kann auch mit der Teleférico oder Funicular, einer 2km langen Seilbahn, durchquert werden.
      Zurück im Viertel Barrio Bellavista hatte ich dann meine erste Empañada, eine gebackene vegetarische um meinen Magen nicht weiter zu belasten.

      Am Donnerstagmorgen nahm ich an einer kostenlosen (naja auf Trinkgeld-Basis) Stadttour teil. Unser Führer war sehr nett und zeigte uns, wie üblich von Straßenhunden begleitet, die Hauptattraktionen der Stadt wie z.B. Santiago Central mit seinem berühmten Plaza de Armas, Catedral Metropolitana, Iglesia de San Francisco, Palacio de la Moneda mit Chiles zweitgrößter Flagge (die größte befindet sich in Arica ganz im Norden).
      Zum Mittagessen hatten wir wieder Chiles berühmtestes Essen Empañada im Viertel Barrio Lastarria - die bekannteste ist die gebackene Pino Empañada bestehend aus Rindfleisch, Zwiebeln, Oliven und Ei, aber ich hatte dieses Mal die gebratene Meeresvariante. Neben Empañadas ist Chile mit tausenden km Küste auch für Meeresfrüchte und Wein berühmt. Weitere typische Gerichte sind majar (eine etwas dickere Form von dulce de leche), pastel de choclo (aus Mais hergestellte Pfannkuchen), humitas (Brot auf der Grundlage von Kartoffelmehl), lomo a la pobre (Rindfleisch, 2 Spiegeleier, Pommes), parillada (gegrillte Innereien, Blutwurst) oder curanto (Suppe aus Fisch, Meeresfrüchten, Huhn, Schwein, Lamm, Rind, Kartoffeln). Sie trinken auch viel Pisco (Trauben-Brandy) oder Terremoto (Weißwein aus dem Süden Chiles, Ananaseis und Vernet).
      Danach gingen wir zum Forest Park mit seinem deutschen Brunnen, zum Viertel Bellavista und den bunten Häusern, Bars und Kneipen, die mich so sehr an La Boca in Buenes Aires erinnerten, bevor die Tour vor La Chascona, Pablo Neruda's Haus, endete.
      Am Nachmittag besuchte ich die beiden Märkte Mercado Central und La Vega im Barrio Recoleta und Patronato (das koreanisch-, chinesisch-, arabische Viertel) und kaufte jede Menge günstiges, aber gutes Essen wie Papayas, Bananen und Avocados bevor David, ein netter Chileno, den ich während des Spenglish-Abends kennengelernt hatte, mir noch das Barrio Italia mit seinen vielen Boutiquen zeigte.

      Freitag war wieder einer dieser beliebten Orga-Tage, um meine Reise zu planen und zu überlegen, was ich sehen und machen will :O
      Natalia erzählte mir, dass sie, ihr Bruder Felipe und seine Freundin Fernanda zur Wohnung ihrer Eltern in Reñaca/Viña del Mar fahren müssen, die nur eine halbe h Busfahrt zu Valparaíso entfernt ist. Super spontan nahm ich daher diese Chance und ihr mehr als großzügiges Angebot an und nach ca. 2h Fahrt kamen wir gegen Mitternacht an.

      Sa, 18.02. - So, 19.02. Valparaíso/Viña del Mar
      Ach, ich liebe es einfach, bei Einheimischen und Bekannten zu sein und bin dafür immer so dankbar, dass ich nicht weiß, wie ich diesen Personen danken kann - deshalb @Natalia, Felipe und Fernanda: sagt mir Bescheid, falls ihr jemals Deutschland besuchen werdet; ich würde das Angebot gerne zurückgeben und euch zu mir einladen :-*
      Alle drei ließen mich wie zu Hause fühlen: ich hatte eine sehr gute Couch zum Schlafen, wir hatten Frühstück und ein Abendessen zusammen, sie halfen mir mit der Orientierung und zeigten mir Viña del Mar bei Nacht inklusive dem Kasino, der Blumenuhr Reloj de Flores und einer Fahrt durch Valparaísos Hügel, Avenida Alemana, Bismarck place mit sehr cooler nächtlicher Aussicht und Samstags Nachtleben :)
      Außerdem ist das die beste Möglichkeit, sich in die lokale Kultur und die Sprache zu integrieren: so lernte ich, dass in Chile allgemein eher spät gegessen wird mit den 3 Mahlzeiten desayuno (Frühstück), almuerzo (Mittagessen zwischen 13-14 Uhr), 11 (eine Art Kaffeepause gegen 17/18 Uhr) und sehr spätem Abendessen (zwischen 21-23 Uhr) und damit auch eher spätem Feiern (üblicherweise nicht vor 2 bis 5-6 Uhr). Brot ist auch sehr beliebt - zum Frühstück und 11 als Hauptgrundlage und als Beilage beim Mittag- und Abendessen. Ich hatte auch die Gelegenheit mein Spanisch zu üben, da ich es die ganze Zeit hörte und auch sprechen musste - in der Umgangssprache sagt man z.B. "tuto" zu "dormir" (schlafen) und ein.1.000 Peso Schein wird "luca" genannt.

