Pérou
San Roman

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Top 10 des destinations de voyage : San Roman
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Voyageurs à cet endroit
    • Jour 22

      Chez Ruben au Lago Titikaka

      14 septembre 2022, Pérou ⋅ ⛅ 13 °C

      Le 14 au matin, on quitte Oscar, Jo et Felix, direction la gare pour prendre un énième bus de 7h, mais cette fois, de jour. Départ à 8h30, on arrive à Puno vers 17h. On doit trouver comment aller chez Ruben, qui nous accueille pour passer la nuit et la journée avec lui. On tente de prendre un collectivo, c’est raté, il est trop tard, alors on se rabat sur un taxi qu’on négocie non sans mal.
      C’est parti pour 1h30 de route. Un gros orage éclate sur le lac, c’est beau, on est pas rassurés parce qu’on a aucune idée de la tête du lieu dans lequel on va dormir. Au bout d’un moment, le chauffeur se rend compte qu’il ne connaît pas l’adresse exact du fameux Ruben, et que c’est plus loin que ce qu’il pensait. Alors, il nous explique qu’on va devoir payer plus parce que ça lui rajoute du trajet. On lui dit que non, on ne paiera pas plus, on en a marre de se faire arnaquer. On explique la situation à Ruben par message, on est au milieu de nul part, il y a beaucoup d’éclair et de pluie, et on commence à se demander si le chauffeur ne va pas nous laisser la. Le chauffeur appelle Ruben pour lui demander l’adresse exacte, il s’engueule avec lui au téléphone. Ruben tente de le rappeler, il lui raccroche au nez, on flipper un peu mais on finit par arriver chez Ruben. Il discute avec le chauffeur avec de jolies insultes, lui dit qu’on ne paiera pas plus que le prix de base, et le chauffeur finit par s’en aller.
      Heureusement, nos chambres sont sympas, il ne fait pas chaud mais Vilma, la femme de Ruben, nous a préparé un bon dîner.
      On discute avec Ruben, qui se lance dans une conversation complètement lunaire. Il nous explique qu’il y a deux sirènes dans le lac, une âgée et l’autre adolescente, elles sont blondes et chantent, et attirent les pêcheurs qui partent seuls. Ruben les a vu et entendues, seuls les hommes peuvent les voir et les entendre (seulement quand ils sont bourrés), bref on se croirait dans l’Odyssee. On se retient de rire parce qu’il est très sérieux, et il continue son récit en nous parlant de l’île où vont les sirènes et la grenouille géante du lac.Il nous explique également qu’il y a trois portes qui mènent direct à Cusco (à des heures de bus d’ici), mais que tout le monde ne peut pas rentrer. 5 personnes sont rentrées et seulement deux sont ressorties et celle de Puno est protégée par une couronne en or. Enfin, il nous parle d’un temple sacré gardé par certains chamans (que le temple choisi lui même). Parfois il y a des mauvaises ondes et on ne peut pas y aller. Il faut demander l’autorisation au chaman pour entrer et il doit entrer en premier. On conclut cette discussion par la décision d’aller mediter au fameux temple le lendemain matin, et on part se coucher, mi flippés, mi intrigués, mi amusés.

      Le lendemain matin vers 8h, direction donc le fameux temple. Ça grimpe, on est toujours aussi haut en altitude. Après avoir demandé autorisation au Rocher Hiboux de passer (en lui glissant des feuilles de coca en offrande), on arrive au niveau du temple. La vue sur le lac à 360 degrés est magnifique. On commence notre séance de méditation, avec une nouvelle offrande de feuilles de coca à la Pachamama, c’est apaisant, il n’y a aucun bruit. On redescend jusqu’à un embarcadère ou un capitaine va nous emmener sur l’île d’Uros. Cette île flottante complètement faite de bloc de terre, racines, et sortes de bambous, abrite 4 familles. On nous raconte l’histoire de ces îles flottantes, bâties pour échapper aux colons espagnols, leur procédé de frabrication, et on visite une des 4 « maisons » présentent sur l’île. On parle un peu avec les habitants, et on repart direction chez Ruben pour le déjeuner.
      L’après-midi, Vilma nous fait découvrir les activités locales : cassage de Pierre, fabrication de savon naturel, filage de la laine d’alpaga, conception de ponchos… Accompagnés d’Inti, leur chien, on se prête au jeu habillés en tenue locales. Petite séance photo pour immortaliser nos magnifiques tenues (pas forcément flatteuse au niveau de la taille), et on dit au revoir a Vilma, Ruben et Inti.
      On repart pour Puno, ou on va passer la nuit dans une auberge miteuse avant de prendre un bus pour changer de pays !
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    • Jour 354

