India
Idukki district

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Travelers at this place
    • Day 18

      Periyar Tiger Reserve

      September 18, 2022 in India ⋅ ☁️ 23 °C

      Ce matin, départ à 8h pour un trek dans la Periyar Tiger Reserve. Accompagné de trois guides (les indiens adorent multiplier les postes, que ce soit au restaurant ou, en l'occurence, à la montagne) et de deux keralais vlogeurs, j'ai pu goûter aux charmes de la région. Ici, la végétation est luxuriante même si assez peu dense, de sorte qu'il est facile de se déplacer dans ces paysages. Le chemin, en partie balisé, est situé sur la frontière entre le Tamil Nadu et le Kerala. Du sommet des vallons, les panormas, donnant à voir la vallée en contrebas, sont magnifiques. En conservant une certaine distance, nous avons également pu apercevoir des buffles, des phacochères, des cerfs et, surtout, deux éléphants sauvages.Read more

    • Day 41

      Un p’tit coin de paradis au Kerala

      February 22, 2023 in India ⋅ ☀️ 28 °C

      Rentrée de l’ashram par bateau-bus, ma gentille famille du Kerala m’attendait à Kottayam pour me ramener chez eux, à Kumily.

      Un trajet à l’indienne à 6 dans l’équivalent d’un pot de Petit Suisse avec beaucoup de joie, de chaleur, de thés, cafés, snacks, de klaxons, de chansons et de paroles hautes en volume ! Yunis m’a d’ailleurs dit avec fierté et reconnaissance « you travel like an Indian ! ». De retour chez eux, j’ai retrouvé la maman de mon ami qui avait préparé, bien entendu de délicieux plats que je n’ai pas eu la latitude de refuser !

      Hier matin nous avons pris la route du Wild Aura Camp, un petit coin de paradis éco-touristique au milieu des montagnes kéralaises sur lesquelles s’étendent à perte de vue des plantations de thé, café et cardamome.

      Ce campement, bien que ne lui appartenant pas, mon ami l’a entièrement construit de ses mains pour en faire un endroit d’où on a plus envie de partir. À peine arrivée, je suis tombée en amour de cet îlot de verdure tropicale où les températures font les montagnes russes entre le jour et la nuit.

      Ce matin au programme : petit trek à 6h, au lever du soleil, pour tenter d’apercevoir quelques éléphants. Malheureusement, bien qu’arrivés les premiers à la lisière entre notre territoire et le leur, le balai des Jeep de touristes nous a gâché le plaisir de cet instant magique où la nature s’éveille, où le soleil grimpe petit à petit à flanc de montagnes et où tout reprend le cours de son existence.

      Ce tourisme de safari est très lucratif pour le Kerala et plus précisément pour la réserve de Periyar sur laquelle se trouve Kumily. Cet état d’un peu moins de 40 000 km2 et de 35 millions d’habitants est un joyau pour qui aime la nature et les épices.

      Durement touchée par l’effondrement touristique et donc économique durant le Covid, le Kerala voit de nouveau abonder de nouveaux touristes chaque jour.

      Devant ce défilé de touristes véhiculés, je ne peux pas retenir la pensée selon laquelle, un tourisme qui valorise les richesses naturelles ne peut se faire via des convois de voitures crachant particules fines et ronflements de moteurs. Mais je ne peux que penser à l’intérêt de mon ami qui a 3 enfants à nourrir et qu’il peut le faire grâce à son statut de guide. Passionné, il a des rêves plein la tête mais les poches encore trop vides pour les réaliser. Sa priorité est d’envoyer ses 3 filles dans des écoles offrant la meilleure éducation possible, et en Inde comme ailleurs, ça a un prix.

      Ils sont ma famille du Kerala et je continuerai à le leur assurer malgré les milliers de kilomètres qui nous séparent.
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    • Day 17

      Kumily

      September 17, 2022 in India ⋅ ☁️ 25 °C

      Après les métropoles assomantes du Tamil Nadu, j'ai enfin trouvé un havre de paix en la petite ville de Kumily dans l'état voisin du Kerala. Connue pour sa réserve naturelle, Kumily est accessible par une route sineuse à flanc de montagne. Je loge dans une petite pension tenue par un guide local. Ma terrasse donne directement sur la forêt de palmiers et de bambous dans laquelle vivent de nombreux singes. Ceux-ci traversent la ville, passant de toits en toits et longeant les routes.Read more

    • Day 33

      I had a dream…

      February 14, 2023 in India ⋅ 🌙 14 °C

      Je suis arrivée hier matin sur Kumily, petite ville du Kerala bien connue pour ses épices et ses treks en pleine jungle.