      Valparaíso selbst ist eine Hafenstadt und war lange Zeit der wichtigste und meist florierende Hafen in Südamerika - bis zur Eröffnung des Panamakanals 1914. Die Deutschen haben hier die zweite Schule gebaut und brachten die erste Brauerei und Feuerwehrstation - es gibt nach wie vor zwei Fahrzeuge mit der Aufschrift "Feuerwehr" in der Hauptzentrale auf dem größten Platz. Die Stadt ist sehr hügelig und viele Hügel sind durch Aufzüge miteinander verbunden - die zwei berühmtesten sind Cerro Alegre und Cerro Concepción, wo es typisches chilenisches, aber natürlich auch deutsches Essen und Restaurants gibt. Straßenkunst kann man überall sehen, die ganze Stadt ist sehr bunt und es gibt 16 sehr kunstvoll gesprayte Fische - allein auf unserer Tour sahen wir 6 davon. Vom Plaza Anibal Pinto aus nahmen wir den Reina Victoria Aufzug, gingen durch einige Boulevards zum Yugoslavo Boulevard und Baburizza Palace zum Cruisers House, an einigen weiteren Aufzügen vorbei bis wir die Tour auf dem berühmten Plaza Sotomayor und Hafen endeten. Aufgrund der geographischen Lage ist es in Valparaíso üblicherweise sehr heiß mit starken Winden gegen 15/16 Uhr, die die Brandgefahr erheblich erhöhen - Viña del Mar ist eher anfällig für Tsunamis. Valparaíso ist eher arm, Viña del Mar eher wohlhabend und reich.
      Danach schlenderte ich am Hafen entlang, genoss die Stadt und Aussicht und nahm dann einen Bus zum Barrio Baron. Ich fand einen sehr schönen Platz an Felsen, wo man sonnenbadende und in bzw. aus dem Wasser springende Seelöwen beobachten konnte. Ich ging anschließend zu den Märkten und fuhr zurück nach Viña/Reñaca, wo ich den Abend am Strand verbrachte. Es gab bereits auch jede Menge Vorbereitungen für VdM's berühmtes Musikfestival, das an diesem Montag begann.

      Rest s. 1. Foto nächster Footprint ;)
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    • Day 15