      Lago Titicaca

      28 août 2023, Pérou ⋅ ☀️ 15 °C

      🇪🇸
      La excursión (para nosotros agotada) a la isla del sol no debería haber sido el punto final anteayer. Por la tarde, nuestro viaje nos llevó al siguiente destino, Perú. Todo fue muy bien hasta la frontera, pero el viaje desde allí hasta nuestra escala en Puno tomó un tiempo incómodamente largo.

      Tras una corta primera noche en Puno, ayer fuimos de nuevo a la masa de agua comercialmente navegable más alta del planeta. Habíamos reservado una excursión de un día que nos llevaría a las islas flotantes de los Uros y, con Amantani, a la tercera isla más grande del lago. Después de un corto trayecto desde Puno, llegamos ya a una de las islas flotantes, donde nos hicimos una interesante idea de la estructura de la(s) isla(s) y de la vida isleña de sus habitantes. Tras la obligada compra de un producto artesanal (no teníamos suficiente dinero para una tela...), los uros nos llevaron en una barca tradicional a la isla principal. Desde allí nos dirigimos durante unos 90 minutos a Llachón, en la península de Capachica, para comer por primera (y última) vez trucha del lago Titicaca. Fortalecidos, continuamos nuestro viaje por el lago hasta Amantani. Aquí, pudimos de nuevo estirar los pies (por supuesto,con una cuesta bastante dura) y visitar el encantador centro de la isla. La visita fue más bien corta, ya que teníamos un camino más largo de regreso a Puno, donde llegamos al anochecer y regresamos cansados a nuestro alojamiento.

      Pasamos la mayor parte del día de hoy en Puno cómodamente. Paseamos un poco por las calles, nos relajamos en la Plaza de Armas, compramos snacks para nuestro próximo viaje, nos refrescamos en un café (La Casa del Corregidor) y continuamos nuestro duelo de UNO. ¡La puntuación ahora es 316:221! A última hora de la tarde, nos recogieron en nuestro alojamiento. Continuamos nuestro viaje en autobús nocturno hasta Cusco.

      🇨🇭
      «Lago Titicaca»

      Die (für uns strenge) Tour auf die Sonneninsel sollte vorgestern noch nicht der Schlusspunkt gewesen sein. Denn unsere Reise führte uns am Abend noch ins nächste Reiseland, Peru. Bis zur Grenze ging das Ganze sehr gut über die Bühne, die Fahrt von dort bis zu unserem Zwischenstopp in Puno zog sich aber ungemütlich lange hin.

      Nach einer kurzen ersten Nacht in Puno ging es gestern erneut auf das höchstgelegene kommerziell schiffbare Gewässer der Erde. Wir hatten nämlich eine Tagestour gebucht, die uns zu den schwimmenden Inseln der Uros und mit Amantani auf die drittgrösste Insel des Sees bringen sollte. Nach kurzer Fahrt von Puno aus erreichten wir bereits eine der schwimmenden Inseln, auf der wir einen spannenden Einblick in den Aufbau der Insel(n) und das Inselleben der Bewohnenden erhielten. Nach einem obligaten Kauf eines handgefertigten Produktes (für ein Tuch hatten wir zu wenig Bargeld dabei…) wurden wir von den Uros mit einem traditionellen Boot auf die Hauptinsel „chauffiert“. Von dort aus ging es anschliessend während rund 90 Minuten nach Llachon auf der Halbinsel Capachica, um das erste (und letzte) Mal feine Forelle aus dem Titicaca-See zu essen. Gestärkt ging die Fahrt auf dem See weiter nach Amantani. Hier durften wir wieder einmal unsere Füsse vertreten (natürlich auch hier mit einer ziemlich knackigen Steigung) und den herzigen Inselkern besichtigten. Der Besuch war indes ziemlich kurz, denn es stand noch ein umso längerer Rückweg nach Puno an, wo wir bei Einbruch der Dunkelheit wieder ankamen und erneut müde in unsere Unterkunft zurückkehrten.