      Levée à 6h45, j’ai rendez-vous 1h plus tard avec 2 guides, 1 naturaliste et 1 ranger pour un trek dans la jungle Kéralaise.

      Il fait frais et la nature s’éveille paisiblement. Les guides travaillant dans cette réserve de Periyar sont d'anciens braconniers devenus de fervents protecteurs de la nature et des animaux qu’ils ont longtemps tués pour leurs défenses et leur fourrure notamment. Ce programme d'écotourisme communautaire a permis un changement des mentalités pour ces personnes issues de minorités ethniques et à qui l’on ne voulait pas donner d’emploi.
      Les groupes de 6 randonneurs sont également toujours accompagnés d’un ranger armé, la jungle du Kerala pullule de dangers insoupçonnés que seul un homme aguerri peut éviter.

      Nous voici donc partis à travers une légère brume qui monte du sol au fur et à mesure que le soleil grimpe. La nature qui nous entoure est magique, de nombreuses espèces d’arbres, d’oiseaux, de plantes et d’insectes ponctuent notre avancée en quête, soyons honnêtes, de 2 des merveilles qu’offre cet endroit : le tigre et l’éléphant.

      Après une première pause breakfast, au cours de laquelle affluent des macaques qui connaissent très bien ce point d’arrêt, nous reprenons notre trek sur un chemin plus escarpé.

      Je me nourris de chaque bruit et chaque espèce vivante autour de moi, buvant les expériences des guides comme du lassi ! Soudain, le ranger nous fait signe de stopper et de faire silence d’un geste de la main ferme et sans appel. Il s’avance tel un chat devant une proie et nous fait signe d’avancer sans parler. Tout à coup, mon cœur s’emballe, à quelques dizaines de mètres de moi, cachée dans un sous-bois, cette force de la nature qui semble si douce et si paisible : une famille d’éléphants.

      Je regarde ce rêve se réaliser et ne perd pas une miette de chacun de leurs mouvements. Après des minutes qui ressemblent à des secondes, ils disparaissent dans l’épaisseur de la jungle.
      À cet instant, je remercie la vie, et le ranger, de m’avoir offert ce moment inoubliable.

      Le groupe reprend sa marche vers le sommet de la montagne, où nous prendrons notre déjeuner. De là-haut, nous pouvons observer les 2 vallées : celle du Kerala et celle du Tamil Nadu. Nous sommes en effet à la frontière entre les 2 états et la nature prend toute la place dans le paysage.

      Sitôt notre riz pulao et curry de légumes engloutis, nous reprenons notre route sous un soleil de plomb. Les chemins sont plus dégagés au sommet, la jungle moins présente, de nombreux eucalyptus nous abritent légèrement et nous évoluons dans une ambiance légère et amicale avec mes comparses de rando : 2 suisses et une australienne.

      Nouvelle alerte du ranger mais cette fois il a l’air inquiet, il prend en main son fusil qu’il avait jusqu’alors à l’épaule, ce qui n’a rien de rassurant ! Il nous fait signe de reculer rapidement et en silence sur le chemin et d’aller nous cacher plus loin. Nous obtempérons sans comprendre… quand tout à coup, ce que nous avons pris pour un gros rocher en bordure du sentier se met à bouger. C’est un mâle solitaire, un éléphant énorme, tranquillement en train de manger.
      Les mâles solitaires sont les spécimens les plus dangereux d’après ce que nous explique Prakeesh, notre guide.
      En effet, nombreux sont ceux qui attaquent quiconque se trouve en travers de leur chemin ou les dérange. Les histoires terribles ne manquent pas en Inde sur les tueries perpétrées par des éléphants isolés ou rejetés de leur groupe. La mémoire d’éléphant n’est pas une légende, ce sont des animaux très intelligents, doués de réflexion, d’affection mais aussi d’esprit de vengeance. Peut-être les éléphants tueurs ont-ils simplement perdus des membres de leurs familles, tués par des braconniers, et s’en souviennent…

      Nous attendrons 1h que ce seigneur de la jungle ait fini son déjeuner pour pouvoir passer notre chemin, en marchant le plus rapidement et silencieusement possible. L’adrénaline nous inonde et voir la crainte sur le visage des guides ne rassure en rien.
      Mais ce mâle solitaire nous laisse passer, heureusement, sans la moindre agressivité.

