Indonesia
North Sumatra

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Top 10 Travel Destinations North Sumatra
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Travelers at this place
    • Day 118

      Go inside — Orang Utan is coming

      February 26 in Indonesia ⋅ ☁️ 27 °C

      Lars muss vor unserem nächsten Abenteuer (an seinem Geburtstag) eine Lebensmittelvergiftung durchstehen. Der freundlichste Gastgeber überhaupt und liebe neue Bekanntschaften werden es nicht müde uns mit Tipps und Hilfsmittelchen zu versorgen.
      So können wir bald nach Bukit Lawang weiterziehen. Ein charmantes Dorf am Rande vom Gunung Leuser Nationalpark, wo wir eine Zwei-Tages-Wanderung in den Jungle machen. Wir haben tolle Affensichtungen und werden stündlich von unseren Guides verköstigt. Gut gesättigt raften wir zurück ins Dorf, wo wir etwas wehmütig unseren letzten Abend auf Sumatra verbringen. Doch wir bekommen noch ein Highlight geboten. Unser Host ruft uns eine Warnung zu und wir können uns noch schnell in unser Zimmer stürzen, ehe sich eine Orang Utan Mama auf unsere Terrasse schwingt. Was für ein Abschied dieses Landes, in dem wir uns so wohl gefühlt haben.
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    • Day 55

      Sungai Landak Saturday

      March 2 in Indonesia ⋅ 🌧 28 °C

      The weather has been so hot we all needed this cool down. The kids also leant how to build a fire and climbed up a stream to a waterfall and pool on the border of the national park. Hala also had a taster of kindergarten in the morning!Read more

    • Day 69

      Medan - Indonesia

      March 4 in Indonesia ⋅ ☁️ 32 °C

      Coucou les pingouins,

      Me voilà arrivée en Indonésie 🇲🇨
      Première petite victoire : j'ai pris l'avion seule de A à Z (oui c'est banal pour le commun des mortels, mais en tant que grande anxieuse, c'est un grand pas). Le vol s'est bien passé, décoller au coucher du soleil c'est juste magnifique (avouez on a envie de sauter dans les nuages). Je ne savais pas mais les compagnies aériennes asiatiques adorent balancer des tonnes de vapeurs d'huiles essentielles dans l'avion, on était littéralement enfumés ahah. J'étais bien sûr la seule babtou de l'avion.
      Fun fact : le durian (mais si, le fruit qui pue !) est considéré comme dangereux dans les avions 😂
      Arrivée sur place, j'ai pris un grab juste adorable. On a beaucoup parlé sur la route (+ d'1h) et il avait les mêmes goûts musicaux que moi donc entre deux chansons typiques, on a pu s'ambiancer sur du Avenged Sevenfold. Globalement les indonésiens sont adorables, ils viennent se prendre en photo avec toi, t'aident à traverser la route, etc... bon par contre la bouffe je suis encore sceptique hein. Je suis la seule touriste de Medan je crois, je suis un peu leur mascotte.
      Je me suis réservé deux nuits dans un hôtel capsule, c'est trop bien j'ai l'impression d'être une astronaute.
      Aujourd'hui c'est jour full orga puisque bien sûr je m'y prends encore 💫à la dernière minute💫 et donc tous les écotours trop cools sont déjà full 🫠
      MAIS j'ai quand même réservé un hébergement un peu perdu dans la jungle, et je ne perds pas espoir de pouvoir faire quelques activités sympathiques. (En fait le problème c'est que quand tu es solo traveler bah t'es exclu.e de tout, si tu veux faire une activité tu payes le prix x4 donc bon faut pas déconner).
      J'ai réservé un trek de deux jours/1 nuits dans la jungle avec les orangs outans, et je prie les Saints-Bernard de tous les pays pour que les rafflesias décident de fleurir maintenant (si je ne m'abuse elles ont un temps de "gestation" de 9 mois et on ne sait jamais à l'avance quand elles vont s'ouvrir mais c'est vraiment un rêve de voir ces fleurs géantes)
      La ville de Medan en elle-même est pas folle, il y fait une chaleur étouffante et ya pas grand chose à voir, en tout cas dans les quartiers où je suis. Comme prévu, avoir internet relève un peu du défi.
      J'ai jeté un œil à leurs centres commerciaux, ma foi pas bien différents de ceux en France. Oh, et j'ai déjà rencontré un indonésien qui a passé la soirée à me dire que j'étais son âme sœur et qu'on était destinés à se marier et avoir des enfants (décidement, j'aurais pu avoir au moins 5 nationalités différentes avec toutes les demandes en mariage que j'ai eu depuis que je suis partie 😂)
      Bref, il va falloir que je commence à m'organiser plus en avance pcq contrairement au Vietnam, les autres pays c'est po de la dernière minute (oui bah ça m'angoisse de préparer à l'avance, qu'est-ce que vous voulez que je vous dise !).
      Oh, et nouvelle monnaie (encore!) donc c'est reparti pour des parties de monopoly

      Bref, encore une fois rien de bien fou maaaaais le voyage c'est pas tous les jours des aventures épiques (mais promis ça va revenir bientôt, contrairement à la Thaïlande j'suis pas là pour me reposer)
      Des bisous !
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    • Day 77

      Bukit Lawang 3

      March 12 in Indonesia ⋅ ☀️ 34 °C

      Coucou les pingoos,

      Oups, j'ai oublié de poster hier. Il faut dire que les journées sont bien remplies. Hier, j'ai été voir les fleurs dans la jungle, tout en écoutant les histoires mystiques des locaux qui m'accompagnaient. Et aujourd'hui, j'ai été visité la batcave avec un néerlandais que j'ai rencontré et avec qui je m'entends vraiment bien. On a vraiment kiffer escalader dans le noir complet, avec le son des chauve souris et juste une lampe frontale. Pour les fleurs, un peu déçue parce que ce n'était finalement pas la saison des rafflesias, mais j'ai quand même été chanceuse de voir les Amor phophalus titanum étant donné qu'elles fleurissent une fois tous les 7 ans, pour 4 jours max. Et puis j'ai quand même appris plein de choses, c'était super intéressant.
      Entre deux et bien c'est tantôt jouer avec les enfants du village, boire des bières avec les copains français, parler toute la nuit avec le copain néerlandais, gouter les bons petits plats et se baigner dans la rivière. Je pars demain pour Berastagi mais je vous avoue que ça me brise un peu le cœur de partir d'ici. Je leur ai promis de revenir pour faire du bénévolat et passer au moins une semaine dans la jungle. Je me sens vraiment comme chez moi ici, j'espère sincèrement que les autres endroits à Sumatra seront comme ça mais j'en doute. Menfin, les copains français partent aussi demain pour Berastagi et on va pouvoir aller gravir le volcan tous ensemble. En attendant, je vais aller voir si le petit singe que l'on a sauvé va bien, et profiter de ma dernière soirée avec tout le monde.

      C'est tout pour aujourd'hui, des bisous !
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    • Day 81

      Lake Toba

      March 16 in Indonesia ⋅ ☁️ 27 °C

      Coucou les pingouins,

      Je vous avais quitté en vous disant que j'allais rester bloquée une journée de plus à Berastagi mais finalement les garçons ont ENFIN bougé et on a pu partir vendredi, direction Tuktuk 😃
      On part donc en taxi privé, on s'arrête sur la route pour voir la plus grande cascade du coin, puis on arrive au Lac Toba. Un ferry plus tard, nous voilà arrivés à nos hôtels, sous un ciel tout rose ! On mange, on rit, on boit, bref c'est la fête.
      Le lendemain, on a loué des scooters pour faire le tour de l'île et bon sang c'était magnifique. J'ai pas pris de photos (comme d'hab') mais c'était hyper mignon. On a revu une autre cascade, on a visité les petits villages, parlé aux locaux etc. Après une journée entière à rouler, on s'est enfin posé et c'est reparti pour la même rengaine eheheh.
      Après 2 jours ensemble au lac, il est temps pour moi de dire au revoir à mes 2 loustiques pour partir vers de nouvelles aventures 🥹 Mais on se recroisera peut-être aux Philippines, qui sait ?