      Den heutigen Tag verbrachten wir in Puno mehrheitlich gemütlich. Wir schlenderten ein wenig durch die Gassen, entspannten am Plaza de Armas, kauften Snacks für unsere Weiterfahrt, chillten in einem coolen Café (La Casa del Corregidor) und führten unser UNO-Duell fort. Mittlerweile lautet der Spielstand 316:221! Spät am Abend wurden wir dann in unserer Unterkunft abgeholt. Unsere Weiterreise führte uns mit dem Nachtbus nach Cusco.
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    • Jour 372

      Islas flotantes de los Uros

      22 novembre 2023, Pérou ⋅ ☀️ 16 °C

      Morgens buchen wir bei Yordi eine private, authentische Tour zu den Uros Inseln und wenig später sitzen wir schon im Boot. Die Uros sind ein indigenes Volk, das auf ca. 120 schwimmenden Inseln im Titicacasee lebt, welcher der größte See Südamerikas und der höchste kommerziell schiffbare See weltweit (3.812m ü.NN.). Ursprünglich dienten die Inseln der Verteidigung, da sie im Falle einer Bedrohung einfach verlegt werden konnten.

      Zuerst fahren wir nach Suma Marka, was so viel bedeutet wie "schöner Ort". Das ist die Insel von Yordi und seiner Familie. Rosa und Melinda erzählen uns zunächst auf Spanisch (untereinander wird auch hier Aymara gesprochen), wie die Inseln gebaut werden - nämlich alles (Inseln, Häuser, Boote) aus Totora Wurzeln und Schilf. In der Regenzeit werden die Wurzelblöcke aus dem See heraus gestochen und später mit Eukalyptuskeilen und Seilen zu sogenannten Khili-Paletten zusammengebunden. Sobald sich die Wurzeln miteinander verbunden haben, werden über einen Monat lang jeden Tag Schichten aus Totoraschilf darauf gelegt. Und selbst wenn die Insel einmal fertig ist, muss alle paar Wochen ausgebessert und nachgelegt werden, da das Schilf schnell verrottet.

      Anschließend dürfen wir eine kleine Hütte betreten, viel mehr als eine Matratze liegt nicht darin. Seit 10 Jahren erst hat jede Hütte ihr eigenes kleines Solarpanel, vorher gab es keinen Strom. Total faszinierend einen Einblick in die so naturnahe Lebensweise der Uros zu bekommen, wobei die meisten mittlerweile hauptsächlich auf dem Festland wohnen. Fürs Foto dürfen wir noch schnell in eine typische Tracht schlüpfen und danach fahren wir mit dem "Mercedes Benz" weiter zu einer zweiten Insel, die Touri-Insel. Wahrscheinlich Pflicht-Stopp für alle Touren. Wir essen frittierten Fisch und Queso Frito, bevor es mit dem Motorboot anschließend nach etwas mehr als 3 Stunden auch schon wieder zurück geht. Derzeit fehlt dem Titicacasee einiges an Wasser, da es in den letzten Regenzeiten viel zu wenig regnete und auch die Wasserqualität verschlechtert sich zunehmend. Der einst heilige See leidet stark unter Verschmutzung. Bereits zum zweiten Mal wurde der See dieses Jahr zum "Bedrohten See des Jahres" gewählt.