      Par 2 fois mon cœur s’est empli de cette sensation d’amour universel, celui qui s’étend à chaque être vivant quel qu’il soit. Un sentiment mêlé de respect et de fascination. En ce jour qui célèbre l’amour, la nature m’a gâtée de la plus belle des façons.

      L’INFO EN + :
      L’Inde compte environ 30.000 éléphants sauvages, soit près de 60 % de la population sauvage totale. Ces dernières années, une augmentation du nombre d’éléphants tués par des hommes mais aussi, à l’inverse, d’hommes tués par des éléphants, a été constatée à mesure que l’activité humaine empiétait sur les zones forestières. Le ministère de l'Environnement estime quant à lui qu'un humain meurt chaque jour en Inde après avoir croisé la route d'un animal sauvage, et qu'une grande majorité de ces victimes sont écrasées par des éléphants.
      Les rencontres violentes entre des humains et des éléphants sont une «tendance croissante», a déclaré Singh, alors que de vastes étendues de forêts sont défrichées pour y établir des habitations et des activités industrielles.

      Selon les autorités indiennes, les attaques d’éléphants sauvages ont tué au moins 3 310 personnes entre 2014 et 2021, dont un nombre important dans l’Etat d’Odisha, où une quarantaine de décès ont été enregistrés en sept mois. Chaque année, un demi-million d’Indiens voient par ailleurs leurs cultures ravagées par les pachydermes. Les agriculteurs, qui perdent parfois l’ensemble de leurs revenus du jour au lendemain, n’hésitent pas à les tuer en représailles. Le ministère indien de l’Environnement et des Forêts estime que 474 éléphants sont morts électrocutés entre 2014 et 2020.

      Je me réserverai toutefois le mot de la fin et la pensée selon laquelle, pour son simple intérêt et son simple confort, l’Homme détruit l’habitat des espèces sauvages en pensant les réduire au silence et à l’invisibilité. Mais on ne fait pas d’omelette sans casser des œufs et on n’empiète pas sur la nature sans qu’elle ne se révolte un jour où l’autre.
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    • Day 42

      Plongée indienne

      February 23, 2023 in India ⋅ 🌙 18 °C

      Depuis plusieurs jours me voilà en immersion totale dans la famille de mon ami Yunis. Cela me permet à la fois de vivre le quotidien d’une famille indienne mais aussi de nouer des liens solides avec ces humains adorables qui m’accueillent comme s’ils m’avaient toujours connue.

      YUNIS
      Né dans une famille musulmane, Yunis n’est pas croyant et encore moins pratiquant. Son ouverture sur le monde et sur les autres, sa générosité et sa gentillesse sont sans limite. Véritable puits de savoir botanique, ornithologique, faunistique, il a appris seul ce qu’il sait de la nature. Avec pour seul arme son appareil photo, il sillonne la nature en quête d’animaux sauvages à découvrir ou redécouvrir. Il en sait plus sur la faune et la flore que certains guides embauchés dans les réserves mais, comme il me l’expliquait aujourd’hui, il n’a pas le diplôme lui permettant de postuler.
      Il rêve d’avoir un jour son petit coin de paradis à lui et d’y accueillir la planète, mais avant de vivre le sien, il souhaite que ses 3 filles puissent faire des études et vivre leurs rêves à elles.
      Yunis est le seul indien que je connaisse qui soit capable d’aller acheter un parotta (pain de la même famille que les naans) pour le donner à un chien errant affamé.