      Bref, c'est tout pour le petit résumé, des bisous !
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    • Day 9

      Berastagi. 1 Tag voller Eindrücke!

      September 4, 2019 in Indonesia ⋅ ⛅ 19 °C

      Für lediglich 2 Nächte entschieden wir uns nach Berastagi zu fahren. Eine Kleinstadt am Rande der Vulkane Sinabung und Sibayak.

      Beide sind aktiv und letzterer brach nach bereits häufigen Eruptionen zuvor kürzlich erst wieder im Juni 2019 aus. Daher ist aktuell lediglich der Vulkan Sibayak begehbar.

      Zu Fuss von unserem Guesthouse dauerte es ca. 2h bis wir die bereits angekündigten Helikoptergeräusche gehört hatten. Die Geräusche, welche beim Austritt des Schwefels entstehen. Bald folgte auch schon der nach verfaulten Eiern erinnerernde Geruch - wovon sich jedoch trotzdem viele Locals vom Campen am Vulkankrater nicht abhalten lassen. Anschliessend ging es noch zu den heissen Quellen, welche zwar sehr gesund sein sollen - der Schwefelgeruch dort aber auch nicht 100 % zum entspannen einladet. 😅

      Eine weitere Erfahrung am selbigen Abend werden wir wohl auch lange nicht vergessen.

      Der Besitzer unserers Guesthouse lud uns ein, ihn zu einem kleinen Dorffestival zu begleiten, bei welchen wir traditionelle Tänze sehen konnten. Das Angebot schlugen wir natürlich nicht aus! Dort angekommen realisierten wir mit einer Vorahnung, dass wir die einzigen Europäer sind. Mit einer entsprechenden Gastfreundlichkeit wurden wir dort auch begrüsst...über einen kleinen roten Teppich wurden wir per Handschütteln von diversen Personen begrüsst und durften uns in die erste Reihe - ich würde sagen als Ehrengäste - hocken. Alle schauten uns mit neugierigen Blicken an und ohne ein Wort davon zu verstehen, ließen die Moderatoren Kommentare in unsere Richtung los - gefolgt von einem Gekichere im Publikum. Wir wollen gar nicht wissen, was da geredet wurde 😄. Schliesslich wurden wir sogar auf die Bühne geholt und mussten uns einem kurzen Interview aussetzen und bekamen anschliessend Tee und Süsses zum Naschen. Einmal BERÜHMT sein. Das Gefühl durften wir an diesem Abend auf jeden Fall erleben und wird uns in Erinnerung bleiben!
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    • Day 61

      Verloren zwischen Frankfurt und Singapur

      October 4, 2019 in Indonesia ⋅ ☁️ 30 °C

      So, da waren wir also! In Medan, im Norden Sumatras. Mal wieder ging der Flieger nicht pünktlich los, dafür hatten wir aber eine Menge Spaß mit den 2 Indern vor uns, die anscheinend der Meinung waren, man müsste unsere 30cm Sitzabstand noch ein wenig verkürzen und sich sogar noch vor dem Start in die Liegeposition katapultieren. Auch Jules aggressives, aber dezentes Klopfen gegen die Kopflehne blieb wohl unbemerkt. Minimal eingequetscht und mit 2 Handgepäcken zwischen den Füßen düsten wir um 22 Uhr los und landeten um 21:50 Uhr. ^^
      Wie das geht? Ganz einfach: auf Sumatra trennen uns nur noch 5h zur deutschen Zeit und nicht die gewohnten 6h. Eingepackt in Wanderhose und Jacke verließen wir den Flughafen - denn Sumatra ist muslimisch und schließlich haben wir uns ja für den Urlaub mit unseren Eltern ausgerechnet die einzige Provinz Indonesiens ausgesucht, in der noch die Shariah angewandt wird. By the way: herausgefunden haben wir das erst, als ich mir zur Sicherheit nochmal die Seite des Auswärtigen Amts durchgelesen hatte und zufällig darauf gestoßen war. Upsi. Naja, Flüge waren bezahlt, also muss man halt den Kleidungsstil dementsprechend anpassen. Eingemummelt riefen wir uns ein Taxi und fuhren zum flughafennahen Hotel, um noch 5h zu schlummern, bis wir am nächsten Morgen unsere Family am Flughafen in Empfang nehmen würden.
      Den Job des Weckers übernahm, natürlich sehr zu Jules Freuden, wiedermal der Imam. (Anmerkung Jule: die sterbende Schnorchel-Katze) Diesmal störte es uns aber nicht so sehr, da wir ja eh aufstehen mussten. Mit indischen Snacks, Schokolade und einem Willkommens-Plakat, dessen Entstehung von einem Polizisten eifrig verfolgt und die Aufschrift sogar per Funk durchgegeben wurde (wahrscheinlich um eine Demonstration von 2 weißen Mädels gegen die hier geltenden Gesetze zu verhindern), standen wir keine Stunde später in der Arrival Hall und warteten sehnsüchtig auf unsere Liebsten. Diese ließen allerdings ordentlich auf sich warten, weil knapp 50% des Gepäcks zwischen Frankfurt und Singapur abhanden gekommen war. Leanders Rucksack sollte noch in Frankfurt stecken, Mamas Gepäck war unauffindbar. Und damit auch die überlebenswichtigen Kontaktlinsen zum Tauchen, Medikamente, als auch Tauchcomputer. Super.
      Trotzdem war die Freude natürlich groß, als sich die Schiebetüren öffneten und uns wohlbekannte Gesichter angrinsten. Ich denke mal, der Freudenschrei, der in diesem Moment von Jule und mir ausgestoßen wurde, ist keinem am Flughafen entgangen, wie auch das kreischende Aufeinanderzurennen. Wenn ich sage, dass sich die Aufregung um das Gepäck nach einem Frühstück aus Brownie und Caramel-Schokolade in einem Fake-Starbucks gelegt hätte, wäre das gelogen. Mama spielte schon Worst-Case-Szenarien durch: Wir sollen schon mal weiterreisen und sie bleibt mit Papa in Medan, um auf das Gepäck zu warten, was bekannterweise bis zu einer Woche dauern kann. Nichts da! Gruppe ist Gruppe! Also wurden schnell ein paar Whatsapp-Nachrichten mit dem Flughafenpersonal ausgetauscht, das versprach, sich zu melden, sobald er etwas Neues gehört hatte. Dass man hier mit Beamten privat über Whatsapp kommuniziert, ist Gang und Gebe. Und auch dass sie einen nach der 3. Nachricht mit "It's alright Jo" anschreiben. :D

      Da natürlich doch ein kleines Schlafdefizit vorlag und wir an dem Gepäck-Dilemma eh nichts ändern konnten, buchten wir schnell das Hotel, in dem Jule und ich schon die Nacht zuvor genächtigt hatten. Der Plan, sofort weiter nach Banda Aceh zu fliegen, musste somit über Bord geworfen werden. Nach ersten Stauen oder besser gesagt Erschrecken über die indonesischen Fahrkünste und Sätzen wie "Macht hier mal jemand die Heizung aus?" landeten unsere Eltern und Brüder endlich im Bett. Wir nutzen die Gelegenheit ebenfalls, um einen Mittagschlaf zu halten.