      In Puno gönnen wir uns nach den drei Wochen, in denen wir zum Teil zu dritt im Bus, im Zelt oder einer günstigen Unterkunft geschlafen haben, mal ein anständiges Hotelzimmer. Unseren letzten gemeinsamen Abend zelebrieren wir in der Positive Bar, wo viel gute und überraschenderweise auch viel deutsche Musik gespielt wird. Und dann ist es so weit: nach drei Wochen, die wie im Flug vergingen, trennen sich unsere Wege wieder. Wir bringen Phia in Juliaca zum Flughafen, bevor es für uns noch ein letztes Mal nach Bolivien geht.
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    • Jour 157

      Puno - Lac Titikaka - Iles Uros

      10 février 2020, Pérou ⋅ ☁️ 12 °C

      Le mythique lac Titikaka, le plus haut lac navigable du monde (3800 m), sépare le Pérou de la Bolivie. Les Incas y auraient abandonné un trésor au XVIeme siecle. Le coté Péruvien acueille, à 5 Km de la côte, une communauté qui vit sur des iles fabriquées en roseaux et ammarées a la terre ferme. La partie qui se visite est très touristique mais permet tout de même de montrer au enfants cet étonnant mode de vie...."oui ils vivent là pour de vrai" !En savoir plus

    • Jour 31–33

      Puno am Titicacasee 🛶🐟

      27 janvier, Pérou ⋅ ☁️ 16 °C

      Mit dem Bus sind wir von La Paz in das peruanische Puno am Titicacasee gefahren. 🚌💨
      Hier haben wir einiges über das Volk der Uros erfahren. Eine ethnische Gruppe Indigener, die auf selbstgebauten, schwimmenden Schilfinseln auf dem Titicacasee leben. Sehr spannend zu sehen. 🛶
      Ansonsten hat Puno unserer Ansicht nach nicht all so viel zu bieten, außer super leckere Pizza. Nach gut vier Wochen südamerikanischen Essens, haben wir uns seeehr darüber gefreut! 🍕🤤

      Weiter geht es für uns ins heilige Tal. 🏔️🛕
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    • Jour 43

      Uros-Inseln

      4 février, Pérou ⋅ ☀️ 15 °C

      Der Titicacasee kann auch wunderschöne Sonnenaufgänge ☀️ Es ist Sonntag und unser letzter Tag hier, deshalb gönnen wir uns einen entspannten Bootsausflug zu den schwimmenden Schilfinseln der Uros. Vor 500 Jahren hat sich dieses indigene Volk auf den Inseln vor den Angriffen der Inka geschützt, jetzt vermarkten sie die Inseln touristisch. Da wir aber mal wieder nicht mit der geführten (und überteuerten) Touri-Gruppe, sondern dem normalen Boot gefahren sind, waren auch wir eine Art Attraktion - es gibt jetzt jede Menge Selfies von Peruanern mit uns 😎 Wirklich authentisch ist das ⚽Sonntagsspiel ⚽: alle - sowohl Spieler als auch Zuschauer - reisen mit dem Boot an. Zum Abschied vom Titicacasee machen wir dann auch mal Beweisfotos 🌅En savoir plus

    • Jour 47

      Sonneninsel am Titicacasee - Puno / Uros

      13 septembre 2023, Pérou ⋅ ☀️ 23 °C

      (Marcel) Auf dem Weg nach Bolivien machten wir einen zweitägigen Zwischenstopp kurz vor der Grenze in Puno. Die größte peruanische Stadt am Titicacasee.
      In der Stadt haben wir uns aber nur für wenige Stunden aufgehalten, da unser eigentliches Ziel direkt auf dem Titicacasee liegt. Aber mehr dazu gleich.

      Die Zeit in der Stadt war wieder typisch wir. Wir schlenderten die Straßen und Gassen entlang und hielten hauptsächlich Ausschau nach einem gemütlichen und vor allem preiswerten Restaurant. Essen ist für uns halt sehr wichtig. Nachdem wir hin und her diskutierten, verglichen und den selben Weg bereits dreimal gegangen sind, um wirklich das beste Restaurant zu finden, war Jana letztendlich genervt. Ihr Hunger hat mal wieder auf ihren Kopf ausgeschlagen. Sie bekam deswegen Kopfschmerzen. Hat aber vielleicht noch mit der Höhe zutun, denn wir sind mittlerweile über 2 Wochen im Schnitt auf 3000m Höhe.
      Wir entschieden uns letztendlich für das erste Restaurant, das wir gesehen hatten. Halt typisch wir.