      SARA
      Sara, épouse et mère hyperactive, est une femme très bavarde et très chaleureuse. Je suis étonnée par la facilité qu’elle a à aborder tous types de sujets toujours avec délicatesse et bienveillance. Elle se lève chaque matin à 4h30 pour commencer sa longue journée : prières, cuisine, tâches ménagères, préparation du petit-déjeuner (en Inde on ne pose pas un paquet de biscottes ou de chocapic sur la table, il s’agit d’un repas à part entière), préparation des enfants, travail (elle est professeur dans une école pour des enfants issus de tribus autochtones)… puis retour à la maison en fin de journée, devoir des enfants et préparation du dîner (là encore, pas de plats surgelés enfournés dans le micro-onde).
      De confession musulmane, elle ne sort jamais sans avoir couvert ses magnifiques cheveux noirs. Nous avons parlé de nos rêves hier soir, le sien est de pouvoir être titularisée en tant que professeure afin de pouvoir offrir à ses 3 filles des études convenables.

      Son mariage avec Yunis est un mariage d’amour, ce qui se fait encore trop peu en Inde. Ses parents désapprouvaient cette union et, d’après ce que j’ai pu comprendre, continuent de le faire à demi mot. Ils souhaitaient visiblement pour leur fille, un mari qui « make money » mais Yunis est un rêveur passionné par la nature à laquelle il voue son existence.

      SAFREEN
      L’ainée des 3 filles a 17 ans. Elle prépare l’examen qui lui ouvrira les portes des écoles de médecine, son but ultime pour son avenir professionnel. Elle est également une sœur exemplaire qui prend soin des 2 autres comme une mère.
      Nous sommes allés rendre visite à l’une de ses tantes qui venait d’accoucher et elle m’a glissé à l’oreille que cette jeune fille avait à peine 19 ans, soit seulement 2 ans de plus qu’elle et qu’elle ne voulait surtout pas de cette vie là. Pour elle, l’avenir c’est devenir médecin.
      Safreen est déterminée et douce à la fois. Elle est brillante et motivée.
      Elle mérite l’avenir dont elle rêve, celui qu’elle veut pour pouvoir aussi offrir le meilleur à sa famille. Lorsqu’elle retire le foulard qu’elle porte en public, elle déploie une longue chevelure noire, lisse et brillante comme de la soie qui tranche avec ses dents blanches comme des perles.

      AFREEN
      Comme toute cadette qui se respecte (expérience oblige), Afreen est la rebelle de la fratrie. Elle ne se laisse pas approchée aussi facilement que son aînée, et n’est pas tendre avec son entourage, mais c’est esprit rebelle cache un cœur débordant. Elle m’a confié avoir besoin d’observer d’abord pour pouvoir entreprendre une conversation avec un(e) inconnu(e). Nous avons eu tout le temps d’un trajet en voiture de 4h pour parler musique, cinéma, voyages, avenir professionnel, tempérament et alimentation !
      Âgée de 14 ans, elle voudrait être star de K-pop ou au moins voyager en Corée du Sud, ce qui semble plus envisageable. Afreen porte des jeans et des t-shirts extra larges, se bagarre avec ses cousins, crayonne ses yeux déjà d’un noir profond au khôl et, en dehors de l’école, elle pose un foulard de manière très décontractée sur ses cheveux bouclés. Elle refuse de manger de la viande et est un véritable ovni dans sa famille où le chicken biryani est un incontournable ! Elle est donc très heureuse qu’avec ma présence, les plats végétariens soient de mise à la maison !

      AMEE
      Cette petite bouille de 7 ans est le petit pitre de la famille. Sans cesse en train d’inventer des histoires pour divertir son monde, elle a imaginé celle où je resterais pour toujours avec eux et lui apprendrais le français à la condition que j’apprenne Tamoul et Malayalam ! Autant dire qu’Amee à le sens de la négociation !
      De nature « timide 5 secondes et demie », elle a pris de sa mère le débit de parole et malgré son jeune âge, elle maîtrise parfaitement l’anglais ! L’école dans laquelle elle est, inculque un niveau élevé d’anglais. Sa jeunesse ne lui fait pas non plus oublier la lucidité : hier nous sommes allés chez un ami de Yunis qui vit en haut d’une montagne couverte de plantations de thé. C’était la fin de journée pour les cueilleuses et le temps de la pesée. En les observant, j’ai dit que je pensais qu’il s’agissait d’un travail très fatigant. Ce à quoi Amee a répondu que les travaux dans les plantations étaient pour ceux qui n’avaient pas pu aller à l’école et qu’elle étudierait donc très bien à l’école pour avoir un métier moins fatigant.