      Abends, nach etwa 4h Schlaf, ging es dann in eine Mall nach Medan, um Mama neu mit Klamotten einzudecken. Dabei fielen ganz ungewollt 6 Kleidungsstücke für Jule und mich ab, hupsi, aber wenn die Väter auch so schnell die Kreditkarte zücken, watt will man machen? ^^ Mit dem ersten einheimischen Essen im Magen und den Tüten voller Frischkäse und Butter für das frisch importierte, deutsche Schwarzbrot und Pumpernickel, ging es wieder ins Hotel. Und wer hätte es gedacht: an der Rezeption stand sowohl Leanders, als auch Mamas Rucksack! Der Tag war gerettet und damit wohl unsere gesamte Reise! Also ab ans erneute Flüge buchen! Nach der ein oder anderen gesperrten Kreditkarte (Ja, wir haben hier eine Menge Spaß mit der Bank am Telefon ^^) gelang aus dies und da es mittlerweile eh wieder Mitternacht war, machten wir uns auf in unsere Betten - lang sollte die Nacht eh nicht mehr werden.

      Das Gefühl, am nächsten Morgen aufzuwachen und zu wissen, dass die Familie nur eine Zimmertür entfernt ist und man einfach herüber gehen kann, als sonst die Telefonate nach Zeitverschiebung zu planen, war schon etwas ungewohnt, aber keineswegs unangenehm! ;)
      Flottikarotti düsten wir mit Backpack auf dem Rücken, Handgepäck auf dem Bauch und Melone unter dem Arm zum Flughafen. Da wir unser Frühstück à la 7kg Melone aber in aller Ruhe genießen wollten, zeigten wir unseren Eltern mal, wie indonesische Sicherheitskontrolle so abläuft. Sie staunten nicht schlecht, als wir straight auf das Gepäckband zu marschierten, unserer Wassermelone erstmal eine eigene Kiste verpassten und sie durchs Röntgen jagten. Fröhlich winkend symbolisierten wir ihnen hinter der Sicherheitskontrolle, dass das Frühstück gerettet war. ^^
      So konnte am Gate erstmal ordentlich Melone gelöffelt und Frischkäse auf Pumpernickel verteilt werden. Da es in Medan aus allen Kübeln goss, fiel es uns der Abschied nicht schwer, zumal es ja auch nur der Treffpunkt und nicht das eigentliche Reiseziel war.
      Mit strahlenden Sonnenschein wurden wir in Banda Aceh begrüßt und düsten auch schon im Affenzahn mit einem Grab zum Hafen - Grab ist eine geniale asiatische App, mit der man sich Taxis zu ausgeschriebenen Preisen ruft. Meist wartet man nicht länger als 3min, bis man abgeholt wird und egal wie lang man braucht, man zahlt für die Strecke bzw. den vorher angezeigten Preis. Gerade düsten wir noch an dem netzelschem Grab vorbei, rollte ein Bagger auf die Straße und blockierte den gesamten Verkehr. Da half es auch nicht mehr, dass sich unser Fahrer schon auf dem Standstreifen an sämtlichen Mopeds und Autos vorbeischlängelte. Tja, auch am anderen Ende der Welt versteht man, dass hinter der Kombination aus "Harbour", "Ferry" und einem Wink auf die Armbanduhr eine 7-Mann-Gruppe steht, die in 20min eine Fähre schaffen muss, zu dessen Hafen man 30min braucht. ^^ Aber wie gesagt, nun machte uns ein Bagger ein Strich durch die Rechnung. Der Fahrer der Netzel-Bande hatte eine andere Route eibgeschlagen und so war Jule schon halb dabei die Tickets zu reservieren, als ich ihr verkünden musste, dass wir wohl erst in 20min aufschlagen würden. :D
      Zum Glück fuhr eine halbe Stunde später - was wir vorher nicht wussten - eine einheimische Slow Ferry, die schon mit dröhnendem Horn im Hafen wartete und kurz vor dem Ablegen war. Schnell sprungen wir auf. Ohja! Und das war eine der typischen Fähren, die wir uns als Taucher gerne als Wrack anschauen. Zu unserer Freude eröffneten wir aber keinen neuen Divespot, sondern schlengelten uns lediglich über die Decks auf der Suche nach noch freien Plätzen. Die Einheimischen bevorzugten es nämlich gleich 4 Plätze zu blockieren, indem sie sich schlafen legte. Somit blieb für uns nur das Sonnendeck. Für mehr Geld als das Ticket für die Fähre an sich gekostet hatte, mieteten wir uns 2 Matten, damit wir nicht auf dem sandigen Boden liegen mussten. Alle pflanzten sich sofort hin, nur Papa plünderte gleich mal den kleinen Verkaufsstand an Deck, wovon Jule und ich ihm strikt abrieten. Wer weiß schon, wie viele Tage die Donuts dort hin und hergeschifft worden waren? Mit Donut-Bauch und Sonnenbrand für den Ein oder Anderen #Erik, ging es 2h später von Board. Vor uns erstreckte sich eine herrlich grüne Insel, mit türkis klarem Wasser und bunten Fischerbötchen. So grün war es selbst in Malaysia nicht gewesen! Mit mindestens 20 Leuten im Rücken, die uns ihr Taxi aufdrücken wollten, suchten wir uns einen Mini-Bus, der sich am Ende trotzdem noch als zu klein für uns und unser ganzes Gepäck herausstellte. ^^ Aber immerhin brauchte man sich so nicht mehr anschnallen und die Wanderhose war nach dem Ritt auch mehr als bereit für eine Laundry.
      Somit kamen wir nach nun mehr als 3 Tagen Anreise in unserem Stelzenhäuschen auf Pulau Weh an - die nördlichste Insel Indonesiens.
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    • Day 72

      Geiselnahme im Dschungel (1)

      October 15, 2019 in Indonesia ⋅ ☁️ 29 °C

      Während Hanne also nun im Flieger Richtung Deutschland saß, brach der letzte entspannte Abend für den Rest der Truppe in Medan an, denn ab Samstag hieß es dann für die letzte gemeinsame Woche nur noch "Auf in den Dschungel!". Wie herausfordernd und schweißtreibend dieses Dschungeltrekking schlussendlich wurde, hätte wohl keiner von uns anfangs geglaubt, aber lest einfach selbst! ^^
      Ach und keine Angst wegen des Titels, es geht allen Beteiligten gut!