      Mit gestärktem Magen gingen wir zu unserem Treffpunkt, wo wir von einem Taxifahrer zu einem sehr kleinen Hafen gefahren wurden. In Deutschland würde man das nicht Hafen nennen, sondern eher ein Friedhof für Boote.
      Eine sehr authentische Frau holte uns mit einem kleinen Boot ab. Sie wird unsere Gastgeberin für die nächsten 2 Tage sein. Ihr Name ist Joanna. Das erste Stückchen bewegten wir uns auf den kleinen Wassergassen nicht mit dem Motor voran, sondern mit einem Stock und der reinen Muskelkraft der nicht ganz so weiblichen Joanna. Wir fühlten uns wie in Venedig. Nur halt ohne Häuser. Und ohne Brücken. Aber dafür mit sehr viel Seegrass um uns herum.
      Das Seegrass im Titicacasee ist übrigens von der Beschaffenheit und Farbe wie Stroh. Nur etwas dicker.

      Als wir aus der letzten Wassergasse mit dem Stock gedrückt worden sind, ging es mit dem Motor weiter. Es erschien aus dem Nichts eine Reihe von Häusern. Links und rechts. Und wir eine zeitlang mittendurch, bis wir unser eigenes Haus erreicht haben, welches wir über Airbnb gebucht haben. Sowas Jahrhunderte Altes mit sowas Modernem wie Airbnb gebucht. Fühlt sich irgendwie komisch an.
      Alle Häuser auf dem Titicacasee sind auf kleinen selbsthergestellten Inseln gebaut. Auf manchen Inseln ist eine Reihe von Häusern, auf manchen aber auch nur ein Haus. Die Inseln sind teilweise hunderte Jahre alt und werden immer noch von einem indigenen Volk namens „Uros“ bewohnt. Daher auch der Name des Ortes: Islas de los Uros. Was so viel heißt wie „die Urus-Inseln“.
      Die Inseln schwimmen übrigens im Wasser und bewegen sich mit dem Wasser wie ein Boot.

      Ingesamt leben ca. 2000 (!) Menschen auf den Inseln. 2000 Menschen in einem Dorf würde ich normalerweise als Kuhdorf bezeichnen, aber das wirkte ganz anders. Es ist eher wie ein eigenes Land. Das einzige was gleich zu einem Kuhdorf ist, dass die Menschen sich alle gegenseitig kennen und alle miteinander verwandt sind. Und auch, dass man die Hinterlassenschaft teilweise ins Wasser entsorgt. Sorry an die Kuhdorf-Leser an dieser Stelle.
      Unser Haus war auf einer kleinen Insel mit 5-6 anderen Häuser, die aber derzeit nicht bewohnt waren. Wir waren somit die einzigen auf der Insel. Na gut, nicht ganz. Joanna lebte am Ende der Insel im eigenen Haus. Es war aber soweit weg, dass es sich trotzdem anfühlte als wären wir alleine. Aber zum Glück so nah dran, dass wir ihren Hotspot nutzen konnten. Gott sei Dank!

      Das Haus war ein Traum. Wir hatten eine eigene Terrasse mit einem Bett und Liegestühlen. Zwei Wände bestanden komplett aus Glas, so dass wir vom Bett aus auf den See und auch den Sonnenuntergang schauen konnten. Für die Minustemperaturen in der Nacht hatten wir zum Glück auch eine Gasheizung. Und ungelogen 6 dicke Decken.
      Das einzige Außergewöhnliche war die Toilette. Es sah zumindest aus wie eine Toilette. Aber als wir den Sitz hoch machten, war ein Eimer mit einer Tüte darin. Jetzt haben wir auch den anderen Eimer neben der Toilette verstanden. Dort war nämlich eine Art Streu mit einer Tasse zum Schaufeln. Damit soll man die (Titi)caca bedecken. Wie beim Katzenklo. Miau!