      Santiago de Chile

      April 19, 2017 in Chile ⋅ ⛅ 18 °C

      Unser Domizil in der knapp 6 Mio. Einwohner umfassenden Stadt sollte zur Abwechslung ein Appartement sein. Unmittelbar nach unserer Ankunft am Abend erfuhren wir, dass am nächsten Tag die große Volkszählung (der Zensus) stattfinden würde. Dieses landesweite Ereignis würde dafür sorgen, dass am Folgetag weder Geschäfte noch Restaurants, Ausflugsziele etc. geöffnet haben. Wir begaben uns demnach kurzer Hand auf die Suche nach einem zu dieser Uhrzeit noch offenen Supermarkt. Nach dem wir diesen endlich erreicht hatten, befanden wir uns unter zahlreichen gleichgesinnten Chilenen, die offenbar ähnlich spät an das bevorstehende Großereignis gedacht hatten und nun nahezu plündernd den Laden nach Lebensmitteln durchforsteten, die sie vor dem Hungertod bewahren sollten. Die Ladenverhältnisse erinnerten an Verhältnisse aus der ehemaligen DDR. Gewisse Waren (Butter, Käse, Milch aber auch Seife etc.) waren lediglich hinter der Theke und demnach nur auf persönliche Zuteilung durch den Kassierer erhältlich. Dieser tippte alle Preise händisch in seinen Taschenrechner ein. Auch der Zustand von Obst und Gemüse hätte in Deutschland dazu geführt, dass die Waren den Supermarkt durch die Hintertür verlassen hätten. Dennoch fanden wir das Nötigste für unser Frühstück am Folgetag. Am nächsten Tag war das "Spannendste" wohl unsere Teilnahme am Zensus. ;) Nachdem ein Zensus-Mitarbeiter bei uns klingelte, entschlossen wir uns, an der Volkszählung teilzunehmen. Die nächsten 30 Minuten (so lang dauerte das auch nur, weil wir für uns daraus eine kostenlose Spanisch-Sprachstunde machten und den netten Herren baten uns alle Wörter zu erklären, die wir nicht verstehen oder unsere Aussprache zu verbessern) verbrachten wir also damit ihm standardisierte Fragen zu beantworten. Es ging um die Anzahl der Zimmer, die wir als Schlafraum nutzen, unseren Wohnort vor 5 Jahren, aber auch darum wer die finanziellen Mittel im Haushalt verwaltet. Unsere Antwort, dass Kathi und ich dies beide gleichermaßen tun würden, gefiel ihm nicht, da diese Antwortoption nicht vorgesehen war. Auch dem jungen Chilenen schien es jedoch gesamthaft sichtlich Freude zu bereiten, dass wir uns an dem Prozess beteiligten anstatt darauf zu verweisen, dass wir dafür keine Zeit hätten oder ja als Touristen ggf. davon befreit wären. Nachdem diese Prüfung überstanden war, begaben wir uns schließlich auf einen Stadtspaziergang durch die an diesem menschenleeren Tag an eine Geisterstadt erinnernde Metropole, keine offenen Geschäfte, sondern stattdessen heruntergelassene Rollläden empfingen uns. Fast keine Menschen, sondern primär vereinzelte Obdachlose oder Zensus-Mitarbeiter, die wild mit ihren Blöcken umherliefen. Die Masse schien, in dem noch immer stark vom Sozialismus geprägten Land, dem Aufruf zu folgen und daheim zu bleiben, um mit „Block und Stift“ gezählt zu werden. Erst ab 20 Uhr abends öffneten wieder die Restaurants und die Straßen füllten sich allmählich. Auch der nächste Tag schien leider nicht unser bester zu werden. Trotz der Vorhersage von fortwährendem Sonnenschein (dies galt während unseres gesamten Aufenthalts hier) regnete es durchgehend von früh bis abends. Den Ausflug zu den beiden Aussichtspunkten der Stadt (Cerro Santa Lucia und Cerro San Cristobal) verschoben wir aufgrund mangelnder Sichtverhältnisse und begaben uns auf den Weg zur Villa Grimaldi. Das großzügige ehemalige Familienanwesen diente während der Zeit des sozialistischen Systems als Gefängnis für Oppositionelle. Es liegt etwas außerhalb von Santiago und ist heutzutage als Gedenkstätte der Öffentlichkeit zugänglich. Vermutlich insbesondere aufgrund der Parallelen zur deutschen Geschichte der Vor- als auch Nachkriegszeit empfanden wir dies als äußerst spannend, wenngleich der Besuch und z.B. die beschriebenen Foltermethoden uns selbstverständlich nachdenklich stimmten. Nach dem Motto: "Alle guten Dinge sind drei" standen auch am 3. Tag erneut die beiden Aussichtspunkte der Stadt auf unserem Plan. Bei unserem Vormittagsbesuch auf dem Cerro Santa Lucia noch etwas bewölkt, meldete sich bei unserem Nachmittagsbesuch von Cerro San Cristobal die Sonne zurück und eröffnete einen Ausblick auf die zuvor vermissten Anden. Spätestens beim Besuch der Roof-Top-Bar "Red2One", die sich auf dem W-Hotel befindet, waren die Anden nun deutlich als Kulisse der chilenischen Hauptstadt erkennbar. Genau dieser Anblick ist es, der der Stadt Santiago ihren gewissen Charme verleiht. Dennoch empfanden wir Santiago de Chile leider als sehr dreckig und bisweilen weniger charmant als Buenos Aires. Selbstverständlich wurde dieser Eindruck jedoch signifikant durch die beschriebenen Umstände hervorgerufen.Read more

    You might also know this place by the following names:

    Quinta Normal, 킨타노르말, Кинта-Нормаль, Кинта Нормал, 金塔諾馬爾

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