      Pünktlich am Samstagmorgen stand also der von uns bestellte Kleinbus vor der Haustür, die Rucksäcke wurden akribisch im Kofferraum gestapelt und auf ging die 4-stündige Fahrt in den Leuser Nationalpark nach Bukit Lawang. Tatsächlich hatten wir diesmal sogar mächtiges Glück mit unserem Bus, denn wir mussten nicht eng aneinander gequetscht kuscheln wie sonst immer, nein, jeder hatte Platz für sich, denn ausgelegt war der Bus für 11 Personen und mitsamt Fahrer waren wir diesmal nur 7. Schnell wurden weitere Luxusfunktionen wie Getränkehalter oder verstellbare Sitzlehnen entdeckt, weswegen der langen Autofahrt erst einmal nichts im Wege stand. ^^ Unterwegs wurde allerdings noch kurz angehalten, um die heiß ersehnten Bambus-Strohhalme im Dutzend billiger zu ergattern und weil wir gerade so im Shoppingrausch waren, wurde gleich noch einheimischer Tee gegriffen und bei Dunkin Donuts nebenan stattete sich jede Familie (à 3 Personen ^^) mit 12 Donuts und kalten Getränken aus. Schließlich gibt es Getränkehalter ja nicht jeden Tag und das Frühstück war immerhin auch schon 2 Stunden her. :D
      Glücklich saßen wir mit Donuts in der Hand auf unseren Sitzen, beobachteten das verrückte Verkehrschaos und waren gespannt auf das anstehende wilde Dschungelleben. Langweilig wurde uns auf der langen Fahrt eher weniger, denn Leander hatte unter anderem den eben gekauften Überraschungs-Durian-Donut so vertauscht, dass Jörg unwissend hineinbiss und sich stark wunderte, wieso denn der vermutete süße Donut auf einmal nach altem Käse und Zwiebel schmeckte. :D Ach ja, Durian... diese Ekel-Frucht werde ich nicht ein bisschen Zuhause vermissen.
      Nach einem Lachflash kehrte für ein paar Minuten wieder Ruhe in den Bus ein, doch es dauerte nicht lange, da war das Gelächter wieder groß. Leander war nämlich für kurze Zeit eingeschlafen, doch bei einem etwas stärkeren Bremsmanöver rutschte er auf einmal unter seinem Anschnallgurt hindurch und saß plötzlich wieder hellwach auf seinem Hinterteil auf dem Boden. Kann ja mal passieren, denn den deutschen Sicherheitsstandards entsprechen die Sitzgurte eh nicht. ^^
      Die restlichen Stunden verliefen dann doch eher ruhig und gegen Nachmittag hielten wir dann auf einmal neben ein paar Wellblechhütten an und der Fahrer verkündete, wir seien nun da. Ähm, wie bitte ?! Wo soll denn hier der Dschungel sein ?
      Ein wenig verwirrt standen wir nun alle beisammen, umringt von unserem Gepäck, und warteten auf Antworten. Zum Glück ließen diese nicht lange auf sich warten, denn aus einem kleinen "Alles-Laden" (die Ware bestand aus Softdrinks, Shampoo, Zigaretten, Toilettenpapier, T-Shirts und handgemachten Schnitzereien) sprang unser Guide hervor und hieß uns Willkommen. Anto sollte uns für die nächsten Tage durch den Dschungel führen und darauf aufpassen, dass wir von keinen Affen oder anderen Dschungelbewohnern angeknabbert werden.
      Gemeinsam machten wir uns also auf den Weg zu unserer neuen Unterkunft, voran liefen 6 "Kofferjungs", die für einen schmalen Taler unser Gepäck bis aufs Zimmer trugen, worüber wir nicht einmal ansatzweise böse waren. Denn bei der Hitze und einem Fußweg von knapp 15min hatte keiner so wirklich Lust, seine 20kg Gepäck oder gar mehr aufzusatteln. Entlang des Flusses führte es uns vorbei an klapprigen Brücken, kleinen Souvenirshops und "Alles-Shops", die Anto belustigt als Shoppingmeile des Dorfes betitelte. ^^
      Schlussendlich kamen wir am letzten Gebäudekomplexes des Dorfes an und standen leicht verschwitzt vor dem Eingangstor mit der Aufschrift "Jungle Inn". Doch eine Abkühlung lag bzw. floss glücklicherweise direkt vor der Haustür, also ging es kurz darauf im ungestümen Fluss baden. Obwohl baden in diesem Kontext das falsche Wort ist, denn es war eher ein waghalsiges treiben lassen, bis man sich vor den beginnenden Stromschnellen wieder auf die Füße retten musste, um nicht bergab zu schießen. Nun ja, leichter gesagt als getan. Während es das erste Stück noch gut klappte, wurde die Lage auf einmal sehr ernst. Denn Leander schaffte es nicht rechtzeitig wieder ins Stehen zu kommen und trieb auf einmal weiter als gewollt. Somit begann eine panische Rettungsaktion, die am Ende jedoch glimpflich ausging, allerdings wurde nach dem Schock ein Badeverbot im Fluss ausgesprochen und erste blaue Flecken zierten bereits so einige Körperteile. Manno man, so ein Fluss ist echt nicht zu unterschätzen!
      Nachdem dann zivilisiert im eigenen Badezimmer unter einer Art Krug geduscht wurde, ging es abends dann hungrig ins Restaurant und als meine Augen das Wort "Kartoffelbrei" auf der Speisekarte entdeckten, war klar, was ich die nächsten Male hier wohl essen würde. :D
      Es spielte sogar eine einheimische Band und nach kurzer Zeit wurden Liederbücher herumgereicht, denn "zusammen singen macht doch viel mehr Spaß". Mit Kartoffelbrei, Pizza und Fisch im Mund wurden Liedtexte von Queen, Bon Jovi und Co mitgenuschelt, sehr zu Freuden der Band. ;) Was für ein erster Tag! Müde fielen wir in die Betten bzw. in die frisch gespannten Hängematten auf dem Balkon, ehe es am nächsten Morgen früh aus den Federn ging.

      Nach einem ausgiebigen Frühstück am Sonntagmorgen, welches mitunter aus Obst- und Jogurt-Bowls, Omelette, Pancake und exotischen Smoothies bestand, ging es mit reduziertem Gepäck auf den Rücken in den Dschungel Sumatras. Oh man, es wurde ernst. Bereits nach 5min kam die Frage auf, wann wir endlich da seien, wann es eine Pause geben würde und ob sonst noch wer auf Toilette müsse. Na das konnte ja lustig werden. Wir kamen an einer der vielen klapprigen Holzbrücken an und bereits jetzt stand fest, dass es wohl kein zurück mehr geben würde. Es hieß Augen zu und durch. Nacheinander wackelten und stolperten wir über die Brücke und dachten, wir hätten das schlimmste Hindernis somit hinter uns gebracht. Haha. Nein!
      Es führte uns an den letzten Hütten auf der anderen Flussseite vorbei und bergauf ging es in den tiefen Urwald. Hurra. Drei von sechs Leuten waren jetzt schon gedanklich durch mit dem Trekkingtrip. ^^ Aber was soll's, wir kämpften uns weiter voran. Noch gab es schließlich halbwegs breit gelatschte Trampelpfade und die Schweißperlen liefen immerhin noch gar nicht so stark. Doch all dies sollte sich schleunigst ändern!