      Die zwei Tage und zwei Nächte waren Entspannung pur für uns. Die Sonnenuntergänge waren ein Traum. Außer dass es direkt 10 Grad kälter wurde, als die Sonne hinter dem Berg unterging. Dafür strahlte relativ schnell der Sternenhimmel über uns. Der Himmel war so klar, dass wir das erste Mal in unserem Leben die Milchstraße sehen konnten. Wir waren so erstaunt, dass wir direkt eine Sterne-App (dank Joannas Hotspot) runtergeladen haben, um mehr vom Sternenhimmel zu erfahren.
      Das Erste, was wir über die App gesehen haben, war der Schütze, der direkt über uns leuchtete. Alle Leser hier wissen sicherlich, dass wir beide Schützen sind.
      Ein Zeichen? Vielleicht… alle Leser wissen wahrscheinlich auch, dass ich daran gar nicht glaube. Es war also einfach nur Zufall.

      Am nächsten Tag machten wir mit Joanna eine private Tour durch bzw. an den Uros-Inseln. Es war komplett auf Spanisch, wir haben aber tatsächlich fast alles verstanden. Unsere Fragen hat sie auch alle verstanden. Vielen Dank Doulingo!
      Es gibt tatsächlich mehrere Schulen sowie Restaurants auf den Inseln. Alles muss man per Boot erreichen. Selbst kleine Kinder um die 5 Jahre, fuhren eigenständig Boot.
      Nach der zweiten Nacht wurden wir von Joanna wieder zum „Hafen“ gebracht. Nach einer kurzen Taxifahrt erreichten wir unseren geliebten Reisebus (Nicht!), der uns zum nächsten Ziel gebracht hat: Copacabana in Bolvien.
      To be continued.
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    • Jour 58–59

      Islas de los Uros

      5 décembre 2023, Pérou ⋅ ☁️ 12 °C

      Neues Highlight unlocked. Nicht weit von Puno leben einige hundert Menschen auf schwimmenden Insel aus Schilf mitten am Titicacasee (was übersetzt soviel heißt wie grauer Puma). Auf den über 100 Inseln leben je 2-10 Familien. Jede Insel hat eine Präsidenten und wenn jemand eine Familie gründet, bauen sie einfach eine neue. Alle paar Wochen müssen sie neuen Schilf nachlegen und alle paar Jahre das Fundament der Häuser erneuern.

      Lustiges Gefühl auf diesen Inseln zu gehen, jede Welle spürt man und alles ist von Schilf bedeckt. Wir durften bei Leo und seiner Familie übernachten und auch ein wenig in den Alltag dieser Familien eintauchen. Wir kamen mit zum Fischen in den traditionellen Booten, probierten die Frucht der Totora-Pflanze (Schilf), holten Leos Schwester von der Schule und lernten seine Kultur kennen. Am Abend erlebten wir dann den spektakulärsten Sonnenuntergang unserer Reise. Die Ruhe hier war genau richtig um mal ein wenig abzuschalten und in eine andere Welt einzutauchen.
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    • Uros - Titikakasee

      19 avril, Pérou ⋅ ☀️ 15 °C

      Der Name Titikaka bedeutet „grauer Puma“ in der Sprache der Uros und kommt von der Form des Sees. Wenn man den See von oben ansieht, dann sieht er (mit etwas Fantasie 😉) aus wie ein grauer Puma. Der Titikakasee ist der höchste, schiffbare See der Welt und liegt auf 3.810 M.

      Uros heißen die schwimmenden Schilfinseln, aber auch deren Bewohner, auf dem Titikakasee. Die Inseln werden von den einheimischen Uros selber aus Schilf gemacht und mit Seilen mit dem Boden verbunden. Es gibt ca. 120 Inseln und 3.000 Bewohner.

      Früher haben die Uros überwiegend von der Fischerei gelebt, mittlerweile leben sie aber zu 95% vom Tourismus und viele der Uros sind nur noch tagsüber auf den Inseln und gehen abends aufs Festland.

      Zum Bau einer Insel wird Schilf mit seinen Wurzeln (ca. 2 Meter dick) verwendet. Darauf wird dann frisches Schilf gelegt, welches dann alle 2 Wochen nachgelegt werden muss. Die Häuser müssen alle 2 Jahre verschoben werden, um das Schilf darunter zu erneuern. Ansonsten würde die ganz Insel versinken; der See ist dort 20 Meter tief.
      Pro Insel leben idR 4-5 Familien in jeweils einer Minihütte (natürlich ohne Heizung) und auf einigen Inseln stehen Guesthäuser.
      Es gibt auch auch noch eine Kindergarten-, eine Schul-, eine Kirch- und eine Gemeinschaftinsel.