      En Inde, le quotidien confronte les enfants à des réalités auxquelles tous ne peuvent pas échapper. Comme me l’a dit mon ami Yunis, l’éducation de ses enfants est la clé de leur avenir.
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    • Day 2

      Tour mit indischen Freund Santosh

      November 20, 2022 in India ⋅ ⛅ 23 °C

      Zufälle bestimmen das Leben. Im Flugzeug von Neu-Delhi nach Kochi haben wir einen ganz netten Sitznachbarn, Santosh gehabt und uns mit ihm gleich sehr gut verstanden. In den letzten 2 Tagen hat er uns so atemberaubende Tipps gegeben und wir sind so froh, dass wir ihn kennen gelernt haben. Er ist so hilfsbereit, organisiert alles und passt auf uns auf damit wir sein Land wenn wir mal wieder zurück in Deutschland sind in bester Erinnerung behalten.

      Seine Einstellung zum indischen Leben gefällt uns gut und wir mussten feststellen, dass es doch sehr viele Parallelen mit dem europäischen Lebensgewohnheiten gibt. Gestern hat er einen guten Freund als Fahrer organisiert, der uns gefühlt durch ganz Kerala herum gefahren hat und uns die schönsten Plätze diese Gegend näher gebracht hat. Wir wurden von Santos und seinen Freund morgens um 7:00 Uhr schon abgeholt und kamen um 22:00 Uhr wieder in unserer Unterkunft an. So intensive Erlebnisse konnten wir erleben, doch schaut einfach Euch die Bilder an, sie sprechen für sich.
      Es macht einfach Spaß so nette Menschen kennen zu lernen auf unserer Weltreise.
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    • Day 50

      Munnar...

      November 19, 2023 in India ⋅ ☁️ 19 °C

      Munnar in Kerala ist ein wahres Naturparadies, das von üppigen Wiesen, den beeindruckenden Bergen der Western Ghats sowie von schier endlosen Tee-, Kaffee- und Gewürzplantagen umgeben ist.

      "Wenn Gott jemals darüber nachdenkt, wie er seinen Aufenthaltsort auf der Erde wählen kann,wird Munnar ganz oben auf dieser Liste stehen."

      Munnar ist mit üppiger natürlicher Schönheit gesegnet und wird oft als ,Kaschmir Südindiens" bezeichnet.
      Die Stadt Munnar, die sich im wunderschönen Bundesstaat Kerala im Süden Indiens befindet, liegt in der Gebirgskette der Westghats und ist von malerischen Hügeln umgeben. 
      Ende des 19. Jahrhunderts wurden hier zahlreiche Teeplantagen angelegt. Heute ist die Stadt genau für diese immergrünen Plantagen, aber auch für ihr Heilklima bekannt!

      Nach meiner wunderbarer Bootstour bin ich mit dem Bus nach Munnar gefahren.
      Ein grünes Paradies, es ist 10 Grad kühler, ich kann durchatmen, abkühlen.
      Um neun holt mich ein Guide ab, wir gehen wandern.
      Da ich immer nur in Städten etliche Kilometer gelaufen bin, darf ich endlich durchs Grüne wandern.
      Wandern gehört auch zu meinem Reha Programm :-)

      Südindien ist leiser, niemand hupt, aufgeräumter, fast kein Müll, die Landschaft ist lieblich, die Menschen langsamer, herzlicher und etwas distanzierter . :-)

      Ich fühle mich hier wohl, kann entspannen,
      Ruhe finden, die Natur aufsaugen!
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    • Day 14

      Madurai -> Munnar

      November 14, 2023 in India ⋅ ☁️ 21 °C

      // Busfahrt

      6 Uhr am Morgen im Hotel: Verabschiedung von Myrthe, unsere Wege trennen sich. Schön war's!

      Kurz darauf am Busbahnhof: Hunderte Busse die drängeln und hupen. Dazwischen flitzen Menschen und Straßenhunden umher. Alle Anschriften auf den Bussen sind auf Hindi, ich bin völlig lost. Ein, zwei, drei "Gespräche" (Handzeichen+Googelmaps) mit Platzeinweisern später werde ich schroff aufgefordert mich zu setzen: "Wait!!"
      Mehr Infos gibt man mir nicht. Ich übe mich in Geduld und Vertrauen. Ein kleiner Junge läuft langsam vornüber gebeugt vorbei und übergibt sich alle paar Schritte. Ohje... Böse Vorahnungen für meine Fahrt in die Berge?