      Knapp 30min nach dem Start guckten uns bereits die ersten Äffchen grinsend an, in diesem Fall waren es Thomas Leaf Affen. Doch plötzlich raschelte es in den Baumen etwas weiter hinter und durch die Reihen war das Wort "Orang Utan" zu hören. Wie ? Jetzt schon ? Wir haben doch gerade erst einmal einen Fuß in den Dschungel gesetzt. Aber tatsächlich! In der Ferne sah man ein Orang Utan Weibchen und ihr Kind durch die Bäume schwingen. Damit hatte keiner von uns gerechnet! Leise wurde sich den Tieren genähert und wir staunten nicht schlecht, als sie sich knapp 15m vor uns entlang hangelten.
      Während die Erwachsenen ganz gefesselt von den beiden waren, murmelten die Jungs Sätze wie "Toll, jetzt konnten wir die Orang Utans schon abhaken. Können wir nun wieder zurück? Dschungeltrekking ist beendet." Schön wär's. Aber die 3 Tage waren gebucht, also ging es weiter. Bergauf, bergab, an Lianen festhalten, mit Baumen mehr oder weniger freiwillig kuscheln und stets aufpassen, dass sich der vermeintliche Ast nicht als Schlange entpuppt. Es war eine Herausforderung. Bereits nach einer Stunde hatte sich jedes T-Shirt mindestens zwei Farbtöne dunkler verfärbt, die Schuhe waren matschig und die Hosenbeine längst nicht mehr schmutzfrei. Willkommen in der Wildnis, sag ich da nur. ^^
      Und auch eine kleine Dschungelschlange ließ nicht lang auf sich warten und obwohl diese nur knapp 10cm groß war, war diese äußert giftig und nach einem Foto kehrten wir ihr schnell den Rücken zu.
      Um uns nach 3h des Schwitzens, Kletterns und Stolperns wieder einigermaßen zu motivieren, zauberten unsere zwei Guides wie aus dem nichts ein kleines Obstbuffet herbei, welches förmlich dazu einlud, darüber herzufallen. Es dauerte keine 10min und schon waren jegliche Spuren von Wassermelone, Passionsfrucht, Ananas, Bananen und Mandarinen beseitigt worden. ;) Gestärkt ging es nun wieder weiter, der Weg wurde allerdings nicht unbedingt angenehmer. Steil ging es bergauf, bergab, wieder an Ästen und 50m hohen Bäumen vorbei, ein paar Makaken wurde zugewunken, wie Tarzan hangelten wir uns an Lianen entlang und das Ganze mit nur ganz ganz ganz wenig Schweiß am Körper. Ja, die Betonung liegt auf "ganz wenig". ^^
      So wirklich lang hielt uns das Obst aber auch nicht über Wasser und somit saßen wir 1h später auf einem umgefallenen Baum, ließen das Gepäck lustlos fallen und machten es uns bequem. Kaum saßen wir, stattete uns auch schon ein großer Schweineschwanz-Makake einen Besuch ab und während Andrea und ich schon mit einem wütenden Affenangriff rechneten, hatte es dieser nur auf Jörgs Erdnüsse abgesehen, die verlockend auf dem Baumstamm lagen. Somit waren diese in Null Komma Nichts in seiner Gewalt und während wir froh waren, dass der Affe uns nur seine Zähne zeigte und nicht wirklich einsetzte, trauerte Jörg seinen guten Nüsschen hinterher. :D Naja, zum Glück gab es ja noch ein wenig Nasi mit Gemüse, sodass wir nicht allzu sehr auf die Erdnüsse angewiesen waren, aber dennoch war der Verlust groß. ^^
      Nachdem jedes Reiskorn verputzt war, ging es nun die letzte Stunde durch den Dschungel, ehe wir laut unserem Guide nach "runter, noch einmal steil hoch und wieder runter" endlich das lang ersehnte Camp erreichen sollten. Und während wir da so liefen und ich schon gar nicht mehr an ein Ende glaubte, hörten wir in einer gewissen Entfernung bereits den Fluss rauschen, an dem sich unser Wildnishüttchen befinden sollte. Der letzte Energieschub strömte durch uns, wir schlitterten die matschigen Wege hinab und nach einer gefühlten Ewigkeit und einer Höhe, die uns daran zweifeln ließ, ob wir überhaupt so viel bergauf gelaufen waren, wie wir nun hinab liefen, standen wir endlich am Flussufer. Geschafft! Halleluja!
      Ein wenig skeptisch wurde unser nächtlicher Unterschlupf, bestehend aus 6 dünnen Ledermatratzen, 3 Moskitonetzen und ein paar schäbigen Planen über dem Bambusgestell, beäugt, aber wir hatten andere Gedanken. Nämlich ab in den kalten Fluss, all den Matsch und Schweiß abwaschen und ganz traditionell die ekligen Klamotten mit Wildnis-Duschbad im Fluss waschen. Gesagt, getan! Zu fünft tummelten wir uns im erfrischenden Wasser, wuschen stinkende Socken aus und freuten uns, nach fast 5h des Wanders endlich angekommen zu sein.
      Kaum waren wir aus dem Wasser, wurde Tee und Kaffee aufgesetzt und wir genossen den Dschungelservice auf platt gesessenen Yoga-Matten. ^^
      Die Zeit nach der Ankunft verging im Vergleich zum Trekking rasend schnell und schon gab es das nächste Essen, in gemütlicher Runde mit Kerzenschein und Auswahl zwischen Reis, Curry, Fisch, Gemüse und Krabbenchips. Somit war es auch keine Überraschung, dass gegen 20:15 Uhr bereits alle eingemummelt im Schlafsack auf der Matratze lagen und es nun Schlafenszeit war. Tja, nach solch einem Tag war alles möglich. :D
      Geweckt wurden wir am nächsten Montag unter anderem von den typischen Dschungelgeräuschen, aber auch von den Affen, die mit einem lauten Knall auf unserem Dach landeten und wir schon befürchteten, sie würden uns die Socken von der Wäscheleine klauen. Allerdings würden sie vorher vermutlich in Ohnmacht fallen bei der strengen Duftnote. ^^
      Also krochen alle ein wenig verspannt unter den Moskitonetzen hervor, es wurde Tee und Kaffee herumgereicht und auf den Gummimatten wurde ein luxuriöses 4-stöckiges Sandwich serviert. Naja, es musste ja auch lange ausreichen, denn mal wieder standen 5h Trekking auf der Tagesordnung. Hurra.
      Also ging es in die eh noch feuchten und miefigen Klamotten des Vortages, die Socken wurden mal wieder über die sexy Wanderhose gezogen, damit weder die Riesenameisen noch Skorpione unsere Beine hochkrabbeln konnten, und auf ging der Spaß. Obwohl von Spaß eher nicht die Rede sein kann, denn den Weg, den wir uns vor nicht einmal 18h mühselig hinab gequält hatten, durften wir nun allesamt wieder bergauf. Freude war gar kein Ausdruck! Aber laut unserem Anto sollte der 2. Trekkingtag bei weitem nicht mehr so anstrengend sein und das gab uns wenigstens ein bisschen Hoffnung. Ha! Was für eine Lüge...
      Aber gut, verständlich, denn würde ich meiner Wandertruppe sagen, dass der zweite Tag drei Mal so schlimm und 5 Mal so anstrengend wird wie der erste Tag, dann hätte ich sie wohl auch nicht aus den Betten bekommen.
      Egal, ohne dieses Wissen machten wir uns also wieder ans Hinaufklettern, zogen uns an den Lianen, Wurzeln und Ästen hoch, an denen wir uns gestern noch abgeseilt hatten und nachdem wir die ersten 200 Höhenmeter hinter uns hatten, hätten wir auch schon wieder aufhören können. :D Der Schweiß lief, die Klamotten klebten, vom "angenehmen" Geruch ganz zu schweigen, und die Motivation war irgendwie auch schon mal größer. Woran das nur lag ?
      Doch irgendwie quälten wir uns durch den Urwald, fanden erneut ein paar affige Freunde, aber auch gewaltige Tukane, die über uns entlang flogen und für einen kurzen Moment wie Flugsaurier klangen.
      Nach knapp der Hälte des Tagestrips trafen wir auf Mina, dem bekannten Gangster Orang Utan des Dschungels. Ihre Masche ist es nämlich, den durchquerenden Touristen den Weg zu versperren, sodass die Guides gezwungen sind, sie mit Futter abzulenken, sodass man sich an ihr vorbei schleichen kann. Während Anto die gierige Mina also mit Bananen fütterte, führte uns unser 2. Guide James an ihr vorbei und wir machten und still und heimlich vom Acker, ehe sie uns noch hinterher laufen würde, um erneut eine kostenlose Obstpause zu ergattern.
      Apropos Obstpause, es war mal wieder an der Zeit für einen Motivationssnack. Gerade als James sein Messer zückte, um die Ananas anzuschneiden, raschelte es in den Baumkronen und sofort wurde alles zusammengepackt, sicher in den Rucksäcken verstaut und diese wieder auf den Rücken verfrachtet. Na toll, dabei hatte ich den ollen Rucksack doch gerade abgesetzt. Aber lieber so, als das ihn mir ein Affe klaut. :D
      Gespannt schauten wir in die Bäume und tatsächlich, da hangelten sich zwei schwarze Affen entlang, die sich als Schwarze Siamang entpuppten, und scharf auf unser Obst waren. Nichts da! Wir haben schon unsere Bananen an Mina verloren. ^^