      Es ist hier traumhaft ruhig und idyllisch, tagsüber in der Sonne ist es total warm, aber nachts wird es eisig kalt. Leider konnte Michael hier gar nicht schlafen. Aber tagsüber hatten wir eine herrlich entspannte Zeit.

      Heute geht es weiter mit dem Bus nach Arequipa.
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    • Jour 77

      C’est reparti !

      8 décembre 2022, Pérou ⋅ ☁️ 11 °C

      Après plus de 10 jours à Cusco et seulement une journée de vélo, on reprend la route avec les sacoches !

      Par PL.

      5h45 : après 7h45 de bus et une nuit plus que correcte, les bus sont tellement conforts ici ! on arrive à Puno où on est passé manger un midi il y a plus de 15 jours.
      Nous ne sommes pas en habits de vélo mais on décide de sortir de la ville comme ça et de se changer plus loin tout en prenant notre petit dej. On remonte nos vélos (selles, roues) que l’on avait démonté pour le bus et 6h20 c’est le départ. On commence directement par une côte que l’on avait déjà faites, ça rappelle de bons souvenirs à alban qui ne râle même pas.
      Puis en haut, au lieu de tourner à droite vers Juliaca, on prend tout droit direction AREQUIPA !
      Après 10km, on s’arrête comme prévu. Mais au bout de seulement 15-20 min il se met à pleuvoir alors on se dépêche de repartir car au moins quand on pédale on a moins froid. La pluie ne durera pas longtemps mais le ciel restera lui bien encombré.
      Le matin la route se passera vraiment tranquillement avec toujours ces paysages d’altiplano sur un terrain un peu vallonné, on oscille entre 3800 et 4000m d’altitude.
      On est passé dans un village où c’était la maxi fête, on a oublié de demander pourquoi, tant pis.

      Viens l’heure du midi, on a bien roulé et on a coupé dans un chemin gravel alors on en profite pour s’arrêter ici car moins de circulation. Le soleil fait son apparition! Alors on en profitera et ça sera une assez longue pause midi ! Malheureusement, pas assez prudent on cramera du visage…
      On se remet en route ! 25km sur une nationale avant de bifurquer vers la route gravel que l’on empruntera jusqu’à Arequipa. Au moment de changer de route, on traverse Santa Lucia et là aussi c’est la fête : pleins de musiques, de gens en habits traditionnels ou costumes, des stands ambulants pour manger. On traversera le village tout doucement pour profiter du spectacle en hésitant à s’arrêter. Mais la fatigue de la route et de la nuit en bus ainsi que le ciel noir très menaçant nous amènent à continuer notre route. Dès que l’on rentre sur la portion gravel ça roule moins bien, on le sait mais on avait presque oublié depuis le temps.

      Une crevaison plus tard, avec une réparation express, on arrive à une jolie et grande lagune avec une petite plage en herbe. Ça sera notre spot du soir pour dormir, très très agréable.
      On s’est acheté des chorizos pour manger avec la polenta et on envisage des les cuire au feu de bois. Depuis le temps qu’on en parle avec Alban. Parce que ça fait 2 mois et demi qu’on bivouac et on a toujours pas tenté un feu sauvage quand même.
      C’est parti : on ramasse des pierres pour se délimiter un foyer, on ramasse des grandes herbes sèches pour l’allumage, on coupe des branches d’arbustes grâce au super couteau suisse d’Alban et on ramasse même des crottes bien sèches car je crois que ça brûle bien. On essaye de mettre le tout en route, les herbes pour allumer : parfait, mais malheureusement ni le caca ni les branches d’arbustes ne prendront feu, sûrement trop frais ou trop vert encore. Bref. On fera la saucisse à la popote et ça sera tout aussi délicieux.

      Demain est une journée superbe car il n’y a pas de programme. Juste on avance autant qu’on peut et on verra bien où le vent nous mène !
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    Vous pouvez également connaitre ce lieu sous les noms suivants:

    San Roman

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