      Der Bus fährt nach zwei Stunden Warten ein und die Platzeinweiser und zwei Fahrgäste stürmen gleichzeitig zu mir um mich sicher zum Bus zu begleiten. Das muss man den Indern lassen: sie kümmern sich!

      Die Fahrt ist abenteuerlich und es gibt viel zu gucken. Ich sitze sicher auf dem "Fels in der Brandung", kann den Trubel genießen weil er mich nicht betrifft. Ich habe eine tolle Beschreibung in dem Buch das ich gerade lese gefunden, siehe Fotos!

      Endlich raus aus der Stadt, kommt der Bus in den Serpentinen Munnars an seine Grenzen. Die Kurven sind so scharf und eng, der Gegenverkehr muss halten um unseren UTurn abzuwarten. Der Motor schnauft, hinter dem Fahrzeug eine schwarze Wolke aus Abgasen.
      Der Ausblick auf das Tal und die steilen Berge wird nach jeder Wendung besser. Aber bloß nicht nach unten gucken, fast scheint es als würde ich auf meinem Fensterplatz über dem Abgrund hängen.
      Tiefe Wolken verschlucken uns. Es hat deutlich abgekühlt (endlich!) und die Luft ist frisch und klar.
      Der Pass ist erreicht, bergab geht's á la fast & furious. Ich kralle und verkeile mich mit allen Vieren in die Sitzbank und denke an den Jungen von vorhin mit vollstem Verständnis.

      Noch eine Tuktukfahrt und ich bin am Hostel. Bisher das Beste, in dem ich in Indien war! Es liegt abgelegen mitten im Wald, jedes Zimmer hat einen phänomenalen Blick ins Tal. Es findet sich schnell eine Gruppe zusammen und wir spazieren noch etwas durch die Umgebung. Letzte Woche wurde sogar nahe dem Hostel ein wilder Elefant gesichtet!
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    • Day 32

      Indien Tag 5

      February 1, 2020 in India ⋅ ⛅ 28 °C

      Noch immer im Bus 🚌
      Um 3 Uhr erwachte ich schlagartig, da der Bus sich nicht mehr bewegte. Ich hörte laute Stimmen, schob den Vorhang von unserem Abteil hinüber und sah wie alle aus dem Bus stürmten. Es war Pipipause. Da unsere Blasen auch gefühlt schon am platzen waren, zogen wir schnell die Schuhe an und machten uns auf den Weg zur Toilette. Diese wurde von einem Mann bewacht, welcher auf einem Plastikstuhl direkt auf dem Weg zur Toilette saß. Er wollte ganze 10inr (ca. 13ct) für den Toilettengang. Nach der Erleichterung ging es schnurstracks zurück ins Busbettchen, wo einer von uns ziemlich schnell wieder einschlief. Nach nicht nur gefühlten weiteren 8 1/2 Stunden waren wir dann doch endlich angekommen. Es war Punkt halb 11, somit waren wir ca. 17 Stunden unterwegs. Dafür, dass für diese Strecke „nur“ 13 Stunden angegeben waren, sind wir echt überrascht, wie komfortabel solch ein sleeper bus ist. In Munnar angekommen, wurden wir natürlich!! von einem Haufen Tuk Tuk Fahrern in Empfang genommen, welche lustigerweise alle das gleiche Ziel hatten... unser Hotel. Also pickten wir uns denjenigen mit dem günstigsten Preis heraus.. Haha schön wärs, es war wohl eher der, welcher uns am meisten auf die Nerven ging.. Für 400 inr ca. 5€ fuhren wir also zu unserer 17 km entfernen Unterkunft. Dort angekommen wurden wir mit einem leckeren Milchzuckertee begrüßt. Da wir seit 17 Stunden nur zwei Bananen und eine (kleine!!) Packung indischen Zwieback zu uns genommen hatten, war es mal wieder Zeit für unsre Leibspeise, Curry mit Reis. Zur Abwechslung gab es jedoch heute mal eine Abwandlung in Form von Paneer Butter Masala. Da wir uns natürlich jeweils eine Portion bestellten, bekamen wir natürlich auch wieder die vierfache Portion, was letztendlich die Suche nach Abendessen hinfällig machte.
      Nach dem Mittagessen planten wir noch ein bisschen unseren Indien Aufenthalt und um 16 Uhr ging es für uns zum Kalarikshethra Temple, welcher eher einem kleinen Theater mit Blechdach ähnelte. Wir schauten uns eine Kathakali Aufführung an.