      Nachdem das ganze Affentheater dann knapp eine Viertelstunde später vorbei war, machten wir uns von Neuem auf den Weg und hofften, nach weiteren 20min Wandern bzw. Wurzelklettern endlich einen stillen Ort zum Essen gefunden zu haben. Doch kaum raschelte die Plane, auf der unser Obst hätte ausgebreitet werden sollen, wurde die Futterpause erneut abgebrochen, denn Jackie war unterwegs. Und Jackie, ein weiteres Orang Utan Weibchen, hatte es faustdick hinter den Ohren! Mitsamt Affenbaby schwang sie sich von den Bäumen hinab, stand auf einmal vor uns und wir versuchten panisch etwas Abstand zu gewinnen, was uns mehr oder weniger glückte, denn auf einmal griff sie nach meinem Handgelenk. So schnell konnte ich gar nicht gucken, da schloss sich die große Affenhand bereits um mein Handgelenk und ich stand da, gefangen genommen von einem Orang Utan. Doch zu meinem Glück schien ein anderer Tourist aus einer weiteren kleinen Gruppe interessanter zu sein und nach 3 Sekunden schnappte sie nach seinem Arm und ich war schneller weg, als sie gucken konnte. Puuh, Glück gehabt!
      Denn Jackie ließ für 10min nicht von dem Handgelenk des armen Mannes los, was natürlich alles zu ihrer ausgeklügelten Taktik gehörte. Denn Jackie ist dafür bekannt, sich Touristen als Geisel zu nehmen und sie quasi solange festzuhalten, bis die Guides mit all den leckeren Früchten rausrückten und sie damit fast schon überhäuften. Und so kam es, dass drei Guides ihr abwechselnd Bananen, Wassermelone und Mandarinen reichten, in der Hoffnung, dass sie endlich den Mann loslassen würde. Nun ja, Fehlanzeige! Jackie hatte Hunger und wollte einfach nicht satt werden!
      Es dauerte gefühlt eine halbe Ewigkeit und viele Streicheleinheiten, Kitzelattacken um ihre Muskeln zu entspannen, noch mehr Obst und ausgeklügelte Täuschungsmannöver, ehe sie ihre Geisel losließ und einen Obsthaufen 3m entfernt von ihr anpeilte. Blitzschnell löste sich der Mann und alle machten schleunigst kehrt von Jackie. Wow! Was für eine Geiselnahme, vor allem hätte ich das sein können. Na Hilfe!
      Zügig liefen wir freiwillig bergauf, um von Jackie wegzukommen und ärgerten uns auch nur ein ganz klein wenig, dass unsere Obstration wohl gerade an Jackie ging. ^^
      Mit knurrendem Magen liefen wir Anto hinterher, der versprach, dass es bald Essen geben würde, doch da er das seit 2h versprach, waren diese Worte eher nicht so aussagekräftig. So trotteten wir ihm hinterher, ehe wir gegen 14:30 Uhr nach einem erneuten Stück bergab an einem Fluss ankamen und es endlich was zu futtern gab. :D Statt Nasi gab es diesmal Mie (=Nudeln) und völlig erschöpft ließen wir uns auf den Boden oder naheliegende Felsen fallen. Huiuiui, das war mal ein Abenteuer. Nachdem unser Mittagessen nach knapp 3min beinahe schon inhaliert worden war, überraschte uns James doch tatsächlich, indem er aus seinem Rucksack die Ananas von vorhin und zusätzlich Bananen, Passionsfrüchte und Mandarinen heraus holte. Hurra, es wurde wohl doch nicht alles an die gierigen Orang Utans verfüttert. Somit fielen stattdessen wir, die gierigen Touris, über das Obst her und stellten uns mental schon einmal auf die letzte Stunde bergauf und bergab klettern ein. Und ja, klettern war diesmal das richtige Wort. Denn Wandern war mittlerweile unmöglich geworden, da es teilweise Stellen gab, die eine Neigung von 75° hatten. Mensch, welch Spaß in Turnschuhen mit der Liane in der Hand den Hang hinab zu schlittern. Kein Wunder, dass nach dieser Aktion die Schuhe, Socken, Hosen und Rucksäcke noch matschiger waren als am Vortag. Gedanklich hatte ich den lieben Anto bereits mehrfach geohrfeigt, denn es war eine Frechheit zu behaupten, dass der 2. Tag ein Kinderspiel war, wenn er für uns extra noch Lianen anbringen musste, damit wir nicht alle nacheinander wie die Dominosteine den Hang hinunter rollen würden. Die Jungs und ich riefen ihm abwechselnd irgendwelche deutschen Schimpfworte hinterher, um uns irgendwie bei Laune zu halten. Denn als er dann auch noch auf einmal eine kleine "Abkürzung" einschlug, die nur rückwärts und eigentlich mit Sicherheitsgeschirr zu bewältigen war, da hatten wir endgültig die Schnauze voll. Wir rutschten bergab im Schlamm, konnten froh sein, dass uns der ein oder andere Zweig minimalen Halt bot und der gute Anto, der war bereits drei Kurven weiter. Ein Wunder, dass wir mit all unseren Blessuren wie blauen Knien, einem geschwollenem Handgelenk und kaputter Schulter überhaupt heil unten ankamen. Doch mittlerweile war erneut der Fluss zu hören, an dem unser Camp für die Nacht liegen sollte. Der Ehrgeiz hatte uns erneut gepackt, doch wir liefen und liefen und liefen und kein Fluss kam zum Vorschein. War alles schon Einbildung? Sind wir vielleicht ein Mal zu doll ausgerutscht und hatten uns den Kopf zu hart angestoßen ? Nein! Die berühmten Planendächer waren 30 Höhenmeter unter uns zu erkennen und der Fluss wurde auch immer lauter. Ein Glück! Ich dachte schon, dass das gar kein Ende mehr nehmen würde. Überglücklich stolperten wir die letzten Meter über Steine zu unserem kleinen Unterschlupf, warfen die durchgeschwitzten Rucksäcke ab, kramte die nassen Badesache raus, schnappten uns das Öko-Duschbad und ab ging es in die Fluten! Zeit wurde es aber auch. Der Tag schien ja schon kein Ende mehr zu nehmen. Freudestrahlend lagen wir im Fluss, wuschen erneut sie Ekelklamotten aus, befreiten unsere Schuhe von 2kg Schlamm und genossen das kalte Wasser.
      Erneut folgten Kaffer, Tee und Kekse und keine 1,5h später gab es erneut ein Buffet auf dünnen Matten inklusive Nasi, Kürbiscurry, Kartoffel- und Nudelpuffern und frittieren Nudelchips.
      Erneut lagen alle völlig erschöpft und vollgefressen im Bett und um 20:30 Uhr wurde auch die letzte Stirnlampe ausgeknipst.
      Leider hatte diese Nacht eine böse Überraschung für mich parat und an Schlaf war für mich nicht zu denken. Zitternd lag ich im Bett und ab 1 Uhr morgens durfte ich mich im 1h-Takt aus dem Schlafsack pellen und unter dem Moskitonetz hervorkriechen, nur um keine 10m weiter meinem Mageninhalt Hallo zu sagen. Na super. Dschungelgrippe ? Malaria ? Genau das, was man im tiefen Urwald an der Backe haben will. Die Nacht schien wie in Zeitlupe zu vergehen und ich war heilfroh, als es endlich anfing wieder hell draußen zu werden. Denn das bedeutet im Umkehrschluss, dass wir nach dem Frühstück im selfmade Gummireifen-Boot flussabwärts zu unserer Unterkunft schippern würden. Gott sei Dank! Ich hätte keine Stunde länger hier festhängen wollen, schon gar nicht mit Fieber und Co.
      Also wurde sich nach dem Frühstück, welches für mich aus 3 Stücken Wassermelone bestand, in die nassen Badesachen gezwungen, die Rucksäcke in Plastiksäcken wasserdicht verpackt und dann hieß es Abmarsch! Wir hatten jeweils zwei Reifenkonstrukte, in dem einen saßen Jörg und Leander und in dem 2. und größeren der Rest von uns. Vorne und hinten saßen unsere Guide und mit langen Stöckern zum Abstoßen von Felsen und Lenken machten wir uns auf den waghalsigen und für meinen Geschmack viel zu kalten Heimweg. Aber lieber so, als den ganzen Mist zu Fuß laufen zu müssen. Also Augen zu, festhalten und los. Wir bahnten uns den Weg durch die Stromschnellen bis zu dem Punkt, als auf einmal das Gummikonstrukt von Jörg und Leander kenterte und Panik ausbrach. Denn Leander war auf einmal nicht mehr zu sehen und als dann auch noch das knallgrüne Moskitoarmband von Jörg an uns vorbeischwamm, war es bei Andrea endgültig vorbei. Sie konnte ja nicht ahnen, dass die beiden keine 2 Sekunden später von 2 Einheimischen gepackt und aus dem Fluss gezogen wurden. So schnell konnte man gar nicht gucken, meinten sie. Na ein Glück! Nach dem Schreck ging es dann die letzten 10min flussabwärts und Andrea und ich schrien laut vor Freude, als wir endlich unser Jungle Inn hinter der nächsten Kurve entdeckten. Endlich! Geschafft! Wir hatten genug kaltes Wasser abbekommen und genug Adrenalin getankt. Zitternd verließen wir die Gummiteile und machten uns auf in unsere alten Zimmer. Leider wurde aus dem aufwärmen nicht so viel, denn auch aus dem Duschkrug floss nur kaltes Wasser. Hurra. Mit gefühlt blauen Lippen lag ich keine 20min erneut frierend im Bett, eingekuschelt in alles was ich irgendwie finden konnte und hoffte, dass das, was auch immer ich mir da eingefangenhatte, bald vorbeigehen würde. Somit bestand mein restlicher Tag nur noch aus frieren, schlafen, Fieber messen und Tee trinken. Aber gegen Abend zeigte sich, dass ich nicht die einzige war, der es mies ging. Leander nebenan sagte seinem Frühstück ebenfalls noch einmal Hallo, Papa fror ebenfalls und hatte Bauchgrummeln und das einzige, was wir irgendwie herunter bekamen, war Dschungeltee (eigentlich bestand die ganze Tasse nur aus Gras, Wurzeln, irgendwelchen Knospen und Kräutern^^) und Kartoffelbrei. Na das konnte ja heiter werden, wenn es eigentlich am Mittwoch zu den Elefanten gehen sollte. Aber erstmal abwarten, was die nächste Nacht mit sich brachte.
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    • Day 148