      💡Kurzinfo zu Kathakali:
      Kathakali gilt als die bedeutendste klassische Kunstform Indiens. Die Geschichte dieser lebendigen Tanzform lässt sich bis ins 17. Jahrhundert zurückverfolgen. Kathakali stammt ursprünglich aus Kerala. Die erste Form von Kathakali war Ramanattam, das vom Raja von Kottarakkara, einem fürstlichen Staat im alten Kerala, geschaffen wurde. Diese Kunstform ist reich an lebhafter Schauspielkunst, farbenfroher Kostüme, gefühlvoller Musik und Percussion.

      Die Show, welche wir uns angesehen haben, zeigte hauptsächlich Episoden aus den alten Epen Ramayana und Mahabharatha, was uns natürlich aufgefallen ist. 🙈😁
      Da wir nicht nochmal 400 idr für die nächste Show aufgeben wollten, ging es für uns zurück zum Homestay. Im unfertigen Homestay (zur Zeit ist es ein Dach, soll aber irgendwann noch ausgebaut werden, deshalb liegen alle Bewehrungsstähle für unbestimmte Zeit frei😁) konnten wir den Sonnenuntergang mit einer Tasse Tee genießen. Tag Ende.
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    • Day 34

      Indien Tag 7

      February 3, 2020 in India ⋅ ☀️ 27 °C

      Heute haben wir ausgeschlafen und lagen bis fast 8 Uhr im steinharten Bettchen🤗. Als wir es dann endlich schafften uns aufzurappeln gab es für uns ein leckeres Frühstück. Es war Gemüsemassala mit einer Art Idly, nur in größer und fluffiger🤔😁.
      Da wir bis nachmittags in unserem Zimmer bleiben durften, stressten wir uns nicht mit dem packen. Unser Ziel war es, spätestens um 15:30, auf der anderen Straßenseite unserer Unterkunft zu stehen, um pünktlich unseren Bus zurück nach Bangalore zu ergattern. Also hatten wir fast den ganzen Tag Zeit um unsere Sri Lanka Kostenaufstellung zu vervollständigen und unser Tagebuch zu schreiben. Außerdem hatten Zeit um uns noch etwas mit Karl und Rita (den zwei Weltreisenden) zu unterhalten. Zum Abschied machte uns Selvin noch einen Tee, dazu gab es süße Leckereien aus Indien. Außerdem kauften wir noch Oreo und Hafer/Zucker Kekse für die Fahrt. Nun war es halb 4 und wir erwischten unseren Bus nach Munnar. In Munnar angekommen mussten wir noch bis 17 Uhr warten bis unser Bus eintreffen sollte. Um 17 Uhr bekamen wir dann aber gesagt, dass uns ein Shuttle Bus (mit Sitzplätzen) in 3 1/2 Stunden, von Munnar nach Udumalaipettai, zu unserem Sleeper Bus fährt. Es war jedoch ein sehr kleiner, voll besetzter Bus, was (nachdem Matthias dann am Fenster saß) natürlich kein Problem für uns darstellte. Neben uns saßen zwei Inder die sich angeregt mit uns unterhalten haben, sodass die 3 1/2 Stunden wie im Flug vergingen. Bei einem Zwischenstopp haben wir die Chance genutzt und zwei Tee getrunken und einen Masala Dosa gegessen. In Udumalaipetti angekommen packten wir schnell unsere Sachen in den Sleeper Bus und richteten uns im Bettchen ein. Tag Ende.
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    You might also know this place by the following names:

    Idukki, Idukki district, ادوكي, Distrito de Idukki, Idukkin piirikunta, ઇડ્ડક્કિ જિલ્લો, इडुक्कि ज़िला, Distretto di Idukki, ഇടുക്കി ജില്ല, इडुक्की जिल्हा, इटुक्कि जिल्ला, ضلع اڈوکی, Идукки, इडुक्की मण्डलम्, இடுக்கி மாவட்டம், ఇడుక్కి, ایڈوکی ضلع, 伊都基縣

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