      A horrible bus ride to Bukit Lawang

      November 17, 2019 in Indonesia ⋅ ⛅ 25 °C

      🇮🇩🇬🇧
      To be defined after the Jungle Trekking and when we are back to Wifi (lack of time this morning)

      🇩🇪
      Nach einer kurzen Nacht am Flughafen von Kuala Lumpur, gingen es heute mit einem flotten Weiterflug nach Medan. Dort angekommen, 8:30 Uhr Ortszeit, ging es für uns auf die Suche nach dem Gunstigsten und besten Transportnach Bukit Lawang. Wir wurden im Internet vor zu hohen Preisen und Verarschungen von Touristen mit exorbitanten Preisen gewarnt und waren auf der Hut. Wir nahmen vom FH zunähst den ASL nach Binjai - 50.000 IDR pro Person. Es dauerte ca. 2 Stunden bevor wir Binjai erreichten. Dort suchten wir zu Fuss die Busstation - ignorierten die aufsässigen Rikscha- und Taxi-Fahrer - und fanden schließen den Halt. Ein Polizeioffizier weiste uns ein und zeigte wo wir warten sollten. Der Bus kam, wir fragten mach dem Preis: 15.000 IDR (lokaler Preis), we zufrieden und stiegen ein. Noch schnell das Gepäck aufs Dach 👌🏼. Im Augenwinkel sah ich, wie der Polizeibeamte Geld bekam - hmm 🤔 etwas suspekt. Weiter ging es ca. 2 km. Wir hielten! Der Fahrer stieg aus, um um uns herum nur indonesische Männer.
      Wie im Internet prophezeit, gab es ein wenig Probleme. Der „dicke-boss-mäßige“ Indonesier mit seiner 8-Mann Army wollte Geld sehen. Und zwar mehr als vereinbart! 150.000 IDR wollte er für uns drei (wir haben noch eine Backpackerin unter unsere erfahrene Fittiche genommen). Wenn man nachdenkt nicht mega viel, aber viel mehr als die Einheimischen zahlen und mehr als vereinbart. Der Typ argumentierte, wollte geld haben, der Fahrer bewegte sich nicht und ließ ihn machen. Andere seiner Manschaft kamen auf uns zu und drohten uns, kletterten aufs Dach, um unser Gepäck runterzuholen. Ganze 20 Minuten ging es hin und her. Am zittern und völlig mit den Nerven am Ende über die Ungerechtigkeit, das scheiss Verhalten sich nicht an Deals zu halten und die Arroganz dieser spezifischen Landsleute, haben wir uns mit Hilfe zweier indonesischer Mädchen auf 80.000 IDR für uns drei geeinigt. Und nach weiteren Schreien haben wir es auch geschafft erst bei Ankunft in Bukit Lawang und nicht vorher zahlen zu dürfen. Mein Tag war durch - so viel Schiss vor der Situation hatte ich auf noch keiner Reise. Eine ausführlichere Version gibt es persönlich - wer will 😅. Ende vom Lied auf halber Strecke blieben wir noch liegen geblieben - Karma für den Fahrer - und kamen schließlich völlig fertig 6 Stunden später an. Wir aßen was, buchten eine 2-Tages-Dschungel-Wanderung für morgen und vielen ins Bett 😴.
      Also wir hören uns wieder wenn wir zurück im Hostel sind ❤️
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    • Day 153

      Goodbye Indonesia

      November 22, 2019 in Indonesia ⋅ ⛅ 0 °C

      🇮🇩🇬🇧
      After our Dschungel Experience, Matthias and me decided to take a little relaxing time before flying out to Malaysia 🇲🇾. We booked two nights at a hotel close to the airport.
      Yesterday we took the public bus back to Binjai - this time without any trouble! We hopped onto the airport bus, whose driver was so kind and dropped us off just before the airport at our hotel.
      The hotel seems so fancy 😍 we even got a welcome drink 🍹 when we checked in 🙉!
      Around the area we tried to find a place for laundry and some food. Not too easy, but we finally managed to walk down from the highway to a nearby road - a road where tourists where never seen before (we guessed) 😊. The kids of the street followed us all the way to the laundry - we probably looked like the pied piper of Hamelin 🤣. At the laundry shop we managed to communicate by using gestures and hand signs. 🤩🤣. We loved it! And everybody was smiling all the time! (A picture we didn’t experience too often in Indonesia so far). Mostly the people (not everyone of course) do not smile at us.. it’s a pitty!
      But these women and kids gave me/us hope, that there are still some people who really appreciate us coming to their country 🥰. After we dropped the laundry, we turned to the streetfood store next door, where another nice woman was preparing food. Without englisch and with smiles we ordered some food - delicious, cheap and made from the heart! We said our goodbyes and we were filled with joy! The kids escorted us to the end of the streets where we parted our ways 😊.
      I thought this was a good story to end our Indonesia trip, erasing some uneasy feelings I (as a woman and person) got during our travel - especially in the Muslim part of Indonesia (Sumatra).
      That also teaches us, that we have to look behind the touristy spots and famous places to really get the full experience. Other than the taxi drivers and market sellers, who always appeal to you as a rich western person who should pay them for everything, the local women/people still appreciate meeting new faces and different cultures.

      To conclude my/our opinion of Indonesia:
      the nature and wildlife is amazing, the culture and people diverse and different on every island and traveling way easier as a couple than on your own. It taught us to always stay open minded about the country as we were surprised by its people every day (in good and bad ways). Nevertheless what really got to me/us is the way most Indonesian people treat their precious nature and therefore the animals as well. Garbage of every kind lays around the streets, rivers, fields and national parks, unhealthy dogs and cats wander the streets and the reduce of plastic isn’t happening at all. That’s definitely an educational situation that hopefully will be solved in the future!
      For now: goodbye Indonesia 🇮🇩 you gave me/us lots to think about 🤯.

      🇩🇪
      Nach unserem Dschungel-Erlebnis beschlossen Matthias und ich uns, vor unserem Flug nach Malaysia 🇲🇾, etwas Zeit zum Entspannen zu nehmen. Dafür haben wir zwei Nächte in einem Hotel in der Nähe des Flughafens gebucht.
      Gestern sind wir mit dem öffentlichen Bus zurück nach Binjai gefahren - diesmal ohne Probleme! Wir stiegen in den Flughafenbus, dessen Fahrer so freundlich war uns kurz vor dem Flughafen in unserem Hotel abzusetzen.
      Das Hotel ist sehr schick 😍 wir haben sogar ein Willkommensgetränk🍹 bekommen 🙉!
      Nach dem Checkin versuchten wir hier in der Gegend eine Wäscherei und etwas zu Essen zu finden. Nicht ganz einfach, aber wir schafften es schließlich, von der Hauptstraße ab, auf eine nahegelegene Straße zu kommen- eine Straße, auf der Touristen noch nie zuvor gesehen wurden (so schien es uns) 😊. Die, auf der Straße spielenden, Kinder folgten uns bis zur Wäscherei - so sahen wir wahrscheinlich aus wie der Rattenfänger von Hameln 🤣. In der Wäscherei gelang es uns, mit Hänen und Füßen zu kommunizieren 🤩🤣. Wir hatten einen Spaß! Und dabei lächelten alle um uns herum die ganze Zeit! (Ein Bild, das wir in Indonesien bisher nicht allzu oft erlebt haben). Meistens lächeln uns die Leute (natürlich nicht alle) nicht an.... das ist so schade!
      Aber diese Frauen und Kinder gaben mir/uns die Hoffnung, dass es immer noch einige Leute gibt, die es wirklich zu schätzen wissen, dass wir in ihr Land kommen 🥰. Nachdem wir die Wäsche abgegeben hatten, gingen wir zum Straßenstand nebenan. Dort breitete eine andere nette Frau Essen zu. Ohne Englisch und nur mit Zeichensprache haben wir uns etwas zu Essen bestellt - lecker, billig und vom Herzen kommend.
      Wir verabschiedeten uns und waren voller Freude! Die Kinder begleiteten uns bis zum Ende der Straßen, ehe wir getrennte Wege gingen 😊.
      Ich dachte mir, dies sei eine gute Geschichte, um unsere Indonesien-Reise zu beenden und einige unschöne Gefühle zu beseitigen, die ich (als Frau und Person) während unserer Reise bekommen habe . Dies besonders im muslimischen Teil Indonesiens (Sumatra).
      Das lehrt uns auch, dass wir hinter touristische und berühmte Orte schauen müssen, um das echte Erlebnis zu bekommen. Abgesehen von den Taxifahrern und Marktverkäufern, die einen immer als reiche „westliche Person“ bezeichnen, die diese für alles bezahlen soll, schätzen die lokalen Frauen/Menschen es immer noch, neue Gesichter und andere Kulturen zu treffen.

      Zum Abschluss über Indonesien:
      Die Natur und die Tierwelt ist großartig, die Kultur und die Menschen sind vielfältig und unterschiedlich auf jeder Insel und Reisen ist viel einfacher zu zweit. Es lehrte uns auch, immer offen für das Land zu sein, da wir jeden Tag von seinen Menschen überrascht wurden (auf gute und schlechte Weise). Dennoch ist das, was mich/uns wirklich nahe geht, der Umgang der meisten Indonesier mit ihrer so kostbaren Natur und demnach auch mit dessen Tieren. Müll jeglicher Art liegt auf den Straßen, in Flüssen, auf Feldern und in den Nationalparks; kranke Hunde und Katzen wandern durch die Straßen und der verzicht auf Plastik findet überhaupt nicht statt. Das ist definitiv eine Bildungssituation, die hoffentlich in Zukunft gelöst wird!
      Fürs Erste: Auf Wiedersehen Indonesien 🇮🇩 Du hast mir/uns viel zum nachdenken gegeben 🤯.
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    You might also know this place by the following names:

    Sumatera Utara, North Sumatra, Sumatra Barôh, سومطرة الشمالية, Правінцыя Паўночная Суматра, Северна Суматра, Sumatra Septentrional, Báe̤k Sumatra, Severní Sumatra, Gogledd Sumatra, Nordsumatra, Norda Sumatro, Ipar Sumatra, سوماترای شمالی, Pohjois-Sumatra, Sumatra du Nord, Pet Sû-mùn-tap-lia̍p-sén, צפון סומטרה, उत्तर सुमात्रा, Provinsi Sumatera Utara, Sumatra Settentrionale, 北スマトラ州, Sumatra Lor, ჩრდილოეთი სუმატრა, 수마트라우타라 주, سوماترا شمالی, Šiaurės Sumatra, Sumatra Utara, Умар Суматра, Pak Sumatera, Noord-Sumatra, Pangulung Sumatra, Sumatra Północna, صوبہ اتلا سماٹرا, Sumatra Setentrional, Северная Суматра, Sumatra Kalér, จังหวัดสุมาตราเหนือ, Kuzey Sumatra, Північна Суматра, شمالی سماٹرا, Shimoliy Sumatra, Bắc Sumatera, Amihanan nga Sumatra, 北蘇門答臘, 北苏门答腊省

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